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    Vierge Marie qui t’est apparue à Bernadette et aux petits de la Salette, Fatima et dans autres endroits. Viens nous aider à nous qui en France on t’a toujours honoré. Sainte Vierge, donne à ceux qui la dirigent, la conversion du cœur pour leur bonheur, et pour le bien de notre pays la France. Comme Mère que tu es, protège-nous et arrête la haine et les violences. Veille sur les enfants qui vont naître. Merci d'avoir veillé sur ma vie dans le ventre de ma mère. Veille aussi pour que les enfants soient protégés et qu’on ne leur ôte pas la Vie. Que les enfants aient un père et une maman. 

     

     

    Bse Vierge Marie, Mère de la Grâce Divine

    Mère de la divine Grâce

     

     

    MOM,DAD,BABY

     

    Cette prière à Notre-Dame de Grâces est l’occasion pour un couple en espérance d’enfant d’inviter Dieu au cœur de l’attente et de déposer son projet entre les mains de celle qui a enfanté le Christ.

     

    L’attente de la naissance d’un enfant qui tarde à venir peut être une grande souffrance dans un couple. Pouvoir déposer ses difficultés, ses peurs et ses espoirs auprès de la Vierge Marie peut se révéler bénéfique, elle qui a su attendre dans l’espérance une naissance si mystérieuse. Pourquoi ne pas s’appuyer sur elle pour traverser cette attente, mais aussi pour se rapprocher de son fils Jésus, en récitant cette belle prière à Notre-Dame de Grâces à Cotignac :

     

    « Mère de la divine Grâce, dans votre apparition au Mont Verdaille, vous nous avez invités à solliciter vos faveurs. Nous accourons avec confiance implorer votre secours. Accordez aux justes la persévérance, aux âmes tristes la consolation, aux cœurs abattus le courage et la confiance, aux malades la santé, aux pêcheurs le repentir et le pardon, aux âmes du purgatoire soulagement et délivrance, à chacun de nous votre maternelle protection. Nous implorons surtout votre assistance à l’heure de notre mort. Soyez notre avocate au jugement de Dieu. Nous voulons au ciel vous dire éternellement notre reconnaissance. Notre-Dame de Grâces, priez pour nous ! »

     

     

     

     

    Notre Mère et notre Reine de notre Dieu Nos te vénerons et t'Aimons

     

     

     

    Sainte Vierge vous nous avez invités à solliciter vos faveurs...voici notr eprière

     

      

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    Attentats du 13-Novembre: «Les filles sont mortes, ce procès ne nous les  ramènera pas»

     

     

    Archives Juillet-Août-Septembre 2016 - Balades gourmandes de Pascale &  Jean-Pierre

    Anna et Marion, 24 et 27 ans tombées sous les balles des terroristes 

    Le 13 novembre 2015

    De grandes lunettes noires leur mangent le visage encadré de mèches folles. Leurs lèvres carmin dessinent de grands sourires malicieux. Sur les photos, elles posent collées serrées. « Aussi fusionnelles que peuvent l'être deux sœurs.» Anna, 24 ans et Marion, 30 ans,27 ans, deux jeunes femmes pleines de vie, seules enfants d'Erick et Sylvie Pétard-Lieffrig, bouchers charcutiers de Chailles habitant Monthou-sur-Bièvre. Vendredi soir, des fanatiques ont coupé court à leurs retrouvailles. Elles sont mortes sous les balles des terroristes, alors qu'elles buvaient un verre avec une amie à la terrasse du Carillon, bar situé en face du restaurant Le Petit Cambodge dans le X earrondissement de Paris. Elles profitaient en terrasse de ce printemps tardif.

    Dernier SMS aux parents avant d’être tués : 

    « Elles leur disaient qu’elles étaient ensemble et qu’elles les aimaient forts »

     

     

     

    Ils sont où les Ricains?" - Nouvelles révélations sur les attentats du 13  novembre

    Les deux sœurs, âgées de 27 et 24 ans, ont été tuées le 13 novembre 2015 

    Alors qu’elles se retrouvaient à la terrasse du Carillon à Paris. 

