• Une vie peut-être heureuse en la vivant pour ET AVEC

    le Christ.

    J'aime la vie, la musique, la relation aux autres. Cependant pour ceux qui ne le savent pas,

    j'ai une petite maladie Bipolaire. J'ai mes creux. Et je n'y peux rien. Je tâche de le vivre sans me tourmenter. 

    Aujourd'hui je vais parler un peu de cette vie là. 

    De ce qu'un espagnol porte dans son coeur. Dieu est là.

     

    Bon, en hommage à Paco !

     

    J'ai dans mon sang du Morisque et du juif.

    C'est une culture très riche, mais trés sensible, et fière.

    Lola Flores. Voila le temperament espagnol

     

     

    Je suis née à Madrid, derrière cette place del Sol.

    Un temperament plus sec, plus fier, mais trés fin.

    J'ai vécu seulement mon enfance 11ans en Madrid.

    Mon coeur est Andaluz, comme celui de mi madre adoptive.

     

    Lola Flores " la faraona" avant de mourir !!!

     

    Etre vrai espagnol d'andalucia....

    Joie, dance, chante, et  beaucoup de foi...

    même si tous ne vont pas à la Messe.

    Ma mère adoptive jamais est allé, seulement pour ma communion.

    Mais elle avait su puerta ouverte pour tous.

     

     

    Procesion en Seville. Foi extravertide ?

    On est excesifs en tout...amitiè, fête, dans la peine

    et dans l'alegria  =la joie

    Ecole de Seville ds Soeur de la croix.

    Dans l'été je donnais cours de ratrapage pour las 

    familles pauvre. Chose trés normal en Espagne

     

    jeunese espagnole avec les mêmes problèmes de drogue.

    Problèmes de travail.

     

    Je pense que les parents, ont voulu la libertad depuis Franco.

    Mais il y a pas eu la transmission de valeurs profonds.

     

    Alors comme vous voyez, je suis née dans une ambience,

    comuniste. Avec une mère adoptive qui m'a voulu Catholique.

    Et le reste C'EST DIEU QUI L'A FAIT. 

     

     

    QUE DIOS LES BENDIGA

     

     

     

     

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  • Excussez-moi, j'ai un grand besoin de silence

    durant un ou deux jours. Je pense à tous les Amies et Amis 

       

     

     

    Mon trés cher Ami Saint Antoine.

    Merci de ta protection depuis mon enfance.

    Toi l'Amie protecteur des pauvres

     

    Antoine de Padoue (1195 - 13 juin 1231) est un saint catholique romain (fête le 13 juin), docteur de l'Église, surnommé aussi « le Thaumaturge ».

    Fernando di Buglione naquit vers 1195 à Lisbonne, dans une famille noble et militaire. Il suivit des études brillantes chez les chanoines Réguliers de saint Augustin à Saint-Vincent da Fora puis au monastère de Sainte-Croix de Coimbra, un important centre d'études et de vie religieuse, où il fut ordonné prêtre.

    En 1220, les restes d'un groupe de Franciscains martyrs furent ramenés du Maroc. Cet événement le conduisit à joindre l'ordre de François d'Assise, où il reçut le prénom Antoine. Il partit en mission, à sa demande, au Maroc mais dut être rapatrié en Europe dès 1221 pour des problèmes de santé. Son bateau fut dévié par les vents sur la côte de Sicile où il rencontra les frères de Messine et se rendit avec eux au Chapitre général en 1221, et passa ensuite près d'un an en retraite au couvent de Montepaolo, pratiquement isolé du reste de la communauté.

    En 1222, lors de l'ordination de plusieurs franciscains, il dut prendre la parole et montra un grand talent d'orateur et d'érudit. François d'Assise l'envoya alors prêcher en Italie et en France. Il prêcha et enseigna la théologie en Italie, notamment à Bologne, puis alla s'établir dans le sud de la France entre autre à Toulouse et Montpellier. Antoine connaissait très bien la théologie et ses prédications rencontrèrent un succès important, favorisant la conversion de nombreux hérétiques. Il fonda un monastère à Brive, où il fit de nombreuses conversions.

