•  

     

    Aujourd'hui, l'Evangile nous appelle à être témoins du Christ. Et il nous invite à le faire de deux façons, en apparence contradictoires : comme le sont le sel et la lumière.

    Le sel ne se voit pas mais on le remarque, on le goûte et on le savoure. Il y a beaucoup des gens qui "ne se laissent pas voir", car ils sont comme des "fourmis" qui n'arrêtent pas de travailler et de faire le bien. A côté d'eux on goute la paix, la sérénité, la joie. Ils ont –comme on le dit souvent de nos jours– de bonnes ondes.

    La lumière ne peut pas se cacher. Il y a des personnes qu'on "voit de loin": Mère Teresa, le Pape, le curé du village. Elles occupent des postes importants par leur qualité naturel de leader ou par les exigences de leurs occupations. Elles sont "sur le lampadaire". Comme le dit l'Evangile de ce jour, "au sommet d'une montagne" ou "sur le lampadaire" (cf. Mt 5,14.15).

    Nous sommes tous appelés à être le sel et la lumière. Jésus lui-même était le "sel" pendant les trente années de sa vie cachée à Nazareth. On dit qu'en demandant à Saint Louis Gonzague lorsqu'il jouait ce qu'il ferait s'il savait qu'il allait mourir dans quelques instants, il a répondu: «Je continuerais à jouer». Il aurait continué sa vie normale de tous les jours, rendant la vie de ses compagnons de jeux agréable.

    Parfois nous sommes appelés à être la lumière. Nous le sommes de manière claire quand nous professons notre foi dans des moments difficiles. Les martyres sont de grandes lumières. De nos jours, selon le milieu, le seul fait d'aller à la messe est déjà cause de moquerie. Assister à la messe c'est donc déjà être la "lumière". Et la lumière se voit toujours, même si elle est petite. Une petite lumière peut illuminer une nuit.

    Demandons au Seigneur les uns pour les autres, pour que nous soyons toujours le "sel". Et sachons être la "lumière" quand cela est nécessaire. Que notre façon d'agir de tous les jours soit telle qu'en regardant ce que nous faisons de bien les gens rendent gloire à notre Père qui est aux cieux (cf. Mt 5,16).

     

     

    GOD BLESS YOU TO

     

     

     

     

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

    1 commentaire
  •   

     

     

     Mes amis, voici un petit chien...NIVO

    Vous lirez son histoire...Il a un manteau...mais vous saurez

    pourquoi.

     

    Si Dieu le veut, il sera mon petit compagnon, l'autre Dame...une petite histoire! 

    Je le verai aujourd'hui chez moi, car la famille d'accueil me l'amène

    pour  "voir s'il me plaît" et je l'Aime déjà seulement que pour 

    son histoire. Nous sommes faits pour vivre ensemble.

    " Deux abandonnés"

    Heureusement, toutes les histoires ne finisent pas mal.

     

    A tous ceux qui lirons son histoire, que cela ouvra les yeux.

     

    Faitez attention si vous voulez un petit chien. C'est un être humain.

    Aujourd'hui, j'ai vu en cherchant dans le net.

    Des gens traitent les animaux comme monnai courrante.

     

    J'ai vu des photos inmondes, où la personne demandait

     

    600euros !  Dans des lieux sales.

     

    Si l'on trouve un animal, amenons-le à l'A.P.A !!!

     

    Sinon, je suis heureuse de pouvoir faire un petitou heureux.

     

    C'est Mamie Lucette qui m'a donné l'idée ce matin et,

     

    deux heures aprés j'ai eu la famille d'accueil.

     

     

     

     

     

        nanipeinture

     

    Nivo est espagnol ! cela veut dire hauteur !

