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Mercredi de la 4e semaine de Carême
Livre d'Isaïe 49,8-15.
Ainsi parle le Seigneur : Au temps favorable, je t’ai exaucé, au jour du salut, je t’ai secouru. Je t’ai façonné, établi, pour que tu sois l’alliance du peuple, pour relever le pays, restituer les héritages dévastés
et dire aux prisonniers : « Sortez ! », aux captifs des ténèbres : « Montrez-vous ! » Au long des routes, ils pourront paître ; sur les hauteurs dénudées seront leurs pâturages.
Ils n’auront ni faim ni soif ; le vent brûlant et le soleil ne les frapperont plus. Lui, plein de compassion, les guidera, les conduira vers les eaux vives.
De toutes mes montagnes, je ferai un chemin, et ma route sera rehaussée.
Les voici : ils viennent de loin, les uns du nord et du couchant, les autres des terres du sud.
Cieux, criez de joie ! Terre, exulte ! Montagnes, éclatez en cris de joie ! Car le Seigneur console son peuple ; de ses pauvres, il a compassion.
Jérusalem disait : « Le Seigneur m’a abandonnée, mon Seigneur m’a oubliée. »
Une femme peut-elle oublier son nourrisson, ne plus avoir de tendresse pour le fils de ses entrailles ? Même si elle l’oubliait, moi, je ne t’oublierai pas.Mes Amis, toute histoire d'Amour a un souvenir
impérissable.
Le debout de la miènne avec Jésus a commencé
un jour dans mes larmes.
" Pourquoi toi ma mère n'as pas voulu de moi ?"
Elle était devenue ma question de chaque jour.
Comment cela peut-il se faire que la femme qui a
porté son enfant durant 9 mois, elle le laisse sans
un mot ?
Comment un enfant qui n'a pas vu sa mère, a cette soif
d'elle ?
Je lisais la bible, mais JAMAIS je n'avais tombé
sur ces mots...
" Une femme peut-elle oublier son nourrisson, ne plus avoir de tendresse pour le fils de ses entrailles ? Même si elle l’oubliait, moi, je ne t’oublierai pas. "
Je suis tombée à genoux. C'était mon histoire !
Dieu avait pensé à moi depuis toujours !
Depuis j'ai la réponse de toutes mes questions.
JE SUIS AIMEE DEPUIS TOUJOURS
C'est peut-être pour cela que je voudrais que
beaucoup trouvent une part de cet Amour.
Nous sommes débiteurs envers l'humanité, si en
recevant des cadeaux gratuitement, nous les gardons
pour nous. Si nous voulons les accumuler que pour nous.
Et pour ceux qui ne croient pas en Dieu, ou que se posent des
questions...Aussi vous avez des richeses de sagesse,
de connaissances...ne les gardez que pour vous.
Mettons tout sur la même table et partageons tout.
Imaginons, que ce soir une personne qui ne connait pas
la bible, lit ce texte comme je fis un jour...
Toi qui passes sur ce blog comme Céline l'autre jour.
Si tu te poses la même question que moi.
Je me porte garant de cette réponse :
Tu es AIMEE. Tu n'est pas née pour rien, par hazard.
Celui qui est mon Père et créateur, te dit comme à
moi :
" Une femme peut-elle oublier son nourrisson, ne plus avoir de tendresse pour le fils de ses entrailles ? Même si elle l’oubliait, moi, je ne t’oublierai pas. "
TU ES AIMEE !!!
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Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 5,1-16.
À l’occasion d’une fête juive, Jésus monta à Jérusalem.
Or, à Jérusalem, près de la porte des Brebis, il existe une piscine qu’on appelle en hébreu Bethzatha. Elle a cinq colonnades,
sous lesquelles étaient couchés une foule de malades, aveugles, boiteux et impotents.
Il y avait là un homme qui était malade depuis trente-huit ans.
Jésus, le voyant couché là, et apprenant qu’il était dans cet état depuis longtemps, lui dit : « Veux-tu être guéri ? »
Le malade lui répondit : « Seigneur, je n’ai personne pour me plonger dans la piscine au moment où l’eau bouillonne ; et pendant que j’y vais, un autre descend avant moi. »
Jésus lui dit : « Lève-toi, prends ton brancard, et marche. »
Et aussitôt l’homme fut guéri. Il prit son brancard : il marchait ! Or, ce jour-là était un jour de sabbat.
