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    Mes Amis, 

    -je veux répondre à un commentaire -

     

    Dieu est AMOUR. 

    IL ne peut rien sans AMOUR.

    La preuve de son AMOUR, c'est de nous avoir donné la

    Liberté.

    Il savait ce qu'il risquait...

    Dieu n'est pas un Père tyran qui etouffe son enfant.

    C'est simple :

    Tu m'acceptes dans ta vie ?

    Tu veux recevoir mon Amour ?

     

    Nous savons tous, ce qui se passe dans une relation

    d'Amitié. Il est necessaire une relation de confiance.

    Être loyale est la base. 

    C'est très facile de mettre toutes les misères du monde sur

    Dieu.

    Je crois au péché. Je crois que c'est une manière de tourner

    le dos à l'Amour.

    Je crois au Pardon de Dieu.

    Je crois que Dieu a envoyé son Fils sur terre pour

    nous sauver.

    Je suis loyale avec vous en vous disant cela.

     

    Lorsque je suis née, ma mère biologique ne m'a pas 

    gardé. C'est la faute de Dieu ?

     

    NON !!!

    Elle avait sa liberté. Elle pouvait ou pas me garder.

    Qu'a fait Dieu pour moi ?

    Il a pourvut pour moi un couple qui a dit oui pour

    m'adopter.

    Là je parle de la PROVIDENDE de Dieu dans ma vie.

    Mais lorsque j'ai dit oui à son Amour, à son Amitié,

    c'est là que je lui ai permit de me proposer des choses,

    des itinéraires. De dire OUI ou NON.

    La je répond à Maylie.

    Dieu et Abrham avaient une grande Amitié. Dieu

    lui avait donné un peuple qui serait " le maître de

    croyants en Dieu"

    Un jour Dieu a voulu mettre à l'épreuve son Ami 

    Abraham. 

    Lui qui lui avait donné Isaac dans sa viellesse, lui demande 

    de le sacrifier...selon des lois de l'Ancien Testament.

    Abraham était libre de sa réponse.

    Et dans son Amour fou pour ce fils, 

    pour son Amitié avec Dieu, Abraham à dit 

    OUI. Cela lui a couté des larmes, mais il a fait 

    confiance en son AMI.

    Et finalement Dieu detient sa main et lui fait Père

    d'une multitude inmense. 

    A cause de sa Foi il est devenu le père des croyants.

     

     Les soldats nazis portaint sur leur ceinturons "God mit uns" - Dieu avec nous.

     

    Ils se servaient du NOM de Dieu pour comettre tant

    des atrocités.

    Ces boureaux avaient le choix et la responsabilité de

    leurs crimes.

    °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° 

     

    L'amour .. Martin Gray

     

     

    L'amour n'est jamais contrainte, il est Joie, Liberté, Force .

    C'est l'amour qui tue l'angoisse, là où l'amour manque naissent l'angoisse et l'ennui!

    L'amour est emportement ! l'amour est enthousiasme! l'amour est risque !

    N'aiment pas et ne sont pas aimés ceux qui veulent épargner, économiser leurs sentiments.

    L'amour est générosité ! l'amour est prodigalité ! l'amour est échange!

    Qui donne beaucoup reçoit beaucoup car, en fin de compte , nous possédons ce que nous donnons !

    Aimer n'est pas mutiler l'autre, le dominer, mais l'accompagner dans sa course , l'aider,

    Savoir accepter l'autre tel qu'il est , être joyeux du bonheur qu'il trouve!

    L'aimer dans sa totalité pour ce qu'il est , laideur et beauté, défauts et qualités!

    Voici les conditions de l'amour, de l'entente,

    Car l'amour est vertu d'indulgence, de pardon et de respect de l'autre .

                                                                                                                                      MARTIN GRAY

     

     

     

     

     

     

    Martin Gray rescapé des champs de la mort.

    Avec son Père il a fait  la résistence dans le

    Ghetto...Le premier ghetto est mis en place le 8 octobre 1939 à Piotrkow. ... conclu le 23 août 1939, la Pologne est vaincue après quatre semaines de résistance.

