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Par nanipeinture le 24 Novembre 2022 à 20:04
Solution Mesurée et humaine
Loi Veil : dispositions particulières du recours à l'IVG
Si sa dépénalisation est votée en 1975, à l'époque, l'IVG ne peut être pratiquée que sous certaines conditions :
- le médecin et le personnel soignant peuvent refuser de pratiquer l'IVG ;
- l'IVG ne se pratique qu'en établissement de santé ou chez un praticien conventionné avec un tel établissement ;
- l'état de grossesse doit placer la femme dans une situation de détresse ;
- l'autorisation parentale est obligatoire pour les mineures non émancipées ;
- un délai de réflexion de 7 jours minimum doit être respecté avant l'IVG ;
- le délai légal de l'IVG est de 10 semaines de grossesse ;
- la sécurité sociale ne rembourse pas l'IVG.
Les députés ont voté en première lecture ce jeudi 24 novembre l’inscription du droit à l’avortement dans la Constitution. Un vote intervenant dans le cadre de la niche parlementaire de La France insoumise.
L’Assemblée nationale s’est prononcée massivement en faveur de l’inscription dans la Constitution française du « droit à l’interruption volontaire de grossesse » ce jeudi 24 novembre. Les députés ont adopté en première lecture à 337 voix contre 32 la proposition de loi portée par La France Insoumise (LFI) dans le cadre de la niche parlementaire du groupe.
Le parti de la majorité présidentielle, Renaissance, avait décidé dans la journée de soutenir le texte porté par Mathilde Panot, chef de file de LFI. Les deux partis s’étaient accordés sur la formulation suivante : « La loi garantit l’effectivité et l’égal accès au droit à l’interruption volontaire de grossesse ». La proposition de loi concurrente portée initialement par Aurore Bergé, qui devait être examinée le 28 novembre, ne le sera finalement pas. Le Rassemblement National, quoique divisé sur la question, a finalement voté à 38 voix pour le texte de LFI, Marine le Pen en tête. Pour les LR, c’est un « oui » à 13 voix, contre 7 « non ».
Si l’adoption massive du texte à l’Assemblée semble être une avancée décisive, rien n’est encore gagné. Pour que la loi soit adoptée, il faut qu’elle soit également adoptée par le Sénat. Ce dernier étant réputé plus conservateur, l’adoption de la proposition est moins certaine. Il avait rejeté une première fois la proposition de loi constitutionnelle transpartisane le 19 octobre. Ultime étape, si le Sénat venait à changer d’avis : le référendum.
Entre 14,16 semaines et sans doute plus.
Ma question :
Où, un petit mot, juste un tout petit, en parlant du droit de l'enfant qui devait vivre ?
La vie ne serait-il pas UN DROIT FONDAMENTAL ?
C'est vite fait !
"L'avortement par aspiration ne dure qu'une dizaine de minutes et il est réalisé en ambulatoire, ce qui signifie que la patiente rentre chez elle au bout de quelques heures", poursuit la gynécologue.
Le parti de la majorité présidentielle, Renaissance, avait décidé dans la journée de soutenir le texte porté par Mathilde Panot, chef de file de LFI.
En vertu de la Convention européenne des droits de l’homme, le droit à la vie de toute personne est protégé par la loi !
4 commentaires -
Par nanipeinture le 23 Novembre 2022 à 19:47
Très bonne plume Xavier Patier. Très pauvre la mienne.
Je crois que l'Église Catholique traverse un drame, déjà vécu du temps du Christ. Malgré Les miracles, accomplis devant les yeux des disciples, Jésus dû les mettre devant un oui ou un non... devant les exigences, face à la vérité.
À partir de ce moment, beaucoup de ses disciples s’en retournèrent
et cessèrent de l’accompagner.
Alors Jésus dit aux Douze :
« Voulez-vous partir, vous aussi ? »
Simon-Pierre lui répondit :
« Seigneur, à qui irions-nous ?
