• Jesus-et-le-lepreux-copie-1.jpg Jésus va au delà des interdictions humaines en touchant le lépreux...

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          Mais moi, oserai-je aller au delà de l'indifférence ?

     

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    Le jeudi de la 1re semaine du temps ordinaire
    Commentaire du jour 
    Bienheureux Jean-Paul II (1920-2005) 
    Homélie prononcée devant des jeunes

     

    « Jésus étendit la main et le toucha »

          Le geste affectueux de Jésus qui s'approche des lépreux pour les réconforter et les guérir a son expression pleine et mystérieuse dans sa Passion. Supplicié et défiguré par la sueur de sang, par la flagellation, par le couronnement d'épines, par la crucifixion, abandonné par ceux qui ont oublié ses bienfaits, Jésus dans sa Passion s'identifie avec les lépreux. Il devient leur image et leur symbole, comme le prophète Isaïe en avait eu l'intuition en contemplant le mystère du Serviteur du Seigneur : « Il n'avait ni beauté ni éclat, il était méprisé, abandonné des hommes, semblable à quelqu'un devant qui on cache son visage... Et nous, nous pensions qu'il était châtié, frappé par Dieu et humilié » (Is 53,2-4). Mais c'est précisément des plaies du corps supplicié de Jésus et de la puissance de sa résurrection que jaillissent la vie et l'espérance pour tous les hommes frappés du mal et des infirmités.

          L'Église a toujours été fidèle à sa mission d'annoncer la parole du Christ, unie aux gestes concrets de miséricorde solidaire à l'égard des plus humbles, des derniers. Au cours des siècles, il y a eu un crescendo de dévouement bouleversant et extraordinaire en faveur de ceux qui étaient frappés par les maladies humainement les plus répugnantes. L'histoire met nettement en lumière le fait que les chrétiens ont été les premiers à se préoccuper du problème des lépreux. L'exemple du Christ avait fait école ; il a porté beaucoup de fruit en gestes de solidarité, de dévouement, de générosité et de charité désintéressée

     

     

     
     
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    17 Janvier 2013


    Le jeudi de la 1re semaine du temps ordinaire



    « Jésus étendit la main et le toucha »  

    Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 1,40-45. 
    Un lépreux vient trouver Jésus ; il tombe à ses genoux et le supplie : « Si tu le veux, tu peux me purifier. » 
    Pris de pitié devant cet homme, Jésus étendit la main, le toucha et lui dit : « Je le veux, sois purifié. » 
    A l'instant même, sa lèpre le quitta et il fut purifié. 
    Aussitôt Jésus le renvoya avec cet avertissement sévère : 
    « Attention, ne dis rien à personne, mais va te montrer au prêtre. Et donne pour ta purification ce que Moïse prescrit dans la Loi : ta guérison sera pour les gens un témoignage. » 
    Une fois parti, cet homme se mit à proclamer et à répandre la nouvelle, de sorte qu'il n'était plus possible à Jésus d'entrer ouvertement dans une ville. Il était obligé d'éviter les lieux habités, mais de partout on venait à lui. 

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  • 19_09_Priere-Enfant.jpg Mon Abba dont je suis sur ! A toi toute ma louange ! 

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  • 509px-Palma il Giovane 001 Seigneur, je viens aujourd'hui, pour te demander avec confiance la guérison d'Alain. Il est en urgences. Donne aux médecins de trouver pour le guérir. Donne à Alain le courage. Merci de tout mon coeur Jésus ! 

     

                                      EVANGILE DE SAINT JEAN 5, 1-18 

     

     Maintenant, il ya à Jérusalem, près de la porte des brebis une piscine qui s'appelle en hébreu Béthesda dans la langue, qui a cinq portiques.

     En ces portiques étaient couchés une multitude de gens impuissants, des aveugles, des boiteux, des paralytiques, qui attendaient le mouvement de l'eau.

     Car un ange descendait de temps d'une saison dans la piscine, et agitait l'eau; quiconque puis la première après la troublante de l'eau est intervenu a été guéri, de quelque maladie qu'il fût.

     Et un homme était là, qui était infirme depuis trente-huit ans.

     Jésus, le voyant couché, et sachant qu'il était malade depuis longtemps, dans ce cas, il lui dit: Veux-tu être guéri? 05:07 Le malade lui répondit: Seigneur, je n'ai personne, quand l'eau est agitée, pour me jeter dans la piscine: mais pendant que j'y vais, un autre descend avant moi.

     Jésus lui dit: Lève-toi, prends ton lit, et marche.

     Et aussitôt l'homme fut guéri, et il prit son lit, et marcha le même jour était le jour du sabbat.

     Les Juifs dirent donc à celui qui avait été guéri: C'est le jour du sabbat: il n'est pas licite pour toi emporter ton lit.