     

     

     

     

    NOM : NIVO
    NUMERO D’IDENTIFICATION : XXX XXX XXX XXX
    SEXE : Mâle
    RACE/croisement : croisé Bichon Maltais non lof
    COULEUR : blanc
    DATE DE NAISSANCE : 2 ans (en janvier 2014)
    POIDS ACTUEL : 5,5 kg
    TAILLE ACTUELLE : (longueur x hauteur) 35 x 32 cm
    Castré/stérilisée : OUI
    SON HISTOIRE : NIVO a été abandonné 2 fois… La 1ère fois dans un quartier de Carthagène, une nuit froide et pluvieuse, un jeune qui ne l’avait pas vu et qui avait failli le renverser l’a pris dans sa voiture. Il nous envoya un mail le dimanche pour nous prévenir qu’il avait trouvé un chien et ne pouvait pas le garder. Le lundi après-midi, lorsque nous l’avons appelé, il avait déjà laissé le chien à la fourrière, et comme il avait beaucoup de nœuds, il l’avait rasé !!!  A la fourrière les chiens dorment à même le sol mouillé et n’ont pas de protection contre le froid. Il y a beaucoup de chiens et il est impossible de les sauver tous, mais NIVO était un cas urgent car rasé, il n’aurait pas pu survivre à la fourrière. Le refuge a donc décidé de le racheter à la fourrière pour lui éviter la mort.
     
     
     
     
     
    Merci Mr Perret !
     
     
    *********************
     
     
     
     
    POUR VOUS BARBARA
     
     
     

    Dis, quand reviendras-tu ?

     

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

    6 commentaires
  • Les témoignages

    Merci André de votre témoignage !

    Nous vivons dans un monde, où tout va vite.

    Tout rentre par les yeux...le coeur a peu de temps

    pour s'arrêter. Ou, il s'arrête ému, mais le bruit

    prend le dessus. Ce n'est pas le bruit des voitures, ou de la rue, c'est le bruit dans notre tête. Nous oublions de tas de choses importantes. Combien des jours je me dis, il faut que j'appele à telle personne.

    Que j'envoi cette lettre. Alors il y a des gens que dans la souffrance, le silence de leur cellule, ecoutent la voix du Seigneur.

    Les phrases les plus profondes me sont venues des

    gens "de la rue" 

    Quand est-ce que je vais me decider d'ecouter

    le Seigneur, et de pas attendre des autres voix

    qui troublent mon âme ? 

    Quand est-ce que je vais me decider, à me tourner 

    pour ne regarder que le Christ...en la personne 

    des autres. Cela fonctionne. Chaque fois que je l'ai fait, la rencontre avec cet autre, m'a été salutaire.

    IL y a des personnes que me dissent, que mon blog

    ou moi nous sommes mystiques...

    Voici ce que dit Google :

    La mystique ou le mysticisme est ce qui a trait aux mystères, aux choses cachées ou secrètes. Le terme relève principalement du domaine religieux, et sert à qualifier ou à désigner des expériences spirituelles de l'ordre du contact ou de la communication avec une réalité transcendante non ...

    Voila une autre defenition de quelqu'un

    Être mystique, c'est quoi?    

     

    c'est un être humain comme un autre,

    il a ses joies, il a ses fautes,

    il a ses peines; il pense comme vous,

    il souffre aussi comme vous;

      il s'alimente, dors, travaille comme vous;

    il travaille également dans un autre domaine,

    mais c'est toujours du travail qu'il mène,

    et parfois ce travail est pour vous.  

    C'est aussi un coeur qui bat et qui aime,

    un coeur qui peine et sourit,

    ce coeur est lourd parfois,

    mais bien vite il retrouve la joie et rit.  

    Il  change un simple mouvement d'humeur,

    et ce mouvement devient caresse,

    ce coeur palpite avec ivresse,

    et il donne toute joie avec un tapis de fleurs.  

    Un mystique s'oublie et pense à l'autre,

    il cherche la bonté et pousse avec énergie,

    toute âme à s'élever vers la libre harmonie,

    Il est patient, et oublie sa volonté propre.

    *************************

    Aucune de ses definitions me resemblent...

    Je suis juste, ce que je suis DEVANT DIEU

    André : Dans ma prison, « une lumière apparut »

     
    A cette époque, la police m’arrêta et me André Levet a aujourd’hui 73 ans... Cet ancien gangster est né en 1932, dans une famille « athée » et ce n’est pas à la maison qu’il entendit parler de Dieu. La seconde guerre mondiale frappe la France et André a déjà perdu sa mère lorsque son père est déporté à Auschwitz. Il n’a pas dix ans ! Recueilli dans une ferme des Pyrénées, il y a reçu « plus de coups de pieds au cul que de caresses », selon ses propres mots. Son père libéré en 1945 tente un remariage qu’André n’accepte pas. A 13 ans, il fuit... son enfer commence.

