•  

    Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 19,41-44.

    Quand Jésus fut près de Jérusalem, en voyant la ville, il pleura sur elle ; il disait : 

    « Si toi aussi, tu avais reconnu en ce jour ce qui peut te donner la paix ! Mais hélas, cela est resté caché à tes yeux.
    Oui, il arrivera pour toi des jours où tes ennemis viendront mettre le siège devant toi, t'encercleront et te presseront de tous côtés ;
    ils te jetteront à terre, toi et tes enfants qui sont chez toi, et ils ne laisseront pas chez toi pierre sur pierre, parce que tu n'as pas reconnu le moment où Dieu te visitait. »

     

    Funéraires de Frère Roger de Taizé

     

    ***********

    « Si toi aussi, tu avais reconnu en ce jour ce qui peut te donner la paix »

          Je me suis penché à la fenêtre… Le soleil commençait à se lever. Une paix très grande régnait sur la nature. Tout commençait à s'éveiller, la terre, le ciel, les oiseaux. Tout, petit à petit, commençait à s'éveiller sous l'ordre de Dieu. Tout obéissait à ses divines lois, sans plaintes ni sursauts, doucement, avec mansuétude, aussi bien la lumière que les ténèbres, aussi bien le ciel bleu que la terre dure couverte de la rosée de l'aube. Que Dieu est bon ! pensais-je. Il y a la paix partout, sauf dans le cœur humain.

          Et délicatement, doucement, Dieu m'enseigna aussi, par cette aube douce et tranquille, à obéir ; une très grande paix remplit mon âme. J'ai pensé que Dieu seul est bon, que tout est ordonné par lui, que rien n'a de l'importance dans ce que les hommes font ou disent, et que, pour moi, il ne doit y avoir dans le monde qu'une chose : Dieu. Dieu, qui va tout ordonner pour mon bien. Dieu, qui fait se lever chaque matin le soleil, qui fait fondre le givre, qui fait chanter les oiseaux, et change en mille douces couleurs les nuages du ciel. Dieu, qui m'offre un petit coin sur cette terre pour prier, qui me donne un petit coin où pouvoir attendre ce que j'espère.

          Dieu, si bon avec moi que, dans le silence, il me parle au cœur, et m'apprend peu à peu, peut-être dans les larmes, toujours avec la croix, à me détacher des créatures ; à ne chercher la perfection qu'en lui ; qui me montre Marie et me dit : « Voici l'unique créature parfaite ; en elle tu trouveras l'amour et la charité que tu ne trouves pas chez les hommes. De quoi te plains-tu, Frère Raphaël ? Aime-moi, souffre avec moi ; c'est moi, Jésus ! »

    -frère Rafael Trappiste-

     

     

    Quand Jésus fut près de Jérusalem, en voyant la ville,

    il pleura sur elle...

     

    parce que tu n'as pas reconnu le moment où Dieu te visitait. »

     

    Mes Amis, nous nous faissons une image de Jésus

    comme d'un géant qui serait éloigné des sentiments car

    TOUT PUISSANT.

    Cependant dans les Evangiles nous le voyons qu'il

    sentait la fatigue. Qu'il se réjouissait dans les Noces

    de Cana. Et nous voyons qui'il pleure sur Jérusalem.

     

    parce que tu n'as pas reconnu le moment où Dieu te visitait. »

     

    Mais Jésus pleure aussi devant moi...Car j'ai oublié

    Le premier Amour de ma jeunesse. Suis-je si attentive

    aux petits details qui lui plaisent tant ? Petite Thérèse

    cherchait dans toute occassion, de lui offrire des petits

    gestes d'Amour. Lorsqu'elle voyait un papier par terre,

    elle se dépechait de le ramasser par Amour de Jésus.

    De marcher lors de sa maladie...pour aider un missionnaire.

    Un petit regard en passant devant le Saint Sacrament.

    Prier dans les transports pour les gens. Tout cela est

    un regard d'Amour envers Jésus. J'avoue avoir bien

    des difficulté pour les prières vocales. Le chapelet.

    Mais je trouve des autres formes de prier...dans la simplicité

    d'une vie bien ordinaire que la miènne. Aimons le Seigneur et

    ne le laissons pas seul, lui qui s'est

    TOUT DONNE A NOUS.