     Il leur répondit: Celui qui m'a guéri, le même m'a dit: Prends ton lit, et marche.

     Puis ils lui demanda: Qui est-ce qui t'a dit: Prends ton lit, et marche? 5:13 Et celui qui avait été guéri ne savait pas qui c'était; car Jésus s'était transporté là, la foule qui était en ce lieu.

     Après cela, Jésus le trouva dans le temple, et lui dit: Voici, tu as été guéri; ne pèche plus, de peur que quelque chose de pire pour toi.

     Cet homme s'en alla, et annonça aux Juifs que c'était Jésus qui l'avait guéri.

     Et donc fait les Juifs poursuivaient Jésus, et cherchaient à le faire mourir, parce qu'il avait fait ces choses le jour du sabbat.

     Mais Jésus leur répondit: Mon Père travaille jusqu'à maintenant, et je travaille.

     C'est pourquoi les Juifs cherchaient encore plus à le faire mourir, parce que non seulement il avait rompu le sabbat, mais parce qu'il appelait Dieu son propre Père, se faisant égal à Dieu.

     Jésus reprit donc et leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, mais ce qu'il voit faire au Père: tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement.

     Car le Père aime le Fils, et lui montra tous ce qu'il fait, et il va lui montrer des oeuvres plus grandes que celles-ci, afin que vous soyez dans l'étonnement.

     Car, comme le Père ressuscite les morts et donne la vie à eux, même si le Fils donne la vie à qui il veut.

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  • 509px-Palma il Giovane 001 Seigneur, je viens aujourd'hui, pour te demander avec confiance la guérison d'Alain. Il est en urgences. Donne aux médecins de trouver pour le guérir. Donne à Alain le courage. Merci de tout mon coeur Jésus ! 

     

                                      EVANGILE DE SAINT JEAN 5, 1-18 

     

     Maintenant, il ya à Jérusalem, près de la porte des brebis une piscine qui s'appelle en hébreu Béthesda dans la langue, qui a cinq portiques.

     En ces portiques étaient couchés une multitude de gens impuissants, des aveugles, des boiteux, des paralytiques, qui attendaient le mouvement de l'eau.

     Car un ange descendait de temps d'une saison dans la piscine, et agitait l'eau; quiconque puis la première après la troublante de l'eau est intervenu a été guéri, de quelque maladie qu'il fût.

     Et un homme était là, qui était infirme depuis trente-huit ans.

     Jésus, le voyant couché, et sachant qu'il était malade depuis longtemps, dans ce cas, il lui dit: Veux-tu être guéri? 05:07 Le malade lui répondit: Seigneur, je n'ai personne, quand l'eau est agitée, pour me jeter dans la piscine: mais pendant que j'y vais, un autre descend avant moi.

     Jésus lui dit: Lève-toi, prends ton lit, et marche.

     Et aussitôt l'homme fut guéri, et il prit son lit, et marcha le même jour était le jour du sabbat.

     Les Juifs dirent donc à celui qui avait été guéri: C'est le jour du sabbat: il n'est pas licite pour toi emporter ton lit.

     Il leur répondit: Celui qui m'a guéri, le même m'a dit: Prends ton lit, et marche.

     Puis ils lui demanda: Qui est-ce qui t'a dit: Prends ton lit, et marche? 5:13 Et celui qui avait été guéri ne savait pas qui c'était; car Jésus s'était transporté là, la foule qui était en ce lieu.

     Après cela, Jésus le trouva dans le temple, et lui dit: Voici, tu as été guéri; ne pèche plus, de peur que quelque chose de pire pour toi.

     Cet homme s'en alla, et annonça aux Juifs que c'était Jésus qui l'avait guéri.

     Et donc fait les Juifs poursuivaient Jésus, et cherchaient à le faire mourir, parce qu'il avait fait ces choses le jour du sabbat.

     Mais Jésus leur répondit: Mon Père travaille jusqu'à maintenant, et je travaille.

     C'est pourquoi les Juifs cherchaient encore plus à le faire mourir, parce que non seulement il avait rompu le sabbat, mais parce qu'il appelait Dieu son propre Père, se faisant égal à Dieu.

     Jésus reprit donc et leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, mais ce qu'il voit faire au Père: tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement.

     Car le Père aime le Fils, et lui montra tous ce qu'il fait, et il va lui montrer des oeuvres plus grandes que celles-ci, afin que vous soyez dans l'étonnement.

     Car, comme le Père ressuscite les morts et donne la vie à eux, même si le Fils donne la vie à qui il veut.

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  •  

    Je n'ai rien à ajouter. On a l'Evangile de ce jour et le commentaire de Saint Jérôme. Retirons juste ce que Jésus veut nous dire en ce jour...

