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    Place des laïcs dans l'église - Revue Présence Mariste

     

     Les fidèles, et plus précisément les laïcs, se trouvent sur la ligne la plus avancée de la vie de l'Eglise; par eux, l'Eglise est le principe vital de la société humaine. C'est pourquoi, eux surtout, doivent avoir une conscience toujours plus claire, non seulement d'appartenir à l'Eglise, mais d'être l'Eglise, c'est-à-dire la communauté des fidèles sur la terre, sous la conduite du Chef commun, le Pape, et des Evêques en communion avec lui. Ils sont l'Eglise

     

     

    Sécularisme et besoin du croyant 

     Comment ne pas penser à la diffusion persistante de l'indifférence religieuse et de l'athéisme sous ses formes les plus variées, en particulier sous la forme, aujourd'hui peut-être la plus répandue, du sécularisme? Enivré des conquêtes prodigieuses d'un développement scientifico-technique que rien n'arrête, et surtout envoûté par la tentation la plus ancienne et toujours nouvelle, celle de vouloir se faire l'égal de Dieu ( Gn 3, 5) grâce à l'usage d'une liberté sans frein, l'homme se coupe de ses racines religieuses les plus profondes: il oublie Dieu, il estime que Dieu n'a aucun sens dans son existence, il le rejette pour se prosterner en adoration devant les «idoles» les plus variées.

    Pape émérite Benoît XVI

     

    MyStory.me - L'histoire d'Alexis Masson : "Athée militant, je convertissais  les chrétiens." - YouTube

    Athée militant, il convertissait les chrétiens

    6 minutes de son témoignage… J’avais 6 ou 7 ans

     


     

     

    Argentine : 41 millions de catholiques

     

    Kinshasa, Democratic Republic of the Congo

    République démocratique du Congo : 43 millions de catholiques
    La RDC a obtenu son indépendance en 1960. Depuis, le pays a connu de nombreux troubles. L'Église catholique a joué un rôle dans la vie du pays en s'investissant dans les écoles et les hôpitaux, s'impliquant également dans les questions économiques. Elle a également joué un rôle de médiateur entre le gouvernement et le peuple qui compte sur elle pour porter sa voix.
     
     
     

    ROYAL PALACE

     

    Espagne : 43 millions de catholiques
    Entre la conquête musulmane du VIIIe siècle, l'Inquisition espagnole du XVe siècle, les mystiques du « Siècle d'or » au XVIe siècle, l'histoire de l'Espagne et de l'Église est ponctuée de divers conflits. Si l'Espagne a la réputation d'être un pays très catholique, aujourd’hui, on estime que seulement 15% de sa population pratique encore cette religion, même si la majorité continue cependant à s'identifier comme catholique.
     
     
     
     
    COLUMBIA
     
    Colombie : 45 millions de catholiques
    Le catholicisme est arrivé en Colombie en 1508 et le premier diocèse a été créé en 1534. Au XVIIe siècle, Pierre Claver, saint patron du pays, a beaucoup contribué à l'évangélisation des esclaves. Aujourd'hui, le pays compte 52 diocèses et plus de 120 organisations religieuses. Près de 80 % de la population s'identifie comme catholique. La Colombie a reçu la visite du pape François en septembre 2017. Au nord de Bogotála cathédrale de sel de Zipaquirá, sculptée à l’intérieur de mines, est classée au patrimoine mondial de l'Unesco.
     
     
     
    PARIS, FRANCE
     
     
    France : 48 millions de catholiques
    Considérée comme la fille aînée de l'Église, la France a une longue histoire avec celle-ci. De nombreuses grandes figures telles que Clovis, Jeanne d'Arc, Charlemagne ou sainte Geneviève, ont contribué au rayonnement de l'Église catholique. Si aujourd'hui la pratique est en baisse, en 2016, le pays comptait 662 séminaristes, 11.606 prêtres diocésains et plus de 12.000 paroisses. Le pays compte également de nombreux lieux d'apparitions mariales tels que LourdesPontmain ou la rue du Bac.

     

    Selon les chiffres de l’Annuaire pontifical 2020, publiés mercredi 25 mars, les catholiques dans le monde sont 1,329 milliard et représentent 18 % de la population mondiale.

     

     

     

     

    « Moi je suis croyant mais non pratiquant ». Combien de fois avons-nous entendu cette phrase ? « ça tombe bien » ai-je toujours envie de répondre, « moi je suis nudiste mais non pratiquant », ou encore « moi je suis rugbyman mais non pratiquant, (un peu comme le XV de France pendant cette tournée en Afrique du sud) un rugbyman de l’intérieur ! » C’est-à-dire qu’au fond de moi je cours, je plaque, je feinte, je cadre, je déborde, je raffute mais, vu de l’extérieur, c’est le calme plat : c’est pour mieux tromper l’adversaire !!!

    Non, quand on croit en quelque chose, on le pratique ; quand on aime quelqu’un on le manifeste, on le dit, on le montre.

    A plus forte raison quand on aime Dieu ! on cache ce dont on a honte ! Nous catholiques nous n’avons rien à cacher, pas un gramme de secret dans notre religion, pas une once d’opacité dans notre foi.

    Une certaine littérature style « Da Vinci code » ou « l’évangile de Judas » voudrait nous faire croire que l’Eglise cache un secret, qu’elle ne révèlerait qu’à quelques initiés, et encore, triés sur le volet. Il y aurait des choses cachées… et je dois vous dire que ça marche … en tout cas, ça fait vendre des millions d’exemplaires de ces livres, ça attire les curieux dans les sectes de tout poils ; en effet s’il y a des secrets, si on est seulement un petit nombre à pouvoir entrer, là c’est bon, ça c’est du sérieux.

    Et pourtant il n’y a rien de plus étranger à notre foi que de se cacher, que de cacher quoi que ce soit.

     Abbé Simon d’Artique

     

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     Hans a 24 ans et Sophie, sa petite sœur, en a 22. membres de la Rose Blanche, un mouvement de résistance non-violent en Allemagne nazie

     

    Les noms de Hans (1918-1943) et Sophie Scholl (1921-1943) évoquent pour beaucoup la jeunesse résistante de la seconde guerre mondiale. Nés dans une famille profondément chrétienne, ces jeunes allemands ont sacrifié leur vie pour dénoncer l’injustice et la folie du régime nazi. Et c’est dans une foi solide que leurs convictions étaient enracinées.

     

     

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    Munich, 22 février 1943. En cette belle journée de grand froid, quelque part dans la prison de Stadelheim, deux jeunes étudiants regardent le ciel depuis leurs cellules respectives. Ils le savent : dans quelques heures, ils vont mourir. Malgré cela, une étrange sérénité règne dans leur cœur. Leurs âmes sont en paix car oui, ils vont mourir mais parce qu’ils ont choisi la justice et la liberté.

    Hans a 24 ans et Sophie, sa petite sœur, en a 22. Nés dans une famille de professeurs, ils sont eux-mêmes intellectuels, poètes et philosophes. Mais les Scholl sont également de fervents protestants, élevés dans l’amour du Christ et de leur pays. C’est pourquoi dès leurs premiers jours aux jeunesses hitlériennes, le frère et la sœur ont pris conscience du terrible sort de leur terre natale.

    On voulait leur liberté, leur foi et leur obéissance. On voulait faire d’eux les ennemis de l’humanité et les retourner contre leurs propres compatriotes. Inconcevable pour ces défenseurs de la liberté ! Ils n’ont pu rester silencieux face à ce monstre.

     

     

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    Évangéliser, c’est porter la Bonne Nouvelle du Christ. Les premiers chrétiens ont consacré leur vie à la mission, et si elle prend d’autres formes aujourd’hui, elle n’en reste pas moins une urgence. Pourquoi ne pas s’appuyer sur les exemples des saints qui, à travers leurs vie, en montrent différentes facettes ? Hans et Sophie Scholl, martyrs du nazisme, nous montrent à quel point l'unité est nécessaire.

     

     

    Évangéliser, c’est un acte d’amour, et il y a mille et une manières de le faire, ainsi que l’a montré l’histoire de l’Église. De François-Xavier à Louis et Zélie Martin en passant par Jean Paul II ou Geneviève, la mission n’a pas un, mais de multiples visages. Dans leur Manifeste pour la mission, Raphaël Cornu-Thenard et Samuel Pruvot s’appuient sur des personnalités d’hier et d’aujourd’hui et développent dix « idées-forces » sur le sujet. Plus qu’essentielle, « la mission est l’oxygène de l’Église », scandent-ils. Hans et Sophie Schol, chrétiens martyrs du nazisme, montrent à quel point il est important d’être unis pour témoigner, y compris entre les différentes confessions chrétiennes.

     

     

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    La rose s'épanouit

    En moins de quinze jours, les jeunes gens rédigent et diffusent 4 tracts, signés « La Rose blanche » (Die Weiße Rose). Imprimés dans l'atelier de Munich mis à leur disposition par l'écrivain catholique Théodore Haecker, ils sont diffusés de la main à la main, déposés chez des restaurateurs de la ville ou adressés par la poste à des intellectuels non-engagés, des écrivains, des professeurs d'université, des directeurs d'établissements scolaires, des libraires ou des médecins soigneusement choisis.

    Les tracts font référence à d'éminents penseurs (Schiller, Goethe, Novalis, Lao Tseu, Aristote) et citent parfois la Bible. Leurs lecteurs sont invités à participer à une « chaîne de résistance de la pensée » en les reproduisant et en les envoyant à leur tour au plus grand nombre possible de gens.

    Décidez-vous avant qu’il ne soit trop tard », lancent-ils. Arrêtés, ils sont jugés sommairement et condamnés à mort. Leur gardien dira : « Ils se sont conduits avec un courage extraordinaire. Toute la prison en était bouleversée ».

     

    Pour la Jeunesse

     

    CHRISTUS VIVIT

     

    CHRISTUS VIVIT

     

    la sainteté est « cette constance à aller de l’avant chaque jour

     

    CHRISTUS VIVIT

     

    CHRISTUS VIVIT

     

    CHRISTUS VIVIT

     

    CHRISTUS VIVIT

     

    CHRISTUS VIVIT

    ça c'est sûr !

     

    CHRISTUS VIVIT

    Sortir des réseaux sociaux pour rentrer dans des moments de calme et de écoute

     

    CHRISTUS VIVIT

    Aller au contrecourant du monde qui offre que de l'éphémère

     

    CHRISTUS VIVIT

     

    CHRISTUS VIVIT

    Une église vrai qui laisse voir le VISAGE DU CHRIST

    C'est moi qui le dis Ana Casado

     

     

    Car l’Église n’est rien d’autre que l’outil que Dieu veut utiliser pour se faire connaître.

     

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    Je me rend compte comme ces réseaux sociaux peuvent nous faire perdre du temps et impacter sur notre propre vie. Comment ils peuvent influencer sur notre façon de voir la vie. Il suffit de voir la pauvreté dans le TV.

    Je crois que ceux qui la programment ne savent pas grand chose. Où ne cherchent qu'a gagner des addictes à la médiocrité… Plus des émission culturelles et surtout en ce temps-ci dont on ne sait parler que du virus et des scandales. Et pendant ce temps là le gouvernement profite aussi pour passer des lois en catimini. Bref restons vigilants car nous restons des êtres libres et parfois … cette liberté ne sera pas accepté mais tant pis !

    Que personne ni rien nous manipulent comme à des marionnettes car nous sommes des êtres UNIQUES dont appelées à porter sa précieuse goutte d'eau pure dans l'océan.

     

     

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    Hans et Sophie Scholl, la liberté enracinée dans la foi

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    Résultat de recherche d'images pour "Ésaïe 55"

     

    Ésaïe 55
    …Comme la pluie et la neige descendent des cieux, Et n'y retournent pas Sans avoir arrosé, fécondé la terre, et fait germer les plantes, Sans avoir donné de la semence au semeur Et du pain à celui qui mange, Ainsi en est-il de ma parole, qui sort de ma bouche: Elle ne retourne point à moi sans effet, Sans avoir exécuté ma volonté Et accompli mes desseins. Oui, vous sortirez avec joie, Et vous serez conduits en paix; Les montagnes et les collines éclateront d'allégresse devant vous, Et tous les arbres de la campagne battront des mains.… 

    dit le Seigneur ...

     

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    Je suis obligée d'écourté car j'ai très mal à l'estomac en ce jour.

    Voilà alors vous aurez à moins lire ! he

     

     

     

     

     

     

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    Attention cet article est long car je laisse la parole au Cardinal Sarah

     

    « Je suis entre les mains de Dieu. Le seul rocher est le Christ.  

     

    Le pape François a accepté la renonciation du cardinal Robert Sarah, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, ce samedi 20 février.