     

     

     

    5b501786 dans PRIERE DE LOUANGE

     

     

    article_photo_1331833777639-1-HD

     

     

     

    nuit-enfant

     

     

    14

     

     

    Je cherche ta musique dans PRIERE DE LOUANGE silence-baby-cute

     

     

     

    QUE LE SEIGNEUR NOUS

     

    GARDE DANS SA PAIX

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

    2 commentaires
  •  

     

     

     

    CHANT DE L'ÂME QUI SE RÉJOUIT 

    DE CONNAÎTRE DIEU EN FOI

    Ce poème est né dans l'obscurité du cachot de Tolède, en 1578. Sa forme est celle d'un villancico, poème construit à partir d'un refrain de deux vers, avec reprise du deuxième à la fin de chaque strophe. Il est centré sur les deux métaphores de la source et de la nuit. Jean de la Croix illustre, par ces deux fortes images, sa foi en Dieu, en la Trinité, et en l'eucharistie.

     

    Je sais la source qui jaillit et fuit,
    bien que de nuit.

    1. Cette source éternelle est bien cachée,
    pourtant sa demeure je la connais,
    bien que de nuit.

    2. En cette nuit obscure de la vie,
    je connais bien par foi la source vive,
    bien que de nuit

    3. Je ne sais sa cause, car n'en a point,
    pourtant toute origine d'elle vient,
    bien que de nuit.

    4. Je sais qu'il n'y a pas chose plus belle,
    et que cieux et terre s'abreuvent d'elle,
    bien que de nuit.

    5. Je sais qu'on ne peut de fond y trouver,
    et que nul ne peut à gué la passer,
    bien que de nuit.

    6. Sa lumière jamais n'est altérée,
    et sais que vient d'elle toute clarté,
    bien que de nuit.

    7. Je sais que ses flots vont à profusion,
    et arrosent cieux, enfers et nations,
    bien que de nuit.

    8. Le flot de cette source jaillissant,
    je sais qu'il est aussi vaste et puissant,
    bien que de nuit.

    9. Et le torrent qui de ces deux procède,
    je sais bien qu'aucun d'eux ne le précède,
    bien que de nuit.

    10. Je sais bien qu'ils sont trois en une eau vive,
    et que l'un de l'autre, ils se dérivent,
    bien que de nuit.

    11. Cette source éternelle est bien cachée,
    en ce pain vivant, pour vie nous donner,
    bien que de nuit.

    12. Ici, elle appelle les créatures,
    qui de cette eau boivent, bien qu'à l'obscur,
    bien que de nuit.

    13. Cette source vive que je désire,
    je la vois au sein de ce pain de vie,
    bien que de nuit.

     

     

    Sentier du Carmel... Saint Jean de la Croix, carme et célèbre

    poète espagnol (1542-1591)

     

     
    Juan est né en Vieille-Castille dans une famille pauvre. Il est très jeune quand meurt son père. Sa mère doit se louer comme nourrice. Lui-même, pour payer ses études, travaille comme infirmier à l'hôpital de la ville. A 21 ans, il décide d'entrer chez les Pères Carmes et ses supérieurs l'envoient à l'Université de Salamanque. Il aspire à retrouver la règle primitive de l'Ordre, faite d'austérité et de prière, mais il n'essuie que des refus. Devenu prêtre, il songe à changer d'Ordre religieux, quand Dieu lui fait rencontrer sainte Thérèse d'Avia. Avec elle, il réalisera cette réforme dans une vie toute faite d'absolu. Il devint ainsi, auprès de ses frères, un signe de contradiction. On l'emprisonne neuf mois à Tolède, menottes aux mains, dans un cachot. Et, de son âme dépouillée de tout appui humain, jaillira le " Cantique spirituel ". Il finit par s'enfuir et il est recueilli par des carmélites déchaussées. Commence alors pour Jean de la Croix, une période d'activité rayonnante, ouvrant à tous, carmes et carmélites, gens du peuple et universitaires, l'étroit sentier de la parfaite docilité à l'Esprit-Saint. De retour en Castille, il exerce de lourdes responsabilité, tout en désirant la parfaite ressemblance d'amour avec son Seigneur crucifié. Démis de toute charge, malade, calomnié, enfin se déchire la "toile de cette vie", il entre dans la vision de Dieu et va chanter son Cantique spirituel. "A la fin du jour, c'est sur l'amour qu'on vous examinera." (Maxime 80)

     

     

     

    tierrasdezamora-1

    Duruelo en Espagne. Lieu du premier Carmel des frères carmelites

     

    201433_castilla-4

     

     

    campos de castilla

    Paysages Espagnol de Castille

     

    Cette source éternelle est bien cachée,
    pourtant sa demeure je la connais,
    bien que de nuit.