     

     

    Passion pour l'Espagne

    Scolarisées petites à Pontlevoy, Marion et Anna partageaient une passion pour l'Espagne et les pays latins. « Elles envisageaient de partir en Amérique latine.» Daniel, petit ami espagnol de Marion, souligne dans un douloureux sanglot : « Le jour de sa mort, cela faisait un an que nous étions ensemble. » Ils s'étaient rencontrés à Barcelone pendant leurs études de musicologie. Formation que Marion poursuivait à la Sorbonne. « Elle souhaitait devenir professeur de flûte. Elle était passée par les conservatoires d'Orléans et de Paris.» En parallèle de ses études, Marion travaillait dans une boutique de prêt-à-porter. Commerce situé à quelques mètres seulement du restaurant qui l'a vu mourir elle et sa sœur, vendredi.
    Désormais, les airs de flûte traversière de Marion n'égayeront plus le petit appartement partagé avec Daniel. Se sont tus également les éclats de rire des deux sœurs inséparables qui se retrouvaient dès qu’elles le pouvaient. « Elles avaient une joie de vivre communicative. Une complicité que rien ne pouvait ébranler. Et un sourire… »

     

     

     Attentats du Bataclan : l'espérance qui nous fait vivre,

    15eur

     

    Mes deux filles ont été tuées lors des attentats de 2015 : "Je sais  qu'elles ont trouvé une nouvelle famille"

    Merci infiniment de votre témoignage et de votre courage.

    Je vous embrasse de tout mon cœur anna

     

     

     

     

     

     

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     Fond animé bord de mer

     

     

     

     

    Le sauvetage de la Grande Barrière de corail et le temps des communs

     

     

    Great_Barrier_Reef_-_shutterstock_593865266.jpg

     

    Quand l’équilibre de la nature est rompu, à cause de l’homme ou non, l’homme lui-même peut redresser la situation. Notre chroniqueur Tugdual Derville nous raconte l’histoire d’une mobilisation humaine réussie pour sauver l’un de nos "communs" : la Grande Barrière de corail.

     

    Une des réalités les plus fascinantes du monde vivant est la complexité des chaînes de prédation. Pour en rester au règne animal, regardons le corail : il est menacé dans le Pacifique par un prédateur vorace, une grosse étoile de mer bardée de piquants venimeux nommée acanthaster pourpre (Acanthaster planci) ou couronne d’épines. Cette dernière peut toutefois être dévorée, entre autres, par un petit crustacé, la crevette Arlequin, que déguste à son tour le célèbre poulpe, lui-même au menu de certains types de requin… Nous n’évoquons ici que quelques espèces emblématiques d’un écosystème foisonnant. Dans le meilleur des cas, tout cela s’équilibre : chacun joue son rôle.

     

     

    Le danger de la pullulation

    Hélas, si une seule espèce se met à pulluler, c’est la catastrophe. L’infestation par l’acanthastermenace ainsi depuis des dizaines d’années les récifs de corail : Japon, Indonésie, Nouvelle-Calédonie, Australie, dont un quart de la Grande Barrière est déjà détruite ! Atteignant un mètre de diamètre, ces étoiles de mer peuvent fondre sur un lagon — comme un nuage de sauterelles — et anéantir en quelques mois ses récifs coralliens. Le phénomène de pullulation est cyclique, mais il tend à s’aggraver pour des raisons encore mal connues. Où est la responsabilité de l’homme ? On a d’abord pensé à la surpêche d’un grand coquillage prisé des touristes : le triton géant. C’est l’un des rares prédateurs de la couronne d’épine. Mais cette hypothèse a été écartée, car il était déjà rare. On penche désormais pour la pollution de l’eau combinée à des changements climatiques favorables à la survie des larves de l’étoile destructrice.

     

     

    À mesure que nous découvrons notre puissance, nous réalisons qu’elle nous rend vulnérables, mais aussi responsables.

    Malheureusement — ou peut-être heureusement — les habitants de ces côtes et des multiples îles concernées sont dépendants d’un tourisme centré sur la plongée sous-marine. Une coalition des communautés locales, unies dans l’adversité, s’est dressée contre l’invasion de l’étoile de mer. Chacun a joué son rôle : les naturalistes pour tester les moyens de vaincre l’ennemi, les innombrables plongeurs pour signaler les zones contaminées, grâce à des sites Internet participatifs et des équipes spécialisées pour effectuer, au bon moment, les gestes appropriés : ramassage, injection sous-marine d’acide, réintroduction de prédateurs…

     

     

    Une mobilisation réfléchie

    Ces interventions coordonnées ont fait l’objet de débats préalables : en principe l’Acanthaster fait partie intégrante de l’écosystème corallien ; il favorise même sa biodiversité en limitant les coraux à croissance rapide au profit des coraux à croissance lente. Est-il légitime que l’homme prenne la main sur le récif pour lui « imposer » un rééquilibrage, au détriment d’une espèce ? D’autres écosystèmes ne connaissent-ils pas des phénomènes cycliques d’expansion d’un être vivant ? En général, son prédateur principal suit et régule sa démographie. Dans la situation évoquée, la destruction durable du récif corallien a fait tomber les réticences. Il est vrai que l’intérêt économique des récifs a pesé lourd dans la décision d’intervenir. Tout le monde s’y est donc mis. Là où les communautés autochtones se sont organisées, l’étoile prédatrice a été repérée à temps ; son expansion est maîtrisée : le corail est sauvé.

