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    Mes amis la meilleur part dont parle Jésus dans

    cet Evangile c'est Jésus lui même. Je vous laisse avec

    notre très chère pte Thérèse de l'Enfant Jésus

     

     

    Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 10,38-42.

     

    Alors qu'il était en route avec ses disciples, Jésus entra dans un village. Une femme appelée Marthe le reçut dans sa maison.
    Elle avait une sœur nommée Marie qui, se tenant assise aux pieds du Seigneur, écoutait sa parole.
    Marthe était accaparée par les multiples occupations du service. Elle intervint et dit : « Seigneur, cela ne te fait rien ? Ma sœur me laisse seule à faire le service. Dis-lui donc de m'aider. »
    Le Seigneur lui répondit : « Marthe, Marthe, tu t'inquiètes et tu t'agites pour bien des choses.
    Une seule est nécessaire. Marie a choisi la meilleure part : elle ne lui sera pas enlevée. »

     

     

    Commentaire du jour
     

    Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus (1873-1897), carmélite,

    docteur de l'Église

    « Marie a choisi la meilleure part »

          Une âme embrasée d'amour ne peut rester inactive ; sans doute comme Sainte Madeleine elle se tient aux pieds de Jésus, elle écoute sa parole douce et enflammée. Paraissant ne rien donner, elle donne bien plus que Marthe qui se tourmente de beaucoup de choses et voudrait que sa sœur l'imite. Ce ne sont point les travaux de Marthe que Jésus blâme ; ces travaux, sa divine Mère s'y est humblement soumise toute sa vie puisqu'il lui fallait préparer les repas de la Sainte Famille. C'est l'inquiétude seule de son ardente hôtesse qu'il voulait corriger.

          Tous les saints l'ont compris et plus particulièrement peut-être ceux qui remplirent l'univers de l'illumination de la doctrine évangélique. N'est-ce point dans l'oraison que les Sts Paul, Augustin, Jean de la Croix, Thomas d'Aquin, François, Dominique et tant d'autres illustres amis de Dieu ont puisé cette science divine qui ravit les plus grands génies ? Un savant a dit : « Donnez-moi un levier, un point d'appui, et je soulèverai le monde. » Ce qu'Archimède n'a pu obtenir, parce que sa demande ne s'adressait point à Dieu et qu'elle n'était faite qu'au point de vue matériel, les saints l'ont obtenu dans toute sa plénitude. Le Tout-Puissant leur a donné pour points d'appui : Lui-même et Lui seul ; pour levier : l'oraison, qui embrase d'un feu d'amour, et c'est ainsi qu'ils ont soulevé le monde. C'est ainsi que les saints encore militants le soulèvent et que, jusqu'à la fin du monde, les saints à venir le soulèveront aussi.

     

    Merci Fernande !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    GOD BLESS YOU TO

     

     

     

     

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    Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 10,25-37.

    Pour mettre Jésus à l'épreuve, un docteur de la Loi lui posa cette question : « Maître, que dois-je faire pour avoir part à la vie éternelle ? » 

    Jésus lui demanda : « Dans la Loi, qu'y a-t-il d'écrit ? Que lis-tu ? »
    L'autre répondit : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de tout ton esprit, et ton prochain comme toi-même. »
    Jésus lui dit : « Tu as bien répondu. Fais ainsi et tu auras la vie. »
    Mais lui, voulant montrer qu'il était un homme juste, dit à Jésus : « Et qui donc est mon prochain ? »

     

     

     

     

     

     

    Mes Amis 

    Pour mettre Jésus à l'épreuve, un docteur de la Loi lui posa cette question : « Maître, que dois-je faire pour avoir part à la vie éternelle ? » 

    Mais, qui donc est mon prochain ? Je dois me le demander

    chaque jour. Jusqu'à ce que dans mon coeur si

    dur, j'ai gravé au fer rouge.

     

    « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de tout ton esprit, et ton prochain comme toi-même. »

    L'Evangile d'aujourd'hui nous propose la histoire

    du Bon Samaritain.

    Cependant je vais me risque au delà de cette Evangile.

     

    On peut avoir bon coeur, être génereux. Mais cela est

    aussi fait, et que des fois, par ceux qui ne connaissent pas

    Jésus. 

    L'Amour est une source. Mais elle peut se tarir.

    SEUL JESUS EST LA SOUCE INTERISABLE

    C'est à partir de notre fusion avec Jésus, que nous

    pouvons aprendre de Lui comme AIMER, 

    COMME REGARDER CE PROCHAIN.

    Car nous voyons ce que Jésus nous fait comprendre

    dans l'Evangile du Bon Samaritain : Trois personnes

    passèrent. Parmi elles un prêtre, et puis un Samaritain

    ( consideré comme un ennemi ) et ce fut celui-ci qui

    se prit en compassion. C'est une grande leçon !!!

    Mais comme garder le coeur alerte ? Uniquement

    si nous rentrons dans le coeur de Jésus. 

    Que nos entrailles soient émues par la compassion.

    Que je puisse regarder avec le regard du Christ.

    Que en disant "mon frère, ma soeur " cela ait 

    un impacte dans celui qui attend quelque chose 

    de moi. Combiens des regards j'ai croisé avec

    mes amis de la rue. En me voyant un jour arriver, l'un

    de mes amis dit aux autres " elle est comme nous "

    Je n'oublirai Jamais ce honneur.

    Mon Amour de la pauvreté m'est venue dès ma naissance.

    Car moi-même je vins en ce monde sans père ni

    mère pour m'accueillir...Et ce fut Dieu qui fut

    mon TOUT comme famille.

     

     

     

     

     

    Merci Seigneur de nous Aimer ainsi.

    Donne-nous un coeur ouvert à nos frères. A tous nos

    frères. Même jusqu'à pouvoir dire comme toi

    en croix : Père pardonnez-leur, car ils ne savent

    pas ce qu'il font.