     

    -J'ai eu la grâce de lui parler au télèphone et il m'a 

    beaucoup aidé-

     

     

      

    SEIGNEUR, 

     

    DONNEZ-NOUS LA

     

     

    FORCE D'AIMER 


     

    IMPOSSIBLE SANS L'AMOUR

     

     

     

     

     

     

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    Abraham est un chercheur de Dieu dont les pérégrinations le long du croissant fertile deviennent un pèlerinage de foi. Abraham fait la découverte progressive de l’amitié de Dieu et du projet de salut que celui-ci souhaite réaliser, grâce à lui, en faveur de l’humanité entière.

     

    Le sacrifice d'Isaac

    Pourquoi Dieu demande-t-il à Abraham de sacrifier son fils Isaac ? Comment comprendre une telle violence ? Dieu est-il barbare ?

     

    C'est vrai, la Bible est remplie de violence (mais pas uniquement cela !), comme notre vie et la vie du monde, nous le voyons bien, sont pleines de violence. La Bible nous dit ainsi ou nous apprend peu à peu, comment Dieu est présent dans notre propre vie et au cœur de la vie du monde, tels qu'ils sont.

     

    Nous apprenons de la Bible une première chose : Dieu n'est pas dans les nuages. Il est présent et se donne à rencontrer sur la terre des hommes, dans les événements, dans notre histoire. Dès lors, on ne peut rêver Dieu, mais apprendre à le découvrir. Et la Bible nous trace le chemin, en nous racontant des histoires réelles, de femme et d'homme, et parfois dans des textes très poétiques. Leur vérité n'est pas dans le détail des images, mais plus profondément, dans l'histoire racontée comme étant valable pour tous les hommes.

     

    Comment lire le récit du sacrifice d'Isaac ?

     

    Une de ces histoires bibliques violentes heurte habituellement les lecteurs de la Bible : celle que l'on appelle en général le "sacrifice" d'Isaac (voir le chapitre 22 du livre de la Genèse). La tradition juive parle de la "ligature" d'Isaac. Car le fils d'Abraham est lié… et délié ! Mais pour mieux comprendre, il faut lire paisiblement, puis éventuellement relire, même peut-être un crayon à la main. On observe alors plusieurs choses importantes :

     

    - Dès les premiers mots on dit que Dieu met Abraham à l'épreuve (v. 1). Ce qui va se passer va donc nous montrer où Abraham place son cœur. Et aussi qui est Dieu. Or la première chose que nous apprenons, c'est qu'Abraham entend et écoute. Il répond présent à Dieu (v. 3).

     

     

    Le récit s'étale alors dans le temps comme une vraie liturgie. Et le troisième jour (v. 4), comme dans les évangiles, est le jour d'une révélation importante de Dieu. Abraham ici, laisse ses serviteurs pour poursuivre le chemin avec son fils, et dit aux serviteurs de les attendre : "nous reviendrons vers vous" (v. 5).

     

    - Nous connaissons - ou pensons connaître - la suite. Elle est dite de façon poétique et poignante, aussi nous sommes dans l'émotion à la lecture. Pourtant il faut continuer à écouter. Le scénario est terrible, puisqu'il continue ce qui a été annoncé au v. 2. Le fils interroge le père : "où est l'agneau ?" (v. 7). - "C'est Dieu qui pourvoira", répond Abraham (v. 8). Il ne ment pas à Isaac. Abraham marche en croyant, dans le noir peut-être, mais attaché à la parole de Dieu (comme lors de son appel plein d'une promesse au ch. 12). Et le récit insiste : "ils s'en allèrent tous deux ensemble" (v. 8).

     

     La suite semble insupportable (v. 9-12). et pourtant... Le scénario du sacrifice est en place et Abraham va jusqu'au bout. Si nous nous interrogeons sur le Dieu qui se révèle là - et nous avons raison - il faut continuer à lire. L'ange du Seigneur l'appelle : "Abraham, Abraham !" et il répond "Me voici". Et ce n'est pas la première fois (cf. Gn 12, et au début de notre texte 22, 1, mot pour mot). Abraham est celui qui écoute, qui prête l'oreille, et cela façonne sa vie… pour la vie et pas la mort !