     

    Né en 1945 dans le nord de la Guinée dans une famille très modeste d’agriculteurs non-croyants, il a découvert sa vocation au contact des pères spiritains qui officiait dans une mission près de chez lui. Il est devenu à 34 ans, en 1979, le plus jeune évêque au monde. Robert Sarah s’oppose pendant ces années à de nombreuses reprises au régime, et reste en poste à Conakry jusqu’en 2001.

     

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    Ce qui est tragique, c’est la division à l’intérieur de l’Eglise. Une division qui se manifeste surtout sur le plan doctrinal, moral et disciplinaire. Chacun dit et pense désormais ce qu’il veut. Comment ne pas s’inquiéter en constatant que l’Eglise ne semble plus avoir de doctrine ni d’enseignement moral clairs?

    2) L’Eglise n’appartient pas aux pseudos réformateurs. Je ne peux changer ce que je n’ai pas édifié moi-même et qui, par conséquent, ne m’appartient pas. Personne ne peut changer l’Eglise de Jésus.

    Cardinal Sarah lors d'un Dans un entretien avec I.MEDIA

     

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    Cardinal Sarah : “Cette épidémie disperse la fumée de l’illusion”

    Alors que le monde entier est percuté par le coronavirus, le cardinal Robert Sarah, confiné au Vatican, analyse les ressorts de cette crise absolument inédite. Première partie.

    Valeurs actuelles. Que vous inspire la crise du coronavirus ?

     

    Cardinal Robert Sarah.

    Ce virus a agit comme un révélateur. En quelques semaines, la grande illusion d'un monde matérialiste qui se croyait tout-puissant semble s'être effondrée. Il y a quelques jours, les politiciens nous parlaient de croissance, de retraites, de réduction du chômage. Ils étaient sûrs d'eux. Et voilà qu'un virus, un virus microscopique, a mis à genoux ce monde qui se regardait, qui se contemplait lui-même, ivre d'autosatisfaction parce qu'il se croyait invulnérable.
    La crise actuelle est une parabole. Elle révèle combien tout ce en quoi on nous invitait à croire était inconsistant, fragile et vide. On nous disait : vous pourrez consommer sans limites ! Mais l'économie s'est effondrée et les Bourses dévissent. Les faillites sont partout. On nous promettait de repousser toujours plus loin les limites de la nature humaine par une science triomphante. On nous parlait de PMA, de GPA, de transhumanisme, d'humanité augmentée. On nous vantait un homme de synthèse et une humanité que les biotechnologies rendraient invincible et immortelle. Mais nous voilà affolés, confinés par un virus dont on ne sait presque rien. L'“épidémie” était un mot dépassé, médiéval. Il est soudain devenu notre quotidien.
    Je crois que cette épidémie a dispersé la fumée de l'illusion. L'homme soi-disant tout-puissant apparaît dans sa réalité crue. Le voilà nu. Sa faiblesse et sa vulnérabilité sont criantes. Le fait d'être confinés à la maison nous permettra, je l'espère, de nous tourner de nouveau vers les choses essentielles, de redécouvrir l'importance de nos rapports avec Dieu, et donc la centralité de la prière dans l'existence humaine. Et, dans la conscience de notre fragilité, de nous confier à Dieu et à sa miséricorde paternelle.

     

    Est-ce une crise de civilisation ?

    J'ai souvent répété, en particulier dans mon dernier livre, Le soir approche et déjà le jour baisse, que la grande erreur de l'homme moderne était de refuser de dépendre. Le moderne se veut radicalement indépendant. Il ne veut pas dépendre des lois de la nature. Il refuse de se faire dépendant des autres en s'engageant par des liens définitifs comme le mariage. Il considère comme humiliant de dépendre de Dieu. Il s'imagine ne rien devoir à personne. Refuser de s'inscrire dans un réseau de dépendance, d'héritage et de filiation nous condamne à entrer nus dans la jungle de la concurrence d'une économie laissée à elle-même.
    Mais tout cela n'est qu'illusion. L'expérience du confinement a permis à beaucoup de redécouvrir que nous dépendons réellement et concrètement les uns des autres. Quand tout s'effondre, seuls demeurent les liens du mariage, de la famille, de l'amitié. Nous avons redécouvert que, membres d'une nation, nous sommes liés par des liens invisibles mais réels. Nous avons surtout redécouvert que nous dépendons de Dieu.