     

    Je ne suis pas venue dans les blogs que pour laisser

    au Seigneur de passer...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Jésus, viens en aide de nos frères otages.

    Eux qui vivent l'angoisse.

    Donne-leur Ta force.

    Pour les familles des nos frères Otages.

    Pour que la bestialité des bourreaux finisse.

     

     

     

    GOD BLESS YOU TO

     

     

     

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    Aujourd'hui, nous contemplons le mystère du rejet de Dieu en général et plus précisément celui de Jésus. La résistance réitérée des hommes face à l'amour de Dieu est surprenante.

    Cela dit, la parabole de ce jour concerne plus spécifiquement le rejet des juifs vis-à-vis de Jésus: «Finalement, il leur envoya son fils, en se disant: ‘Ils respecteront mon fils’. Mais, voyant le fils, les vignerons se dirent entre eux: ‘Voici l'héritier: allons-y! Tuons-le, nous aurons l'héritage!’. Ils se saisirent de lui, le jetèrent hors de la vigne et le tuèrent.» (Mt 21,37-39) Ce n'est pas facile à comprendre: c'est parce que le Christ est venu sauver le monde et que les juifs attendent que leur "messie" à eux leur donne le pouvoir de dominer le monde.

    Lorsque j'étais en Terre Sainte on m'a donné un feuillet touristique sur lequel figuraient les juifs les plus célèbres de l'histoire d'Israël: depuis Moïse, Gédéon et Josué jusqu'à Ben Gourion, qui était le fondateur de l'État d'Israël. Néanmoins, Jésus ne figurait nulle part dans ce prospectus. Et Jésus est le juif le plus connu de toute l'histoire: aujourd'hui il est connu dans le monde entier, et cela fait deux mille ans qu'il est mort…

    Au fils du temps les grands personnages sont toujours respectés mais ne sont plus aimés. Aujourd'hui, personne n'aime Cervantès ou Michel-Ange. Par contre, Jésus est celui qui est le plus aimé de l'histoire. Hommes et femmes donnent la vie pour lui. Certains d'un seul coup par le martyre, d'autres "au compte-gouttes", en vivant uniquement pour lui. Il y en a des milliers et des milliers partout dans le monde.

    Jésus est celui qui a eu le plus d'influence sur l'histoire. Les valeurs morales en vigueur partout sont d'origine chrétienne. Non seulement ça, mais en plus, nous constatons de nos jours un rapprochement vers Jésus, y compris parmi les juifs, ("nos frères aînés dans la foi", comme dirait Jean-Paul II). Demandons à Dieu particulièrement pour nos frères juifs

    Abbé Jorge LORING SJ (Cádiz, Espagne)

     

     

     

    Mes amis, c'est l'Evangile d'aujourd'hui qui nous 

    parle du REJET de Jésus. 

    Aucun homme n'a fait ce que Lui a fait pour nous montrer,

    Son Amour. Publiquement il n'a pas proclamé 

    " Je suis le Messie, Le fils de Dieu " Cependant c'est

    Pierre qui l'a ploclamé et Jésus lui a dit de pas 

    le dire (car ce n'était pas encore son heure)

    Mais les foules le reconnaissent et ce sont les prêtres

    Juifs, qui le porsuivent pour le faire mourir.

    Lors de sa comparution devant le Grand Prêtre et 

    que lui demande : Es-tu le fils de Dieu Jésus répond :

    Tu l'as dit.

     

    Mes Amis, Jésus n'est pas venu parmi nous avec

    l'arrogance de celui, qui ce montre quelqu'un de grand.

    Il est venu en Serviteur. C'est cela qui a gêné. 

    Les grands de cette terre s'imposent par leur vêtement

    luxueux, par leur argent et par leur nom de noblesse.

    Mais celui qui est simple, habille simplement...on reçoit 

    parfois le rejet.  Fils naturel = Bâtard.

    Celui qui est simple ne reçoit pas toujour le respect

    du en être humain.

    Lorsque j'ai fait mon premier essai dans la vie

    religieuse, j'avais deux actes de naissance. L'un adopte;

    l'autre fille naturelle, père barré. 

    Cela a gêné beaucoup. La Prieure m'a dit qu'elle ne dirait

    rien à la Communauté car je ne serais pas accepté.

     

    Donc pour Jésus le retet venait de ce qu'il ne se presentait 

    pas, comme quelqu'un qui aurait du pouvoir sur le 

    monde. Même des disciples vont se scandaliser...

    Nous attendions....

    Mais Le Fils de Dieu, Jésus est venu pour partager notre

    vie. Et cela ne va bien d'accord avec nos mentalités.

     

    Cependans, les pauvres, malades, persécutés, convertis,

    vont comprendre SON AMOUR. Et Jésus nous a dit

    que les prostitués seraient les premières à nous 

    devancer au Royaume de Cieux.

    De fait, ceux qui l'on accueillit les premiers ce sont

    les pécheurs, les femmes "de mauvaise vie"

     

    ces sont eux qui on comprit avec Amour que Lui le Seigneur

    était venu pour eux.

    Parfois, il m'est difficil de me voir rejetée. Et cependant cela

    m'a donné la lumière. C'est Au Contrair, une source de 

    grâce pour nous rassembler au Seigneur.

     

     

    Des douze apôtres, Jean est probablement celui qui avait la plus profonde conscience de l'amour inconditionnel de Jésus

     

     

     

     

     

    Alan Henning

     

    Nous voyons aussi que des hommes sont capables

    de tuer barbarement, cet homme qui allait faire

    du bien aux demunis de tout.

    Paix à son âme et une pensé d'infinit tendresse pour 

    son épousse et ses deux enfants.

     

     

     

    GOD BLESS YOU TO

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    Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 10,13-16.