     

     

     

     

    EVANGILE DE CE JOUR 15/01/2013

     



    Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 1,21b-28. 
    Jésus, accompagné de ses disciples, arrive à Capharnaüm. Aussitôt, le jour du sabbat, il se rendit à la synagogue, et là, il enseignait. 
    On était frappé par son enseignement, car il enseignait en homme qui a autorité, et non pas comme les scribes. 
    Or, il y avait dans leur synagogue un homme tourmenté par un esprit mauvais, qui se mit à crier : 
    « Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? Es-tu venu pour nous perdre ? Je sais fort bien qui tu es : le Saint, le Saint de Dieu. » 
    Jésus l'interpella vivement : « Silence ! Sors de cet homme. » 
    L'esprit mauvais le secoua avec violence et sortit de lui en poussant un grand cri. 
    Saisis de frayeur, tous s'interrogeaient : « Qu'est-ce que cela veut dire ? Voilà un enseignement nouveau, proclamé avec autorité ! Il commande même aux esprits mauvais, et ils lui obéissent. » 
    Dès lors, sa renommée se répandit dans toute la région de la Galilée. 

     

     

                                                                             +

     



     

    Le mardi de la 1re semaine du temps ordinaire
    Commentaire du jour 
    Saint Jérôme (347-420), prêtre, traducteur de la Bible, docteur de l'Église 
    Homélies sur l'évangile de Marc, n°2 ; PLS 2, 125s ; SC 494 (trad. SC p. 111 rev.)

     

    « Silence ! Sors de cet homme »

          « Jésus menaça le démon en disant : ' Tais-toi, et sors de cet homme. ' » La Vérité n'a nul besoin du témoignage du Menteur. « Je ne suis pas venu me faire confirmer par ton témoignage mais t'expulser de celui que j'ai créé...; je n'ai pas besoin de la reconnaissance de celui que je voue au déchirement. Tais-toi ! Que ton silence soit ma louange. Je ne veux pas être loué par ta voix, mais tes tourments ; ton châtiment c'est ma louange... Tais-toi, et sors de l'homme ! » C'est comme si il disait : « Sors de chez moi ; que fais-tu dans ma demeure ? Moi, je désire entrer : alors, tais-toi, et sors de l'homme, cet être doué de raison. Sors de l'homme ! Quitte cette demeure qui a été préparée pour moi ! Le Seigneur veut sa maison, sors de cet homme »... 

          Voyez à quel point l'âme de l'homme est précieuse. Cela va à l'encontre de ceux qui pensent que nous, les hommes, et les animaux avons une âme identique et que nous sommes animés d'un même esprit. À un autre moment, le démon est expulsé d'un seul homme et il est envoyé dans deux mille porcs (Mt 8,32) : ce qui est précieux est sauvé, ce qui est vil est perdu. « Sors de l'homme, va-t'en chez les porcs..., va où tu veux, va-t'en aux abîmes. Laisse l'homme, ma propriété privée... Je ne te laisserai pas posséder l'homme, car ce serait un outrage pour moi si tu t'installais en lui à ma place. J'ai assumé un corps humain, j'habite dans l'homme : cette chair que tu possèdes fait partie de ma chair, sors de cet homme ! »

     

     
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  • Appel aux disciples

     

    14 Janvier 201


    Le lundi de la 1re semaine du temps ordinaire


    Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 1,14-20. 
    Après l'arrestation de Jean Baptiste, Jésus partit pour la Galilée proclamer la Bonne Nouvelle de Dieu ; il disait : 
    « Les temps sont accomplis : le règne de Dieu est tout proche. Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle. » 
    Passant au bord du lac de Galilée, il vit Simon et son frère André en train de jeter leurs filets : c'étaient des pêcheurs. 
    Jésus leur dit : « Venez derrière moi. Je ferai de vous des pêcheurs d'hommes. » 
    Aussitôt, laissant là leurs filets, ils le suivirent. 
    Un peu plus loin, Jésus vit Jacques, fils de Zébédée, et son frère Jean, qui étaient aussi dans leur barque et préparaient leurs filets. 
    Jésus les appela aussitôt. Alors, laissant dans la barque leur père avec ses ouvriers, ils partirent derrière lui.

     


     

     

                                                                         +

     

    Le lundi de la 1re semaine du temps ordinaire

     

    Commentaire du jour 
    Saint Irénée de Lyon (v. 130-v. 208), évêque, théologien et martyr 
    Contre les hérésies, 4, 14 (trad. Cerf 1984, p. 446 rev.)