    Je n’ai pas accepté ma nouvelle belle-mère et je me suis enfui à Marseille à l’âge de 13 ans, couchant dans les rues et déchargeant des camions.mit en prison, aux Baumettes, en attendant de me rendre à ma famille. Au contact des autres prisonniers, je suis devenu un petit délinquant, apprenant toutes les ficelles du « métier ».Une fois rendu à mes parents, je me suis à nouveau enfui, et j’ai commencé une carrière de délinquant. A 15 ans j’ai été arrêté pour une attaque à main armée, et mis en prison jusqu’à ma majorité. A 18 ans, on avait la possibilité de s’engager pour faire la guerre d’Indochine, ce que j’ai fait pour éviter la prison. J’ai été blessé et rapatrié en France.

    Je me lance dans « les affaires »

    Après cela, fort de mes expériences militaires et carcérales, je suis devenu le chef d’une bande de gangsters, spécialisée dans le braquage des banques.

    Un jour, alors que j’étais venu à Laval pour une « affaire », j’ai aperçu un curé en robe, de l’autre côté de la route. Je suis allé vers lui et, n’en ayant jamais vu auparavant, je lui ai demandé s’il était un homme ou une femme. Il m’a répondu : « je suis un serviteur de Dieu ». Dieu, c’est mon patron ! Je lui ai dit : « ton Dieu, où il est ? On ne le voit pas ». Il a répliqué : « je vois que tu ne connais pas Dieu, mais si un jour tu as du temps, viens en discuter avec moi, 12 bis rue de Solférino ». Je n’ai jamais oublié cette adresse.

    Plusieurs mois après, alors que j’étais de passage à Laval pour une autre « affaire », je suis tombé par hasard dans cette rue. Je suis allé voir le curé, il était là et m’a dit : « je t’attendais ». Ce curé est devenu mon ami, il me donnait des conseils, que je ne suivais pas, et chaque fois qu’il me parlait de Dieu, je lui disais : « laisse ton Dieu où il est ». Quelque temps plus tard, je me trouvais à Rennes pour attaquer une banque. Là, l’affaire a mal tourné, mon copain a été tué et j’ai été arrêté. Je me suis évadé, j’ai gagné l’Amérique du sud où j’ai organisé un trafic de drogue...

    3 fois évadé 3 fois repris

    Revenu en France, je suis arrêté de nouveau, pour m’évader encore. 3 fois évadé, 3 fois repris. Toutes mes affaires vont me valoir 120 ans de prison, s’il fallait tout cumuler. On me transfert à Clairvaux dans la prison des durs et avec des copains je vais tenter une évasion en creusant un tunnel, comme dans le film « la grande vadrouille ». L’évasion a failli réussir, mais nous avons été repris. J’ai encore tenté une autre évasion, seul, en crochetant un gardien avec une arme. Là encore je me suis fait prendre. Ils ont décidé de m’envoyer à Château Thierry. Le directeur m’a reçu avec ces paroles : « ici, tu marches ou tu crèves ! » J’ai répondu en lui balançant le bureau sur la tête. Ils m’ont mis dans une toute petite cellule avec un lit scellé. Mon curé ne m’a pas abandonné, il m’a envoyé une lettre par mois ou de temps en temps il me parlait de Dieu me disant qu’il était bon. Je lui ai répondu : « si ton Dieu est bon, pourquoi faut il qu’il y ait tant de guerres, de misère, pourquoi certains crèvent de faim alors que d’autres ont trop ? Pourquoi certains ont plusieurs maisons alors que d’autres n’en ont pas ? »

    Le curé m’a répondu : « André, c’est toi le responsable ». Quoi ? Moi ? Je voulais bien être responsable des braquages, mais pas de la misère du monde ! Et puis un jour, le curé m’a envoyé un gros bouquin en me disant : « André, ce bouquin tu pourras le lire tout le temps, même après ta mort, en commençant par n’importe quelle page ». Le gardien me l’a apporté en me disant : « c’est bien ce bouquin, tu devrais le lire, tu pourras même l’emporter au cachot ». 
    « Ca parle de quoi ? » 
    « Du bon Dieu », il me répond.
    « Quoi ! C’est pas vrai ! il m’a ramené son bon Dieu dans ma cellule ! »

    Mon curé m’écrivait tout le temps, en me suppliant de lire le livre. Je commence à lire la Bible.