     

    En parlant aux soixante-douze disciples Jésus disait : " Malheureuse es-tu, Corazine! Malheureuse es-tu, Bethsaïde! Car, si les miracles qui ont eu lieu chez vous avaient eu lieu à Tyr et à Sidon, il y a longtemps que les gens y auraient pris le vêtement de deuil, et se seraient assis dans la cendre en signe de pénitence.
    En tout cas, Tyr et Sidon seront traitées moins sévèrement que vous lors du Jugement.
    Et toi, Capharnaüm, seras-tu donc élevée jusqu'au ciel ? Non, tu descendras jusqu'au séjour des morts !
    Celui qui vous écoute m'écoute ; celui qui vous rejette me rejette ; et celui qui me rejette rejette celui qui m'a envoyé. »

     

     

     

    Celui qui vous écoute m'écoute

    Aujourd'hui, nous voyons que Jésus tourne son attention vers les cités qui avaient fait l'objet de ses soucis, là où il avait prêché et réalisé les oeuvres du Père.

    A aucun endroit il n'avait autant prêché et fait de miracles

    comme à Corazine, Bethsaïde et Capharnaüm. La semence était abondante mais la récolte n'avait pas été bonne. Même Jésus lui-même n'avait pu les convaincre! Quel mystère que

    celui de la liberté humaine! Nous pouvons dire “non” à Dieu

    … le message évangélique ne s'impose pas par la force, il s'offre à nous uniquement et je peux fermer mon coeur, l'accepter ou le refuser. Le Seigneur respecte totalement ma liberté. Quelle responsabilité que la mienne!

    Les paroles de Jésus: «Malheureuse es-tu, Corazine! Malheureuse es-tu, Bethsaïde!» (Lc 10,13) lors de la fin de sa mission apostolique, expriment davantage la souffrance que la damnation. La proximité du Royaume de Dieu n'a pas provoqué dans ces villes un appel à la conversion et à la pénitence. Jésus reconnaît qu'à Sidon et à Tyr ils auraient mieux profité de toutes les grâces dispensées aux galiléens.

    La déception de Jésus est encore plus grande s'agissant de Capharnaüm. «Et toi, Capharnaüm, seras-tu donc élevée jusqu'au ciel? Non, tu descendras jusqu'au séjour des morts!» (Lc 10,15). C'est là où Pierre a sa maison et Jésus avait fait de cette ville le centre de sa prédication. Une fois de plus nous ressentons davantage un sentiment de tristesse qu'une menace dans ces paroles. Nous pouvons dire la même chose de certaines de nos villes et personnes de notre époque. Ils croient prospérer, quand en réalité ils s'enfoncent.

    «Celui qui vous écoute m'écoute» (Lc 10,16). Ces paroles qui concluent l'Évangile sont un appel à la conversion et elles sont porteuses d'espérance. Si nous écoutons la voix de Jésus nous avons encore le temps. La conversion consiste en ce que l'amour surpasse dans notre vie progressivement l'égoïsme, ce qui est un travail qui ne s'achève jamais. Saint Maxime dira: «Il n'y a rien d'aussi agréable et aimé par Dieu que de voir que les hommes se convertissent à Lui avec un sincère repentir».

     

     

     

    Mes Amis, combien des fois Jésus est venu dans

    notre coeur pour nous parler et, nous n'avons pas ecouté.

     

    Combien des fois mon Dieu tu est venu pour me montrer le

    chemin a suivre. Et je me suis laissé entrainer par des

     bonnes choses, mais je n'ai pas suivi ton chemin ?

     

    Combien des fois dans ma vie, j'ai ecouté d'avantage ma

    voix ...mes désirs mais pas les tiens.

     

    Et lorsque je t'ai ecouté...quelle joie Mon Seigneur. On

    m'aurait donné le monde entier,  cela n'aurais pas

    pu m'arrêter de courrir vers toi.

    Aimons ce Seigneur qui se fait notre Serviteur

    par AMOUR de nous. 

     

    Mais pourquoi c'est si difficile d'accueillir le don 

    de l'AMOUR de Dieu ? 

    Comment se fait il que nous préférons les choses 

    d'ici bas ? Des choses qui périsent !

     

    Pour savoir la réponse, pour nous laisser séduire

    par notre Jésus...il nous suffit de nous mettre

    à ses pieds le coeur ouvert. 

    FAISSONS CELA JUSTE UNE FOIS !

    On comprendra alors.

     

     

    Donne-moi de l'eau VIVE SEIGNEUR

     

     

     

     

     

    CELUI QUI VOUS ECOUTE M'ECOUTE

     

     

     

     

     GOD BLESS YOU TO

     

     

     

     

     

     

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    Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 18,1-5.10. 

     

    Les disciples s'approchèrent de Jésus et lui dirent : « Qui donc est le plus grand dans le Royaume des cieux ? »
    Alors Jésus appela un petit enfant ; il le plaça au milieu d'eux,
    et il déclara : « Amen, je vous le dis : si vous ne changez pas pour devenir comme les petits enfants, vous n'entrerez point dans le Royaume des cieux.
    Mais celui qui se fera petit comme cet enfant, c'est celui-là qui est le plus grand dans le Royaume des cieux.
    Et celui qui accueillera un enfant comme celui-ci en mon nom, c'est moi qu'il accueille.
    Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits, car, je vous le dis, leurs anges dans les cieux voient sans cesse la face de mon Père qui est aux cieux.

     

    Compositeur-interprète : Gilbert Chevalier (aveugle).

     

    Commentaire du jour
    Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus (1873-1897), carmélite, docteur de l'Église
    Poésie « Jésus mon bien-aimé, rappelle-toi ! 

     

    « Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits »

    Rappelle-toi des divines tendresses
    Dont tu comblas les plus petits enfants
    Je veux aussi recevoir tes caresses
    Ah ! donne-moi tes baisers ravissants
    Pour jouir dans les Cieux de ta douce présence
    Je saurai pratiquer les vertus de l'enfance
    N'as-tu pas dit souvent :
    « Le Ciel est pour l'enfant ? »
    Rappelle-toi...