     

    Mes amis, le poème explique bien de choses.

    En faite c'est l'histoire de lâme qui cherche Dieu

    Source de l'EAU VIVE.

    Au debut, lors de la première rencontre aprés la conversion,

    le chemin est plat et sans difficultés. On croit

    toucher le Christ. Et c'est vrai. Dieu donne

    sa nourriture comme une mère la donne à son nourrison.

    Et plus l'enfant grandit, plus son Père lui laissera un

    peu à lui-même. La lumière des debuts disparaitra...pour 

    laisser des blancs, des silences comme dans une partition

    de musique. Ces silences apparents de Dieu, sont

    des moments necesaires...Dans ces silences on verra

    de plus en plus clair la difference entre nous et Dieu.

    Nos impuretes... comme quelqu'un qui se regarde dans l'eau

    limpide. Mais aprés un "longtemps" selon notre mesure

    du temps,nous commencerons à Aimer ce silence... et à

    laisser les pages blanches, pour laisser Dieu nous

    parler et les écrire en notre âme.

     

    Cette source éternelle est bien cachée,
    pourtant sa demeure je la connais,
    bien que de nuit.

     

     

    Cette nuit s'appelera desormais des aridités.

    Mais plus nous avancerons dans cette nuit, plus nous

    laisserons faire AU POTIER nous modeler selon

    sa bonne volonté.

    Il y a des nuits qui sont de nuits bénies et sacrés.

    C'est le sécret entre Dieu et sa créature

     

     

     

     

     

     

     

     

    QUE LE CHRIST

     

    EUCHARISTIE

     

     

    NOUS  BENISSE 

     

    ET NOUS GARDE

     

     

     

     

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

    2 commentaires
  • Que rien ne te trouble

    Que rien ne t’effraie
    Tout passe,
    Dieu ne change pas,
    La patience
    tout obtient ;
    Celui qui a Dieu
    ne manque de rien
    Dieu seul suffit!

    Sainte Teresa de Avila

     

    Sainte Terese elle même...

    Quelle grâce Dieu accorde à une âme lorsqu'il lui donne de faire oraison, même si elle n'y est pas aussi disposée qu'il le faudrait.

    Malgré les fautes commises, celui qui a commencé à faire oraison ne doit pas y renoncer, c'est le moyen pour se guérir. Sans l'oraison, ce serait beaucoup plus difficile.

    Quant à celui qui n'a pas encore commencé, pour l'amour du Seigneur, je le conjure de ne pas se priver d'un si grand bien. Il ne s'agit pas de craindre, mais de désirer. Si l'on persévère, j'espère en la miséricorde de Dieu. Personne, après l'avoir pris pour ami, n'a été abandonné de lui.

     

    Car l'oraison, à mon avis, n'est autre chose qu'une relation d'amitié où l'on s'entretient souvent, seul à seul, avec Celui dont nous savons qu'il nous aime.

    Lorsque vous voyez le prix de son amitié pour vous et combien il vous aime, vous supportez la peine de rester longtemps auprès de Celui qui est si différent de vous.

     

    O bonté infinie de mon Dieu, vous supportez Celui qui supporte votre présence.

    O quel bon ami vous êtes, mon Seigneur. Vous attendez qu'il se fasse à votre manière d'être, tout en supportant, vous, la sienne. Aussi, je ne comprends pas, mon Créateur, pourquoi tout le monde ne cherche pas à s'approcher de vous par cette intime amitié.

    Oui, Vie de toutes les vies, vous ne donnez la mort à aucun de ceux qui se confient à vous et vous veulent pour ami, mais vous soutenez la vie du corps par un surcroît de santé et vous donnez la vie à l'âme.