    En 1226, il est custode de Limoges et en 1227, après la mort de François d'Assise, il est Provincial d'Italie du nord, tout en continuant ses prêches et ses controverses avec les Albigeois. En 1230, au chapitre, il renonce sa charge de ministre provincial. Il fut envoyé à Rome où il fut un conseiller de Grégoire IX dans le problème de la validité du Testament de François d'Assise.

    En 1231, il fut envoyé à Padoue où il poursuivit ses prêches durant le Carême mais il meurt d'épuisement le 13 juin suivant à Arcelle, près de Padoue.

    Il fut canonisé le 30 mai 1232 par le pape Grégoire IX. Le culte de saint Antoine de Padoue se répandit surtout aux XVe et XVIe siècles. Il devint le saint national du Portugal, dont les explorateurs le firent connaître du monde entier. Il est ainsi le patron des marins, des naufragés et des prisonniers.

    À partir du XVIIe siècle, saint Antoine de Padoue fut également invoqué pour retrouver les objets perdus, puis pour recouvrer la santé, et enfin pour exaucer un vœu. L'idée d'invoquer saint Antoine pour retrouver les objets perdus vient du fait qu'un voleur qui lui avait dérobé ses commentaires sur les Psaumes se sentit obligé de les lui rendre.

    De nombreux épisodes surnaturels lui sont attribués, comme d'avoir tenu une nuit l'Enfant Jésus dans ses bras.

    François d'Assise lui a écrit une lettre l'autorisant l'enseignement aux frères de la sainte théologie dans certaines conditions.

    St. Antoine de Padoue à VienneAu Moyen Âge, les représentations de saint Antoine de Padoue sont assez rares, mais elles deviennent très courantes à partir du XIVe siècle. La plupart des églises comptent aujourd'hui une statue de lui. Il est généralement représenté comme un homme chétif, vêtu de la bure franciscaine nouée par une cordelière à trois nœuds.

    On le représente souvent prêchant aux foules ou aux poissons, en discussion avec saint François, guérissant des malades, remettant en place la jambe qu'un homme s'était coupée en signe de pénitence, faisant s'agenouiller une mule devant le Saint Sacrement pour convaincre un Juif qui doutait de la présence de Dieu dans l'hostie, ou encore assistant à l'apparition de la Vierge Marie et de l'Enfant Jésus (assis ou debout sur un livre).

    Ses principaux attributs sont la bure franciscaine, l'Enfant Jésus, une mule, un livre, des poissons, un cœur enflammé, un lys.

     

     

    Basilique de Padoue

     

    Voici les restes d'Antoine de Padoue

     

    Ami de pauvres et petits

     

    Vue de Padova -Padoue- où je suis allé

     

     

    J'ai grandi dans un pays de traditions.

    Des devotions qui m'ont été enseignés 

    par mon vieux et bon curé.

    Je me souviendrai toujours de ses enseignements

    pleins de tendresse. 

    Je ne sais pas pourquoi et à quel moment,

    je fis la connaissance de Antoine de Padoue.

    Le fait est, qu'un jour, en pension m'a 

    evité des baffes à cause d'une chaussette

    "perdue"

    Si J'avais fondé une famille, j'aurais transmis

    tout mon héritage, reçu par mes annés de 

    catéchisme, et de vie religieuse.

    Quelque chose de trés simple, qui

    donne à l'âme une certaine candeur.

    Je dédie alors, ceci et le reste à tous les jeunes

    de la planète.

     

     

     

    Même si nous grandissons...

    même si dans nos coeurs nous pouvons sentir

    des attaques du Malin pour détruir notre

    coeur innocent... revenons à lui.

    Soyons vrais avec Jésus. Racontons-lui tout.

    C'est le meilleurd de Rafistoleurs

     

     

    QUE DIOS TE BENDIGA

     

     

    VIE DE SAINT ANTOINE DE PADOUE

     

    IL n'y a qu'un enfant pour avoir cet idée !

     

     

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  •  Mon Père !

    Je m'abandonne à toi,
    fais de moi ce qu'il te plaira.

    Quoi que tu fasses de moi,
    je te remercie.

