• JésusImage faite par un Moine

     

    Seigneur, combien elle m'aidé de regarder cette image lors de mes trois mois de épuisement physique. Tu es en croix et pourtant, on dirait que c'est toi qui consoles à ceux qui souffrent. Ce regard n'a pas de reproche, ni des questions. C'est un regard pacifié. Combien des fois nous te laissons parce que souffrir fait peur. Finalement, le disciple qui te suivra devra suivre tes pas. Il y a des chemins plus difficiles...celui du jeune homme riche qui veut te suivre...mais qui vois cela impossible à cause de ses biens. Tu as choisi tes disciples...tu les connaissais et tu savais que tu te trouverais seul dans ta passion. C'est difficile Jésus de te suivre avec un coeur pur. Donnez-nous ta grâce.

     

     

                         Rose Jaune

     

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    C'est grâce à la Résurrection du Christ, que nous sommes nous mêmes des ressuscites avec lui. Notre vie n'est plus une vie quelconque mais une vie des enfants de Dieu. Si nous le croyons, nous serons témoins du Christ. Cependant nous avons aussi une liberté, qui nous donne la possibilité de pas suivre le Christ. Néanmoins, une chose est sûre, si nous revenons, il sera toujours les bras ouverts pour nous accueillir. Donnez-nous Seigneur ta grâce pour que nous restions toujours des enfants Aimants. 

     

     

                                                             Rose Jaune

     

     

     


    Le lundi de la 4e semaine de Carême

     

    Commentaire du jour 
    Saint Anastase d'Antioche (?-599), moine puis patriarche d'Antioche 
    Homélie 5, sur la Résurrection du Christ, 6-9 ; PG 89, 1358-1362 (trad. cf bréviaire, défunts)

     

    « Ton fils est vivant »

          « Si le Christ a connu la mort, puis la vie, c'est pour être le Seigneur des morts et des vivants » (Rm 14,9). Mais « Dieu n'est pas le Dieu des morts, il est le Dieu des vivants » (Lc 20,38). Donc, puisque ce Seigneur des morts est vivant, les morts ne sont plus des morts mais des vivants : la vie règne en eux, pour qu'ils vivent sans plus craindre la mort. De même que « le Christ, ressuscité des morts, ne meurt plus » (Rm 6,9), de même, relevés et libérés de leur état périssable, ils ne verront plus la mort. Ils participeront à la résurrection du Christ, comme lui-même a pris part à notre mort. En effet, le Christ n'est descendu sur terre que pour « broyer les portes de bronze et briser les verrous de fer » (Ps 106,16) qui étaient fermés depuis toujours, et pour arracher notre vie de son état périssable et nous attirer vers lui, nous appelant de l'esclavage à la liberté.

          Si ce plan de salut n'est pas encore accompli, car les hommes meurent encore et leurs corps se dissolvent dans la tombe, que ce ne soit nullement un obstacle pour la foi. Car dès maintenant nous avons reçu les arrhes de tous les biens qui nous sont promis, en la personne de celui qui est notre premier né : par lui nous sommes montés au plus haut des cieux. En effet, nous siégeons auprès de celui qui nous a emportés avec lui dans les hauteurs, comme saint Paul le dit : « Avec lui, Dieu nous a ressuscités et nous a fait asseoir dans les cieux avec le Christ » (Ep 2,6).    

     
     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    L'enfant qui reviens... le pêcheur que je suis... 

    Seulement celui qui se sait pécheur, peut comprendre la tendresse de son Père. Avoir de la peine de l'avoir quitté et surtout de l'avoir fait de la peine. Pour cela il faut avoir de l'humilité et s'accepter pécheur. Mais, qu'est que c'est que d'être pécheur ? Est-ce-que nous le savons ? En faite c'est quelqu'un qui veut marcher tout seul, avec sa propre volonté. On se rends pas compte que peu à peu on tourne le dos à notre Père... c'est assez subtile. C'est une tentation qui nous envahi peu à peu... jamais nous pensons que ce que nous faisons c'est un péché. 

    Dieu de tendresse et de pitié donne-moi de me reconnaître pécheur.