Tu as les paroles de la vie éternelle.Déjà, il y avait ce rêve de savoir qui serait le plus grand. Alors, oui, l'Église traverse une épreuve, mais je crois que c'est une épreuve qui portera son fruit. On ne restera pas dans l'Église du Christ pour avoir une place, mais pour LUI. Ceux qui sont responsables… prêtres, évêques, archevêques et laïcs trouveront la vraie place, celle de disciples, pour reconnaître que la tête, c'est le Christ.
Beaucoup de catholiques estiment que notre Église traverse, avec le drame des crimes sexuels, les églises vides et les chrétiens divisés, une crise de l’identité. Pour l’écrivain Xavier Patier, la crise que traverse l’Église est une crise de la foi.
Ces temps-ci, nous nous représentons volontiers notre Église comme une entité plurielle, pécheresse, identitaire et repliée. Des voix autorisées annoncent un schisme et suggèrent que la trahison de certains clercs discrédite le message ecclésial pour « au moins quarante ans », et même, je cite, que nous avons devant nous une « génération perdue ».
À quoi songez-vous, chaque dimanche, quand vous affirmez à haute voix que l’Église est une, sainte, catholique et apostolique ?
Hommes de peu de foi ! À quoi songez-vous, chaque dimanche, quand vous affirmez à haute voix que l’Église est une, sainte, catholique et apostolique ? Car vous ne dites pas que vous désirez de tout votre cœur que l’Église soit une, sainte, catholique et apostolique ; vous ne dites pas qu’il faut absolument que l’Église soit une, sainte, catholique et apostolique : vous dites qu’elle l’est. Vous le dites tous ensemble. C’est dans votre credo.
Contre toute apparence
Alors de deux choses l’une, soit le symbole de Nicée-Constantinople énonce des erreurs, et dans ce cas mieux vaut aller à la pêche qu’à la messe, et mieux vaut définitivement se taire et passer à autre chose, soit il énonce la Vérité, et alors oui, contre toute apparence, notre Église est bel et bien une, sainte, universelle et envoyée pour enseigner les nations.
Pas pour séduire les nations : pour les enseigner. Pas pour plaire aux puissants : pour leur dire la Vérité. Pas pour asséner une vérité qu’elle possède, mais pour témoigner de la Vérité qui la possède. Pas pour battre sa coulpe devant tous les tribunaux médiatiques de la terre : pour annoncer le Christ. Pas pour se lamenter sur les péchés : pour les pardonner. Mais comment enseigner le Christ lorsqu’on a cessé de croire à ce qu’Il enseigne ? Comment enseigner le Christ quand on s’imagine que c’est le péché qui décide de tout ? En retrouvant la foi.
Beaucoup des nôtres estiment que notre Église traverse, avec le drame des crimes sexuels, les églises vides et les chrétiens divisés, une crise de l’identité. En réalité, elle traverse une crise de la foi, aboutissement logique de trois siècles de déconstruction de Dieu par la culture occidentale. On pourrait même affirmer que cette crise de la foi était parfaitement prévisible. Et donc que, les causes cessant bientôt, cette crise sera un cap à passer, comme il y en a eu et comme il y en aura d’autres.
Le Christ est venu sauver ce qui était perdu
Nous passerons ce cap au moyen de la foi. Pourquoi croyons-nous saint Paul quand il proclame que dans le Christ, « il n’y a plus ni Juif ni Grec, ni esclave ni homme libre, ni homme ni femme », et restons-nous persuadés qu’il y aura toujours des musulmans et des chrétiens, et parmi ces derniers (à qui Jésus a dit : « soyez un ») des tradis et des progressistes, des abonnés à Famille chrétienne et des lecteurs de Golias, des catholiques de droite et des catholiques de gauche ? On nous parle aussi de « génération perdue ». Mais c’est une idée du diable que de perdre une génération.
Le Fils de l’homme est venu « sauver ce qui était perdu » (Lc 19, 10). Il n’est pas venu condamner une génération. Il est venu sauver toutes les générations. Il n’abandonne aucun pécheur, fût-il clerc, fût-il mitré. Nos évêques dans la tempête crient leur détresse : « Au secours Seigneur, nous périssons ! » (Mc 4, 38). Et nous pensons que le Seigneur ne les sauverait pas ? Bien sûr qu’Il les sauvera. Il les a déjà sauvés. Quand les clercs crient au secours, quand un instant ils cessent de faire du jus de crâne pour supplier Jésus du fond de leur détresse, alors notre Église se met à ressembler à ce qu’elle est : une, sainte, catholique et apostolique.