    Celui qui travaille à garder cette précieuse compagnie, je le tiens pour avancé. Pour cela, nous ne devons pas prêter de l'importance à notre manque de ferveur, mais rendre grâce au Seigneur qui nous donne de désirer le contenter, même si nos œuvres sont minces.

     

    Cette manière de garder le Christ avec soi, de vivre avec Lui, est profitable à toutes les étapes, c'est un moyen très sûr de progresser... Restons auprès du Christ en faisant taire l'intelligence. Occupons-la à regarder Celui qui nous regarde. Tenons-lui compagnie, parlons-lui, humilions-nous. Réjouissons-nous en sa présence.

     

    La vie de Sainte Thérèse d’Avila par elle-même, chapitre 8 et 13

     

     

     

     

     

     

     

    Carmelites

     

     

     

     

     

    Un petit coin du Carmel de Clamart  qui a fermé. C'est ici que j'ai fait mon ecole de vie pour me preparer au Noviciat. Il est à la suite de celui qui avait à Paris et qui fut la première fondation du Carmel en France par des Carmelites Espagnoles. J'ai passé presque deux ans...les meilleurs de ma vie. Ce fut

    aux pieds du tabernacle au petit matin et le soir...Que mon Amitié avec Jésus

    fut pour moi le cadeau de ma vie. C'est à ses pieds que je fus guérie en partie 

    des grandes blessures de mon enfance. C'est à ses pieds que je compris

    definitivement que j'etais toute à lui et Lui tout à moi. Lorsque il me fit

    comprendre de retourner dans le monde -avec bien de souffrance-

    Desormais je ne pouvais faire autrement que de donner aux autres CE QUE J'AVAIS RECU si indignement et malgré mes pechés. La Communauté m'aimait et moi aussi. Je garde leur amitié et suis l'esprit des Fondateurs du Carmel

     

     

    Histoire du Carmel de Clamart

     Le Carmel de l'Encarnation est celui de la rue Saint-Jacques de Paris, fondé en 1604. Première maison de Carmélites déchaussées en France, le carmel de la rue Saint-Jacques est fondé par les religieuses espagnoles, Anne de Jésus et Anne de Saint-Barthélemy, selon la règle de sainte Thérèse d'Avila (1515-1582). Cette dernière avait réformée l'ordre du carmel et l'ouvre aux religieuses féminines. Sœur Madeleine de Saint-Joseph est la première prieure française du carmel de la rue Saint-Jacques. Lors de la séparation des biens de l'Église et de l'État en 1905, les Carmélites sont expulsées de Paris. Elles viennent s'installer à Clamart à partir de 1920 après être allées en Belgique.

     

    Le Choeur de Clamart

     

     

     

     

     

     

     

    De nuit nous irons chercher la souce...le Dieu VIVANT

     

     

     

     

    Rose jaune

     

     

     

    TOUT EST GRÂCE

     

    TOUT PEUT DEVENIR

     

    UNE GRÂCE

     

     

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

    4 commentaires


  • Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 18,35-43.
    Comme Jésus approchait de Jéricho, un aveugle qui mendiait était assis au bord de la route.
    Entendant une foule arriver, il demanda ce qu'il y avait.
    On lui apprit que c'était Jésus le Nazaréen qui passait.
    Il s'écria : « Jésus, fils de David, aie pitié de moi ! »
    Ceux qui marchaient en tête l'interpellaient pour le faire taire. Mais lui criait de plus belle : « Fils de David, aie pitié de moi ! »
    Jésus s'arrêta et ordonna qu'on le lui amène. Quand il se fut approché, Jésus lui demanda :
    « Que veux-tu que je fasse pour toi ? - Seigneur, que je voie ! »
    Et Jésus lui dit : « Vois. Ta foi t'a sauvé. »
    A l'instant même, l'homme se mit à voir, et il suivait Jésus en rendant gloire à Dieu. Et tout le peuple, voyant cela, adressa ses louanges à Dieu.