     

     

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    Quatrième dimanche de Carême (Laetare)
    Commentaire du jour 
    Saint Jean-Marie Vianney (1786-1859), prêtre, curé d'Ars 
    1er sermon sur la miséricorde de Dieu pour le 3ème dimanche après la Pentecôte

     

    « Il était perdu, et il est retrouvé »

          « J'ai bien mal fait d'avoir abandonné mon père qui m'aimait tant ; j'ai dissipé tout mon bien en menant une mauvaise vie ; je suis tout déchiré et tout sale, comment est-ce que mon père pourra me reconnaître pour son fils ? Mais je me jetterai à ses pieds, je les arroserai de mes larmes ; je lui demanderai de me mettre seulement au nombre de ses serviteurs »... Son père, qui pleurait depuis bien longtemps sa perte, le voyant venir de loin, oublia son grand âge et la mauvaise vie de ce fils, il se jeta à son cou pour l'embrasser. Ce pauvre enfant, tout étonné de l'amour de son père pour lui, s'écrie... : « Je ne mérite plus d'être appelé votre fils, mettez-moi seulement au nombre de vos serviteurs. —Non, non, mon fils, s'écrie le père..., tout est oublié, ne pensons plus qu'à nous réjouir. Qu'on lui apporte sa première robe pour l'en revêtir...; qu'on tue le veau gras et qu'on se réjouisse ; car mon fils était mort et il est ressuscité, il était perdu et il est retrouvé ».

          Belle figure, mes frères, de la grandeur de la miséricorde de Dieu pour les pécheurs les plus misérables !... Ô mon Dieu, que le péché est quelque chose d'affreux ! Comment peut-on le commettre ? Mais tout misérables que nous sommes, dès que nous prenons la résolution de nous convertir..., les entrailles de sa miséricorde sont touchées de compassion. Ce tendre Sauveur court, par sa grâce, au-devant des pécheurs, il les embrasse en les favorisant des consolations les plus délicieuses... Ô moment délicieux ! Que nous serions heureux si nous avions le bonheur de le comprendre ! Mais hélas, nous ne correspondons pas à la grâce, et alors, ces heureux moments disparaissent. Jésus Christ dit au pécheur par la bouche de ses ministres : « Que l'on revête ce chrétien qui est converti de sa première robe, qui est la grâce du baptême qu'il a perdue ; qu'on le revête de Jésus Christ, de sa justice, de ses vertus et de tous ses mérites » (cf Ga 3,27). Voilà, mes frères, la manière dont Jésus Christ nous traite quand nous avons le bonheur de quitter le péché pour nous donner à lui. Ah, quel sujet de confiance pour un pécheur, quoique bien coupable, de savoir que la miséricorde de Dieu est infinie !


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    On a tous besoin de la tendresse. Parfois ce sont les animaux qui la montrent. Dans cette histoire ce sont le deux, l'être humain et l'animal. C'est une histoire qui m'a touché. Je vous l'offre.

     

     

     

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    Le samedi de la 3e semaine de Carême
    Commentaire du jour 
    Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus (1873-1897), carmélite, docteur de l'Église 
    Manuscrit autobiographique C, 36r°-v°

     

    Par la confiance et l'amour

          Voici ma prière : je demande à Jésus de m'attirer dans les flammes de son amour, de m'unir si étroitement à lui, qu'il vive et agisse en moi. Je sens que plus le feu de l'amour embrasera mon cœur, plus je dirai : « Attirez-moi », plus aussi les âmes qui s'approcheront de moi (pauvre petit débris de fer inutile, si je m'éloignais du brasier divin), plus ces âmes « courront avec vitesse à l'odeur des parfums » de leur Bien-Aimé (Ct 1,4 LXX)...

          Ma Mère chérie, maintenant je voudrais vous dire ce que j'entends par l'odeur des parfums du Bien-Aimé. Puisque Jésus est remonté au ciel, je ne puis le suivre qu'aux traces qu'il a laissées, mais que ces traces sont lumineuses, qu'elles sont embaumées ! Je n'ai qu'à jeter les yeux dans le saint Évangile, aussitôt je respire les parfums de la vie de Jésus et je sais de quel côté courir. Ce n'est pas à la première place, mais à la dernière que je m'élance ; au lieu de m'avancer avec le pharisien, je répète, remplie de confiance, l'humble prière du publicain. Mais surtout j'imite la conduite de Marie Madeleine ; son étonnante ou plutôt son amoureuse audace, qui charme le cœur de Jésus, séduit le mien.

          Oui, je le sens, quand même j'aurais sur la conscience tous les péchés qui se peuvent commettre, j'irais le cœur brisé de repentir me jeter dans les bras de Jésus, car je sais combien il chérit l'enfant prodigue qui revient à lui (cf Lc 15,11s). Ce n'est pas parce que le bon Dieu, dans sa prévenante miséricorde, a préservé mon âme du péché mortel que je m'élève à lui par la confiance et l'amour. ( pte Thérèse)



     


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  • Cool la vie avec Titi

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        Mon frère, peut-être nous sommes nous rencontré un jour. Ai-je regardé vraiment ce regard que dit tant des choses sans mots ? Je te remercie car dans ton regard il n'y a pas de reproche mais de la tendresse qui cache ta souffrance.