    « Venez à moi, pauvres âmes chargées
    « Vos lourds fardeaux bientôt s'allégeront
    « Et pour jamais étant désaltérées
    « De votre sein des sources jailliront » (Mt 11,28; Jn 4,15).
    J'ai soif, ô mon Jésus ! cette Eau je la réclame
    De ses torrents divins daigne inonder mon âme
    Pour fixer mon séjour
    En l'Océan d'Amour
    Je viens à toi.

    Rappelle-toi qu'enfant de la lumière
    Souvent j'oublie de bien servir mon Roi.
    Oh ! prends pitié de ma grande misère
    Dans ton amour, Jésus, pardonne-moi,
    Aux affaires du Ciel daigne me rendre habile
    Montre-moi les secrets cachés dans l'Évangile
    Ah! que ce Livre d'or
    Est mon plus cher trésor
    Rappelle-toi…

    Rappelle-toi de la fête des Anges,
    Rappelle-toi de l'harmonie des Cieux
    Et de la joie des sublimes phalanges
    Lorsqu'un pécheur vers toi lève les yeux (Lc 15,10).
    Ah ! je veux augmenter cette grande allégresse
    Jésus, pour les pécheurs, je veux prier sans cesse
    Que je vins au Carmel
    Pour peupler ton beau Ciel
    Rappelle-toi.

     

     

     

    Mes amis, encore une fois je vous met un poème

    de Pte Thérèse en ce jour où l'on fête les Anges 

    Gardiens. Beaucoup de personnes ne croient pas 

    que chacun de nous a son Ange Gardien.

    Jésus a Gethsémani lors de sa grande angoisse,

    reçu une coupe de reconfort par un Ange.

    Lorsque j'étais petite, ma maman m'enseigna une 

    prière à mon Ange Gardien avant de m'endormir.

     

    On voit les Anges avec des ailes. Cepedant je peux dire,

    que dans tous le moments de ma vie. J'ai rencontré

    des belles âmes qui m'on apporté le reconfort. 

    Dieu ne nous laisse pas seuls.

    JAMAIS ! même si nous ne le sentons pas humainement.

     

     

     

     

     

     

    GOD BLESS YOU TO

     

     

     

     

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  • Toute la Famille Martin et Pte Thérèse avec sa maman 

     

     

     

     

    Ma Chère petite Thérèse. Cette journée de ta fête, est 

    pour moi une journée de Ciel. 

    Je veux encore te remercier pour ta présénce dans 

    ma vie. Le courage  que tu me donnes par ton exemple,

    La force pour vivre le Saint Evangile dans ma petitesse.

    De me réléver lorsque je tombe en souriant, avec le coeur

    confiant en Jésus. 

    Je sais que tu le fais, mais je veux nommer ce

    Carmel qui a de la difficulté.

    Là où je fus mon sejour.

    Puis celui où je vécu cette face de ma vie dans mon

    postulat. Combien tu as été présente. Lorsque je

    vivais des difficultés, tu étais là comme ma Maîtrese

    de novices, pour me dire :" n'aie pas peur, courage.

    Regarde le Ciel, demande pardon " Et les jours de fête

    cette joie et les idées que tu me pasais pour les 

    transformer en joie pour mes soeurs Carmelites.

    Je te remercie, de m'avoir aidé lorsque Jésus me demanda

    de rester dans le monde. Ce fut pour moi la plus 

    difficile épreuve de ma vie. Et puis de le vivre dans la 

    joie, puisque Lui l'a voulu.

    Je te confie chaque personne qui passera pour te lire.

    Que ton enseignement les Aide dans cette vie,

     pour regarder vers le Ciel Notre Vraie Patrie.

    Je t'embrasse ma petite Soeur chérie. ana+

     

     

     

     

    Pensées de Ste Thérèse de Lisieux

     

    DIEU

    Puisse Jésus me donner toujours de comprendre que lui seul est le bonheur parfait, même quand lui paraît absent ! (Lettre 76)

    De même que le soleil éclaire en même temps les cèdres et chaque petite fleur comme si elle était seule sur la terre, de même Notre Seigneur s’occupe aussi particulièrement de chaque âme que si elle n’avait pas de semblables. (Manuscrit A, 3)

    Tu peux comme nous t’occuper de l’unique chose nécessaire, c’est-à-dire que tout en te livrant avec dévouement aux oeuvres extérieures, ton but soit unique : faire plaisir à Jésus, t’unir plus intimement à lui. (Lettre 257)

    Comme il n’y a rien que le bon Dieu tout seul qui connaisse le fond des coeurs. Que les créatures ont de courtes pensées ! (Manuscrit C, 19)

    En se donnant à Dieu le coeur ne perd pas sa tendresse naturelle, cette tendresse au contraire grandit en devenant plus pure et plus divine. (Manuscrit C, 9)

    Jésus nous enseigne qu’il suffit de frapper pour qu’on ouvre, de chercher pour trouver et de tendre humblement la main pour recevoir ce que l’on demande. (Manuscrit C, 35)

    Ce n’est pas pour rester dans le ciboire d’or que Jésus descend chaque jour du Ciel. C’est afin de trouver un autre Ciel qui lui est infiniment plus cher que le premier : le Ciel de notre âme, faite à son image, le temple vivant de l’adorable Trinité ! (Manuscrit A, 48)

    Le bon Dieu ne se fatigue pas de m’entendre, lorsque je lui dis tout simplement mes peines et mes joies comme s’il ne les connaissait pas. (Manuscrit C, 32)

    Ne craignez pas de dire à Jésus que vous l’aimez, même sans le sentir. C’est le moyen de forcer Jésus à vous secourir, à vous porter comme un petit enfant trop faible pour marcher. (Lettre 241)

    Souffrance

    J’avais une nature pas commode, cela ne paraissait pas, mais moi je le sentais bien. Je puis vous assurer que je n’ai pas été un seul jour sans souffrir, pas un seul. (JEV, 236)

