• Profession solennelle de Frère Marie-Joseph (Marie-Benoît Orville) , à l'Abbaye Notre-Dame de Cîteaux, le samedi 12 juillet 2014.

     

    Cette video je la partage, à vous les jeunes

    qui cherchez à suivre Jésus dans la vie 

    Monastique

     

    ENGAGEMENT DE MARIE-BENOÎT

    ORVILLE DANS LA VIE

    MONASTIQUE

     
    Marie-Benoît Orville qui a pris l’habit sous le nom de Frère Marie-Joseph fera sa profession solennelle samedi 12 juillet en l’Abbaye Notre-Dame de Cîteaux.
     

    Marie-Benoît Orville, originaire de la Martinique, a passé six années en Seine-Saint-Denis, plus précisément aux Lilas. Il a bien voulu répondre à quelques questions avant cet engagement définitif…


    Parlez-nous un peu de votre vie quand vous étiez en Seine-Saint-Denis…

    J’ai résidé dans ce département de 2002 à 2008, à la jonction des trois villes que sont Pantin, Le Pré-Saint-Gervais et Les Lilas. Ma paroisse étant celle de Notre-Dame-du-Rosaire aux Lilas. Le père Frédéric Benoist était alors curé du lieu. J’ai vu le chantier de la nouvelle église mais je n’étais malheureusement pas présent lors de sa consécration en 2010. Certes j’ai habité le 93 mais je bougeais beaucoup, que ce soit pour rejoindre un groupe du Renouveau charismatique dans les Hauts-de-Seine, ou le Sacré-Cœur de Montmartre et les Missionnaires de la Charité à Paris comme bénévole. En 2005, avec un groupe de jeunes de la paroisse des Lilas et Paulraj Rock, séminariste à l’époque, nous sommes partis à Cologne en Allemagne pour participer aux Journées mondiales de la jeunesse. Ce qui m’a le plus marqué c’est la veillée de prière avant la messe de clôture avec le pape Benoît XVI.
     

    A quel moment cet appel à rejoindre la vie monastique s’est concrétisé ?

    J’ai senti l’appel du Seigneur au fond de mon cœur le premier samedi de l’année 2008, lors d’un Rosaire que je faisais avec ma mère. Tous les premiers samedis du mois nous faisions ensemble cette prière. Ma mère priait pour moi… « Je sais que le Seigneur t’appelle ! » me dit-elle soudainement ; je vois encore son visage éclairé. En fait, les jours précédents elle avait rencontré un moine Cistercien (mon Ordre actuel, fondé par saint Benoît) qui était venu pour l’ordination d’un cousin. A ce moment précis, elle a entendu cet appel du Seigneur pour moi… Mon prénom « Marie-Benoît » était prémonitoire. Trois jours plus tard, lors d’une messe au Sacré-Cœur de Montmartre, j’ai dit : « Oui ! » Un ami m’avait confié : « accueille avec ton cœur et laisse l’Esprit travailler. » Ne connaissant rien de la vie monastique, je suis allé sur Internet pour découvrir l’Abbaye de Cîteaux et l’Ordre des Cisterciens. J’ai ensuite appelé un moine qui m’a proposé de venir sur place ; ce que j’ai fait quelques temps plus tard pour vivre un temps en communauté. Comme par hasard, j’avais posé des vacances au mois de mai. Ces trois semaines de découverte ont montré que j’étais déjà modelé à cette vie : tous les matins je me levais à quatre heures pour aller travailler et partageais déjà une vie de prière. Là-bas, je me suis retrouvé à la maison comme si le Seigneur avait bien préparé tout cela. Et le 7 octobre 2008 – jour de la fête de Notre-Dame du Rosaire – j’ai décidé de prendre l’habit de moine à Cîteaux.
     

    Comment est rythmée une journée à l’Abbaye de Cîteaux ?

    Notre charisme est la prière et le travail. Nous avons sept temps de prière dans la journée : Vigile à 4 heures, Laudes à 7 heures suivi de la messe, Tierce à 9 heures et demi, Sexte à midi trente, None à 14 heures 30, Vêpres à 18 heures, Complies à 20 heures. Entre ces temps, nous travaillons le matin et l’après-midi. Nous fabriquons du fromage… le fromage de l’Abbaye de Cîteaux a une très bonne réputation.

    Photos : Abbaye de Cîteaux


    Que vivez-vous en communauté ?

    Nous sommes tous différents, chaque moine a son propre caractère et sa propre histoire. Ce n’est pas toujours facile de vivre ensemble… mais comme nous dit saint Benoît nous devons pardonner à notre frère avant le coucher du soleil (Règle de St Benoît 4, 73). Plus j’avance, plus je découvre que nous sommes aimés de Dieu. Cet amour nous apprend à pardonner. Dieu nous ouvre notre cœur pour accueillir son amour ; le Seigneur n’enlève rien, il donne tout. Cet amour est manifesté par les frères, par les regards, les gestes, … Nous sommes le plus souvent en silence mais nous échangeons parfois dans ce lieu que nous appelons « chapitre ».


    Comment va se dérouler votre profession solennelle ?

    C’est Mgr Olivier de Berranger qui présidera la messe. Comme il vient une à deux fois par an pour une retraite à l’Abbaye, je lui ai demandé s’il accepterait de présider l’eucharistie et de faire l’homélie. Ce qu’il a accepté. Quand un évêque vient à l’Abbaye, le père Abbé propose souvent à la communauté un temps d’échange avec lui… En fait, je l’ai connu ici, à l’Abbaye. Ce qu’il exprimait sur la Seine-Saint-Denis était proche de ce que je pensais et de ce que j’ai pu vivre moi-même …
    « Me voici » est la source de mon engagement de vie ; c’est la réponse qui ressort des lectures que j’ai choisies pour cette profession solennelle. Dans la première lecture – du jour – c’est la vocation d’Isaïe ; Dieu se révèle à lui (Isaïe 6, 1-8). La deuxième lecture est la Lettre aux Hébreux (10, 5-10). Entre ces deux lectures, le psaume 39, enfin l’Evangile de l’Annonciation (Luc 1, 26-38). C’est Marie qui m’emmène et m’accompagne partout. Cela explique ma devise « Ecce Fiat » (Me voici… qu'il me soit fait selon ta volonté).


    Propos recueillis par B. Rastoin



    Photos : Abbaye de Cîteaux

     

    Abbaye Notre-Dame de Cîteaux
    21700 Saint-Nicolas-lès-Cîteaux
    Tél. : 03 80 61 11 53 - Courriel - Site Internet

     

    « Vénérer les anciens. Aimer les plus jeunes. Par amour du Christ prier pour ses ennemis. Se réconcilier avant le coucher du soleil, avec qui on est en discorde. » Règle de St Benoît 4, 70-73

    « Les frères se serviront mutuellement. » Règle de St Benoît 35, 1

    « C'est alors qu'ils seront vraiment moines lorsqu'ils vivront du travail de leurs mains. » Règle de St Benoît 48, 8

     

    24 heures avec les moines de Cîteaux (Pèlerin)

    Prier sept fois le jour (La Croix, 16/08/13)

     

     

    Le discernement de sa vocation n'est pas simple. C'est une question qui relève d'une maturation, de l'écoute de la Parole de Dieu, d'un accompagnement.

     

     

     

     

     

     

    petite Thérèse

     

     

     

     

    La grande AVENTURE avec Jésus

     

     

     

     

    Où je dois aller Jésus ?

     

     

    Il t'appelle par ton nom. Il te voit, Il te comprend, Ne t'a t'il pas façonné ? Il sait ce qui se passe en toi, Les pensées et les sentiments

     

     

     

     

     

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  • « Je vous le dis, à vous qui m'écoutez : Aimez vos

    ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent.

     

     

     

     

    Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 6,27-38.

     

    Jésus déclarait à la foule : « Je vous le dis, à vous qui m'écoutez : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent. 