     

     


     

     Notre état de développement est tel que trois constats s’imposent : puissance, vulnérabilité et responsabilité. À mesure que nous découvrons notre puissance, nous réalisons qu’elle nous rend vulnérables, mais aussi responsables. Aux antipodes de l’individualisme, la complexité des défis nécessite une coopération coordonnée de multiples acteurs : le temps est aux communs.

     

     

    NATURE

     

     

     

    Article dédié à Pierre aficionado de la Pêche et amoureux de la mer

     

     

     
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    Sois bénit Jésus de cet événement qui nous préoccupait tant.

    Merci Seigneur de venir sauver ses courageuses petites sœurs et les petits orphelins !

    Louange à toi !

     

     

    KABUL

     Publié le 14/09/21

     

    Cinq Sœurs Missionnaires de la Charité ont été évacuées d’Afghanistan vers Rome à la suite de la prise de pouvoir du pays par les Talibans. Elles ont emmené avec elles 14 orphelins handicapés qu’elles avaient en charge à Kaboul.

     

    25 août 2021.Un avion en provenance de Kaboul se pose sur le tarmac de l’aéroport Fiumicino de Rome. À son bord : 270 passagers exsangues après des heures d’angoisse. En quelques jours seulement, leur vie a basculé avec le retrait chaotique des forces américaines et l’offensive éclair des Talibans. Tous gardent en mémoire ces images de l’aéroport de Kaboul assailli par des milliers d’Afghans fuyant le joug des islamistes. Dans la confusion la plus totale, les ambassades présentes sur place ont tenté de s’organiser pour évacuer le maximum de personnes. Les autorités italiennes ont été à pied d’œuvre. Entre les 13 et 27 août, elles ont exfiltré plus de 5.000 personnes d’Afghanistan.

     

     

     

    CHARITY SISTER

    Exposées depuis douze ans aux violences et attentats qui continuent de semer la terreur à Kaboul. Sans se cacher, sans jamais reculer devant le danger.

     

    Parmi les 270 passagers qui arrivent ce 25 août, 14 enfants et jeunes adultes en fauteuil roulant sont les premiers à franchir les portes du terminal 5 de Fiumicino. Ils ont entre 6 et 20 ans et sont handicapés. Les yeux brillants et pleins de curiosité, ils patientent tandis que des infirmières prennent leur température. À leurs côtés se trouvent leurs « anges gardiens », vêtus de tuniques blanches et bleues. Ce sont cinq religieuses de la congrégation des Missionnaires de la Charité, l’ordre fondé par Mère Teresa à Calcutta.

     

     

    Les Missionnaires de la Charité, outre les trois vœux de pauvreté, de chasteté et d’obéissance, prononcent un quatrième vœu : celui de se vouer au service des plus pauvres d’entre les pauvres, de ceux qui ne peuvent les dédommager de leur peine, dont on n'attend rien en retour.

     

    "Nous sommes dévastées, tout est fini, il n’y a plus d’espoir à Kaboul"

    Depuis mai 2006, leur communauté est présente en Afghanistan où les sœurs s’occupent d’un orphelinat situé à Kaboul. Là, elles prennent soin d’enfants handicapés, abandonnés par leurs parents et la société. Mais avec l’arrivée de Talibans, les religieuses ont dû se résoudre à tout quitter, laissant derrière elles quinze années de mission auprès des plus pauvres. Un déchirement. 

    « Notre centre n’existe plus, il a été fermé […] Nous sommes dévastées, tout est fini, il n’y a plus d’espoir à Kaboul », a confié sœur Josè, 33 ans et originaire du Madagascar, au quotidien italien La Repubblica.

     

     

    Si elles ont fermé leur centre d’accueil la mort dans l’âme, il n’était pas question pour elles d’abandonner les enfants.

     

    https://medias.lavie.fr/api/v1/images/view/611a855d8fe56f074a2236f6/width_1000/image.jpg

    Avec l’unique prêtre en activité en Afghanistan, le père italien Giovanni Scalese, elles sont parvenues à les inscrire sur la liste des personnes à évacuer. « Je n’aurais jamais pu retourner en Italie sans ces enfants, nous ne pouvions pas les laisser ici », raconte le missionnaire de l’ordre des Barnabites à La Repubblica. Dans l’aéroport de Rome, épuisé et le col romain détaché, le prêtre est assis à côté des sœurs, elles-mêmes entourées des enfants qui rient et sourient. Une nouvelle vie commence.