     

     Abraham est arrêté par l'ange dans son geste. Il n'est pas arrêté par le bras de l'ange, comme on le voit sur certains tableaux, mais par sa parole. Dieu n'intervient-il pas dans nos vies discrètement de même ?

     

    - Le v. 12 répond au v. 1. Abraham est prêt à perdre jusqu'à l'essentiel pour Dieu. Mais manifestement Dieu ne demande pas la mort. Et ici on peut penser que la Bible s'insurge à travers un récit comme celui-ci, contre les sacrifices humains qui existaient... pour plaire à Dieu, comme si l'on payait Dieu avec des sacrifices humains (il faut aller lire Michée 6, 6-8).

     

    - La suite dit quelque chose d'essentiel, sur fond de jeu de mot en hébreu sur le verbe voir et un mot très voisin. Abraham avait raison (v. 8) : le Seigneur pourvoit, et Abraham offre le bélier pris dans les broussailles. Mais il a le cœur libre. Non, il n'a pas gardé, retenu le fils comme une propriété à lui. Ce fils a été donné par Dieu (Genèse ch. 18), et Abraham se fie à Dieu pour la suite de leur histoire commune, libre pour le projet de Dieu.

     

     Les versets 15-18 font résonner une nouvelle fois (déjà ch. 12, puis 15, puis 18) la promesse de Dieu à Abraham : de devenir un grand peuple, lui qui a eu tellement de mal à avoir un fils, unique. Et même sa descendance sera une bénédiction pour tous les peuples de la terre !

     

     

     

     

     

    GOD BLESS YOU TO

     

     

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    La Bible nous présente Abraham comme le premier homme avec lequel Dieu noue le dialogue, dans le cadre de l’histoire de l’humanité, et plus particulièrement celle du peuple d’Israël. Sans prononcer le mot, la Bible le désigne comme un homme de foi, mais de cette foi conçue comme un itinéraire. En effet, Abraham est un chercheur de Dieu dont les pérégrinations le long du croissant fertile deviennent un pèlerinage de foi. Abraham fait la découverte progressive de l’amitié de Dieu et du projet de salut que celui-ci souhaite réaliser, grâce à lui, en faveur de l’humanité entière. Abraham apparaît comme le type de l’homme qui marche son existence dans uneinlassable recherche de Dieu, parce qu’il est tout d’abord en quête du sens de la vie et à la recherche da sa propre identité.

         

    Dès Genèse 12, 1, Abraham est rejoint par la Parole de Dieu qui bouleverse son existence : Pars…  Il est invité à tout quitter pour désormais avancer dans la vie avec, comme seul soutien la confiance en Dieu. Son obéissance à l’appel de Dieu l’oblige à quitter ses habitudes, ses sécurités, ses certitudes, son enracinement. Son cheminement ne se fera pas sans difficultés. Questions, doutes, obscurité feront partie de sa relation avec Dieu. Lorsque la promesse d’une terre et d’une descendance semblera se faire attendre, voire lui échapper, ou  lorsqu’il ne voit plus comment elle pourra se réaliser, Abraham a comme premier réflexe de prendre son avenir en mains. On le voit, par exemple, lorsqu’il accepte l’offre de Sara de lui donner sa servante Hagar pour qu’il ait enfin une descendance. Abraham fait alors l’expérience des limites de sa confiance en Dieu en même temps qu’il découvre que Dieu seul a l’initiative de l’itinéraire qu’il lui trace. Abraham nous indique que le cheminement de la foi consiste à mettre entre les mains de Dieu son avenir et de

     

    se laisser faire...

     

    Ah mes Amis, ce laisser faire parait si simple à 

    comprendre... Nous regardons les enfants et cela

    nous donne déjà toute le chemin à parcourrir.

    Mais se laisser faire par Dieu...C'est un chemin que

    l'ont peut faire que dans la foi.