    Alors, pour lui faire plaisir, en 10 ans je l’ai ouvert 9 fois. J’ai commencé par lire les noces de Cana, où Jésus change l’eau en vin. J’ai tourné le robinet de mon lavabo en disant : « mec, fais couler du vin ! » Ca n’a pas marché. Je l’ai écrit au curé en disant : « ton bouquin, ça ne marche pas ». Mon curé m’a répondu : « André tu lis de travers, persévère ». J’ai lu l’histoire de la Samaritaine, l’histoire de la résurrection de Lazare. Avec cette histoire j’ai été révolté, je ne pouvais pas la croire, et mon copain qui s’est fait descendre par les flics, il n’est pas ressuscité lui ? Puis j’ai repris la lecture, longtemps après, et j’ai lu combien Jésus avait fait de bien aux gens et combien ils l’avaient maltraité, ils lui avaient craché dessus, ils l’avaient fouetté, injurié, puis cloué sur une croix. J’étais révolté je ne comprenais pas pourquoi on faisait autant de mal à quelqu’un qui faisait autant de bien.

    Rendez vous à 2 heures du matin

    J’abandonnais la lecture et je cherchais toujours à m’évader. J’attendais une arme et une lime, mais ces objets ont été interceptés. Il ne me restait plus aucun espoir, alors en désespoir de cause j’ai fait appel à Jésus. Je lui ai dit : si tu existes je te donne un rancart. Viens cette nuit à 2 heures du matin dans ma cellule et tu m’aideras à m’évader.

    Je me suis endormi cette nuit là et d’un coup au milieu de la nuit j’ai été réveillé. Prêt à bondir, j’ai senti une présence dans ma cellule, mais je ne voyais personne. Puis j’ai entendu une voix claire et forte à l’intérieur de moi : "André, il est 2h du matin, on a rendez-vous." J’appelais le gardien en criant : c’est toi qui m’appelle ? Non me dit il. 
    "Quelle heure est-il", demandais je ? 
    "2 heures."
    "2 heures combien ?"
    "2 heures pile", me répondit le gardien.

    Puis la voix se fit entendre à nouveau : "Ne sois pas incrédule, je suis ton Dieu, le Dieu de tous les hommes." Mais je ne te vois pas ! répondis-je.

    A ce moment là, vers les barreaux de la lucarne une lumière apparut. Et dans cette lumière, un homme avec les mains et les pieds percés et un trou au côté droit. Il me dit : "C’est aussi pour toi." A ce moment là ,les écailles de mes yeux, lourdes de 37 ans de péché, sont tombées et j’ai vu toute ma misère et toute ma méchanceté. Je suis tombé à genoux et suis resté dans cette position jusqu’à 7 heures du matin. J’ai pleuré devant Dieu et tout le mal est sorti de moi. J’ai compris que pendant 37 ans j’avais enfoncé les clous dans ses mains et dans ses pieds.

    A 7 heures les gardiens m’ont ouvert, ils m’ont vu à genoux et pleurant, je leur dis : Je ne vous cracherais plus dessus, je ne frapperais plus personne, je ne volerais plus personne, car chaque fois que je le ferais c’est à Jésus que je le ferais. Les gardiens ont été surpris, ils ont cru dans un premier temps à une ruse de ma part. Puis rapidement, ils ont compris que j’avais totalement changé.

    Plusieurs détenus ont été interpellés et ont pu eux aussi rencontrer ce Dieu merveilleux et changer de vie.

    Je suis maintenant libéré, ma vie a totalement changé et je passe tout mon temps à parler aux autres de l’amour de ce Dieu."

     

     

     

     

     

     


     

     

     

     

    RIEN QUE POUR AUJOURD'HUI

     

     

     

    GOD BLESS YOU TO 

     

     

    SOURIRE D'ENFANT

     

    MERCI

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

    3 commentaires
  •  Maintenant nous croyons ce que nous ne voyons pas, alors nous verrons ce que nous aurons cru. Celui qui croit, le fait sans confusion, car il est vrai qu'il verra. Le Seigneur a d'abord établi en nous la foi, afin que si la foi mérite une récompense, on ne 1a cherche point avant d'avoir cru.