    Les cinq religieuses et leurs « enfants », 11 filles et 3 garçons, séjournent désormais dans un centre des Missionnaires de la Charité situé à Tor Bella Monaca, un quartier en banlieue de Rome. « C’est une véritable révolution », confie une religieuse du centre qui a dû repenser sa logistique, à Vatican News.

     

    Des enfants plein de tendresse

    « Ces enfants nous donnent aussi de la tendresse, des relations, d’une manière différente de celle que nous pensons. Ils nous demandent d’entrer en relation avec eux et ils nous donnent la capacité d’aimer ; ils élargissent notre cœur pour pouvoir aimer davantage », explique-t-elle, avant d’ajouter que « ce sont les gestes de soins quotidiens qui donnent des vents insoupçonnés de joie et de réconfort ».

    Une douzaine de jours après leur arrivée en Italie, les religieuses et leurs orphelins ont reçu une visite surprise. Alors que les enfants profitaient d’un goûter, le cardinal Konrad Krajewski, responsable de l’Aumônerie apostolique du pape François, est venu les rencontrer avec une équipe médicale. L’objectif : leur faire passer des tests Covid-19 afin de mettre fin à leur quarantaine et qu’ils puissent réellement commencer leur nouvelle vie en Italie…

     

     

    Vocation des Frères - Frères Missionnaires de la CharitéNotre mission à Paris - Frères Missionnaires de la CharitéNotre mission à Paris - Frères Missionnaires de la Charité

    Et mes frères et amis Missionnaires de la charité de Paris. Je suis témoin de ce vivre ensemble avec aucune consigne sinon l’Amour des pauvres, des personnes seules et aussi beaucoup d’humour. Notre chapelle de Paris. Ce n’est pas moi la dame qui prie avec eux

    Je les ai connus à mon arrivée à Paris en 92. 

     

    Mère Teresa, le visage de la miséricorde dans les bidonvilles.

    Mère Teresa disait aux femmes qui voulaient avorter de lui donner son enfant si elles ne le voulaient pas.

     

     

     

    UN COEUR D'ENFANT MALADE

    Aimer les autres jusqu’à en avoir mal
         ... Je n’oublierai jamais le petit enfant qui m’a donné une merveilleuse leçon. Les enfants avaient entendu dire, à Calcutta, que la Mère Teresa n’avait pas de sucre pour les enfants. Or un petit garçon hindou, de 4 ans, rentra à la maison et dit à ses parents : « Je ne veux pas manger de sucre pendant trois jours. Je veux donner mon sucre à Mère Teresa. » Combien un petit enfant peut-il manger ? Après trois jours, ses parents l’amenèrent chez moi et je vis ce petit. Il pouvait à peine prononcer mon nom. Il aimait d’un grand amour ; il aimait à en avoir mal.

     

     

    Oui, TOUT EST GRÂCE ! - UN CRI A LA VIE !

     

     

     

     

     
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    Lors de sa visite en France, le Saint Père est venu à Lourdes pour célébrer le 150e anniversaire des apparitions à Sainte Bernadette. Lors de la messe de la Croix Glorieuse il a prononcé un discours, le voici une partie

     

     

     

     

     

     

    Fête de la croix glorieuse | Blogue du Moine ruminant

     

     

     

     

     

     

    La Croix, une initiation au mystère de la Croix

    Il est significatif, a poursuivi Benoît XVI, “que, lors de la première apparition à Bernadette, c’est par le signe de la Croix que Marie débute sa rencontre.

    Plus qu’un simple signe, c’est une initiation aux mystères de la foi” et “le signe de la Croix est en quelque sorte la synthèse de notre foi”, qui nous “dit que, dans le monde, il y a un amour plus fort que la mort, plus fort que nos faiblesses et nos péchés.

    La puissance de l’amour est plus forte que le mal qui nous menace. C’est ce mystère de l’universalité de l’amour de Dieu pour les hommes que Marie est venue rappeler ici, à Lourdes… L’Église a reçu la mission de montrer à tout ce visage aimant de Dieu manifesté en Jésus-Christ… C’est lui qui nous rendra libres pour aimer comme il nous aime et pour construire un monde réconcilié. Car, sur cette croix, Jésus a pris sur lui le poids de toutes les souffrances et des injustices de notre humanité. Il a porté les humiliations et les discriminations, les tortures subies en de nombreuses régions du monde par tant de nos frères et de nos sœurs par amour du Christ”.

     

     

    La fête de la Croix glorieuse en ce jour. Homélie du papa Benoît XVI à Lourdes

     

     

     

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