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Par nanipeinture le 22 Novembre 2020 à 07:00
Alors les justes lui répondront : ? tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ? tu avais seul et nous t'avons visité ?
“Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu… ? et nous t’avons donné à boire ?
tu étais un étranger, et nous t’avons accueilli ? tu étais nu, et nous t’avons habillé ?
tu étais malade ou en prison… Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ?”
Et le Roi leur répondra : “Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.”La Vie Plus forte Que la Mort
Courage !
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Par nanipeinture le 21 Novembre 2020 à 14:42
Devenir des êtres de miséricorde
Conférence, 19 mai 2002 !
Je crois que ce qui doit nous unir profondément, c’est cette miséricorde de Jésus : ne pas toujours commencer par juger et critiquer ; cela, c’est l’erreur de notre monde. Tout le monde devient gendarme, et dès qu’il y a une bêtise on la met en évidence, en cachant tout le reste, alors que nous devrions être au contraire des hommes de miséricorde qui aiment le pauvre à travers toutes ses pauvretés et qui le relèvent, et qui l’aident.
La miséricorde nous enveloppe
On pourrait dire que la béatitude de la miséricorde est celle qui enveloppe tout. Toute notre vie est enveloppée de la miséricorde de Dieu ; et plus nous avons le sens de notre vulnérabilité de pécheurs et comprenons que nous sommes des pauvres, plus nous comprenons aussi que la miséricorde nous enveloppe.
Textes du P.M.D.Philipe
"A la tarde séré examinado sobre el Amour…"
Espagnol St Jean de la Croix
Je serai regardé, observé avec Amour par l'Amour…
Même pas un mot…
Rien à dire lorsque un jour nous seront devant notre créateur.
Je le perçois comme cette petite image… Juste une
rencontre…
Il nous ouvrira ses bras et seulement si nous le voulons bien,
nous lui permettrons, lui laisserons embrasser par cet Amour
que AUNCUNE créature, pourra mesurer car il n'y à point de
mesure. Voilà ce qui sort de mon cœur pour vous et pour moi
car, j'en ai bien besoin en ce moment.
TOUT EST GRACE !
COURAGE !!!
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Par nanipeinture le 20 Novembre 2020 à 12:21
Et vous serez allaités ;
Vous serez portés sur les brasLa Tendresse de Dieu comme celle d'une mère
Voici quelques versets de la Bible qui présentent Dieu comme une tendre maman pour nous. Et ça fait du bien !
Il disait : L’Éternel m’a abandonné,
Le Seigneur m’a oublié !
L’Éternel répond :
Une femme oublie-t-elle son nourrisson ?
N’a-t-elle pas compassion du fils de ses entrailles ?
Quand elle l’oublierait,
Moi je ne t’oublierai pas. (Ésaïe 49:14-15)L’Éternel répond : J’ai longtemps gardé le silence,
Je me tais, je me contiens ;
Je gémis comme une femme en train d’accoucher,
Je suis haletant et je souffle tout à la fois. (Ésaïe 42:14)Mais toi : Tu as dédaigné le Rocher qui t’a fait naître,
Et tu as oublié le Dieu qui t’a engendré. (Deutéronome 32:18)Ainsi parle le Seigneur :
Voici que je dirigerai vers elle la paix comme un fleuve,
Et la gloire des nations comme un torrent débordé,
Et vous serez allaités ;
Vous serez portés sur les bras
Et caressés sur les genoux.
Comme un homme que sa mère console,
Ainsi moi je vous consolerai ;
Vous serez consolés à Jérusalem. (Ésaïe 66:13)Comme un enfant sevré auprès de sa mère,
Mon âme est en moi comme un enfant sevré.
Mettez votre confiance dans le Seigneur,
Dès maintenant et pour toujours ! (Psaume 131:2-3)Ceux qui me lisez sur le web et ceux de quelques blogs
Oui, venons regarder et lire cette tendresse de Dieu.
Laissons de coté tous ses médiats de mort et mots de violence,
pour rentrer et nous centrer dans ce cœur de Jésus?
Lorsque je rentre dedans et me déconnecte du reste, je respire
et la paix envahi tout l'être
Seul notre Père des cieux pouvait dire ceci :
Une femme oublie-t-elle son nourrisson ?
N’a-t-elle pas compassion du fils de ses entrailles ?
Quand elle l’oublierait,
Moi je ne t’oublierai pas. (Ésaïe 49:14-15)Lorsque j'ai découvert ce texte, je me suis dit que personne
pouvait me parler ainsi sur cette terre. Me faire sentir cette
tendresse dans mon cœur.
C'est vrai, on née de la semence d'un homme déposé dans notre
mère. Mais lisons ce texte
Avant que je t'eusse formé dans le ventre de ta mère, je te connaissais, et avant que tu fusses sorti de son sein,
Je vais vous expliquer pourquoi cet émoie que j'exprime.