    Je suis prêt à tout, j'accepte tout.
    Pourvu que ta volonté
    se fasse en moi, en toutes tes créatures,
    je ne désire rien d'autre, mon Dieu.

    Je remets mon âme entre tes mains.
    Je te la donne, mon Dieu,
    avec tout l'amour de mon cœur,
    parce que je t'aime,
    et que ce m'est un besoin d'amour
    de me donner,
    de me remettre entre tes mains, sans mesure,
    avec une infinie confiance,
    car tu es mon Père.

     

    ************************

    Mon Dieu et mon tout,

    aidez moi,

    pauvre pêcheur que je suis

     

     

    L’esprit d’enfance nous ouvre à l’esprit d’humilité. Et l’humilité nous fait entrer dans la prière la plus vraie. La quatrième clef de la prière consiste en effet à prier humblement comme un pauvre.

    Jésus lui-même nous instruit ici éloquemment à travers la parabole du pharisien et du publicain. Aussi étonnant que cela paraisse, ce n’est pas la prière de l’homme juste et droit, à l’âme remplie d’action de grâce, qui est exaucée ; mais celle d’un pauvre hère au cœur contrit, n’ayant pour toute formule d’oraison que le leitmotiv : Mon Dieu, aie pitié du pécheur que je suis (Lc 18,13). On ne saurait mieux montrer l’importance primordiale de l’humilité dans le cœur de l’homme en prière. Jésus l’a fait dans une formule inoubliable au paradoxe lapidaire : Tout homme qui s’élève sera abaissé, mais celui qui s’abaisse sera élevé (Lc 18,14). Voilà qui est clair en effet.

    Le problème de la juste prière est ici ramené à quelque chose de fort simple. Il faut refuser toute prétention, toute suffisance, toute autosatisfaction. La prière du juste orgueilleux n’atteint pas Dieu car elle l’empêche de passer. Par contre la prière du pauvre frappe les oreilles de Dieu, car elle l’appelle de toute la force de son humilité (Si 21,5). Prier en effet n’est pas d’abord s’élever vers Dieu mais s’ouvrir à lui pour l’accueillir en soi. Si élevée que soit une âme, elle ne peut monter au plus haut des cieux. Mais dans un cœur humblement ouvert au Père, le Seigneur se plaît toujours à venir habiter pour faire ce qu’Il aime : guérir, consoler, pardonner, donner lumière, joie et paix. Car tu aimes la vérité au fond de l’être. D’un cœur brisé, broyé, Dieu, tu n’as point de mépris (Ps 51,8.19). Le miserere est bien, en ce sens, avec le Notre Père des cœurs d’enfants, la prière parfaite, car elle est celle des humbles.

    La prière humble, c’est la prière vraie. Celle qui ne se gonfle pas plus qu’elle ne se rapetisse. Celle du cœur qui se dit pécheur parce qu’il l’est en vérité. Mais qui n’a pas peur de le reconnaître parce qu’il sait plus encore que Dieu est toujours prêt à le pardonner. C’est la prière de celui ou de celle qui, plutôt que de gémir ou de se mésestimer, garde de soi une sage estime (Rm 12,3) pour chanter, comme Marie, les merveilles que Dieu a faites pour elle ou pour lui, en se penchant sur son humble serviteur ou son humble servante (Lc 1,48-49). C’est la prière desanawim que la Bible appelle de ce beau nom générique de pauvres du Seigneur. Car le Seigneur, en sa bonté, peut à jamais les enrichir de sa grâce.

    La prière humble est la prière du pauvre qui se sait fragile, versatile, distrait, et même littéralement incapable par lui-même de prier (Rm 8,26). Mais cette vérité nous rend libres (Jn 8,32), et cette liberté touche le cœur de Dieu. Aussi bien n’avez-vous pas reçu un esprit d’esclaves pour retomber dans la crainte ; vous avez reçu un esprit de fils adoptifs qui nous fait nous écrier : Abba, Père (Rm 8,15). C’est cette vérité de l’abandon à la Providence qui rend réellement libres et, par là même, à la différence de l’esclave, nous met pour toujours dans la maison, car le fils y est pour toujours (Jn 8,32.35). Heureux les pauvres dans l’esprit, le Royaume des cieux est à eux (Mt 5,3). Ils pensent, veulent et agissent selon l’Esprit de Dieu. Et cette pauvreté consentie les ouvre aux richesses du Royaume des cieux.