     

      

     

    Mes Amis, aujourd'hui je vous laisse avec ce jeune Moine Trappiste

    Saint Raphaël Arnáiz Barón (1911-1938), moine trappiste espagnol
    Écrits spirituels, lettre à sa tante, 16/11/1935 

     

    « L’homme se mit à voir, et il suivait Jésus en rendant gloire à Dieu »

          Je possède un si grand trésor. Je voudrais crier de joie et le proclamer à toute la création : louez le Seigneur, aimez le Seigneur qui est si grand, qui est Dieu… Le monde ne voit pas ; le monde est aveugle et Dieu a besoin d'amour. Dieu a besoin de beaucoup d'amour. Je ne peux pas lui donner tout ce qu'il demande, je suis petit, je deviens fou, je voudrais que le monde l'aime, mais le monde est son ennemi. Seigneur, quel supplice si grand ! Je le vois et je ne peux pas y apporter le remède. Je suis trop petit, insignifiant. L'amour que j'ai pour toi m'écrase, je voudrais que mes frères, tous mes amis, tout le monde, t'aime beaucoup…

          Quelle pitié me font les hommes qui, voyant le cortège de Jésus et de ses disciples, demeurent insensibles. Quelle joie devaient ressentir les apôtres et les amis de Jésus chaque fois qu'une âme ouvrait les yeux, se détachait de tout et les rejoignait à la suite du Nazaréen, lui qui ne demandait rien d'autre qu'un peu d'amour. Allons-nous le suivre, ma chère sœur? Il voit notre intention et nous regarde, sourit et nous aide. Il n'y a rien à craindre ; nous irons pour être les derniers dans le cortège qui parcourt les terres de Judée, en silence, mais nourris d'un amour énorme, immense. Il n'a pas besoin de paroles. Nous n'avons pas à nous mettre à sa portée pour qu'il nous voie. Nous n'avons pas besoin de grandes œuvres, ni de rien qui attire l'attention : nous serons les derniers amis de Jésus, mais ceux qui l'aiment le plus.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Bonsoir mes Amis je vous laisse avec Bach...

     

     

    QUE DIEU NOUS BENISSE

     

    ET NOUS GARDE

     

     

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

    1 commentaire
  • KTO  6 nov. 2014

    Au Kurdistan irakien, notamment autour d'Erbil, plus de 60 000 réfugiés vivent actuellement dans des conditions précaires dans près de 25 camps, autour des églises ou dans les jardins publics. Parmi ces minorités chassées par l'avancée de l'Etat islamique, se trouvent de nombreux chrétiens

     

    °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

    Mes Amis, en ce jour du Seigneur, c'est opportun

    de réagir devant le silence des medias.

    La TV parle durant un mois des atrocités qui soubisent

    les chrétiens d'Orient. Au debut cela était bien

    pour la capture de nos ecrins. Puis on passe autre.

    Et chaque fois c'est pareil. Cet moyant des TV

    ne font  pas vraiment leur boulot.

     

     

     

    Merci à la Cté de l'Emmanuel pour cette video

     

     

     

     

     

    Beaucoup parmi nous disent : Mais que fait Dieu ?

    Dieu pleure ses enfant !

    Posons-nous nous cette question ?

    Comment des hommes, peuvent faire cela à des autres

    hommes, femmes et surtout à des bébés et des enfants ?

    C'est l'oeuvre du MAL, pas celle de Dieu

     

    Si je veux, je peux aller et tuer. J'ai ma liberté de faire

    le mal et le mal.

    J'ai le pouvoir de pardonner ou d'haïr.

    J'ai le pouvoir de donner la vie à un enfant ou de pas

    le laisser naître...soit disant : MON CORPS M'APPARTIEN.

    J'ai la liberté de regarder mon frère ou ma soeur seuls

    sur les pavés. 

     

    Jésus est venu pour nous enseigner l'Amour et le

    pardon. Il est venu pour nous donner l'exemple de 

    comme un être humain doit se conduir devant son

    prochain. Comme respecter et Aimer les enfants.

    On la tué comme un bandit sur la Croix.

    Et dès cette croix Il nous a défendu   : ils ne savent pas ce

    qu'ils font.

    " ...Si vous donnez un verre d'eau fraîche à l'un de ses

    petits de mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait "

     

    °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

     

     

     

    Merci Nathie de cette photo

     

     

     

     

     

     

     

     

    Espoir !

     

     

    .........

     

     

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

    6 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique