• Sarah, élève de quatrième, a été très inspirée tant sur le plan du slogan, que du dessin.

     

    Une petit poésie sur le Covid 19 et de jolies mots qui poussent à réfléchir en cette période de confinement en famille ou dans une certaine solitude.

    Sourire tout de même ...

     

    https://cdn-s-www.lejsl.com/images/a7abe584-06e0-4921-bdbd-e7e7e8fac1d7/NW_listE/mardi-dessin-seb-1584529997.jpg

    Et aussi ...

     

    Humains et Mortels …
    La vie est belle … 

    Nous ne croyons forts et éternels
    Nous nous découvrons vulnérables et fragiles.
    Et voilà un virus qui vient tout changer !
    Une maladie qui vient tout bouleverser

    Certains l’appellent Covid-19
    D’autres le nomment Coronavirus
    Nous voila aussi fragiles qu’un œuf
    Enfermés dans nos coquilles, terminus !

    Est-ce un mal pour un bien ?

    Un mal qui nous invite à changer demain ?
    Introspection imposée pour retourner à l’essentiel ?
    Trop de consommation et de choses superficielles ?

    Mes amis, ma famille ! Je vous aime …
    Je vous offre les quelques mots de ce poème.
    Des mots de soutien et de réconfort …
    Des vers pour vous dire que je vous aime fort

    Une maladie qui nous pousse au confinement
    Un virus sans vaccin ou médicaments …

    Nous pensions êtres des géants !
    La nature nous offre un enseignement !

    Soyez solidaires et confiants !
    Vivons Fraternellement
    Cette période de confinement
    Porte en elle, un enseignement …

    Mes amis, soyons confiants
    Revenons à ce qui est important
    La vie est belle mais point éternelle
    Vivons simplement, revenons à l’Essentiel …

    -Poésie écrite par Hamoudi-

    Merci Hamoudi de ce poème qui fait du bien

    Et courage !

     

    Un peu de fun pour le confinement ! en 2020 | Humour, Citations les plus  drôles, Humour du matin

    Il parle du film ...

    Je voudrais vous dire que même si nous entrons dans une deuxième face difficile, on va se serrer les coudes les uns 

    aux autres et je tâcherai de faire des articles pour vous…

    Dans le métro cet après midi les gens très très corrects et

    masques et distanciation. 

    Mais en arrivant à Vincennes j'ai pu compter au moins 5

    personnes sans masque ! 

    Prenons soins de nous, de ceux que nous aimons et 

    Aimons nous encore plus en ces moments.

    Bisous !!!

     

    Dur dur ... en 2020 | Meilleur blague, Blague, Drôle

     

    Confinement : découvrez les meilleures blagues qui circulent sur la Toile -  Biba Magazine en 2020 | Photo blague, Meilleur blague, Image humour

     

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  • Titi le mardi 26 Octobre 2020

     

    Le même chat et la photo le même jour...

     

    Sa fiancée virtuelle Dori Espagnole, depuis Madrid chez mon ami comme un frère, David

     

    Encore Titi la nuit d'avant ...

     

    Titi

     

    Et à Jeudi car je suis en ce moment à Paris pour voir mon Psy

    et renouvellement de traitement… métro masque, gants et gel 

    hydroalcoolique !!!

     

     

    Moi je sert de porte parole…

    Ils sont mignons ces deux là eh ? Mais dites,

    qui vous fait les meilleurs sourires ? C'est moi !

    Et bien je te trouve bien culoté de parler ainsi de tes patrons !!!! Miauuuuuu !

     

    Quelle bande de neuneu !

     

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  • Auschwitz — Wikipédia

     

    Si les juifs représentent 90% des victimes du camp d’extermination d’Auschwitz, on estime qu’environ 100’000 Polonais y ont également péri. Une chercheuse polonaise a étudié les pratiques religieuses de ces prisonniers chrétiens.

     

    Alors que le 75e anniversaire de la libération du camp de la mort a été marqué en Israël et en Pologne, une historienne révèle un autre aspect du Konzentrationslager (KL). «Bien que la plupart des déportés à Auschwitz en provenance de l’Europe occupée soient juifs, le camp était, à l’origine, ouvert aux prisonniers polonais et accueillait également des résistants catholiques de France, d’Allemagne, de Belgique et d’autres pays», indique Teresa Wontor-Cichy, historienne au Musée d’État d’Auschwitz-Birkenau, auteur de l’étude La vie religieuse des prisonniers chrétiens au KL Auschwitz. «Jusqu’à présent, cet aspect de leur histoire n’a été étudié que de manière aléatoire. Mais il est important que le monde en sache davantage et en tienne compte».