    2. Mais, dira-t-on, pourquoi le psaume dit-il : « Je chanterai mon Dieu tant que je vivrai », et non: Je chanterai mon Dieu éternellement ? Cette expression, en effet: « Tant que je vivrai », semble appeler une fin, bien qu'on ne l'entende pas ainsi. Si tu veux appliquer « tant que je vivrai n à cette vie terrestre, vois si cette vie est bien longue. Quel que soit le nombre des années, la vie est courte. Comment serait longue une vie qui ne te rassasie point ? Un enfant dit que tel homme qu'il voit vieillard a vécu longtemps; mais que lui-même arrive à l'âge de cet homme, et il sait que ce temps est peu long. Les années s'envolent et les moments se précipitent si rapidement, que c'est avant-hier que nous étions enfants, hier adolescents, aujourd'hui vieillards. Nous sommes donc fondés à croire que ces paroles: « Aussi longtemps que je vivrai je chanterai mon Dieu », ne s'entendent pas de cette vie. Dès lors, en effet, que le Prophète a dit : « Aussi longtemps que je vivrai », on ne saurait l'entendre de cette vie où rien ne dure « longtemps »

    ........ suite

    Partager via GmailGoogle Bookmarks

    3 commentaires
  • LA CONFIANCE ET RIEN QUE LA CONFIANCE

    Si, j'ai une nouvelle pour vous. 

    J'avais renoncé à mon chiot à cause d'un arnaque.

    Je dis à Jésus, je laisse tomber ou montre-moi un signe...hier avant de dormir. 

    Ce matin une mamie m'appelle et me propose,

    un chiot garçon et me dit : J'ai été contacté par beaucoup

    de monde mais la tournure de votre anonce m'a touché !

    Voila que Jésus est aussi dans nos besoins affectifs.

    Je suis trop contente ! Et elle va me l'amener le plus près 

    possible, car nous ne sommes que proches départements.

    Voila la BONTE de Jésus. 

     

     

    GOD BLESS YOU TO

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

    2 commentaires
  • Jn 4 : Jésus et la Samaritaine
     
     
    Mais cette femme, cette Samaritaine, lui dit : ''Comment ? Toi, un Juif, tu me demandes à boire à moi, une femme samaritaine !''...

    Jn 4,1 Quand Jésus apprit que les Pharisiens avaient entendu dire qu'il faisait plus de disciples et en baptisait plus que Jean, 2 - à vrai dire, Jésus lui-même ne baptisait pas, mais ses disciples 3 - il quitta la Judée et regagna la Galilée. 4 Or il lui fallait traverser la Samarie. 

    5 C'est ainsi qu'il parvint dans une ville de Samarie appelée Sychar, non loin de la terre donnée par Jacob à son fils Joseph, 6 là même où se trouve la source de Jacob. Fatigué du chemin, Jésus était assis tout simplement à même la source. C'était environ la sixième heure. 

    7 Arrive une femme de Samarie pour puiser de l'eau. Jésus lui dit : ''Donne-moi à boire.'' 8 Ses disciples, en effet, étaient allés à la ville pour acheter de quoi manger. 9 Mais cette femme, cette Samaritaine, lui dit : ''Comment ? Toi, un Juif, tu me demandes à boire à moi, une femme samaritaine !'' Les Juifs, en effet, ne veulent rien avoir de commun avec les Samaritains. 10 Jésus lui répondit : ''Si tu connaissais le don de Dieu et qui est celui qui te dit : 'Donne-moi à boire', c'est toi qui aurais demandé et il t'aurait donné de l'eau vive.'' 11 La femme lui dit : ''Seigneur, tu n'as même pas un seau et le puits est profond ; d'où la tiens-tu donc cette eau vive ? 12 Serais-tu plus grand, toi, que notre père Jacob qui nous a donné le puits et qui, lui-même, y a bu ainsi que ses fils et ses bêtes ?'' 13 Jésus lui répondit : ''Quiconque boit de cette eau-ci aura encore soif ; 14 mais celui qui boira de l'eau que je lui donnerai n'aura plus jamais soif; au contraire, l'eau que je lui donnerai deviendra en lui une source jaillissant en vie éternelle.'' 15 La femme lui dit : ''Seigneur, donne-moi cette eau pour que je n'aie plus soif et que je n'aie plus à venir puiser ici.'' 

    16 Jésus lui dit : La femme lui répondit : ''Je n'ai pas de mari.'' 18 Jésus lui dit : ''Tu dis bien : 'Je n'ai pas de mari' ; tu en as eu cinq et l'homme que tu as n'est pas ton mari. En cela tu as dit vrai.'' 19 ''Seigneur, lui dit la femme, je vois que tu es un prophète. 20 Nos pères ont adoré sur cette montagne et vous, vous affirmez qu'à Jérusalem se trouve le lieu où il faut adorer.'' 21 Jésus lui dit : ''Crois-moi, femme, l'heure vient où ce n'est ni sur cette montagne ni à Jérusalem que vous adorerez le Père. 22 Vous adorez ce que vous ne connaissez pas ; nous adorons ce que nous connaissons, car le salut provient des Juifs. 23 Mais l'heure vient, elle est là, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité ; tels sont, en effet, les adorateurs que cherche le Père. 24 Dieu est esprit et c'est pourquoi ceux qui l'adorent doivent adorer en esprit et en vérité.'' 

    25 La femme lui dit : ''Je sais qu'un Messie doit venir - celui qu'on appelle Christ. - Lorsqu'il viendra, il nous annoncera toutes choses.'' 26 Jésus lui dit : ''Je le suis, moi qui te parle.'' 

    27 Sur quoi les disciples arrivèrent. Ils s'étonnaient que Jésus parlât avec une femme ; cependant personne ne lui dit : ''Que cherches-tu ?'' ou ''Pourquoi lui parles-tu ?'' 28 La femme alors, abandonnant sa cruche, s'en fut à la ville et dit aux gens : 29 ''Venez donc voir un homme qui m'a dit tout ce que j'ai fait. Ne serait-il pas le Christ ?'' 30 Ils sortirent de la ville et allèrent vers lui. 

    31 Entre-temps, les disciples le pressaient : ''Rabbi, mange donc''. 32 Mais il leur dit : ''J'ai à manger une nourriture que vous ne connaissez pas''. 33 Sur quoi les disciples se dirent entre eux : ''Quelqu'un lui aurait-il donné à manger ?'' 34 Jésus leur dit : ''Ma nourriture, c'est de faire la volonté de celui qui m'a envoyé et d'accomplir son uvre. 35 Ne dites-vous pas vous-mêmes : 'Encore quatre mois et viendra la moisson' ? Mais moi je vous dis : levez les yeux et regardez ; déjà les champs sont blancs pour la moisson ! 36 Déjà le moissonneur reçoit son salaire et amasse du fruit pour la vie éternelle, si bien que celui qui sème et celui qui moissonne se réjouissent ensemble. 37 Car en ceci le proverbe est vrai, qui dit: 'l'un sème, l'autre moissonne'. 38 Je vous ai envoyés moissonner ce qui ne vous a coûté aucune peine ; d'autres ont peiné et vous avez pénétré dans ce qui leur a coûté tant de peine.'' 

    39 Beaucoup de Samaritains de cette ville avaient cru en lui à cause de la parole de la femme qui attestait : ''Il m'a dit tout ce que j'ai fait.'' 40 Aussi lorsqu'ils furent arrivés près de lui, les Samaritains le prièrent de demeurer parmi eux. Et il y demeura deux jours. 41 Bien plus nombreux encore furent ceux qui crurent à cause de sa parole à lui ; 42 et ils disaient à la femme : ''Ce n'est plus seulement à cause de tes dires que nous croyons ; nous l'avons entendu nous-mêmes et nous savons qu'il est vraiment le Sauveur du monde.'' 43 Deux jours plus tard, Jésus quitta ces lieux et regagna la Galilée.
     
    •  

    Je ne sais pas pourquoi, j'ai pensé de vous donner

    cet Evangile. Je l'Aime particulièrement.

    IL me parle de cette rencontre avec Jésus,

    où assise par terre, je me suis trouvé un soir

    face à Lui et à moi.