     

    Parleriez-vous de crise spirituelle ?

    Avez-vous remarqué la vague de silence qui a déferlé sur l'Europe ? Brusquement, en quelques heures, même nos villes bruyantes se sont apaisées. Nos rues souvent grouillantes de monde et de machines sont aujourd'hui désertes, silencieuses. Beaucoup se sont retrouvés seuls, en silence, dans des appartements qui sont devenus comme autant d'ermitages ou de cellules monacales.
    Quel paradoxe ! Il aura fallu un virus pour que nous nous taisions. Et tout d'un coup nous avons pris conscience que notre vie était fragile. Nous avons réalisé que la mort n'était pas loin. Nos yeux se sont ouverts. Ce qui nous préoccupait : nos économies, nos vacances, les polémiques médiatiques, tout cela nous est apparu secondaire et vain. La question de la vie éternelle ne peut manquer de se poser quand on nous annonce tous les jours un grand nombre de contagions et de décès. Certains paniquent. Ils ont peur. D'autres refusent de voir l'évidence. Ils se disent : c'est un mauvais moment à passer. Tout recommencera comme avant.

     

    Le temps est fini des fausses pudeurs et des hésitations pusillanimes.

    Il est temps d’oser ces mots de foi. Le temps est fini des fausses pudeurs et des hésitations pusillanimes. Le monde attend de l’Église une parole forte, la seule parole qui donne l’Espérance et la confiance, la parole de la foi en Dieu, la parole que Jésus nous a confiée.

     

     

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    Que puis-je ajuter devant un Cardinal ? 

    Juste le sentiment d'une croyante. On perd le sens du sacrée dans notre église. Sous prétexte de modernisme on oublie le divin. Se remettre entre les mains de Dieu. Vouloir à tout prix que l'église ou que Dieu se plie aux idées du monde. Déjà entre chrétiens on a des antagonismes… Tu es pour et pas pour. Mais le Christ nous a bien dit que seul Lui est le vrai CHEMIN, L'UNIQUE VERITE et LA VIE. 

    On veut mettre des condiments dans les plats traditionnels de la famille …

    Et lorsque on veut librement se mettre à genoux, on est taxés de traditionalistes !  

    Que cela soit clair pour ceux qui dans le web me liront …

    Je me trouve très proche de la pensé de Benoît XVI car elle ne romps pas en moi le lien que j'avait depuis mon enfance avec l'église. 

    Je l'ai abandonnée à TORS et c'est mon péché… durant trois ans j'ai vécu un grand combat sans que cela touche ma foi dans le Christ et son évangile.

    Je préparait un homme de 72 ans à son baptême selon son désir. Je faisait partie des catéchistes. Or après des mois d'écoute et dialogue...j'était en train de le partager, de le préparer à connaître un peu qui était la personne du Christ dont il ignorait TOUT.

    Et tout d'un coup le curé m'annonce que dimanche il allait lui donner la communion. Ce prêtre ne connaissait pas ce que je savais … le chemin de cet homme qui avait besoin de plus de temps. Et il se permettait de sauter le Rubicon car il le décidait 

    Mais mon père, il ne sait pas qui est la personne de Jésus encore !

    -J'ai décidé comme cela et voilà

    Pour moi le problème n'était pas le fait de faire sa première communion. Mais ce MANQUE où il fallait que le pauvre Monsieur sache QUI EST CELUI QU'IL VA RECEVOIR 

    J'ai démissionnée des deux charges sans dire rien … personne n'a jamais su pourquoi je l'ai fait. Et un an après il quittait la paroisse ! 

    Cela m'a fait un mal terrible, puis je me suis dit que Dieu réglerait son affaire puisque c'était à lui. 

    J'obéis au Pape François et l'estime puisque il est élu et qu'il mène la barque de l'Eglise; parfois j'ai du mal. Voilà et je demande d'avance des excuses car sans aucun doute je m'exprime MAL.

    Le Christ est UN, L'Evangile est : SON EVANGILE 

    " DONNER A CESAR CE QUI EST A CESAR ET A DIEU CE QUI EST A DIEU" Et comme le souligne le Cardinal Sarah, on ne doit pas quitter le navire à cause des divisions ou des actes irrépressibles de certains cardinaux et des certains prêtres. COMBIEN DES AUTRES Cardinaux et prêtres et consacrées et Chrétiens restent fidèles à la foi dans le Christ car il s'agit que de cela… Faire un avec le Christ et vivre son évangile. 