    «Le premier degré de la prière, nous dit saint Jean Climaque, dans l’Échelle de la perfection, consiste à chasser par une pensée simple et fixe les suggestions de notre esprit. Le second, c’est de garder notre pensée à ce que nous disons et pensons. Et le troisième, c’est la saisie de l’âme dans le Seigneur.» Rien de plus humble et de plus pauvre. Mais l’âme ainsi vendue à Dieu, abandonnée à lui, en est tout entière habitée, illuminée, comblée. Elle peut avancer. Dans l’humilité sûre d’être exaucée. C’est la quatrième clef de la prière authentique.

     

    Fraternités de Jérusalem

     

     

     

     

    Mon Dieu

    Je te remercie de m'avoir crée

    comme je suis.

    Je ne le comprendrai pas sur cette terre.

    Merci de m'Aimer.

    Tu sais tout et ton Regard ne me condamne pas.

    Merci de m'Aimer ainsi.

    Je t'en supplie fait en que Rien puisse me 

    séparer de toi. 

    Je te prie pour ceux qui ont perdu la confiance.

    Parfois à cause des mauvais exemples des chrétiens.

    Je te demande pardon.

    Donne à mon amie de guérir de sa blessure.

    Dis-lui Seigneur qu'elle a du prix à tes yeux.

    Je te dépose ma fragilité, 

    je ne pense plus à elle.

    Car je suis entre tes mains. 

    Donne à ce blog que j'aime tant,

    de nous découvrir en frères du même Père.

    Merci Jésus, Merci, Amen

     

     

    QUE DIEU NOUS BENISSE

     

     

     

     

     

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  •  

    Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 9, 30-37

     
     
    Jésus traversait la Galilée avec ses disciples, et il ne voulait pas
     
    qu'on le sache.
     
     
    Car il les instruisait en disant : « Le Fils de l'homme est livré aux
     
    mains des hommes ; ils le tueront et, trois jours après sa mort, il
     
    ressuscitera. »
     
     
    Mais les disciples ne comprenaient pas ces paroles et ils avaient
     
    peur de l'interroger.

    Ils arrivèrent à Capharnaüm, et, une fois à la maison, Jésus leur
     
    demandait : « De quoi discutiez-vous en chemin ? »
     
     
    Ils se taisaient, car, sur la route, ils avaient discuté entre eux pour
     
    savoir qui était le plus grand.
     
     
    S'étant assis, Jésus appela les Douze et leur dit : « Si quelqu'un
     
    veut être le premier, qu'il soit le dernier de tous et le serviteur de
     
    tous. »
     
     
    Prenant alors un enfant, il le plaça au milieu d'eux, l'embrassa, et
     
    leur dit :
     
     
    « Celui qui accueille en mon nom un enfant comme celui-ci, c'est
     
    moi qu'il accueille. Et celui qui m'accueille ne m'accueille pas moi,
     
    mais Celui qui m'a envoyé. »
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    L'Evangile rapporte un épisode dans lequel les disciples du Christ se demandent "qui est le plus grand" parmi eux, ce qui fait dire au pape que "la lutte pour le pouvoir dans l’Eglise, ne date pas d’aujourd’hui".

    Le vrai pouvoir est un pouvoir de service, de l’abaissement, de la Croix,


    Or Jésus affirme, a fait observer le pape, que "le vrai pouvoir", celui que "le Seigneur, par son exemple, nous a enseigné", c’est "le pouvoir du service".

    Le Christ lui-même "est venu non pour se faire servir, mais pour servir, et son service a été un service de la Croix", a-t-il fait observer: "Il s’est abaissé jusqu’à la mort, la mort par la Croix, pour nous, pour nous servir, pour nous sauver. Et dans l’Eglise il n’existe aucune autre route pour aller de l’avant. Pour le chrétien, aller de l’avant, progresser, signifie s’abaisser. Si nous n’apprenons pas cette règle chrétienne, jamais, jamais nous ne pourrons comprendre le vrai message de Jésus sur le pouvoir".