Les Juifs dirent donc à cet homme que Jésus avait remis sur pieds : « C’est le sabbat ! Il ne t’est pas permis de porter ton brancard. »
Il leur répliqua : « Celui qui m’a guéri, c’est lui qui m’a dit : “Prends ton brancard, et marche !” »
Ils l’interrogèrent : « Quel est l’homme qui t’a dit : “Prends ton brancard, et marche” ? »
Mais celui qui avait été rétabli ne savait pas qui c’était ; en effet, Jésus s’était éloigné, car il y avait foule à cet endroit.
Plus tard, Jésus le retrouve dans le Temple et lui dit : « Te voilà guéri. Ne pèche plus, il pourrait t’arriver quelque chose de pire. »
L’homme partit annoncer aux Juifs que c’était Jésus qui l’avait guéri.
Et ceux-ci persécutaient Jésus parce qu’il avait fait cela le jour du sabbatMes Amis, ce n'est pas toujours facile de tendre la
main pour demander : Peux-tu m'aider ?
On n'est pas habitué à demander. On peut rester comme
cet homme de l'évangile trente-huit ans...
On est habitués à se battre tout seul. Mais comme pour
cet homme, un jour, QUELQU'UN... -comme ce fut pour
moi- nous demande : " Veux-tu être guéri ?" Jésus
savait trés bien que je voulais être guérie, mais
je n'osais pas demander. Demander quelque chose pour les
autres c'est plus facile.
Dans l'Amour, il ne s'agit pas que de donner... il faut avoir
l'humilité d'accepter l'autre comme un don. Et c'est
à partir de là, que le miracle de la VIE se réalise.
Dans ce passage de l'évangile, Jésus demande à
homme malade de prendre son brancard et de marcher.
Il aurait pu lui dire : " tu es guéri " mais Jésus lui demande
sa collaboration, sa confiance.
Dans notre vie de tout le jour, nous sommes confrontés
les uns aux autres. J'aime beaucoup ce qui se passe
dans les petits détails du métro à Paris. J'ai vu de
comportements pas exemplaires, mais je garde
ceux que je ne pourrrai pas oublier. Un geste, un mot,
un sourire. C'est un peut comme "le jour de sabbat"
où dans ce lieu des peurs qui paralysent les uns et
les autres, le mieux ça serait de rien faire. Et c'est là
précisement, que L'Amour nous permet tout. Fuir la peur
pour devenir accessible à la fraternité.
Un jour, j'ai vu en entrant dans un wagon du métro,
un homme isolé car les autres lui avaient laissé toute
la place. J'ai compris que quelque chose se passait.
Je me suis assise à coté de cet homme. On s'est regardé
et il m'a fait un grand sourire. Cet homme était
comme moi, un être humain.
NE TE DEROBES PAS
A TON FRERE
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« Que tous, ils soient un, comme Toi, Père, tu es en moi, et moi en toi ».
« Que leur unité soit parfaite ».
-Jésus-
Mes Amis, aujourd'hui je n'ai pas assez de temps.
Je voudrais vous partager mon rêve ...
Un rêve fou, que seulement nous pouvons le
faire devenir REALITE.
Devenir fabricants d'unité, de paix.
Je vous assure que cela peut se faire...à partir de
nos blogs dans la toile de notre terre.
Je me dis, que comme vous avez écouté dans la
video, on est chacun différent. Pourquoi pas créer,
un immense château sans murs ni clées, où chacun
puisse se sentir bien avec les autres...bien... chez
nous ! Et l'on donnerais un nom à notre château :
RESPECT ET FRATERNITE
Ne pas demander à l'autre de vivre ce qu'il ne
désire pas. Laisser à l'autre être sois même.
Cela peut devenir contagieux !!!
L'Amour et la fraternité ne peut devenir que plus
d'unité entre chacun de nous.
Merci Jésus de cette journée et des rencontres si belles.
Pour ceux que vont être baptisés la nuit de Pâques.
MERCI POUR LA VIE
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Psaume 137(136),1-2.3.4-5.6.
Au bord des fleuves de Babylone
nous étions assis et nous pleurions,
nous souvenant de Sion ;
aux saules des alentours
nous avions pendu nos harpes.
C'est là que nos vainqueurs
nous demandèrent des chansons,
et nos bourreaux, des airs joyeux :
« Chantez-nous, disaient-ils,
quelque chant de Sion. »
Comment chanterions-nous un chant du Seigneur
sur une terre étrangère ?
Si je t'oublie, Jérusalem,
que ma main droite m'oublie !