    Je voudrais tant pouvoir te faire une bise !

     

                                                                                 Pâquerettes

     

     

    Il y a dans Paris des couples heureux et philosophes !                                                                                             

                                                                    Pâquerettes

     

     

     

                                                                            Et oui, il faut pouvoir dormir... dans le métro on a enlevé les bancs...

                                                                                                               Pâquerettes

     

     

     

    8 Février de Carême 2013    

     

                 Evangile de Jésus Christ selon saint Marc 12,28b-34.   



     

     

    Un scribe qui avait entendu la discussion, et remarqué que Jésus avait bien répondu, s'avança pour lui demander : « Quel est le premier de tous les commandements ? » 
    Jésus lui fit cette réponse : « Voici le premier : Écoute, Israël : le Seigneur notre Dieu est l'unique Seigneur. 
    Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force. 
     


    Voici le second : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n'y a pas de commandement plus grand

     

    que ceux-là. » 
    Le scribe reprit : « Fort bien, Maître, tu as raison de dire que Dieu est l'Unique et qu'il n'y en a pas d'autre que lui. 
    L'aimer de tout son cœur, de toute son intelligence, de toute sa force, et aimer son prochain comme soi-même, vaut mieux que toutes les offrandes et tous les sacrifices. » 
    Jésus, voyant qu'il avait fait une remarque judicieuse, lui dit : « Tu n'es pas loin du royaume de Dieu. » Et personne n'osait plus l'interroger


     

     

     

     

                                       Le commandement de l'Amour

          « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, et de tout ton esprit. » Tel est le commandement du grand Dieu, et il ne peut pas commander l'impossible. L'amour est un fruit de toute saison et toujours à portée de main. Chacun peut le cueillir, sans limite. Tout le monde peut accéder à cet amour par la méditation, un esprit de prière et de sacrifice, par une vie intérieure intense...

         
          S'il n'y a nulle limite, c'est parce que Dieu est amour (1Jn 4,8) et que l'amour est Dieu. Ce qui nous lie à Dieu est vraiment une relation d'amour. Et puis l'amour de Dieu est infini. Y avoir part c'est aimer et donner jusqu'à ce que cela nous en coûte. Voilà pourquoi il ne s'agit pas tant de ce que nous faisons que de l'amour que nous y mettons, de l'amour que nous mettons dans ce que nous donnons. Voilà aussi pourquoi les gens qui ne savent ni donner ni recevoir l'amour sont, quelles que soient leurs richesses, les plus pauvres des pauvres.     -Mère Teresa de Calcuta-

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    Le jeudi de la 3e semaine de Carême



    Livre de Jérémie 7,23-28. 
    Parole du Seigneur. Voici l'ordre que j'ai donné à vos pères : " Soyez attentifs à ma voix. Alors je serai votre Dieu, et vous serez mon peuple; suivez jusqu'au bout la route que je vous prescris, et vous serez heureux." 
    Mais ils n'ont pas écouté, ils n'ont pas prêté l'oreille, ils ont suivi les mauvais conseils de leur cœur obstiné ; ils ont reculé au lieu d'avancer. 
    Depuis le jour où vos pères sont sortis d'Égypte jusqu'à aujourd'hui, j'ai envoyé vers vous tous mes serviteurs, les prophètes, je les ai envoyés inlassablement. 
    Mais vous ne m'avez pas écouté, vous n'avez pas prêté l'oreille, vous avez raidi votre cou, vous avez été pires que vos pères. » 
    Tu auras beau leur répéter ces paroles, ils ne t'écouteront pas davantage. Tu pourras les appeler, ils ne répondront pas. 
    Tu leur diras alors : « Voilà bien la nation qui n'a pas été attentive à la voix du Seigneur son Dieu, et ne s'est pas laissé former par lui ! La fidélité est morte ; on n'en parle plus. »

                                             separation de textes Le Seigneur donne à son peuple la route à suivre pour être un peuple heureux, mais ils ne l'écoutent pas. Tous les envoyés et prophètes parlent aussi, mais personne écoute. C'est un peuple à la nuque raide

    Donnez-nous Seigneur un Coeur qui écoute.

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