    Progresser, être promu, c’est s’abaisser


    Progresser, a expliqué le pape François, c'est "s’abaisser", c'est "être toujours au service". Ainsi, le plus grand est "celui qui sert le plus, qui est le plus au service des autres": voilà la "règle chrétienne".

    C'est pourquoi au lieu de parler de "promotion" pour l'avancement de la carrière, le pape invite à dire: "celui-là a été promu à la Croix, celui-là a été promu à l’humiliation"; "voilà la vraie promotion, celle qui ressemble le plus à Jésus !"
     
     
     
    **************
    Je demande pardon. Hier je n'ai pas eu un comportement de tout-petit
     
    Petite Thérèse de L'Enfant Jésus. Se souvient
    en devenant plus grande, comme elle s'est bien gardé enfant, de se disculper lorsque on la grodait 
    sans raison.
     
    Dans le monde, on repond vite et on réclame
    devant une injustice. Et je ne dis pas que cela 
    ne soit pas necesaire.
     
    Cependant lorsque on veut suivre Jésus,
     
    On doit le ressambler. Jésus dans sa passion 
    a été insulté, rallé? traité comme un malfaiteur.
     
    Je me souviens lors de mes premières
    veillés auprés de malades.
     
    J'était la pour observer le comportement de l'autre 
    infirmière.
     
    La malade était agassante. Il fallait faire et defaire
    son lit je ne sais pas combien de fois.
     
    Et on le faisait en ecoutant cette vieillle dame,
    qui passait sa journée dans son lit. dans sa petite chambre chez elle.
     
    J'ai été émerveillé de voir la patience de la
    responsable...alors que je commençais à mondre mes lévres. 
     
    Des jours aprés, j'avais réflechi à comme l'avoir
     dans " la poche" 
     
    LE RIRE !!!
     
    La nuit où je fus envoyé en responsable.
     
    La dame commença à vouloir donner des ordres...et 
    allors jai fait et defait le lit deux fois en disant
    serieusement :  non, ce n'est pas bien comme ça,
    allez on le defait ! Et la dame riait de bon coeur
     car cela l'amoussait bien. Et j'ai refait pareil.
     
    LA suivante nuit. Elle a dit : je vous fais confiance pour le lit ! Je n'ai jamais oublié cette leçon.
     
     
     
    QUE DIEU OS BENDIGA
     
     

    LA VRAI PROMOTION DU CHRETIEN EST DE DEVENIR SERVITEUR

     

     

    LA VRAI PROMOTION DU CHRETIEN EST DE DEVENIR SERVITEUR

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  •  

     

    Je suis un peu triste de l'allure qui a pris mon article.

    Je crois que l'on doit lire avec attention. Respect, Amitié.

    Je me suis donné du mal avec mon poigné. 

    Je n'ai jamais dit qu'il fallait jeûner !

    Ce qui me deplaît c'est le fait d'aller dans un autre 

    blog critiquer. Cela n'est pas selon l'Amitié,

    ni la delicatesse. Cela m'attriste profondement.

    Je demande SVP à la personne qui n'est pas d'accord 

    parce que je suis catholique...de me croire.

    JE SUIS AVANT TOUT? CHRETIENNE, PECHERESSE, JE DEMANDE VOS PRIERES POUR MA CONVERSION.

    J'ai en horreur la guerre des religions !

     

    Seigneur,

    notre unique Maître. Donnez-nous des coeurs d'enfants.

    Donnez-nous la joie devant la brèche qui s'ouvre en nous. 

    Donnez-nous des coeurs de pauvres.

    Donne-nous la force de vivre ton Evangile, ton Testamen

    d'Amour. 

    Donnez-nous la joie lors de la blessure.

    Qu'à travers elle, nous soyons conduis à ton coté

    percé par la lance.

    Je te loue mon Dieu et mon tout. 

    Merci de cette journée terminé dans une vraie joie.