    Je ne souffre qu’un instant. C’est parce qu’on pense au passé et à l’avenir qu’on se décourage et qu’on désespère. (JEV, 135)

    Vous vous faites beaucoup trop de peine pour des affaires qui n’en valent pas la peine. (JEV, 67)

    Qui dit paix ne dit pas joie, ou du moins joie sentie ; pour souffrir en paix, il suffit de bien vouloir tout ce que Jésus veut. (Lettre 87)

    Je trouve que les épreuves aident beaucoup à se détacher de la terre. Elles font regarder plus haut que ce monde. Ici-bas rien ne peut nous satisfaire. (Lettre 43)

    Le bon Dieu me donne du courage en proportion de mes souffrances. (JEV, 129)

    Le bon Dieu ne peut pas me donner des épreuves qui sont au-dessus de mes forces. (Lettre 36)

    Petitesse

    Tu te trompes si tu crois que ta petite Thérèse marche toujours avec ardeur dans le chemin de la vertu. Elle est faible et bien faible. Tous les jours elle en fait une nouvelle expérience. Mais Jésus se plaît à lui enseigner, comme à Saint Paul, la science de se glorifier dans ses infirmités. C’est une grande grâce que celle-là et je prie Jésus de te l’enseigner, car là seulement se trouvent la paix et le repos du cœur. Quand on se voit si misérable on ne veut plus se considérer et on ne regarde que l’unique Bien-Aimé !... (Lettre 109)

    Parfois nous nous surprenons à désirer ce qui brille. Alors rangeons-nous humblement parmi les imparfaits, estimons-nous des petites âmes qu’il faut que le bon Dieu soutienne à chaque instant ; dès qu’Il nous voit bien convaincues de notre néant, il nous tend la main ; oui, il suffit de s’humilier, de supporter avec douceur ses imperfections. Voilà la vraie Sainteté ! (Lettre 243) Autrefois il me semblait que je ne tenais à rien, mais depuis que j’ai compris les paroles de Jésus, je vois que dans les occasions je suis bien imparfaite. (Manuscrit C, 16)

    Il m’arrive bien aussi des faiblesses, mais je m’en réjouis. [...] Alors je rentre en moi-même et je me dis : Hélas ! j’en suis donc encore au même point comme autrefois ! Mais je me dis cela avec une grande douceur et sans tristesse. C’est si doux de se sentir faible et petit. (Carnet Jaune 5.7.1)

    Quand je tombe moi-même comme un enfant, cela me fait voir encore plus mon néant et je me dis : qu’est-ce que je ferais, qu’est-ce que je deviendrais, si je m’appuyais sur mes propres forces ? (Derniers Entretiens 7-8-4)

    Quelle douce joie de penser que le bon Dieu est Juste, c’est-à-dire qu’Il tient compte de nos faiblesses, qu’Il connaît parfaitement la fragilité de notre nature. De quoi donc aurais-je peur ? (Manuscrit A, 83)

    Je vous supplie de m’ôter la liberté de vous déplaire, si par faiblesse je tombe quelquefois qu’aussitôt votre Divin regard purifie mon âme consumant toutes mes imperfections, comme le feu qui transforme toute chose en lui-même... (Prière 6)

    Non je ne me crois pas une grande sainte ! Je me crois une toute petite sainte ; mais je pense que le bon Dieu s’est plu à mettre en moi des choses qui font du bien à moi et aux autres. (JEV, 112)

    Se croire soi-même imparfaite et trouver les autres parfaits voilà le bonheur. (Conseils et Souvenirs, 25)

    Courage

    Vous voilà encore sortie de la petite voie ! La peine qui abat et décourage vient de l’amour-propre, la peine surnaturelle relève le courage dans un nouvel élan pour le bien. (HA 208)

    Jésus sur la route du Calvaire est bien tombé trois fois, tu ne voudrais pas tomber cent fois, s’il le faut, pour lui prouver ton amour en te relevant avec plus de force qu’avant ta chute ? (LT 89)

    Bien des âmes disent : " Mais je n’ai pas la force d’accomplir tel sacrifice ". Qu’elles fassent donc ce que j’ai fait : un grand effort. Le bon Dieu ne refuse jamais cette première grâce qui donne le courage d’agir ; après cela le cœur se fortifie et l’on va de victoire en victoire. (JEV 122)

    Vous me faites penser au tout petit enfant qui commence à se tenir debout, mais ne sait pas encore marcher. Voulant rejoindre sa mère au haut d’un escalier, il lève son petit pied pour monter la première marche. Peine inutile ! Il retombe toujours sans pouvoir avancer. Eh bien, consentez à être ce petit enfant. Par la pratique de toutes les vertus, levez toujours votre petit pied pour gravir l’escalier de la Sainteté. Vous n’arriverez même pas à monter la première marche, mais le bon Dieu ne demande de vous que la bonne volonté. Bientôt, vaincu par vos efforts inutiles, il descendra lui-même, et, vous prenant dans ses bras, vous emportera pour toujours dans son royaume. (HA, 205)

    Mon petit moyen, c’est d’être toujours joyeuse, de toujours sourire, aussi bien quand je tombe que lorsque je remporte une victoire. (Conseils et Souvenirs, 23)

    L’unique bonheur sur la terre, c’est de s’appliquer à toujours trouver délicieuse la part que Jésus nous donne. (Lettre 257)

    Miséricorde

    Quelle douce joie de penser que le Bon Dieu est Juste, c’est-à-dire qu’Il tient compte de nos faiblesses, qu’Il connaît parfaitement la fragilité de notre nature. De quoi donc aurais-je peur ? (Manuscrits A, 83)