Je veux que ma langue s'attache à mon palais
si je perds ton souvenir,
si je n'élève Jérusalem,
au sommet de ma joie.Le souvenir indéfectible de Jérusalem interdit aux déportés de se prêter, fût-ce matériellement sans que le cœur y soit, à ce qui leur est demandé. Ici, le psalmiste demande que, s’il oublie Jérusalem, sa main devienne incapable de jouer de la harpe et que sa langue devienne incapable de chanter. C’est le seul souvenir de Jérusalem qui est le sommet de la joie. Son cœur n’est pas partagé entre Jérusalem et Babylone ; il appartient tout entier à la patrie et à la foi de son peuple. L’amour dû à Jérusalem est un amour farouche et jaloux ! Le psaume offre un exemple d’attachement indéfectible à Dieu, un attachement intransigeant, qui ignore les compromissions, qui ne pactise pas avec le mal ; pas de demi-mesures, pas d’hésitations.
La sortie d'Egipte
Mes Amis, je fais cet article en pensant à TOUS.
Chrétiens, non croyants, chercheurs de Jésus.
Pour vous qui contemplez la beauté de la création
et que avez besoin que de cela. Pour tous, car mon
coeur est fait pour l'Amitié et la fraternité.
Que personne se sente exclu !
Que personne dans ce blog se sente dans une terre
étrangère !!!
GOD BLOG YOU
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Pensée sans ordre concernant l’amour de Dieu:
-Simone Weil philosophe-
Simone Weil constate que rien ne peut véritablement combler l’homme. La vie est une suite de désirs, dès que l’un est satisfait, l’on se met aussitôt à désirer autre chose. Même les révolutionnaires ne seraient pas satisfaits si la révolution réussissait, parce qu’ils y perdraient leur raison de vivre. La vie n’est supportable que par le mensonge. Le mal est un mélange de souffrance et de péché. Et nous avons tendance à reporter le mal qui est en nous sur ce qui nous entoure. Mais si nous nous reportons ce mal sur quelque chose de totalement pur, le mal est vaincu peu à peu. Le Notre Père et l’adoration du Saint sacrement sont des choses tout à fait pures qui nettoient le mal en nous. Les textes et objets sacrés, la nature, les humains en qui Dieu habitent et les oeuvres d’art d’inspiration divine sont les seuls objets purs ici-bas et viennent de la présence de Dieu dans notre monde. Le contact avec ces objets purs transforme le mal en nous en amour. Simone Weil utilise ensuite une sorte de parabole agricole où Dieu est le soleil et Jésus la chlorophylle nécessaire à la vie, c’est une image de la Grâce. Pour elle, la vie réelle des agriculteurs est difficile et monotone, ce qui leur permet de se tourner plus facilement vers Dieu.
I – ELEMENTS BIOGRAPHIQUE :
Des éléments biographiques tout d’abord.
Simone WEIL est née en 1909.
Elle est décédée en 1943 à Ashford en Angleterre, des suites de la tuberculose.
Nous fêterons en 2013 les 70 ans de sa disparition.
Elle est née dans une famille d’origine juive, mais agnostique. Elle est la fille d’un médecin, acquis à la pensée positiviste de la science de son époque. Elle est fortement marquée par son frère – André Weil – enfant prodige, de trois ans son aîné.
Elle obtient en 1925 le baccalauréat de philosophie à l’âge de 16 ans et entre au Lycée Henri IV où elle a pour professeur le philosophe ALAIN, qui restera son maître.
Elle entre à l’école normale supérieure en 1928 et obtient son agrégation de philosophie en 1931 et entame une carrière d’enseignante.
Enseignante au Puy, elle se joint au mouvement de grève des ouvriers, ce qui provoque un scandale.
Elle milite au sein de l’enseignement, écrit des revues et rejoint le cercle communiste démocratique de Boris Souvarine. Elle est communiste antistalinienne.
A l’été 1932, elle passe quelques semaines en Allemagne pour comprendre la montée en puissance du Nazisme et écrit dès son retour des articles dont il est dit qu’ils étaient d’une grande lucidité.
En 1934-35, elle abandonne provisoirement son métier d’enseignante pour travailler comme ouvrière chez Alstom puis chez Renault. Elle écrira ses impressions d’usine.
Sa mauvaise santé l’oblige à quitter l’Usine. Elle redevient enseignante et donne une partie de ses revenus à la « Caisse de Solidarité des mineurs ».