Je n'était pas un enfant désiré… mais un accident et une
en face de la mort car prévue pour la mort.
Cette femme, ma mère, à rencontré une autre femme, ma mère
adoptive qui apprenant son désir d'avorter ( car sans doute
toute jeune ) décida de me sauver.
En lisant ces textes je ne pouvais que tomber à genoux
devant une telle avalanche d'Amour.
Suis un exemple de cet Amour et je le proclame !
Rescapée de la mort
Je vous souhaite une belle journée
Courage !!!
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Par nanipeinture le 19 Novembre 2020 à 14:26
En ce temps-là, lorsque Jésus fut près de Jérusalem, voyant la ville, il pleura sur elle, en disant :
« Ah ! si toi aussi, tu avais reconnu en ce jour ce qui donne la paix ! Mais maintenant cela est resté caché à tes yeux.
Oui, viendront pour toi des jours où tes ennemis construiront des ouvrages de siège contre toi, t’encercleront et te presseront de tous côtés ;
ils t’anéantiront, toi et tes enfants qui sont chez toi, et ils ne laisseront pas chez toi pierre sur pierre, parce que tu n’as pas reconnu le moment où Dieu te visitait. »( Commentaire de Saint Agustín d'Hippone (354-430)
évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l'Église
« En voyant la ville, Jésus pleura sur elle »
Deux amours ont bâti deux villes :
l'amour de soi jusqu'au mépris de Dieu a fait la cité terrestre ;
l'amour de Dieu jusqu'au mépris de soi, la cité céleste. L'une se glorifie en elle-même ; l'autre dans le Seigneur. L'une cherche la gloire qui vient des hommes (Jn 5,44) ; l'autre met toute sa gloire en Dieu, témoin de sa conscience. L'une, gonflée de vaine gloire, élève la tête ;
l'autre dit à son Dieu : « C'est toi ma gloire ; tu me redresses la tête » (Ps 3,4). Dans l'une, les princes sont dominés par la passion de dominer sur leurs sujets ou sur les nations conquises ; dans l'autre tous se font serviteurs du prochain dans la charité, les chefs veillant au bien de leurs subordonnés, et ceux-ci leur obéissant.
La première ville, dans la personne des puissants, s'admire dans sa force ; l'autre dit à son Dieu : « Je t'aimerai, Seigneur, toi ma force » (Ps 17,2). C'est pourquoi, dans la première ville, les sages mènent une vie tout humaine, ne recherchant que les biens du corps ou de l'esprit ou les deux à la fois : « s'ils ont pu connaître Dieu, ils ne l'ont pas honoré comme Dieu et ne lui ont pas rendu grâces, mais ils se sont perdus dans leurs pensées et dans leurs cœurs enténébrés; ils ont servi la créature de préférence au Créateur » (Rm 1,21-25). Dans la cité de Dieu au contraire, toute la sagesse de l'homme se trouve dans la piété, qui seule rend au vrai Dieu un culte légitime et qui, dans la société des saints, des anges aussi bien que des hommes, attend pour récompense « que Dieu soit tout en tous » (1Co 15,28).
Je t'Aime Jésus !
Courage !
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Par nanipeinture le 18 Novembre 2020 à 15:59
Atteint d’une maladie génétique évolutive, la myopathie, l’auteur du Manifeste des humains fragiles, haut-fonctionnaire et premier handicapé à être nommé préfet, était considéré comme un porte-parole hors du commun, essentiel à la société et porté par une foi vive. Après une vie consacrée à la défense des exclus et des plus vulnérables, Jean-Christophe Parisot est mort ce dimanche 18 octobre à l’âge de 53 ans.
Atteint d’une maladie génétique évolutive, la myopathie, Jean-Christophe Parisot a eu le temps d’avoir une vie bien remplie et accomplie. Père de famille de quatre enfants, diacre, romancier à ses heures (Ce mystérieux Monsieur Chopin), il a été, en 2012, le premier préfet atteint de handicap et a même été fait Chevalier de la Légion d’Honneur des mains de Manuel Valls. Il a eu à cœur de porter la parole des personnes handicapées afin qu’elle soit entendue dans la société. En janvier 2020, il invitait d’ailleurs, à travers la publication de son Manifeste, à reconnaître le rôle essentiel joué par les humains fragiles dans le développement durable. Car il était aussi un relais fidèle de la Parole de l’Évangile.
Diacre aussi
“Le temps qu’il nous est donné de vivre est un cadeau du
Ciel”
Dans sa dernière homélie en tant que diacre, le 4 octobre dernier, il rappelait l’importance du temps accordé sur la Terre.
“Vous endormez-vous sans remercier Dieu pour cette journée passée?
Vous réveillez-vous sans remettre à Dieu le jour qui vient?