    Je t’assure que le bon Dieu est bien meilleur que tu le crois. Il se contente d’un regard, d’un soupir d’amour. Pour moi, je trouve la perfection bien facile à pratiquer parce que j’ai compris qu’il n’y a qu’à prendre Jésus par le cœur. Regarde un petit enfant qui vient de fâcher sa mère, en se mettant en colère ou bien en lui désobéissant. S’il se cache dans un coin avec un air boudeur et qu’il crie dans la crainte d’être puni, sa maman ne lui pardonnera certainement pas sa faute. Mais s’il vient lui tendre ses petits bras en souriant et en disant : ’Embrasse-moi, je ne recommencerai plus’, est-ce que sa mère pourra ne pas le presser contre son cœur avec tendresse et oublier ses malices enfantines ? Cependant elle sait bien que son cher petit recommencera à la prochaine occasion, mais cela ne fait rien, s’il la prend encore par le cœur, jamais il ne sera puni. (Lettre 191)

    Je sens que si par impossible tu trouvais une âme plus faible, plus petite que la mienne, tu te plairais à la combler de faveurs plus grandes encore, si elle s’abandonnait avec une entière confiance à ta miséricorde infinie. (Manuscrit B, 5 v°)

    Oui, je le sens, quand même j’aurais sur la conscience tous les péchés qui se peuvent commettre, j’irais le cœur brisé de repentir, me jeter dans les bras de Jésus, car je sais combien il chérit l’enfant prodigue qui revient à lui...(Manuscrit C 36 v°)

    Si le plus grand pécheur de la terre se repent au moment de la mort, et expire dans un acte d’amour, aussitôt le Seigneur ne voit plus, il ne compte plus que sa dernière prière et le reçoit sans tarder dans les bras de sa miséricorde. (Conseil et Souvenirs 280)

    Confiance

    La Sainteté, nous dit-elle, n’est pas dans telle ou telle pratique ; elle consiste en une disposition du coeur qui nous rend humbles et petits entre les bras de Dieu, conscients de notre faiblesse et confiants jusqu’à l’audace en sa bonté de Père. (Manuscrit B, 1v°)

    Ma voie est toute de confiance et d’amour, je ne comprends pas les âmes qui ont peur d’un si tendre ami. (Lettre 226) Comment lorsqu’on jette ses fautes avec une confiance toute filiale dans le brasier dévorant de l’amour, comment ne seraient-elles pas consumées sans retour ? (Lettre 247)

    Restons donc bien loin de tout ce qui brille, aimons notre petitesse, aimons à ne rien sentir, alors nous serons pauvres d’esprit et Jésus viendra nous chercher, si loin que nous soyons Il nous transformera en flammes d’amour... (...) C’est la confiance et rien que la confiance qui doit nous conduire à l’amour... (Lettre 197)

    Je sais bien que je ne serai jamais digne de ce que j’espère, mais je vous tends la main comme une petite mendiante et je suis sûre que vous m’exaucerez pleinement, car vous êtes si bon ! (JEV 198)

    J’ai une si grande confiance en Dieu qu’il ne pourra m’abandonner ; je remets tout entre ses mains. (Lettre 32) Ne nous lassons pas de prier. La confiance fait des miracles... (Lettre 129)

    Les créatures sont des degrés, des instruments, mais c’est la main de Jésus qui conduit tout. Il ne faut voir que lui en tout. (Lettre 149)

    Plus que jamais, je comprends que les plus petits événements de notre vie sont conduits par Dieu. (Lettre 201)

    A chaque instant il me guide il m’inspire ce que je dois dire ou faire. Je découvre juste au moment où j’en ai besoin des lumières que je n’avais pas encore vues. (Manuscrit A, 83)

    C’est la confiance et rien que la confiance qui doit nous conduire à l’Amour... (Lettre 197)

    Amour

    Le Christ est mon amour, il est toute ma vie. (Poésie 26) Je ne puis craindre un Dieu qui s’est fait pour moi si petit... Je l’aime !... Car il n’est qu’amour et miséricorde. (Lettre 196)

    Pour vous aimer comme vous m’aimez, il me faut emprunter votre propre amour, alors seulement je trouve le repos. (Manuscrit C, 35)

    Pour moi, je ne connais pas d’autre moyen pour arriver à la perfection que ’l’amour’... Aimer, comme notre coeur est bien fait pour cela !... (Lettre 109)

    Je comprends si bien qu’il n’y a que l’amour qui puisse nous rendre agréables au bon Dieu que cet amour est le seul bien que j’ambitionne. (Lettre 196)

    Vivre d’amour, c’est donner sans mesure, Sans réclamer de salaire ici-bas. Ah ! sans compter je donne, étant bien sûre Que lorsqu’on aime on ne calcule pas. (Poésie 17)

    Aimer, c’est tout donner et se donner soi-même. (Poésie 54)

    Oh ! que notre religion est belle, au lieu de rétrécir les cœurs, comme le croit le monde, elle les élève et les rend capables d’aimer, d’aimer d’un amour presque infini, puisqu’il doit continuer après cette vie. (Lettre 166)

    Voilà comment se consumera ma vie. Je n’ai d’autre moyen de te prouver mon amour, que de jeter des fleurs, c’est-à-dire de ne laisser échapper aucun petit sacrifice, aucun regard, aucune parole, profiter de toutes les plus petites choses de les faire par amour. (Manuscrit B, 4)

    Mes mortifications consistaient à briser ma volonté, toujours prête à s’imposer, à retenir une parole de réplique, rendre de petits services sans les faire valoir. (Manuscrit A. 68)

    Surtout ne lui refusons pas le moindre sacrifice. Tout est si grand en religion... Ramasser une épingle par amour peut convertir une âme ! Quel mystère ! Ah ! C’est Jésus qui peut seul donner un tel prix à nos actions, aimons-le donc de toutes nos forces. (Lettre 164)

    Je ne veux pas amasser de mérites pour le Ciel, je veux travailler pour votre seul Amour, dans l’unique but de vous faire plaisir, de consoler votre Cœur Sacré en vous sauvant des âmes qui vous aimeront éternellement. (Acte d’offrande) Je sentis en un mot la charité entrer dans mon cœur, le besoin de m’oublier pour faire plaisir et depuis lors je fus heureuse ! (Manuscrit A, 45)