     

    « Tous ceux qui ont été appelés en mon nom »

          Ce n'était pas parce qu'il avait besoin de notre service que le Père nous a commandé de suivre le Verbe : c'était pour nous assurer le salut. Car suivre le Sauveur, c'est avoir part à son salut, comme suivre la lumière, c'est avoir part à la lumière. Lorsque les hommes sont dans la lumière, ce ne sont pas eux qui font resplendir la lumière, mais ce sont eux qui sont illuminés et rendus resplendissants par elle. Loin d'apporter quoi que ce soit à la lumière, ils en bénéficient et en sont illuminés.

          Ainsi en va-t-il du service envers Dieu : il n'apporte rien à Dieu, car Dieu n'a pas besoin du service des hommes. Mais à ceux qui le servent et qui le suivent, Dieu assure la vie, une existence impérissable et la gloire éternelle... Si Dieu, qui est bon et miséricordieux, sollicite le service des hommes, c'est pour pouvoir lui accorder ses bienfaits à ceux qui persévèrent dans son service. Car, si Dieu n'a besoin de rien, l'homme, lui, a besoin de la communion de Dieu. La gloire de l'homme, c'est qu'il persévère dans le service de Dieu.

          C'est pourquoi le Seigneur disait à ses apôtres : « Ce n'est pas vous qui m'avez choisi : c'est moi qui vous ai choisis » (Jn 15,16)... Il dit encore : « Je veux que là où je suis eux aussi soient avec moi, afin qu'ils contemplent ma gloire » (Jn 17,24)... C'est d'eux que Dieu dit chez Isaïe : « De l'Orient je ramènerai tes enfants, de l'Occident je te rassemblerai... Ramène mes fils des pays lointains et mes filles des extrémités de la terre, tous ceux qui ont été appelés en mon nom, car je les ai créés  pour ma gloire » (Is 43,

     
     
     

     

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  • Appel aux disciples

     

    14 Janvier 201


    Le lundi de la 1re semaine du temps ordinaire


    Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 1,14-20. 
    Après l'arrestation de Jean Baptiste, Jésus partit pour la Galilée proclamer la Bonne Nouvelle de Dieu ; il disait : 
    « Les temps sont accomplis : le règne de Dieu est tout proche. Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle. » 
    Passant au bord du lac de Galilée, il vit Simon et son frère André en train de jeter leurs filets : c'étaient des pêcheurs. 
    Jésus leur dit : « Venez derrière moi. Je ferai de vous des pêcheurs d'hommes. » 
    Aussitôt, laissant là leurs filets, ils le suivirent. 
    Un peu plus loin, Jésus vit Jacques, fils de Zébédée, et son frère Jean, qui étaient aussi dans leur barque et préparaient leurs filets. 
    Jésus les appela aussitôt. Alors, laissant dans la barque leur père avec ses ouvriers, ils partirent derrière lui.

     


     

     

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    Le lundi de la 1re semaine du temps ordinaire

     

    Commentaire du jour 
    Saint Irénée de Lyon (v. 130-v. 208), évêque, théologien et martyr 
    Contre les hérésies, 4, 14 (trad. Cerf 1984, p. 446 rev.)

     

    « Tous ceux qui ont été appelés en mon nom »

          Ce n'était pas parce qu'il avait besoin de notre service que le Père nous a commandé de suivre le Verbe : c'était pour nous assurer le salut. Car suivre le Sauveur, c'est avoir part à son salut, comme suivre la lumière, c'est avoir part à la lumière. Lorsque les hommes sont dans la lumière, ce ne sont pas eux qui font resplendir la lumière, mais ce sont eux qui sont illuminés et rendus resplendissants par elle. Loin d'apporter quoi que ce soit à la lumière, ils en bénéficient et en sont illuminés.

          Ainsi en va-t-il du service envers Dieu : il n'apporte rien à Dieu, car Dieu n'a pas besoin du service des hommes. Mais à ceux qui le servent et qui le suivent, Dieu assure la vie, une existence impérissable et la gloire éternelle... Si Dieu, qui est bon et miséricordieux, sollicite le service des hommes, c'est pour pouvoir lui accorder ses bienfaits à ceux qui persévèrent dans son service. Car, si Dieu n'a besoin de rien, l'homme, lui, a besoin de la communion de Dieu. La gloire de l'homme, c'est qu'il persévère dans le service de Dieu.

          C'est pourquoi le Seigneur disait à ses apôtres : « Ce n'est pas vous qui m'avez choisi : c'est moi qui vous ai choisis » (Jn 15,16)... Il dit encore : « Je veux que là où je suis eux aussi soient avec moi, afin qu'ils contemplent ma gloire » (Jn 17,24)... C'est d'eux que Dieu dit chez Isaïe : « De l'Orient je ramènerai tes enfants, de l'Occident je te rassemblerai... Ramène mes fils des pays lointains et mes filles des extrémités de la terre, tous ceux qui ont été appelés en mon nom, car je les ai créés  pour ma gloire » (Is 43,

     
     
     

     

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