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    En réfléchisant, sur toutes les séparations,

    toutes les guerres, tous les dégâts des

    Religions. IL m'est venu un sentiment

    fort. Quelque chose de trés clair.

    Mon unique religion est l'Amour.

    IL y a deux personnes, qui se sont exprimé ainsi

    avant moi, à ma connaissance. Petite Thérèse

    carmelite

    " Dans le coeur de l'Eglise ma mère, je serai l'Amour"

    Puis le père Guy Gilbert dit :

    "Ma religion c'est l'Amour"

     

    *****

    Je m'exprime en sachant, que je suis

    loin d'Aimer sans limites.

    Mais je me lance dans cette course

    car elle vaut la peine.

    Comme tout le monde, je ne sais pas combien 

    de temps me reste sur terre.

    Mais l'amour est Eternel. 

    Tous les dons disparaîtront.

    Seul L'AMOUR restera a jamais.

    Certes, j'aurai comme Seigneur et Maître

    Jésus dans l'Eucharistie.

    Cela restera pour toujours.

    Même si je perdait la tête,

    le coeur serait fixé la.

     

    Dans une des lectures de ce Dimanche,

    IL y a celle-ci

     

    Livre de la Genèse 12,1-4a. 

    Abraham vivait alors en Chaldée. Le Seigneur lui dit : « Pars de ton pays, laisse ta famille et la maison de ton père, va dans le pays que je te montrerai.
    Je ferai de toi une grande nation, je te bénirai, je rendrai grand ton nom, et tu deviendras une bénédiction. 
    Je bénirai ceux qui te béniront, je maudirai celui qui te méprisera. En toi seront bénies toutes les familles de la terre. » 
    Abram partit, comme le Seigneur le lui avait dit, et Loth partit avec lui. Abram avait soixante-quinze ans lorsqu'il sortit de Harrane. 

     

     

     Aujourd'hui fera 30ans et 2mois que j'ai quitté

    mon pays. Je l'ai fait par appel de Dieu.

    IL me la demandé à Noël et aprés consultation,

    Je suis partie 15 jours aprés. 

    Je n'ai jamais regretté d'avoir dit

    oui à cer appel.

    Et je ne suis jamais retourné.

    Je sais que c'était un appel,

    car rien ni personne aurait pu m'empêcher

    de le faire.

    Il y a que Dieu et moi qui savons pourquoi.

    Et ce qui est mystérieux, c'est que

    j'avais choisi le Francés comme langue.

    Puis le latin. Et en France un peu du grec.

    Qu'en Espagne j'avait commencé

    à faire l'école pour devenir enfirmière.

    Et que mon metier en France a été celui de 

    m'occuper des malades en phase terminale.

     

     

     

    BON DIMANCHE DANS

    L'AMOUR

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    colonie Saint Antoine

     

    Je me souviens des colonies. Des jeux d'enfant sans souci.

    C'était le temps de l'insoucience...

    Je vois ma mère qui marquait mes habits...tout en couleur 

    rouge. J'avais du mal à faire les lacets...Puis

    toutes les fois où elle me disait : n'oublies pas de prendre ta poudre

    blanche avant les repas. 

    Et puis on allait chez le coiffeur. Une bonne coupe et

    malgré moi...des cheveux boucles. Je ne me posais pas de 

    question. J'étais enfant. 

    Il faut que tu manges, que tu ne fasses pas des bêtises.

    Mais je savais que c'était les vacances...je savais que les

    bêtises seraient faites et ça malgré moi.

    Et voila le jour de départ...le car, le bruit des enfants,

    des mères...la mienne avec mon petit sac. 

    Je ne le savais pas, mais elle devait avoir de la peine.

    Ses yeux (je n'ai point de photo) je ne les oublierai pas...

    brillaient avec son beau sourire.

    Puis s'était les adieux interminables.

    N'oublies pas, fait attention, envoi-moi une jolie carte!

    Les lacets ! dit à la dame de te les faire!

     

    L'insoucience des enfants !

    Aucun souci.

    L'odeurs gravés...celui du parfum de ma mère, son odeur

    a elle lorsque elle me peignait les cheveux boucles !