Xavier Patier
Plume de Jacques Chirac entre autres.
2 commentaires -
Par nanipeinture le 22 Novembre 2022 à 20:13
Se trouve dissimulé derrière son doux pelage un animal très intelligent, qui est capable d'exprimer des émotions, qui peut identifier les membres de son troupeau et qui crie d'une manière unique et incomparable. Beeeeee !
Bonne nuit ! Beeeeeee
10 commentaires -
Par nanipeinture le 21 Novembre 2022 à 19:19
Le festival "Théâtre à Boulogne" s’ouvre ce mardi 22 novembre et durera jusqu’au 2 décembre. Plusieurs pièces très diverses sont au programme, avec, comme ambition, de plonger le spectateur dans six univers singuliers et, selon les mots de Clotilde Fourrier, l’une des organisatrices, de réunir en "un seul lieu des artistes dont les pièces, les parcours et la foi résonnent et se complètent".
Bernanos, Charles de Foucauld, la conversion d’une Parisienne, « un petit miracle » le soir de Noël et les grands textes sur la Vierge mis en musique : c’est le programme que propose le premier festival de théâtre entièrement chrétien. Le festival « Théâtre à Boulogne », qui commence ce mardi 22 novembre, offre, pour sa toute première édition, une programmation pour tous les goûts. Cinq pièces de théâtre seront données, qui ont toutes en commun de contenir une forte dimension spirituelle. Seront ainsi représentées les pièces Je danserai pour toi, Le fabuleux voyage de Mademoiselle Rose, Charles de Foucauld, frère universel, Le Paradis des robots, À l’homme que j’aimeetStella Maris.
Créé cette année, le Festival de Boulogne se tiendra pendant dix jours, a pour ambition de soutenir et encourager les acteurs dans leur travail de « médiation entre l’homme et Dieu » selon Clotilde Fourrier, par le témoignage, la musique, ou l’humour. Les organisateurs espèrent le succès de cette première édition et qu’elle sera prolongée l’année prochaine.
Je danserai pour toi - 24 novembre 20h30
4 commentaires -
Par nanipeinture le 20 Novembre 2022 à 21:10
EN FRANCE…
"La règle, c'est de chauffer à 19 °C donc s'il fait 15 °C, naturellement, vous pouvez allumer votre chauffage"
On vous attend avec impatience !
Au Qatar…
Le capitaine des Bleus Hugo Lloris a annoncé ce lundi en conférence de presse qu’il n'arborera pas le brassard arc-en-ciel LGBT au Qatar, lors de la Coupe du monde.
Environ 3 000 tuyaux apportent de l'air frais dans le Khalifa stadium, à Doha. (GIUSEPPE CACACE / AFP)
"C’est vrai que l’empreinte écologique, aujourd’hui ici, on n’en tient pas compte", tranche Bernard Amsalem, l'ancien président de la Fédération française d'athlétisme. Le débat sur la pertinence de l'organisation des championnats du monde à Doha, au Qatar, fait rage. Des marathoniennes et des marcheurs ont été vus en pleine détresse, concourant sous plus de 40 degrés. Mais en plein débat sur l'urgence climatique, un autre suscite une vive polémique : pour faire face à cette chaleur étouffante, les athlètes évoluent dans un stade climatisé.
"On est tout à fait dans le sens contraire, on est à des années-lumière de ce qu’il faudrait faire compte-tenu de l’urgence", poursuit Bernard Amsalem, qui n'avait pas voté pour le Qatar lors de l'attribution de ces Mondiaux.
Il faut dire que 3 000 tuyaux viennent cracher de l'air frais dans le Khalifa stadium, un stade à ciel ouvert, pour faire tomber la température extérieure de 40 à 25 degrés au bord de la piste.
Ça va bien se passer !
Mon chat me dit cela chaque jour…
5 commentaires
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