    Je comprends maintenant que la charité parfaite consiste à supporter les défauts des autres, à ne point s’étonner de leurs faiblesses, à s’édifier des plus petits actes de vertus qu’on leur voit pratiquer. Quand vous êtes exaspérée contre quelqu’un, le moyen de retrouver la paix c’est de prier pour cette personne. (CSG, 150)

    Afin de n’être pas jugée du tout, je veux toujours avoir des pensées charitables, car Jésus a dit : "Ne jugez pas et vous ne serez pas jugés." (Manuscrit C, 13)

    Jésus ne regarde pas autant à la grandeur des actions ni même à leur difficulté qu’à l’amour qui fait faire ces actes. (Lettre 65)

    Voilà donc tout ce que Jésus réclame de nous, il n’a point besoin de nos œuvres, mais seulement de notre amour. (Lettre 196)

    Quelle grâce quand le matin nous ne nous sentons aucun courage, aucune force pour pratiquer la vertu.(...) C’est alors le moment difficile, on est tenté de laisser tout là ; mais dans un acte d’amour, même pas senti, tout est réparé et au-delà ; Jésus sourit... (Lettre 165)

    J’ai compris que sans l’amour, toutes les œuvres ne sont que néant, même les plus éclatantes...(Manuscrit A, 81)

    Je compris que si l’Eglise avait un corps, composé de différents membres le plus nécessaire, le plus noble de tous ne lui manquait pas, je compris que l’Eglise avait un coeur, et que ce coeur était brûlant d’amour. (Manuscrit B, 3)

    Je compris que l’Amour seul faisait agir les membres de l’Eglise lue l’Amour renfermait toutes les vocations, que l’Amour était tout, qu’il embrassait tous les temps et tous les lieux... en un mot qu’il est éternel ! : ô jésus, mon Amour, ma vocation enfin je l’ai trouvée, ma vocation c’est l’ Amour ! (Manuscrit B, 3)

    Promesses

    Ne croyez pas que lorsque je serai au Ciel, je vous ferai tomber des alouettes rôties dans le bec... Ce n’est pas ce que j’ai eu ni ce que j’ai désiré avoir. Vous aurez peut-être de grandes épreuves, mais j’enverrai des lumières qui vous les feront apprécier et aimer. Vous serez obligées de dire comme moi : "Seigneur vous nous comblez de joie par tout ce que vous faites.(JEV, 75)

    Mais je sens surtout que ma mission va commencer, ma mission de faire aimer le bon Dieu comme je l’aime, de donner ma petite voie aux âmes. (JEV, 85)

    Si le bon Dieu exauce mes désirs, mon Ciel se passera sur la terre jusqu’à la fin du monde. Oui, je veux passer mon Ciel à faire du bien sur la terre. (JEV, 85)

     

     

     

     

     

     

     

    TOUT EST GRÂCE ......

     

     

     

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  • Thérèse de l'Enfant Jésus et de la Sainte Face

     

    dans cette photo est déjà gravement malade

    Poème de Thérèse Chanté par Sylvie Buissé

     

    Mes amis,

    demain est l'anniversaire du départ de Pte Thérèse 

     

    de Lisieux au Ciel.

     

    Pour moi, c'est l' anniversaire de mon baptême.

     

    Thérèse est partie au Ciel à 24 ans. Malade d'une

    tuberculose foudroyante

     

    Thérèse de Lisieux ou Thérèse de l’Enfant Jésus est l’une des saintes les plus populaires dans l’Eglise catholique et au-delà. Elle a laissé trois manuscrits autobiographiques qui ont connu un succès immense.

    Lire Thérèse, c’est écouter un être qui s’abandonne au dénuement et se laisse ballotter vers cette sainteté qui rend l’être poreux au monde. La vie en communauté, les défaillances de la foi, la maladie qui ronge : elle traverse les épreuves comme un petit chevalier qui s’arme de l’enfance et s’en tient à sa « petite voie » pour franchir les reliefs imprévisibles du royaume intérieur.

    Le radicalisme tranquille de sa confiance fait presque peur ; elle n’a l’air de rien mais elle arpente vaillamment cette frontière où l’homme s’approche au plus près de l’Humain et de la compassion.

    Plutôt qu’à un modèle, le parcours de cette jeune femme renvoie, au-delà de la croyance et des dogmes, à ce cheminement aux confins de notre singularité vers l’autre.

     

    DENUEMENT

    Dénuement : définition, synonymes, citations, traduction dans le dictionnaire de la langue française. Définition : Pauvreté, misère,

     

    Une jeune femme de 20 ans me disait : "Ce ne sont pas nous

    qui choissisons les Saints,

    ce sont eux qui nous choissisent "

     

    Je connaissait déjà Pte Thérèse, mais cela sera en 1987

    que je eut la grâce de prier devant ses reliques durant

    8 jours. Je ne connaissais pas ses poèmes. Sylvie Buissé

    était là et chantait les poèmes. Je me vois pleurer sans

    pouvoir m'arrêter. On dirait que on rentrait dans mon

    âme. Que les désirs que j'avait, cachés en moi, on les 

    recitait en pleine voix. Et ce fut ce mot surtout qui me

    bouleverse  DENUEMENT

     

    Je croyais que seul moi était si denuée de tout.

    Incapable de faire quoi que ce soit...toute seule.

    Cependant j'appris que Thérèse s'Abandonnait à son

    dénuement.

    Non pas seulement  elle s'abandonnait à sa pauvreté,

    mais elle s'Aimait petite et pauvre. Elle se laissait faire

    par la main de Jésus. Lorsque la vie au Carmel était difficile,

    Thérèse ne laissait pas une miette pour tout abandonner

    à Jésus. Lorsque elle se trouve dans cette nuit de la foi.

    Est-ce vraiment qu'il y a le Ciel ?