    Souhaitez du bien à ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous calomnient.
    A celui qui te frappe sur une joue, présente l'autre. A celui qui te prend ton manteau, laisse prendre aussi ta tunique.
    Donne à quiconque te demande, et ne réclame pas à celui qui te vole.
    Ce que vous voulez que les autres fassent pour vous, faites-le aussi pour eux.
    Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle reconnaissance pouvez-vous attendre ? Même les pécheurs aiment ceux qui les aiment.
    Si vous faites du bien à ceux qui vous en font, quelle reconnaissance pouvez-vous attendre ? Même les pécheurs en font autant.
    Si vous prêtez quand vous êtes sûrs qu'on vous rendra, quelle reconnaissance pouvez-vous attendre ? Même les pécheurs prêtent aux pécheurs pour qu'on leur rende l'équivalent.
    Au contraire, aimez vos ennemis, faites du bien et prêtez sans rien espérer en retour. Alors votre récompense sera grande, et vous serez les fils du Dieu très-haut, car il est bon, lui, pour les ingrats et les méchants.
    Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux.
    Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés. Pardonnez, et vous serez pardonnés.
    Donnez, et vous recevrez : une mesure bien pleine, tassée, secouée, débordante, qui sera versée dans votre tablier ; car la mesure dont vous vous servez pour les autres servira aussi pour vous. »

    ________________________+________________________

    Mes amis, l'évangile d'aujourd'hui est exigeant.

    Le vrai Amour est exigeant. J'ai trouvé un Père Carme que je connai et que explique cet évangile trés bien. Vous me direz ce que vous pensez.

    ______________________________+________________________________

    Dans son Discours sur la Montagne, aussitôt après les Béatitudes Jésus nous livre tout un enseignement sur l’amour-charité, et spécialement sur l’amour des ennemis : ennemis personnels ou ennemis du groupe auquel on appartient. Et il précise ce qu’il entend par aimer ses ennemis. Cela va très loin, et pourtant cela tient en trois mots :

    • Faire du bien à ceux qui nous haïssent,
    • Souhaiter du bien à ceux qui nous maudissent,
      • Prier pour ceux qui nous maltraitent, c’est-à-
      • dire

     

      • parler d’eux avec Dieu qui les aime eux aussi, qui

     

      • a pour eux des trésors de patience et toujours un

     

    • petit bout de soleil.

    Puis Jésus, après ces consignes sur l’amour sans frontières, en vient à parler de la non-violence, de la joue qu’il faut tendre, du manteau qu’il faut laisser prendre et des deux mille pas qu’il faut faire, c’est-à-

    dire du quart d’heure qu’il faut accepter de perdre

    avec un homme dans la joie ou la peine, avec ses

    frères en communauté, sous le regard de Jésus.

    Là les difficultés redoublent. Volontiers nous dirions : « Ce n’est pas réaliste ! », et nous sommes tentés de

    repasser après Jésus pour préciser, mettre en place

    ou relativiser son message paradoxal.

    Instinctivement nous nuançons : « Cela dépend des circonstances… Il faut voir dans chaque cas ! ». Et c’est vrai en un sens ; mais Jésus ne vend pas son Évangile au détail ni au rabais : c’est un nouveau style de vie qu’il veut inculquer, un nouveau regard sur la vie, les événements, les personnes et sur Dieu même.

    Il s’agit en effet d’inverser nos réflexes ordinaires : réflexe du talion, qui nous fait rendre le mal pour le mal, la violence pour un oubli, l’agressivité pour un manque d’égards ; réflexe de l’égalitarisme, du donnant-donnant, du « rien pour rien », qui nous fait guetter en tout la récompense immédiate et mesurable.

    Face au précepte que nous a laissé le Seigneur, nous

    prenons conscience du peu de place que tient dans

    notre cœur la gratuité, la vraie, celle qui ne sera

    connue de personne hormis Dieu.

    L’amour vrai consiste à faire vivre. C’est toujours une initiative, un amour qui commence le premier. Et c’est bien ainsi d’ailleurs que procède l’amour de Dieu, comme le souligne Jésus : « Aimez vos ennemis, faites du bien et prêtez sans rien attendre en retour. Votre récompense sera grande, et vous serez les fils du Très-Haut, car il est bon, lui, pour les ingrats et les méchants ».