    Ne jugeons pas pour ne pas être jugés 

      

     

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    Scrutez l’Évangile et fixez votre regard sur le Christ. Mgr Sarah

     

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  • S'il vous plaît il faut lire le fond de cet article à la fin. Merci

     

    Publié le 15/02/21

     

    Lors des auditions à l'aveugle de la dixième saison de "The Voice", le 13 février 2021, une chanson sur l'avortement a bouleversé le chanteur Vianney.

     

    Lors des auditions à l’aveugle de la saison 10 de l’émission « The Voice », sur TF1 le 13 février, le chanteur Vianney, qui fait partie des nouveaux membres du jury, a été bouleversé par la prestation de l’un des candidats, Tarik, 21 ans, étudiant en kinésithérapie. Après l’avoir entendu sur un texte de Grand Corps Malade, le jury lui avait en effet demandé d’interpréter l’une de ses propres compositions.

     

     

     Premier à tenter le slam dans « The Voice », Tarik, 21 ans, étudiant en kinésithérapie, a profondément ému Vianney.

     

     

    Mon chéri

     

    Le jeune homme a choisi un slam intitulé « Mon chéri », qui a arraché des larmes à Vianney. Le texte dit la détresse d’une mère qui avorte et crie sa douleur, s’adressant à son enfant disparu. « Mon chéri c’est moi, j’aimerais te parler », lance-t-elle en préambule. « Tu es mon fils, mon sang, la chair de ma chair. […] Je suis vide sans toi, j’ai peur de dire adieu ». La mère évoque tous les rêves avortés avec la disparition de son enfant et les mots sont d’une grande puissance : « Mon fils je te regarde, mais doucement tu disparais, alors je m’accroche à toi et au rêve que tu étais. Car oui tu n’es pas né et je ne te verrai jamais. Mon fils ne m’en veux pas, mais je vais devoir t’avorter ».

     

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    Réponse à ce Twitter 

    «The Voice» : le slameur Tarik parle sur un sujet qui ne le concerne pas et qui sert a faire culpabiliser les femmes usant de l'IVG. Vianney valide"

     

    Ma réponse 

    "Excusez moi pourquoi pensez que ce texte est fait pour culpabiliser les femmes usant de l'IVG ? Je suis sauvée d'un IVG et ce texte me fais du bien. Et la voix de ces bébés pas nées ne comptent pas ? Laissons la liberté d'expression."

    Respect mutuel 

     

    En écoutant cette chanson j'ai pensé à ma mère qui ME MANQUE et que je n'ai pas connu. AUCUN JUGEMENT … J'ai senti sa souffrance … car j'était partie pour être avortée … elle avait ses problèmes de famille que JE COMPREND. Chacun fait ce qu'il veux mais laissez nous de dire non à ce que des autres disent OUI ... voilà c'est comme cela...

    Respect mutuel  

     

    Résultat de recherche d'images pour "Enfant de mère naturelle"

     Ma mère 

    Tu rêvais si jeune d'un foyer honorable.

    Dans la famille on était respectable !

    Puis dans une rencontre où je ne sais pas ni comment

    un homme te promis de devenir sa femme.

     Lorsque tu sentis en toi la vie tu voulus la partager,

    plus de réponse à ton honneur plus de partage.

    Respectable, une famille trop respectable !

    Tu fus jetée dehors car famille trop respectable.

    Combien de souffrance seule, personne pour écouter tes cris.

    Je te l'écris ma mère, pour moi tu est la plus respectable.

    J'ai gardé tes larmes dans les miennes, mais je sais,

    que pas un seul jour, tu ne m'as pas oublié.

    Je te remercie de pas avoir fait l'irrémédiable.

    De m'avoir laissé vivre et rester RESPECTABLE.

    Dans les papiers il y a deux noms,

    par amour de toi j'ai gardé aussi le tien ...

    mais j'ai honte de ceux qui t'ont jeté dehors 

    Car trop respectables. 

    Trop coupables !

    A ma Mère Aurelie Lopez Yèrez  

     

     

     

    « The Voice » : une chanson sur l’avortement bouleverse Vianney

     

     

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