    Je ne te demande rien de plus que de t'Aimer,

    d'Aimer mon prochain. Connu ou inconnu.

     

     

     

    PAS DE GUERRES DE RELIGION !

     

     

    PAS DE GUERRES DE RELIGION !

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  •  

    Texte de l'Évangile (Mc 9,14-29)

    En rejoignant les autres disciples, ils virent une grande foule qui les entourait, et des scribes qui discutaient avec eux. Aussitôt qu'elle vit Jésus, toute la foule fut stupéfaite, et les gens accouraient pour le saluer. Il leur demanda: «De quoi discutez-vous avec eux?». Un homme dans la foule lui répondit: «Maître, je t'ai amené mon fils, il est possédé par un esprit qui le rend muet; cet esprit s'empare de lui n'importe où, il le jette par terre, l'enfant écume, grince des dents et devient tout raide. J'ai demandé à tes disciples d'expulser cet esprit, mais ils n'ont pas réussi». 


    Jésus leur dit: «Génération incroyante, combien de temps devrai-je rester auprès de vous? Combien de temps devrai-je vous supporter? Amenez-le auprès de moi». On l'amena auprès de lui. Dès qu'il vit Jésus, l'esprit secoua violemment l'enfant; celui-ci tomba, il se roulait par terre en écumant. Jésus interrogea le père: «Combien y a-t-il de temps que cela lui arrive?». Il répondit: «Depuis sa petite enfance. Et souvent il l'a même jeté dans le feu ou dans l'eau pour le faire périr. Mais si tu y peux quelque chose, viens à notre secours, par pitié pour nous!». Jésus reprit: «Pourquoi dire: ‘Si tu peux’? Tout est possible en faveur de celui qui croit». Aussitôt le père de l'enfant s'écria: «Je crois! Viens au secours de mon incroyance!». 

    Jésus, voyant que la foule s'attroupait, interpella vivement l'esprit mauvais: «Esprit qui rends muet et sourd, je te l'ordonne, sors de cet enfant et n'y rentre plus jamais!». L'esprit poussa des cris, secoua violemment l'enfant et sortit. L'enfant devint comme un cadavre, de sorte que tout le monde disait: «Il est mort». Mais Jésus, lui saisissant la main, le releva, et il se mit debout. Quand Jésus fut rentré à la maison, seul avec ses disciples, ils l'interrogeaient en particulier: «Pourquoi est-ce que nous, nous n'avons pas pu l'expulser?». Jésus leur répondit: «Rien ne peut faire sortir cette espèce-là, sauf la prière».

     

     

    Je crois! Viens au secours de mon incroyance!

    Aujourd'hui, nous contemplons —encore!— le Seigneur sollicité par les gens («ils accouraient pour le saluer») et, en même temps, plein de sollicitude à leur égard. Dès qu'il sent qu'il se passe quelque chose, il s'y intéresse.

    L'un des personnages intervient. C'est le père d'un garçon possédé par un esprit mauvais. «Maître, je t'ai amené mon fils, il est possédé par un esprit qui le rend muet; cet esprit s'empare de lui n'importe où, il le jette par terre, l'enfant écume, grince des dents et devient tout raide» (Mc 9,17-18).

    Qu'il est terrible le mal que parvient à faire le Diable, cette créature dépourvue de toute charité! —Seigneur, il nous faut prier: «Délivre nous du mal»! Comment peut-il y avoir de nos jours des voix qui disent que le Diable n'existe pas, ou des gens qui lui rendent une sorte de culte! C'est absurde! Voici la leçon à tirer de tout cela: il ne faut pas jouer avec le feu.

    «J'ai demandé à tes disciples d'expulser cet esprit, mais ils n'ont pas réussi» (Mc 9,18). Jésus est triste quand il entend ces mots. Attristé, surtout, par le manque de foi…. Et la foi leur manque parce qu'ils doivent prier davantage: «Rien ne peut faire sortir cette espèce-là, sauf la prière» (Mc 9,29).

    La prière est un dialogue intime avec Dieu. Jean-Paul II a dit que «la prière implique toujours d'aller se cacher avec le Christ en Dieu. Ce n'est qu’en semblable intimité qu'agit le Saint-Esprit». Dans cette cachette intime, l'on pratique cette amicale fréquentation de Jésus, qui accroît notre confiance en Lui, c'est-à-dire notre foi.