    Jésus ose parler de récompense. Mais où est, alors, la gratuité ? La gratuité demeure entière, car la récompense dont parle Jésus n’est pas un un nouvel avoir, mais un supplément d’être. Nous ne pouvons pas ne pas la vouloir de toutes nos forces, car elle consiste à « êtres fils du Très-Haut ». Plus nous aimons Dieu pour lui-même, et plus nous sommes confortés dans notre autonomie de fils. Plus nous aimons nos frères pour eux-mêmes, plus grandit en nous la ressemblance à notre Père. Cette ressemblance n’est pas une récompense à laquelle nous pourrions renoncer, mais le sens et le but de notre vie sur terre. C’est même l’amorce en nous de la vie éternelle.

    Fr. Jean-Christian Lévêque, o.c.d.

    Merci cher Fr Lévêque !

     

     

     

     

     

     

    Mes amis, prions pour que nous arrivions à Aimer selon le coeur de Jésus. Priez pour moi.

    merci

     

     

     

     

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  •  

     

    Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 6,20-26.

     

    Jésus s'était arrêté dans la plaine, et la foule l'entourait. Regardant alors ses disciples, Jésus dit : " Heureux, vous les pauvres : le royaume de Dieu est à vous!
    Heureux, vous qui avez faim maintenant : vous serez rassasiés ! Heureux, vous qui pleurez maintenant : vous rirez !
    Heureux êtes-vous quand les hommes vous haïssent et vous repoussent, quand ils insultent et rejettent votre nom comme méprisable, à cause du Fils de l'homme.
    Ce jour-là, soyez heureux et sautez de joie, car votre récompense est grande dans le ciel : c'est ainsi que leurs pères traitaient les prophètes.
    Mais malheureux, vous les riches : vous avez votre consolation !
    Malheureux, vous qui êtes repus maintenant : vous aurez faim ! Malheureux, vous qui riez maintenant : vous serez dans le deuil et vous pleurerez !
    Malheureux êtes-vous quand tous les hommes disent du bien de vous : c'est ainsi que leurs pères traitaient les faux prophètes.

     merci Beni !

    Bienheureux ceux qui savent rire d'eux-mêmes. Ils n'ont pas fini de se réjouir.

    Bienheureux ceux qui ont appris à distinguer une montagne d'une taupinière. Il leur sera épargné bien des tracas.

    Bienheureux ceux qui sont capables de se reposer et de dormir sans avoir à s'excuser. Ils deviendront sages.

    Bienheureux ceux qui peuvent se taire et écouter. Ils apprendront des choses nouvelles.

    Bienheureux ceux qui ont la faculté de s'émerveiller. Ils conserveront longtemps leur âme d'enfant.

    Bienheureux ceux qui ont compris l'importance de la communication. Ils préserveront la vitalité de leurs relations.

    Bienheureux ceux qui sont assez humbles pour ne pas se prendre au sérieux. Ils seront appréciés de leur entourage.

    Heureux êtes-vous si vous savez regarder sérieusement les choses anodines et légèrement les choses sérieuses.

    Heureux êtes-vous encore si vous savez aborder simplement les choses complexes et attentivement les choses simples.

    Heureux êtes-vous enfin si vous savez voir clairement les choses difficiles et profondément les choses claires.

    Vous irez certainement très loin dans la vie, car la vie saura vous remercier de l'avoir aimée, ainsi elle vous entraînera à son tour.

    Source : Lettres à l'intime de soi - Jacques Salomé

     
     

     

     

    Mes amis, j'ai trouvé cette traduction avec

    des mots d'aujourd'hui.

    Tout en SACHANT QUE L'EVANGILE 

    EST ACTUEL.

    Heureux êtes-vous si vous savez regarder

     

    sérieusement les choses anodines et légèrement les

     

    choses sérieuses.

     

     

     

    Ce n'est pas facile de faire ce "revirement"

    sur les actes de chaque jour.

    " Heureux, vous les pauvres d'esprit : le royaume de Dieu est à vous!

    Je trouve que c'est là dans le fond de notre

    esprit, que nous pouvons regarder tous les 

    évenements de notre vie.

     

    Ce matin j'ai trouvé mon ami André. Il est âgé

    et a vecu quelque chose de trés difficile dernièrement. 