Elle prend part aux grèves de 1936 puis à la Guerre civile espagnole pour combattre Franco.
Petit à petit, elle se rapproche du christianisme à partir de l’année 1938 et sera accompagné par le Père Joseph-Marie Perrin à Marseille où elle se réfugie en 1940 - 1942.
En 1942, elle emmène ses parents en sécurité aux Etats-Unis puis rejoint – elle-même – la Grande Bretagne où elle s’engage au sein de la France Libre du général de Gaulle, notamment comme rédactrice.
Déçu par le refus de l’organisation de la voir rejoindre la résistance sur le terrain, elle quitte l’organisation de la France libre.
Elle décède au sanatorium d’Ashford, le 24 août 1943, à l’âge de 34 ans, atteinte de tuberculose.
D’après les témoignages du médecin légiste, elle se serait laissée mourir de faim.
Le moceau de musique de ma conversion
MERCI....
Les cieux racontent la gloire de Dieu
L’étendue céleste manifeste l’œuvre de ses mains
Le jour en instruit un autre jour
La nuit en donne connaissance à une autre nuit
Ce n’est pas un langage, ce ne sont pas des paroles
Dont le son ne soit point entendu
Leurs retentissements parcourent la terre
Leurs accents vont aux extrémités du monde. (Psaume 19.2-5)Merci Bruno de cette magnifique photo pleine de serenité
AIMER SON PROCHAIN
VAUT PLUS QUE TOUS
LES SACRIFICES ET
PRIERES
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Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 12,28b-34.
En ce temps-là, un scribe s’avança vers Jésus pour lui demander : « Quel est le premier de tous les commandements ? »
Jésus lui fit cette réponse : « Voici le premier : Écoute, Israël : le Seigneur notre Dieu est l’unique Seigneur.
Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force.
Et voici le second : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n’y a pas de commandement plus grand que ceux-là. »
Le scribe reprit : « Fort bien, Maître, tu as dit vrai : Dieu est l’Unique et il n’y en a pas d’autre que lui.
L’aimer de tout son cœur, de toute son intelligence, de toute sa force, et aimer son prochain comme soi-même, vaut mieux que toute offrande d’holocaustes et de sacrifices. »
Jésus, voyant qu’il avait fait une remarque judicieuse, lui dit : « Tu n’es pas loin du royaume de Dieu. » Et personne n’osait plus l’interrogerMon Ami Khayam, et vous tous mes Amis.
Je te remercie de ta question. Elle me permet
de bénir mon Créateur et mon tout. Peut-être que comme tu
me dis,on peut m'accusser de faire de
" Prosélytisme "
Mon Ami, je ne parle pas d'une doctrine, mais d'une
PERSONNE VIVANTE : Jésus
Ah si tu pouvais voir le film de ma vie...tu pourrais
comprendre sans doute. Lorsque l'on sort de l'enfert et que
quelqu'un te tend les bras comme Jésus l'a fait, alors
on ne peut vivre que par Lui. Je l'Aime plus qu'à ma vie.
Et c'est pour cela, que je partage ma foi et ma Joie.
Selon les temps où l'on vit, oui, on peut m'interdire
de porter ma croix en bois, et peut-être m'accuser de
prosélytisme, vouloir m'ôter la vie, mais personne pourra
jamais me séparer de mon Jésus.
Tu me dis de parler d'autre chose. Je le fais parfois,
mais mon blog est fait pour partager ma foi à ceux
qui le voudront. Il est ouvert à tous. Je partage aussi mes
points de vue sur les injustices, sur la défense de la vie,
et tant des autres choses. Voilà, je crois que je viens
de répondre à tes questions. Pour ma vie, elle est
vite raconté. Je suis fille naturelle, la vie au pensionnat,
et aide soignante -soins palliatifs-...
Sur l'évangile....
Question : Parlez-nous d'abord de l'amour de Dieu. Il est entendu qu'il faut aimer Dieu, mais comment faut-il l'aimer ? ...
Réponse : L'amour envers Dieu ne s'enseigne pas. Personne ne nous a appris à jouir de la lumière ni à tenir à la vie par-dessus tout ; personne non plus ne nous a enseigné à aimer ceux qui nous ont mis au monde ou nous ont élevés. De la même façon, ou plutôt à plus forte raison, ce n'est pas un enseignement extérieur qui nous apprend à aimer Dieu. Dans la nature même de l'être vivant — je veux dire de l'homme — est déposé une sorte de germe qui contient en lui le principe de cette aptitude à aimer. C'est à l'école des commandements de Dieu qu'il appartient de recueillir ce germe, de le cultiver diligemment, de le nourrir avec soin, et de le porter à son épanouissement moyennant la grâce divine.