     Si tu connaissais le Don de Dieu nani...

    Je me suis sentie dans mon coeur accueillie,

    pour la première fois dans ma vie, telle que j'étais.

    Je n'avais pas besoin, de montrer mes qualités,

    de séduire pour être Aimée. Je me savais Aimée

    tout simplement comme j'étais. Aucun réproche.

    Aucune parole de sa part dans mon coeur, qui me ferait rougir.

    Au contraire, je me sentais belle par son regard.

    Lavé de mon passé.

    Revetue d'une tunique belle.

     

    Evidement, cela se passe dans l'âme, mais on ne l'oublie pas.

    On recommence et on recommence à tomber,

    mais à chaque fois, Sa main est la pour nous

    faire nous rélever.

     

    Combiens des fois dans mes confessions, je me suis 

    fait engeuler par le prêtre. Avec raison sans doute.

    Jésus m'a toujours conduit par la douceur.

    C'est dans cette douceur, que j'ai retrouvé la force,

    de devenir plus vraie, avec moi, avec les autres.

    Cela donne des ailes. Je ne sais pas pourquoi,

    j'aurais bien aimé experimenter la vie d'un oiseau. 

    -même si Janine me dira : moi pas !

    Mais pour moi, c'était comme un besoin, 

    de sortir de ma carcasse...de voler haut,

    trés haut. Les avions le font, mais avec des machines. l'oiseau a ses ailes qui lui permettent d'aller la où ils veulent bien aller. 

     

    Rentrer dans la vérité, est une libération.

    C'est un peu comme mon demenagement. 

    J'avais peur, mais il fallait partir. Et depuis que je suis la, où Dieu a voulu me mener. Je me sens 

    pleine de Joie. Et j'ai en plus retrouvé cette solitude,

    dont j'ai tellement besoin pour mon équilibre.

    Dont la verité, ne va pas toujours de paire avec

    nos goûts.

    Je n'ai pas été à la manif de dimanche, j'avait mon rhume. Mais j'ai vu des autres par youtube.

    Et on dissait "Je fais ce que je veux"

    Pour être quelqu'un de trés independant, et désireux

    de liberté. Je me pose la question :

    Est-ce bien la que se trouve la liberté ?

    En faisant ce que l'on veut ?

    On est pas seuls dans notre planète Terre.

     

       

     

     

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

    5 commentaires
  •                          Esprit mauvais, sors de cet homme!

    Aujourd'hui, nous découvrons un passage de l'Évangile qui en fera sourire plus d'un. S'imaginer environ deux mille porcs se précipitant au bas de la montagne a quelque chose de comique. Mais les porchers, eux, ne goûtèrent pas l'humour de la situation, ils se fâchèrent beaucoup et demandèrent à Jésus de quitter leur territoire.

    Même si, humainement parlant, elle peut paraître logique, cette attitude n'en demeure pas moins franchement condamnable: ils préféraient conserver leurs cochons plutôt que de voir le possédé guéri. Plutôt les biens matériels, qui nous apportent argent et bien-être, que la vie digne d'un homme qui n'est pas "des nôtres". Car celui qui était possédé par un esprit mauvais «sans arrêt, nuit et jour, était parmi les tombeaux et sur les collines, à crier, et à se blesser avec des pierres» (Mc 5,5).

    Nous courrons aussi bien souvent le danger de nous attacher à ce qui est à nous, et de désespérer quand nous le perdons. Par exemple, le paysan se désespère quand il perd sa récolte, même si elle est assurée, et le spéculateur en bourse quand ses actions perdent une partie de leur valeur. Très peu, en revanche, perdent l'espérance lorsqu'ils voient la faim et la situation précaire de tant d'êtres humains, dont certains vivent à deux pas de chez eux.

    Jésus accorda toujours la première place aux personnes, même avant les lois et les puissants de son temps. Mais nous, trop souvent, ne pensons qu'à nous et à ce qui, croyons-nous, nous rend heureux, alors même que l'égoïsme n'apporte jamais le bonheur. Comme disait l'évêque brésilien Helder Camara, «l'égoïsme est la source infaillible du malheur pour soi-même et pour ceux qui nous entourent».

      

     

    GOD BLESS YOU TO

     

     

     

     

     

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

    5 commentaires