    Je lui ai posé une question. Et sa réponse a été

    "je n'ai pas envie de vivre"

    C'était sa verité à lui. Cela voulait dire

    toute sa détresse. A moi de voir ce qu'il traverse

    et savoir être à son coté.

    C'est cela la vraie note de la VIE.

    Je vous demande de prier pour notre ami André.

    Que peu à peu il retrouve l'envie de vivre.

     

     

     

    merci Fano !!!

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Par une nuit obscure, enflammée d'un amour plein

    d'ardeur, ô l'heureuse aventure, j'allai sans être vue,

    sortant de ma maison apaisée.

     

     

    Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 6,12-19.
     

     

    En ces jours-là, Jésus s'en alla dans la montagne pour prier, et il

    passa la nuit à prier Dieu.
     

    Le jour venu, il appela ses disciples, en choisit douze, et leur donna le nom d'Apôtres :
    Simon, auquel il donna le nom de Pierre, André son frère, Jacques, Jean, Philippe, Barthélemy,
    Matthieu, Thomas, Jacques fils d'Alphée, Simon appelé le Zélote,
    Jude fils de Jacques, et Judas Iscariote, celui qui fut le traître.
    Jésus descendit de la montagne avec les douze Apôtres et s'arrêta dans la plaine. Il y avait là un grand nombre de ses disciples, et une foule de gens venus de toute la Judée, de Jérusalem, et du littoral de Tyr et de Sidon,
    qui étaient venus l'entendre et se faire guérir de leurs maladies. Ceux qui étaient tourmentés par des esprits mauvais en étaient délivrés.
    Et toute la foule cherchait à le toucher, parce qu'une force sortait de lui et les guérissait tous.

     

     

     

     

    Mes amis, C'est dans le silence que l'on trouve

    les réponses et la paix du coeur.

    Nous voyons Jésus passer ses nuits en prière.

    L'Evangile parle souvent de ces moments,

    où Jésus " s'absente " pour prier son Père.

    J'ai mis la photo de Saint Jean de la Croix.

    Ce Carme a été quelques longues mois

    dans la prison de son couvent. Il a beaucoup

    souffert, MAIS dans son silence il restait

    uni à son Seigneur. Et à la place de sortir

    meutrit de son cachot, il composa les plus

    beaux poèmes d'Amour à son Seigneur.

    Il trouva sa joie au milieu de la souffrance physique.

    C'est lorsque aucune parole humaine peut nous

    repondre, que dans le silence on peut ecouter

    mieux les mots que Jésus déposés dans nos coeurs.

    J'ai expérimenté cela dans ma vie. Parfois Dieu m'a 

    mis dans de situations, où je pouvai que l'ecouter.

    C'est vrai que l'on est dans un monde de bruit.

    Mais rien ne nous empêche de trouver des

    moments de silence avec un versé de l'Evangile.

    Je me le dis à moi. Parfois, ce sont certaines

    situations qui me font fuir le bruit.

     

     

     

    Mes amis je vous partage ce qui m'est le plus 

    précieux.

     

     

     

     

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  •  

     

    Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 1,1-

    16.18-23.

     

    ....Voici quelle fut l'origine de Jésus Christ. Marie, la mère de Jésus, avait été accordée en mariage à Joseph ; or, avant qu'ils aient habité ensemble, elle fut enceinte par l'action de l'Esprit Saint.
    Joseph, son époux, qui était un homme juste, ne voulait pas la dénoncer publiquement ; il décida de la répudier en secret.
    Il avait formé ce projet, lorsque l'ange du Seigneur lui apparut en songe et lui dit : « Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre chez toi Marie, ton épouse : l'enfant qui est engendré en elle vient de l'Esprit Saint ;
    elle mettra au monde un fils, auquel tu donneras le nom de Jésus (c'est-à-dire : Le-Seigneur-sauve), car c'est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. »
    Tout cela arriva pour que s'accomplît la parole du Seigneur prononcée par le prophète :
    Voici que la Vierge concevra et elle mettra au monde un fils, auquel on donnera le nom d'Emmanuel, qui se traduit : « Dieu-avec-nous ».