Le temps qu’il nous est donné de vivre est un cadeau du Ciel.
Pour beaucoup, le temps s’écoule si vite qu’on ne prend plus le temps de vivre.
Il faut du bruit tout le temps, comme le silence était dangereux.”
Au-delà de son engagement auprès des plus faibles, ce message dit beaucoup de son esprit de gratitude et d’un autre engagement tout aussi important dans sa vie. Celui d’éveiller l’homme à la présence de Dieu et à la beauté de la vie. C’est en devenant diacre en 2002 qu’il a répondu à cet appel, devenant alors le plus jeune diacre permanent de l’Église catholique en France. Sa foi a toujours été là. En octobre dernier, il témoignait de son expérience du sens de la Croix du Christ dès l’enfance, sur KTO.
Ses derniers vœux, très inspirés, ont été publiés sur sa page Facebook : “Avant de quitter ce monde, il tenait absolument à remercier tous ceux qui ont suivi ses actions, l’ont encouragé dans son combat contre l’indifférence et l’injustice liées au handicap, l’ont accompagné avec bonté et amitié dans ses indicibles souffrances.
Il a aimé la vie, aimé ceux qui font de la faiblesse une force.
Il espérait que l’esprit de résistance puisse s’intensifier dans les générations à venir.
De là où il serait, il a promis d’intercéder, autant que possible et si Dieu le permet, en faveur de ceux qui sont enfermés par leur handicap et qui luttent en faveur des fragiles.”
Ces mots ont été rédigés par sa famille peu après l’annonce de son décès. Ils traduisent un engagement qui ne s’arrêtera pas à sa mort, à l’image de la force de vie dont il a fait preuve dans tous ses combats. De son côté, sa sœur Anne-Sophie Parisot a ajouté qu’il “n’avait cessé d’affirmer combien le handicap était une chance pour notre société.” Elle rappelle notamment son rôle “d’initiateur de mouvements citoyens favorables à la participation des personnes en situation de handicap à la vie démocratique française”, ainsi que son travail, en tant que préfet, aux côtés de François Chérèque “dans la mise en œuvre du plan de lutte contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale.”
Le rédacteur en chef de Ombres & Lumière, Cyril Douillet, a salué l’homme qui “portait avec détermination sans faille la voix des personnes fragiles, la voix de l’Évangile. Un prophète, vraiment.”
" Il faut du bruit tout le temps, comme (si) le silence était dangereux.”
Oui, je dirait comme ce Préfet et Diacre
" Il faut du bruit tout le temps, comme (si) le silence était dangereux.”
J'ai toujours aimé le silence… et une certaine solitude ...
Il se peut à cause de ma maladie ? de ce besoin d'écouter
mon âme ? Je ne sais pas mais ce que je sais, c'est que
mes meilleurs souvenirs de ma vie se trouvent dans ces moments
là. Même enfant j'aimais observer les fourmis, m'évader dans
mon imaginaire et je pouvais faire des films " longs " comme je
les aime. Je suis cinéphile de naissance et musicienne. Mais revenons à nous moutons …
Pourquoi la peur du silence ...de la non activité durant un temps?
Et oui, LE SILENCE EST DANGUEREUX
Car il nous fait nous trouver en face de nous mêmes… de ce que nous sommes… de nos blessures, de nos peurs. Je suis sûre que beaucoup des agnostiques on du mal à croire en Dieu car ils ont peur de ce Dieu qu'ils ne connaissent.
Je n'aucune peur de Dieu, ni dans le silence ni en pensant à ce moment où je vais me trouver en face de Lui.
Pourquoi ? Parce que je sais de mes péchés comme nous disons les cathos mais …. je sais que aucun être humain est parfait, et qu'il suffit de le reconnaître pour pouvoir se regarder dans un miroir et faire un sourire d'enfant qui vient de faire une bêtise… et être sûr que l'on peut se jeter dans les bras de son père tout suite ! Il suffit de se reconnaître tel que l'on est.
IL FAUT GARDER L'INNOCENCE DE SON ENFANCE ET
L'AUDACE DE LA JEUNESSE
J'ai un grand caractère, j'aime rire et me moquer parfois...ce n'est pas toujours le bienvenu… je peux demander pardon, je peux dire oui mais aussi non et pas me laisser blesser gratuitement. J'aime les choses bien faites, mais lorsque mon épaule est encore en confiture à moitié … je fais moins la parfaite et je rentre dans cette petite humilité de mon incapacité.
Mais d'une chose je suis certaine; c'est que sans Jésus, je suis fichue car j'ai fait cet expérience durant un temps… Lui et moi inséparables et Titi aussi. Sans eux ... fichue
et je ne suis PAS DU TOUT grenouille de bénitier
NON !
Et Pour sourire….
Courage !!!
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