     

    Il fait bien des années, une jeune fille dans un

    rassemblement 

    des jeunes de Taizé à Barcelone (Espagne) entendit cette voix dans son 

    coeur : Va, quitte ton pays et va là où je te montrerai.

    Elle ne fut pas étonnée, mais une grande joie monta

    dans son être.

    Cette jeune fille était bien moi...

    Je fus consulter quelqu'un qui me dit : Nos sommes

    le 29 Décembre. Tu peux venir à Taizé le 17 Janvier ?

    Voilà tout simplement comme cela se passa.

    J'avoue avoir oublié comment je me suis prise.

    Je rassemblai quelques affaires. Un sac à dos, et

    je dis tranquillement à mes amis que je partais.

    Ma joie était contagieuse. Les unes m'offrirent le sac

    de couchage...et me voici partie le 16 Janvier.

    Dans mon voyage, je trouvai des "anges" un jeune de 

    mon âge avec qui nous partagions de choses

    sur Dieu. Puis lorsqu'il arriva à sa destination, il 

    demanda à un vieux couple de me dire où je devais

    descendre...à Lyon, puis Macon. Je vous assure que

    je me souviens que de la joie que m'emportait. 

     

     

    un peu comme cela mais j'avais de bottines de 

    marche attachés au sac à dos.

     

    Suite demain...avec Abraham l'homme de dialogue

    avec Dieu...................

     

     

        

     

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    Le vendredi de la 31e semaine du temps ordinaire

    Lettre de saint Paul Apôtre aux Philippiens 3,17-21.4,1.
     

     

    Frères, prenez-moi tous pour modèle, et regardez bien ceux qui vivent selon l'exemple que nous vous donnons.
    Car je vous l'ai souvent dit, et maintenant je le redis en pleurant : beaucoup de gens vivent en ennemis de la croix du Christ.
    Ils vont tous à leur perte. Leur dieu, c'est leur ventre, et ils mettent leur gloire dans ce qui fait leur honte ; ils ne tendent que vers les choses de la terre.
    Mais nous, nous sommes citoyens des cieux ; c'est à ce titre que nous attendons comme sauveur le Seigneur Jésus Christ,
    lui qui transformera nos pauvres corps à l'image de son corps glorieux, avec la puissance qui le rend capable aussi de tout dominer.
    Ainsi, mes frères bien-aimés que je désire tant revoir, vous, ma joie et ma récompense, tenez bon dans le Seigneur, mes bien-aimés.

     

     

    Tous les Saints et tous les Anges du Ciel acclament le Seigneur Jésus - Roi de l'Univers

     

    N'AYEZ PAS PEUR

     

     

    Dans le langage courant, on dit d'une star qu'elle « monte… au firmament de la gloire », comme on dit d'un jeune qui a fait une bêtise « il est descendu ...

    N'AIE PAS PEUR TU ES AIME

     

     

    !!!.........................

     

     

    un petit chemin...

     

     

     

     

     

    L'Eucharistie, Jésus se donne à nous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Dieu tombe sur notre coeur pour étancher notre soif

     

     

    Le Christ, en compagnie de ses Apôtres, prend son dernier repas au cours duquel il institue l'Eucharistie. Il se rend ensuite au Mont des Oliviers, ...

     

     

     

     

     

     

     

     

    VA, ET DESORMAIS NE PECHES PLUS

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    GOD BLESS YOU TO

     

     

     

     

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    Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 15,1-10.

     

    Les publicains et les pécheurs venaient tous à Jésus pour l'écouter.
    Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui : « Cet homme fait bon accueil aux pécheurs, et il mange avec eux ! »
    Alors Jésus leur dit cette parabole :
    « Si l'un de vous a cent brebis et en perd une, ne laisse-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller chercher celle qui est perdue, jusqu'à ce qu'il la retrouve ?
    Quand il l'a retrouvée, tout joyeux, il la prend sur ses épaules,
    et, de retour chez lui, il réunit ses amis et ses voisins ; il leur dit : 'Réjouissez-vous avec moi, car j'ai retrouvé ma brebis, celle qui était perdue ! '
    Je vous le dis : C'est ainsi qu'il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit, plus que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n'ont pas besoin de conversion. »

    Ou encore, si une femme a dix pièces d'argent et en perd une,

    ne va-t-elle pas allumer une lampe, balayer la maison, et

    chercher avec soin jusqu'à ce qu'elle la retrouve ?