    Mais cette foi, qui remue les montagnes et expulse les esprits mauvais («Tout est possible en faveur de celui qui croit»), est surtout un don de Dieu. Notre oraison, en tout cas, nous met en disposition de recevoir ce don. Mais nous devons l'implorer: «Je crois! Viens au secours de mon incroyance!» (Mc 9,24). Le Christ, Lui, ne se fera pas prier! 

     

    ****************

    Juste je veux ajouter que pour certains cas,

    la prière accompagné du jeûne, a une grande force.

     

    Pourquoi jeûner ?

    L’Eglise nous invite à jeûner à l’imitation de Jésus dans le désert. C’est un moyen offert pour renouer notre amitié avec le Seigneur. On ne jeûne pas pour se faire voir et approuver ou encore pour se faire mal. Comme tout moyen spirituel, le jeûne a pour but d’aimer davantage Dieu et son prochain.

    En acceptant un manque, on se découvre dépendant : de Dieu et de sa Parole d’abord, mais aussi des autres.

    Décider de jeûner est une décision d’amour

     Alors notre Ennemi est affaibli, il est désarmé. C’est ainsi que notre jeûne ne sera pas une vaine mortification mais une œuvre spirituelle de réparation et de supplication. En union avec le Christ, il nous permet de remporter bien des victoires. 

     

     

     

     

     

    QUE DIOS OS BENDIGA

     

     

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  •  

     

     

     

    Notre Seigneur, le Serviteur parmi les serviteurs.

    Notre vraie nourriture en l'Eucharistie.

    Seigneur, j'aurais pu te chercher dans toutes

    les merveilles de cette creation que tu as faite.

    Dans toutes les beautes crées.

    Dans les coeurs le plus aimants.

    Je t'ai trouvé dans cette hostie consacré,

    un petit morceau de pain...ton corps...

    ma nourriture.

    Voici le Sécret de l'Amour, se faire petit pour que ce petit soit Un avec toi. 

    Quel Amour, le plus grand peut remplacer le tien ?

    J'ai cherché, aimé, je suis resté dans ma soif.

    Je me suis laissé séduire par ton Amour,

    et lui m'a comblé.

    Désormais, je ne peux Aimer comme avant.

    Regarder comme avant. 

    Passer mon temps en silence comme avant

    de te connaître.

    Et le plus merveilleux, c'est que je reste

    petite et fragile. Necesiteuse de toi.

    Et que je suis heureuse de le rester.

     

     

     

    Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 5,38-48. 

    Evangile de ce dimanche
    Comme les disciples s'étaient rassemblés autour de Jésus, sur la montagne, il leur disait : « Vous avez appris qu'il a été dit : œil pour œil, dent pour dent. 
    Eh bien moi, je vous dis de ne pas riposter au méchant ; mais si quelqu'un te gifle sur la joue droite, tends-lui encore l'autre. 
    Et si quelqu'un veut te faire un procès et prendre ta tunique, laisse-lui encore ton manteau.

    (c'est à cause de cela que j'ai quitté ma patrie) 

    Et si quelqu'un te réquisitionne pour faire mille pas, fais-en deux mille avec lui. 
    Donne à qui te demande ; ne te détourne pas de celui qui veut t'emprunter. 
    Vous avez appris qu'il a été dit : Tu aimeras ton prochain et tu haïras ton ennemi. 
    Eh bien moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, et priez pour ceux qui vous persécutent, 
    afin d'être vraiment les fils de votre Père qui est dans les cieux ; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et tomber la pluie sur les justes et sur les injustes. 
    Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense aurez-vous ? Les publicains eux-mêmes n'en font-ils pas autant ? 
    Et si vous ne saluez que vos frères, que faites-vous d'extraordinaire ? Les païens eux-mêmes n'en font-ils pas autant ? 

    Vous donc, soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait. 

      

      

     

     

     

     

     

     

    QUE DIOS OS BENDIGA

     

     

     

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