     

    100+ Best St. Teresa Benedicta of the Cross images | benedicta, edith stein,  st edith stein

    Maximilian Kolbe un prêtre catholique qui choisi prendre la place d'un prisonnier père de famille et mourut de faim à sa place. Edith Stein Philosophe juive converti au catholicisme et Carmélite et martyr.

    Parmi les figures catholiques les plus connues, le Père Maximilian Kolbe et la religieuse carmélite d’origine juive Edith Stein, tous deux exécutés à Auschwitz-Birkenau. Leur vie spirituelle durant leur séjour a été largement documentée. Cependant, précise l’historienne à Catholic News Service, des milliers de laïcs catholiques avaient également gardé la foi dans le camp, où 1,2 million de détenus ont été tués par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale.

    «Jusqu’à présent, les dévotions religieuses n’étaient connues que par des mémoires et des articles occasionnels. Il est maintenant possible de les documenter plus complètement, indique Teresa Wontor-Cichy.

    Comme 95% des archives du camp ont été détruites, il est impossible de dire combien de chrétiens étaient ici. Mais les affiliations religieuses ont été notées lors de l’enregistrement des prisonniers et de leur décès. Et nous savons que les catholiques étaient les plus nombreux, principalement de Pologne, mais aussi de France, d’Allemagne, des Pays-Bas, de Slovaquie et d’Union soviétique».

     

    Rzecznik Episkopatu: Co piąty ksiądz diecezjalny zamordowany podczas II  wojny światowej – Artykuły – Franciszkańska 3

     

    La cellule du camp de concentration d’Auschwitz dans laquelle Maximilien Kolbe est mort 

    Sacrements distribués secrètement

    Outre les détenus juifs, qui représentaient 90 % des victimes, environ 100’000 Polonais ont été tués dans les chambres à gaz et les lieux d’exécution d’Auschwitz. Les nazis ont également tué des Russes, des Roms et des prisonniers d’autres nationalités.

    Dans son étude, la chercheuse révèle que la distribution des sacrements avait été «strictement interdite» sous peine de mort à Auschwitz-Birkenau, mais que les prêtres les administraient secrètement, apportant «une forme de soutien spirituel et psychologique» et un «sentiment de communauté».

    Plusieurs membres du clergé ont décrit leur travail après avoir survécu, notamment le père Adam Zieba, un prêtre polonais, et Adam Kozlowiecki, devenu plus tard cardinal et archevêque de Lusaka, en Zambie.

     

    Chapelets en pain séché

    De nombreux prisonniers auparavant non croyants se tournent vers la prière pendant leur incarcération, «cherchant instinctivement le contact» avec des prêtres et des religieuses catholiques que les gardiens du camp appelaient avec dérision «Pffafen» (curetons) et à qui ils confiaient les tâches les plus difficiles.

    En outre, l’étude de Mme Wontor-Cichy atteste que de nombreux prisonniers catholiques avaient fait preuve d’une «grande détermination» en dissimulant des objets liturgiques et de dévotion, tels que des chapelets faits de pain séché.

    En 1944, les administrateurs d’Auschwitz-Birkenau tentèrent de décourager les célébrations de Noël en installant un arbre...de Noël entouré de cadavres dans la cour de rassemblement du camp. Mais un prêtre, le Père Wladyslaw Grohs, avait néanmoins célébré la messe et entendu des confessions dans sa cellule.

     

    Volonté de survie

    Alors que de nombreux détenus «doutaient de la Providence», indique l’historienne, certains se sont tournés vers Dieu pendant leur incarcération. «Tant de gens ont été déportés ici, tous avec une volonté de survie, qu’il est facile de comprendre pourquoi les émotions et les conflits ont parfois éclaté. Mais notre tâche est de travailler sur l’histoire du camp – le bon et le noble aux côtés du mal et du méchant – et nous devons accepter que la recherche académique et la politique suivent des chemins séparés». (cath.ch/cns/bl)

     

    Notre mot du jour : Hymne dans le silence de Dieu - Paroisse de  Faches-Thumesnil

    Mes amis,

    Le silence de Dieu n'est pas son absence. Rapidement, je sais que beaucoup disent et diront :