Il faut savoir que cette vertu de charité est une, mais qu'en puissance elle embrasse tous les commandements : « Car celui qui m'aime, dit le Seigneur, accomplit mes commandements » (Jn 14,23), et encore : « Dans ces deux commandements sont contenus toute la loi et les prophètes » (Mt 22,40)." Aimez-vous les uns, les autres comme JE vous ai aimés ! "
GOD BLESS YOU
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Merci Liliane
Jeudi de la 3e semaine de Carême
Livre de Jérémie 7,23-28.
Ainsi parle le Seigneur : Voici l’ordre que j’ai donné à vos pères : « Écoutez ma voix : je serai votre Dieu, et vous, vous serez mon peuple ; vous suivrez tous les chemins que je vous prescris, afin que vous soyez heureux. »
Mais ils n’ont pas écouté, ils n’ont pas prêté l’oreille, ils ont suivi les mauvais penchants de leur cœur endurci ; ils ont tourné leur dos et non leur visage.
Depuis le jour où vos pères sont sortis du pays d’Égypte jusqu’à ce jour, j’ai envoyé vers vous, inlassablement, tous mes serviteurs les prophètes.
Mais ils ne m’ont pas écouté, ils n’ont pas prêté l’oreille, ils ont raidi leur nuque, ils ont été pires que leurs pères.
Tu leur diras toutes ces paroles, et ils ne t’écouteront pas. Tu les appelleras, et ils ne te répondront pas.
Alors, tu leur diras : Voilà bien la nation qui n’a pas écouté la voix du Seigneur son Dieu, et n’a pas accepté de leçon ! La vérité s’est perdue, elle a disparu de leur bouche.Mes Amis, nous sommes envahis par le bruit. Pas seulement
celui de la rue...le silence nous fait peur. Que va-t-il
nous arriver dans le silence ? Nous avons peur de
nous retrouver face à face. C'est dommage, c'est le
silence interieur qui nous fortifie. C'est dans ce silence,
que Jésus nous parle. Nous avons peur de nous trouver
faibles, pécheurs, pas si bien que les autres nous croient.
Et c'est dans le silence que Jésus guérit nos blessures.
Jamais il nous fera des remontrances, Il n'est qu'Amour.
Il nous conduit par l'Amour et ce qu'il désire c'est
notre bonheur.
N'aie pas peur ! allez rentre dans ton coeur profond.
Allez, faisons l'expérience juste deux fois...et
comme on dit : il n'y a pas deux sans troix !
Je me souviens lorsque j'était au Carmel. Au petit matin...
dans l'ombre, à la chapelle, assise par terre. Ah, ces
moments je ne les aurais manqué pour rien au monde.
N'ayons pas peur d'aller nous asseoir en silence...écouter
le silence. Je vous promet que vous sortirez heureux.
Rentrons comme le Prophète Elie dans la grotte de
notre coeur pour entendre la voix de Dieu.
Dans notre génération, Dieu possède aussi un reste fidèle,
qui ne s’est pas incliné devant les idoles de notre époque.
A l’époque d’Elie, le dieu Baal promettait à
ses adorateurs le succès, la réputation et la
prospérité. Ceux qui embrassaient les pieds
de l’idole recherchaient un plein
accomplissement dans tous les domaines du
matérialisme et de la sensualité.
Qui étaient ces adorateurs de Baal ? Des membres du peuple
élu de Dieu, d’anciens adorateurs de Yaweh qui avaient
rétrogradé.
Aujourd’hui encore, nous voyons que ce même esprit de Baal saisit toute notre nation. A Wall Street, au fronton de la Bourse Américaine, nous pouvons voir l’image de ce dieu païen.
On recherche une prospérité toujours plus grande, de grandes richesses, la gloire et la réussite humaine. Voilà les dieux devant lesquels notre nation s’incline !
Aujourd’hui, je peux dire honnêtement que toutes les
bénédictions que j’ai reçues sont dues à ces précieux moments
passés avec le Seigneur, tôt le matin.
J’étais caché. Personne ne me voyait. Mais Dieu connaissait
mon adresse !
« En voilà un qui m’a donné tout son cœur ! Il a les yeux fixés sur moi ! Et il m’appartient totalement ! »
ALLONS A LA SOURCE
DE L'EAU VIVE
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