     

     

    Commentaire du jour

    « Marie, de laquelle fut engendré Jésus, que l'on appelle Christ »

          Aujourd'hui, nous célébrons la naissance de la bienheureuse Vierge Mère, de qui a reçu naissance Celui qui est la vie de tous. Aujourd'hui est née la Vierge de qui le salut de tous a voulu naître, afin de donner à ceux qui naissaient pour mourir de pouvoir renaître à la vie. Aujourd'hui est née notre nouvelle mère, qui a anéanti la malédiction d'Ève, notre première mère. Ainsi par elle, nous héritons maintenant de la bénédiction, nous qui, par notre première mère, étions nés sous l'antique malédiction. Oui, elle est bien une mère nouvelle, celle qui a renouvelé en jeunesse des fils vieillis, celle qui a guéri le mal d'un vieillissement héréditaire, ainsi que de toutes les autres formes de vieillissement qu'ils y avaient ajoutées. Oui, elle est bien une mère nouvelle, celle qui enfante par un prodige si nouveau, en restant vierge, celle qui met au monde celui qui a créé le monde…

          Quelle nouveauté merveilleuse que cette virginité féconde ! Mais bien plus merveilleuse encore la nouveauté du fruit qu'elle met au monde… Tu demandes comment une vierge a enfanté le Sauveur ? Comme la fleur de la vigne répand son parfum. Longtemps avant la naissance de Marie, l’Esprit qui allait habiter en elle…avait dit en son nom : « Comme la vigne, j’ai produit une douce odeur » (Si 24,17 Vulg)… Comme la fleur n’est pas altérée pour avoir donné son parfum, ainsi la pureté de Marie pour avoir donné naissance au Sauveur…

          Et pour toi aussi, si tu gardes la perfection de la chasteté, non seulement « ta chair refleurira » (Ps 27,7), mais une sainteté venant de Dieu s’épanouira sur toi tout entier. Ton regard ne sera plus déréglé ou égaré, mais embelli par la pudeur…; toute ta personne sera ornée par les fleurs de la grâce de la pureté.

     

     

     

    Jésus en cette fête de ta Mère, je te dépose

    l'opération de mon Papy en ce jour. 

    Tu sais le fond de ma prière.

    Je me confie à Toi et je te remercie d'avance

     

     

     

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  •  

    Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 6,1-5.
     

     

    En ce temps-là Jésus vint à passer, un jour de sabbat, à travers les moissons. Ses disciples eurent faim et se mirent à arracher des épis et à les manger.
    Ce que voyant, les Pharisiens lui dirent : "Voilà tes disciples qui font ce qu'il n'est pas permis de faire pendant le sabbat!"
    Mais il leur dit : "N'avez-vous pas lu ce que fit David lorsqu'il eut faim, lui et ses compagnons? Comment il entra dans la demeure de Dieu et comment ils mangèrent les pains d'oblation, qu'il ne lui était pas permis de manger, ni à ses compagnons, mais aux prêtres seuls? Ou n'avez-vous pas lu dans la Loi que, le jour du sabbat, les prêtres dans le Temple violent le sabbat sans être en faute? Or, je vous le dis, il y a ici plus grand que le Temple. Et si vous aviez compris ce que signifie : C'est la miséricorde que je veux, et non le sacrifice, vous n'auriez pas condamné des gens qui sont sans faute. Car le Fils de l'homme est maître du sabbat."
    Parti de là, il vint dans leur synagogue.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Mes amis. J'ai un problème d'ordinateur.

    C'est pou cela que je ne peux faire mon article que maintenant. 

    Si je ne trouve la solution, je devrai abandonner

    mon blog. Je vous demande de prier. Et que la

    volonté de Dieu se fasse toujours.

    Je viens de recevoir un mail avec des nouvelles

    sur nos frères d'Orient. Je vous le partage et ne

    faisons pas comme les medias, ne les oublions pas.