    J'avait 7 ans...aucun souci

     

     

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    Mes frères et soeurs qui souffrez seuls. Dans une cellule 

    de prison, dans votre chambre seuls. Dans la rue.

    Pour toi qui ce soir a l' envie d'en finir car c'est lourd le fardeau.

    Pour toi dans l'hopital. Sache que tu n'es pas seul...seule.

    Que nous sommes une multitude qui vivons cela,

    ensemble.

    Pour toi dont la souffrance n'est pas béante.

    Combien je te comprend. Combien je voudrais t'embrasser

    comme frères et soeurs. 

    Je crois que je ne te dirais rien mais en silence,

    je suis avec toi, je sais. 

    Je peux dire seulement que des frères et soeurs prient,

    pour nous. 

    Nous voila pas seuls car nous sommes dans la même

    barque.

     

    Recevons la nuit comme repos, même si nous 

    ne pouvons pas dormir.

    J'ai lu un jour, que recevoir la souffrance en respirant,

    tout s'apaise un peu.

    Ne luttons pas.

    Même si nous sentons l'houle venir vers nous,

    laissons-nous bercer.

    J'ai lu dans la Bible

     

     

     

    Tu as mon mail

     

    Ne nous enfermons pas dans notre souffrance.

     

     

     

     

     

     

     

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  • On peut avoir une attitude, des paroles qui ouvrent des espaces de liberté, qui libèrent, qui mettent au large, qui permettent à l’autre d’être lui-même. Ou inversement, on peut avoir des attitudes ou des paroles qui emprisonnent, qui enferment l’autre dans ce que nous croyons qu’il est. Des attitudes qui ne le laissent pas être lui-même, différent. Sa manière d’être, d’agir peut m’apparaître menaçante, me désécuriser. Pour me protéger, je peux l’empêcher d’agir ou d’être ce qu’il est.

        Partager , accueillir : partager le pain avec l’affamé, héberger le pauvre sans abri,   vêtir celui qui est nu, ne pas se dérober devant celui est dans le besoin

    Jésus Mt 25 : « J’avais faim, et vous m’avez donné à manger, j’avais soif et vous m’avez donné à boire, j’étais un étranger et vous m’avez accueilli, j’étais nu et vous m’avez vêtu, en prison et vous êtes venu me voir »

     

     

     

    Merci Dominique !

     

     

     

     

      

     

     

     

     

     

     

     

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  •  LE JEÛNE QUI PLAÎT AU SEIGNEUR : LA CONVERSION DEMANDÉE

    Le jeûne qui plait à Dieu comporte deux aspects : libérer  -  partager, accueillir, revêtir

        La pratique qui plaît à Dieu est œuvre de libération : « Défaire les chaînes injustes, délier les liens du joug ; renvoyer libres les opprimés, et rompre tous les jougs »

    - L’acte fondateur du Judaïsme est une libération : libération des Hébreux esclaves en Égypte.

    - Il en est de même pour les chrétiens : St Paul dans la lettre aux Galates présente le salut chrétien comme une libération : « Vous, frères, c’est à la liberté que vous avez été appelés. (…) Si le Christ vous a libérés, c’est pour que vous soyez vraiment libres. » Toute l’œuvre du Christ, et on pourrait dire aussi de l’éthique, est de libérer dans le sens fort du terme. Nous avons à accueillir toujours plus cette liberté des enfants de Dieu, pour devenir vraiment libres, et pour aussi libérer les autres.

    On peut avoir une attitude, des paroles qui ouvrent des espaces de liberté, qui libèrent, qui mettent au large, qui permettent à l’autre d’être lui-même. Ou inversement, on peut avoir des attitudes ou des paroles qui emprisonnent, qui enferment l’autre dans ce que nous croyons qu’il est. Des attitudes qui ne le laissent pas être lui-même, différent. Sa manière d’être, d’agir peut m’apparaître menaçante, me désécuriser. Pour me protéger, je peux l’empêcher d’agir ou d’être ce qu’il est.