    " Où était Dieu ? "

    Je crois trouver une des réponses …  il était parmi ceux qui voulaient lui donner sa parole, parfois les actes sans paroles. Leur propre vie comme ce prêtre Maximilian Kolbe. Ce n'était pas un camps de concentration ma chambre d'hôpital durant 6 mois avant d'avoir subi l'enfer. Pas droit de visite, côte à côte des malades parfois difficiles car la souffrance est ainsi et transforme un être. Mais je peux vous dire que chaque fois que j'ai crié vers lui, quelqu'un est venu à mon aide ou bien j'ai trouvé du courage et parfois même de la joie car la souffrance fait apprendre des choses qui ne seront jamais dans les livres.   

    Posté le mercredi 25 mai 2016 11:15 - midiaou

     

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  • https://images.lindependant.fr/api/v1/images/view/5decc3138fe56f0b66379f05/large/image.jpg?v=1

     

    La sortie d’un film de Terrence Malick est toujours un événement. Surtout quand il met son art de la grâce au service de la résistance. Sa longue fresque, « Une vie cachée »

    revient sur la vie exemplaire de l’objecteur de conscience autrichien Franz Jägerstätter.

    Sorti au cinéma le 11 décembre, 2019 il est désormais disponible en DVD.

     

    Une vie cachée : le nouveau départ de Terrence Malick [Critique] |  Premiere.fr

     

    On suit un homme d’une humilité à faire tomber le plus heureux des hommes ou le plus vaniteux. Car ce sont les malheureux qui refusent comme lui de porter la croix de la conviction. Et pourtant, durant près de trois heures, peu de dialogues ; durant de longues minutes, c’est la contemplation dans le creuset de cette âme paysanne au beau milieu d’un village autrichien pris par le nazisme. Car les films du réalisateur américain pourraient bientôt être synonymes de testament spirituel, au sens d’un engagement total de son être et de son talent. 

     

    Le refus du nazisme

    À Sainte-Radegonde, tout le monde vote l’Anschluss qui scelle l’annexion de l’Autriche par l’Allemagne, et donc son ralliement au nazisme du IIIe Reich. Franz Jägerstätter est le seul à s’y opposer. Il refuse de se battre aux côtés des soldats soumis aux ordres d’Hitler, présenté au début du film comme l’Antéchrist. Le maire, le prêtre du village, les villageois et sa mère tentent de le convaincre et de le prévenir du danger qu’il encoure. Mais sa femme, Fani, le laisse à sa liberté de conscience et le soutient dans la fermeté de sa foi, quasi inébranlable, au risque d’être seule à élever leurs filles.

    « Si Dieu nous donne le libre arbitre, on est responsable de ce qu’on fait. Ou ne fait pas. Non ? », se met-il à douter. « Je ne peux pas faire ce que je crois être mal. »

     

    CES CHRÉTIENS QUI ONT RÉSISTÉ À HITLER

     

    Fou amoureux de sa femme et d’un tempérament entier, cet agriculteur choisira malgré tout de suivre la vérité du Christ dans sa vie. Ce n’est pas seulement la guerre qu’il refuse, ni même le nazisme seul, mais aussi la haine grandissante nourrie par le nationalisme qu’il observe chez ceux qu’il croyait connaître. Il sera même haï par eux. Le verdict est sans appel, la prison pour trahison l’attend à Linz, puis à Berlin. « Tu serais sans doute fusillé. Ton sacrifice ne profiterait à personne », ce constat du prêtre du village renforce l’incompréhension face à un tel geste. Mourir à la guerre après avoir tué, ou mourir avec la conscience limpide. Entre les deux, Jägerstätter ne se posera pas longtemps la question.

     

    Aux ténèbres du cœur de l’homme, Malick répond par la beauté

    Au beau milieu de la campagne autrichienne les paysans travaillent sans relâche, participent aux fêtes du village, continuent, comme d’habitude, d’aller à la messe dans un pays pris dans une guerre injuste qui s’attaque aux faibles. Même la solidarité n’est plus de mise. Fani est seule et rejetée. La caméra pèse, s’attache aux gestes du quotidien, à la vie, au bonheur de la famille de Jägerstätter. Elle prend son temps pour mesurer ce à quoi renonce Franz et ce qu’il sauve.