    Es-tu chrétien ? Tous ont répondu : Oui, je le suis"

    « Les prêtres doivent-ils s'abstenir en politique ? | Accueil | C’est arrivé un 3 septembre… »

    02 septembre 2014

    Chretien_n1Quelques extraits d'un texte lu ici, écrit par Natalia Trouiller (journaliste catholique - RCF, La Vie) à son retour d'un séjour en Irak, août 2014 :

    "L’enfant que j’ai vu en Irak, c’est lui qui m’a souri le premier. C’était une petite fille d’une dizaine d’années dans cette école d’Erbil transformée en gigantesque hall d’attente pour les réfugiés. Son sourire lumineux et immense essayait de me dire les mots en kurde que je ne comprenais pas. Ses parents, ses amis, ceux de sa ville de Mossoul qui avaient trouvé refuge dans cette école chaldéenne tenaient un dossier jaune à la main, liste dérisoire de tout ce qu’ils avaient perdu. Elle me souriait pendant que les adultes, les larmes aux yeux et le désespoir dans la voix, racontaient leur exil. Elle me souriait obstinément, sans discontinuer, et elle reste pour moi qui n’ai même pas compris son prénom le visage de l’enfance blessée de Mossoul. [...]

    [...] J’ai entendu de la colère. J’ai entendu des gens interpeller leur patriarche avec véhémence. Je n’ai jamais entendu de désir de vengeance. Pas une seule fois, sur les centaines, les milliers de personnes vues dans ces églises bondées d’exilés venus chercher un peu d’espoir dans la visite de leurs frères de France. Jamais.

    Tous, ils savaient ce qui les attendait s’ils ne se convertissaient pas. Les premiers qui avaient quitté Mossoul avant la fin de l’ultimatum de l’Etat islamique avaient prévenu les autres : si vous dites que vous êtes chrétiens, ils vous prendront tout. Arrivés aux check-points à la sortie de la ville, ils ont entendu, tous, la question : Es-tu chrétien ? Tous ont répondu : Oui, je le suis. A tous, les jihadistes ont dit : Récite la chahada et tu pourras partir avec tes affaires. Pas un n’a accepté.

    Je pense à Pierre, celui à qui Jésus avait confié son troupeau, qui est aussi le premier abjureur du christianisme. Je pense à Judas, maudit non d’avoir trahi comme Pierre, mais d’avoir contrairement à lui douté de la Miséricorde en se suicidant. [...]

    Mais pas un n’a abjuré. Pas un n’a eu même l’idée de le faire. Pas un, malgré la fillette à qui les bourreaux arrachent ses boucles d’oreille, malgré l’épouse dont on déchire les vêtements, malgré le fils que l’on enlève brutalement aux bras de son père en menaçant de le tuer. Cela restera pour moi le plus grand mystère de ce voyage, avec le fait qu’à ce moment là – les choses ont changé depuis – pas un cheveu n’est tombé de leurs têtes. Double mystère qui sans doute, au Ciel, n’en fait qu’un. [...]

    [...] L’enfant que j’ai vu en Irak, j’ai reçu la photo de lui coupé en deux avec du sang partout, envoyée par un jihadiste sur mon compte Twitter.

    Frère de France, sœur d’ici, allume une bougie et veille pour l’enfant que j’ai vu en Irak, et pour le salut de celui qui l’a tué."

    Posté le 2 septembre 2014 à 23h56 par Marie Bethanie | Catégorie(s): Pays : Irak , Religion

    Commentaires

    Mt 18.6 Mais celui qui scandalisera un seul de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu'on lui pendît au cou une meule de moulin et qu'on le jetât au fond de la mer.

    Si Jésus est un prophète que font-ils de son enseignement ????

    Rédigé par : DUPORT | 3 sep 2014 00:51:17


    • Merci à Natalia Trouiller - "catho de gauche" se méfiant des cathos anti-Piss Christ et consors.

    Honneur à vous de dénoncer les horreurs de l'islamisme ds le monde. Si votre témoignage pouvait ouvrir les yeux des nbx angéliques...

    Rédigé par : Cosaque | 3 sep 2014 16:48:42

     

     

    Ils ont décidé de consacrer leurs congés d'été à la rencontre de leurs frères chrétiens d'Irak et sont en transit vers la plaine de Ninive.

     

    Chrétiens d'Irak : une espèce en voie de disparition

     

     

     

     

    GOD BLESS YOU TO

     

     

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    7 commentaires