       Partager , accueillir : partager le pain avec l’affamé, héberger le pauvre sans abri,   vêtir celui qui est nu, ne pas se dérober devant celui est dans le besoin

    Jésus Mt 25 : « J’avais faim, et vous m’avez donné à manger, j’avais soif et vous m’avez donné à boire, j’étais un étranger et vous m’avez accueilli, j’étais nu et vous m’avez vêtu, en prison et vous êtes venu me voir »

    Ces détresses fondamentales, peuvent être lues à deux niveaux : au sens propre ou au sens figuré : il y a la faim profonde de tout être humain, ses attentes, sa soif, son besoin d’être aimé, d’être reconnu dans sa valeur, dans sa dignité

         Héberger = accueillir l’autre dans sa détresse, dans ses attentes, dans sa demande, ne pas le laisser à l’extérieur de mon espace personnel, ne pas le maintenir à distance. On peut avoir vis-à-vis du prochain, en particulier celui qui me gène, une attitude d’ouverture, d’accueil, ou de fermeture.

         Vêtir celui qui est nu :  on peut avoir un regard qui laisse le prochain nu : tu n’es rien, tu ne vaux rien ; ou au contraire un regard qui habille, qui reconnaît la dignité de la personne, sa valeur. Ou encore un regard qui réduit l’autre à la surface, à l’apparence ; mais au contraire un regard qui voit le cœur, ce qu’il y a de plus profond en l’autre.

    ******

    Voici ce qui est le plus important. 

    Je ne peux pas jeûner...mais ce n'est pas cela

    que Jésus me demande.

    Offrir ma souffrance de chaque jour.

    Penser aux malades qui meurent chaque jour.

    Être paciente avec ma maladie.

    La vivre dans la foi. 

    Elle m'aide à comprendre plus mon

    prochain. A devenir plus humble en voyant

    que je n'ai pas la même force qu'avant.

    Je l'avoue, c'est dur humainement. Mais

    ne vaut-il mieux de le vivre dans la paix ?

    Ne vaut-il mieux d'avoir un regard plus

    doux envers mon prochain ?

      Ne pas se dérober, ne pas fuir devant le besoin de l’autre ; ne pas fuir celui qui me gêne.

        V. 10 : Si tu donnes à l’affamé ton âme : si on le traduit assez littéralement, le texte est très fort ; il s’agit plus que de donner quelque chose de matériel, mais de donner de soi-même, de son âme, de son cœur.

     

     

     

     

     

    QUE DIEU NOUS BENISSE

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    L'empreinte de Dieu est dans la creation.

    Qui d'autre pour le faire ?

     

     

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    Dancing Kids!

    Paroles d'enfants !

    "Est-ce que les ours scolaires vont à l'école?"

    "Quand Caillou sera grand, est-ce qu'il va s'appeler Pierre?"

    "Regarde Papa, il y a des fantômes qui s'envolent de ton café!"

    "J'aime mieux le blé d'inde en rouleau."

    "Quand je m'ennuie de toi, je pleure comme un enfant."

    "Les citrouilles? Ça pousse sur les balcons, voyons!"

    "Grand-maman m'a picoté des belles pantoufles."

    '"Je ne veux pas de crétins dans ma salade."

    "Regarde le beau feu dentifrice!"

    "C'est qui ma tante roulotte?"

    "Papa a mis de l'eau de colonne!"

    "C'est quoi ton signe extralogique?"

    "Quand est-ce qu'on mange? Je creuse de faim..."

    "À l'hôpital, on se couche sur une litière."

    "Aujourd'hui, à la garderie, on a bu de la pollution magique."

    "Qui veut jouer au "mon oncle poli" avec moi?"

    "Je mange des biscuits soldats avec ma soupe."

    "Comment elle s'appelle la princesse de l'Île-du-Prince-Édouard?"

    "Papa, si tu vas trop vite, la police va te donner une conversation."

    Gros bisous !!!

     

     

     

    Gros bisou !

     

    Vous venez de recevoir plein de gros bisous !

     

     

     

    Muuuuahhhhh !

     

    **********************

     

    Ah les enfants ! c'est tellement beau !

    Tant de simplicité, 

    tant de pureté. 

    Tant à leur âge, de profondeur.

     

    Je vous demande de m'excusser de ma pag lourde de ce matin.

    Bonne soirée

     

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