     

      

    Il filme aussi la magnificence de la nature, avec un talent dont il a le secret. Plus on goûte à la beauté des paysages plus l’horreur perpétrée par l’homme paraît mesquine. Terrence Malick n’oublie pas de nous amener avec lui, avec son héros, dans un espace réservé aux âmes fortes seules : la paix. Le refus de la colère et de la violence est entourée de silence, et sans doute de beaucoup de prière, dans des plans à la fois poignants et éloquents.

     

    De sa prison, il écrit à sa femme :

    « Les chrétiens doivent s’équiper pour travailler et combattre au service de Dieu en se dépouillant de tout ce qui les empêche de parvenir à destination. Ils doivent être spirituellement sobres, c’est-à-dire libres de l’ivresse du péché. »

    La grâce règne au milieu du chaos, dans la cour de la prison, dans la cellule où on le frappe pour faire plier sa volonté. Et Terrence Malick n’oublie pas la beauté de l’amitié avec le merveilleux acteur Franz Rogowski, compagnon de galère qui le fait respirer, et nous aussi.

     

     

    Un dilemme universel

    Franz Jägerstätter est d’abord un martyr, — un témoin —, et non pas une victime. Pour incarner l’objection de conscience jusqu’à son exécution finale, irrémédiable, il accepte de vivre toutes les contraintes de ce choix radical. Solitude, refus de juger les autres (notamment dans la scène admirable qui le confronte à Bruno Ganz, haut gradé de l’armée du Reich dans le film), espérance et courage sont ses seuls refuges. En fait de jusqu’au-boutisme, c’est le libre-arbitre et la liberté qu’il veut faire triompher. Ceux, justement, auxquels Bruno Ganz ne peut plus accéder malgré sa lucidité : « Imaginez-vous un instant que votre conduite changera le cours de cette guerre ? Personne n’en sera changé. Le monde continuera comme avant ». 

     

    https://www.benzinemag.net/wp-content/uploads/2019/12/Une-Vie-Cach%C3%A9e-450x300.jpg

     

    Ô combien ce genre de propos est en permanence d’actualité. Ô combien le sens de la vie n’est plus de lui donner un sens mais de la sauver pour soi-même, à l’inverse de Jägerstätter. Terrence Malick expose toute la complexité du dilemme universel de la conscience humaine. Sans jugement, ni morale, il va dans les profondeurs avec un scénario sublime, un montage exceptionnel et une photographie habitée. Tout cela pour suivre le visage d’un homme bien décidé à échapper à la barbarie, ne pas en être, mais sans fuir. Franz Jägerstätter meurt le 9 août 1943.

     

     

    Courage… mais aussi la force de la grâce !

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  • Juste 0:55secondes … Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 22, 34-40

    Si je n'ai pas l'amour, je ne suis rien » (1 Corinthiens 13 :2) -  Méditations quotidiennes - Journal Chrétien

     

    Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas l’amour, je suis un airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit. Et quand j’aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j’aurais même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes… sans l'Amour...je ne suis rien.

    Aujourd'hui je ne mets pas un article exemplaire trouvé dans Aleteia … Je viens avec ma petite et pauvre besace. Avec ce qui m'a fait vivre depuis toujours. Je l'ai compris à Taizé lieu de rencontre interconfessionnel et ouvert à TOUS. J'ai séjournée des mois pour m'unir aux jeunes à recevoir des autres jeunes. Tout était beau et simple, personne parlait de sa "religion" on chantait et on priait ensemble. Un jour je me surprise d'un malaise terrible dans mon cœur à la vue de deux files qui séparément allait recevoir le pain de l'Eucharistie. Ne connaissant le protestantisme j'ai été interloquée. J'ai cherché et, en voyant la réalité de ce fait, j'ai fait un choix " Rester un cœur Universel " sans religion, pour être toute à tous. 

    Ce furent des sœurs protestantes que sans rien leur demander me donnèrent la réponse.

    Prier pour que un jour l'unité se fasse entre nous. Alors pourquoi ne pas continuer et rester dans ma foi de toujours ?

    Revivez la 40ème rencontre européenne des jeunes à Bâle avec Taizé | RCF

     

    Je fis des autres rencontres bien étonnantes.