    Quand elle l'a retrouvée, elle réunit ses amies et ses voisines

    et leur dit : 'Réjouissez-vous avec moi, car j'ai retrouvé la

    pièce d'argent que j'avais perdue ! '

    De même, je vous le dis : Il y a de la joie chez les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se convertit. »

     

    Jésus, je te remercie vraiment, de ce que je suis une

    imparfaite créature, je te remercie Jésus lorsque je

    sens l'humiliation et que je pleure en trouvant cela

    pas juste, car dans mon orgueil je me trouve 

    blessé. Je te remercie de la fatigue, des moments 

    où je ne sais pas où je vais.

    Je te remercie de cela, car je suis parmi mes frères

    pécheurs que tu cherches pour les faire revenir.

     

    Comment une créature peut se réjouir de sa pauvreté,

    et même de son péché ?

     

    Ce n'est, que le resultat d'avoir touché son incacité,

    et de savoir sa grande nécessité de son Seigneur.

     

    Mes Amis,

    il faut éprouver de la soif et de la faim. Des larmes dans une

    nuit assez longue, pour faire comme l'enfant

    prodigue. Courrir pour se refugier dans les bras de

    son père sans aucune crainte. Car devant l'Amour de

    Jésus toute crainte s'évanouit.

     

    C'est nécessaire de passer par ses chemis là, pour

    se sentir vraiment unis à Jésus. Pour pas s'scandaliser

    de la Croix. Cette Croix qui n'est pas signe de mort,

    mais de VIE.

    Dieu ne veut pas la mort. Il ne nous a pas créés pour

    la mort. Elle vient du démon, du péché.

    Dieu ne fait que nous RECOUPERER dans ses

    bras pour nous faire entrer dans la VIE. Ce que nous

    appelons Ciel. C'est là où nous sommes destinés pour

    toute l'eternité. Voilà notre destin... et pas celui

    que ce pauvre monde, veut nous faire miroiter à chaque

    moment.

    Non à la puissance du mal, car Dieu est avec nous.

    ( même si nous ne le savons pas)

    Non au jugement, car SEUL DIEU SAIT TOUT

     

    Espoir à ceux qui se droguent, car Le Christ est là

    si nous lui demandons de nous aider.

     

    Espoir à ceux qui souffrent des tentations de suicide.

    N'ayons aucune crainte car le Seigneur lui SAIT.

     

    Et même ceux qui on fait ce geste, DIEU et lui seul

    SAIT... 

    Vivons dans la sincérité de ce que nous sommes

    devant Jésus. Ce chemin est le VRAI CHEMIN.

     

    N'ayons pas peur d'avoir du mal à pardonner lorsque

    on nous a fait du mal gratuit. Jésus SAIT TOUT et

    il va nous aider. 

     

    Être vrai chrétien n'a rien avoir avec ses pitiés qui ne

    sont que des gestes exterieures et parfois pour

    se faire remarquer.

     

    Faire tout que par AMOUR de Jésus.

    Par Amour de nos frères. 

     

    Tendre l'autre joue lorsque on nous blesse

    ce n'est pas dire : blesse-moi encore !

    Mais le regarder avec compassion pour sa faiblesse.

     

    La vérite de notre foi va au-delà

    des mots.

    Nous sommes humains, donc capables de faire le 

    bien mais aussi le mal. 

     

    Si nous sommes conscients de cela, c'est le BON

    Chemin....

     

    Et pour sourire en fin...

    Parole de scout !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Chemin parfois pas évident...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    SEIGNEUR,

     

    NE NOUS LAISSES PAS

     

     

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    A LA TENTATION 

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