    Et aucune Soeur savait son combat. Elle avait ses trois

    Soeur dans le même Carmel de Lisieux. Etant si impetueuse,

    -femme de caractère- 

    Elle ne se laissait pas aller aux confidences ou bien,

    elle faisait des billets à sa Soeur aînée Pauline.

    Billets qui arrivaient pas tout suite. Elle abandonnait 

    cela à Jésus. Chaque acte elle l'offrait pour un missionnaire.

    Comme est l'habitude au Carmel encore de nos jours, on

    donnait un missionnaire pour prier pour lui. Pour

    lui écrire en réponse de ses lettre. Thérèse eut deux

    Missionnaires comme "enfants" pour les aider chaque

    jour à cheminer avec courage.

     

    Le radicalisme tranquille de sa confiance fait presque peur ; elle n’a l’air de rien mais elle arpente vaillamment cette frontière où l’homme s’approche au plus près de l’Humain et de la compassion.

     

    Thérèse choisi aprés la permission de son " Roi "

    -comme elle l'appelait- de rentrer au Carmel à 15 ans.

    Ce n'était pas un âge canoniquement pour un enfant

    de rentrer dans une vie si dure. Personne lui donnait

    la permission. Elle demanda à son Roi de l'Amèner voir 

    le Pape lors d'un pélerinage. Elle abandonne cela

    entre les mains du Bon Dieu...même si cela lui faissait

    souffrir.

    Et bien, 1889 : Thérèse rentre au Carmel de Lisieux à l'âge de 15 ans.

     

    C'est la confiance et rien que la confiance qui doit nous

    conduire à l'Amour

     

    Disait elle souvent, chaque jour !

    " Aimer c'est tout donner et se donner sans cesse "

    " La confiance et rien que la confiance "

    Lors de sa maladie, vers la fin, elle s'étouffait... et elle

    avait de mots pleins d'humour.

    " je fais comme ma locomotive"

    Thérèse resta toujours au noviciat. On lui donna comme

    aide à la Maîtresse de Novices. Elle les aida beaucoup.

    Douceur mais aussi réalisme de la vie d'une Carmelite.

    Quelques heures avant de mourir elle disait :

    "JE NE ME REPENS PAS DE M'ÊTRE LIVRÉE À L'AMOUR

     

    "...en 1895. ... en un mot, la charité entra dans mon cœur, le besoin de m'oublier pour faire plaisir au Bon Dieu "

     

    En parlan de son départ, Thèrése disait :

     

    JE PASSERAI MON CIEL A FAIRE LE BIEN SUR LA TERRE

     

    Ce qui est beau chez Thérèse, c'est que son sourire montre bien sa joie intérieure. Elle en a parlé très souvent d'une façon bouleversante.

    Écoutez bien ceci: « Je ne vois pas bien ce que j'aurai de plus après la mort que je n’aie déjà en cette vie. Je verrai le bon Dieu, c'est vrai ! Mais pour être avec Lui, j'y suis déjà tout à fait sur la terre. » (DE 15.5.7)

     

     

    Mes amis, que je suis heureuse de vous partager

    cette pag que Thérèse nous offre.

     

    Comme elle dit si bien, il n'est pas necessaire d'attendre

    le Ciel pour être avec Jésus. Nous vivons déjà en sa

    compagnie, puisque il est dans notre profond. Ce lieu où

    personne ne peux arriver à voir...même entre époux,

    le fond de l'Âme on ne peux pas l'expliquer.

     

    J'Aimerais tant et tant, que cet article puisse vous donner

    beaucoup de joie .... au milieux de ce monde qui est

    de plus en opposicion à l'Amour....la Paix de l'Âme,

    la Joie profonde. 

    Si pour un moment vous pouvez goûtter cette petit

    morceau de Ciel. 

    Souvent je prie pour vous, vous tous du monde entier.

     

    . Compositeur-interprète : Gilbert Chevalier (aveugle).

     

    Thérèse juste avant de rentrer au Carmel de Lisieux - 15 ans-

     

     

    perte de sa maman à 4 ans

     

    Thérèse à 8 ans

     

    Au Carmel dans une pièce de théatre où elle est Jeanne d'arc

     

    Les deux plus jeunes : Thérèse et Celine

     

     

     

    Thérèse à l'infermerie 24 ans

     

     

    Monsieur et Mme Martin Parents de Pte Thérèse.

     

     

     

     

     

    " JE NE MEURT PAS J' ENTRE DANS LA VIE "

     

     

    la Vierge du sourire dans la maison de la Famille Martin

     

    Avant de finir ....je ne fini jamais !

    Je voudrais que vous sachiez, que Thérèse n'était pas

    une " sainte ni touche "

    Elle est une jeune fille avec ses questions, avec

    mêmes des bêtises d'enfant qui font rire. Si vous

    voulez passer un bon moment, achétez  un livre

    qui raconte toute la vie de la famille Martin.

    " Histoire d'une famille " 

    Un livre pas enorme et qui donne toutes les notes

    de cette famill. Il est pas cher... je l'ai donné et je vais le

    racheter car il me manque. On passe un bon moment.

     

    Demandez des grâce demain où déjà de ce soir. Elle 

    est quelqu'un de fidèle, elle comprend tout et celle

    qui lui donne son Amitié, est bénie.

     

    C'est ma Sainte préféré. Une sante ce n'est pas une

    personne avec une aureole, mais quelqu'un qui

    par sa vie, nous aide à connaître et Aimer plus Jésus.

     

    Je n'ai pas choisi le Carmel lorsque je fus postulante à cause

    de Thérèse. Je voulu être carmelite pour Aimer Jésus et me

    donner toute entière. Pour faire " mon metier " de prier pour

    le monde que j'Aime. Je conntinue de Aimer cette

    vocation dans le monde. Et curieusement c'est ma 

    maladie qui m'aide le plus à l'être malgré moi.

     

     

    TOUT EST GRÂCE !

     

    - phrase répétitive de Thérèse que j'ai adopté -

     

     

     

     



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