    Un jour, dans mon groupe de prière dans la Drôme, lorsque on dit une demande de prière à haute voix je me suis trouvé en train de parler avec mon …

    "Je vous demande de m'aider car je prie pour klaus Barbie "

    J'aurais jeté une ampoule mal odorante que cela aurait donné moins de sensation… Personne dit un mot. Je vous explique : J'avais fait le choix lors de mes trajets à pieds pour le job 60' de prier pour ceux qui personne prie. Je savait bien ce qu'il avait fait telle ou telle personne. Je connaissais la loi et leur pourquoi de leur condamnation. Ce qui m'intéressais c'est que cette personne arrive à RECONNAITRE le mal fait. 

    A la sortie de la prière...j'étais triste ...je suis sortie toute seule ...et un vieux monsieur m'a suivie et m'a dit :

    Ah je ne suis pas croyant, je suis là car j'ai amené ma femme. Je t'ai compris, n'aie pas de peine ils n'on pas comprit !

    De lors j'ai pigé qu'il fallait mettre ses bonnes intentions dans la poche et faire et dire comme tout le monde… Et j'ai refusé à cela car j'aime me sentir libre moi aussi ! 

    J'avais prié entre autres pour François Mitterrand car il avait le cancer et allait vers la fin. Je l'ai vu maltraité par Elkabbach lors d'une émission...sans respect et carrément en profitant de sa faiblesse d'homme achevé...et Mitterrand n'avait pas répondu mal. 

    J'ai pris mon crayons et lui ai dit merci de s'être comporté comme cela dans cet émission et devant ce journaliste qui profitait de sa faiblesse, sans respect car tout de même il était le chef de l'état. J'ai osé lui dire que je priait pour lui chaque jour. Et j'ai reçu une petite carte bristol … il se disait émou et touché et Merci … Le reste m'importe peu !

     

    Père pardonne-nous...

     

     

    Pourquoi je fais cet article à contre-courant ?

    Je vois que la peur est là, le virus, le confinement, la violence, les attentats et c'est vrai, on en a assez … Vous aurez remarqué que l'assassinat de Victorine est resté discret… je vous ai mis ses funéraires sur l'un de mes blogs 

     1:28

     

      Je vois ces parents… sa famille et amis effondrés et nous avec. En aucun cas j'ai ressenti de la violence ...et pourtant un enfant de 18ans que disparait ainsi...c'est a hurler.

    C'est tout ce que je voulais dire. Que l'on ne perde pas de vue que l'haine, la vengeance, la violence, les attentats et les guerres ne sont que des précipices qui peuvent nous unir si l'ont prend le même chemin. Le silence pas complice mais recueilli, les mots pour dénoncer … les gestes pour dire cela suffit ...je crois qu'ils ont plus de poids car sont poussés par l'Amour.

    Je sais que mon article va horripiler. Mais si je ne dis ce que je sent… je ne serai pas fidèle à moi. Et je vous rassure, je sais, je suis contre ses surates de mort envers le non croyant… les enseignements d'haine… et que la France fait face a une situation économique terrible où le partage "des portes de frontière trop ouvertes"  sont difficiles à supporter lorsque on voit des famille Française vivre dans une misérable pauvreté etc. Je sais comme vous Mais il faut aller plus loin que le regard de révolte. 

    Funérailles de Victorine : un écran géant sera installé hors de l'église 

     600 personnes étaient présentes pour suivre en direct la messe cocélébrée par 15 prêtres dont le représentant de l'évêque de Grenoble.

    Mots du papa de Victorine 

    "J'ai pleuré quatre fois dans ma vie, à chaque naissance, et là, une cinquième fois", a dévoilé dans une émotion bouleversante James Dartois, le père de Victorine.

    "Jamais je n'aurais imaginé que tu partes si tôt et si brutalement. Je me souviens d'une soirée à table où nous discutions en famille. On se disait : 'Et si l'un d'entre nous décède du jour au lendemain ?' Et toi, tu nous répondais : 'Si je meurs, vous seriez perdus sans moi'. Et à cinq, on plaisantait en te répondant : 'Oh non, au contraire, on aurait la paix' Moi, quand j'y pensais, je me répétais que je mettrais fin à mes jours si une personne d'entre nous mourait. Malheureusement, ce jour est arrivé. Aujourd'hui Victorine, tu me donnes une force que je n'ai jamais eue auparavant. Je ne pense qu'à toi. Et tu sais quoi ? Je n'ai aucun mauvais souvenir avec toi, aucun", a déclaré la grande soeur de Victorine, Romane, lors de l'office. "Tu avais des mots et des expressions qui nous faisaient rire, tu étais notre petit boute-en-train de la maison."

     

     

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    God Bless You 

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