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    C'est sur mon cas précis que je me base et pas sur les vidéos ou les journaux

     

     

    Emmanuelle Ménard regrette que l'IVG soit aujourd'hui "généralisée" et  "banalisée"

    Emmanuelle Ménard Député française

    Député française 
     
    Emmanuelle Ménard, également connue sous son nom de naissance Emmanuelle Duverger, née le 15 août 1968 à Lille, est une journaliste et femme politique française.  Wikipédia
     
     
    Je ne pointe en aucune manière la personne politique. Je suis d'accord tout à fait avec ce que la personne dit et défend.
     
    Non à cette loi de mort ... des soins palliatifs presque inexistants. Regardez Jeanne Garnier à Paris. Suis aide-soignant et je ne suis pas là pour donner la mort, mais pour aider cette vie jusqu'à la fin.
     

    Description

    Description

    Je ne pointe en aucune manière la personne politique. Je suis d'accord tout à fait avec ce que la personne dit et défend.

     

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    Je parle en connaissance de cause ayant accompagné des personnes en fin de vie. J'ai reçu de ses personnes des vraies leçon de Vie et d'espoir et on a ri beaucoup ensemble, car ces personnes relativisent les petites choses qui nous encombrent. 

    Pour ce qui me concerne comme malade à un moment ou la souffrance était atroce. J'ai eu un médecin, une Dame qui savait m'écouter et pleurer parfois lorsque je chialait désirant la mort. S'est par ce soutien et par son Amour que j'ai choisi la VIE et de la voir sourire de mes pas à pas cela m'a donné une immense force et courage. Cela s'est donner la VIE !

    Ana Casado  

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    VOICI LA MAISON JEANNE GARNIER A PARIS 15e arrondissement 

    SOINS PALLIATIFS

     

     

     

     

    Jardin thérapeutique Jeanne Garnier

    Jardin thérapeutique à la Maison Médicale Jeanne Garnier

     

    Jardin-thérapeutique-Garnier-2

     

     

    Rendez-vous au jardin - Fédération des Etablissements Jeanne Garnier

     

    La Maison Médicale Jeanne Garnier (Paris 15ème), accueillant des personnes en fin de vie, a inauguré son jardin thérapeutique le 19 septembre. 

    Ce jardin, conçu par Pétrarque, vise à améliorer le bien-être des malades et de leurs accompagnants. Il favorise la convivialité, le lien intergénérationnel ou encore le plaisir des sens (à travers les odeurs, le toucher, …). D’ailleurs, des membres du personnel soignant ont témoigné des nombreux bienfaits de ce jardin sur les patients et leurs proches qui retrouvent des moments de vie, de liberté, de bonheur, de plaisir et de bien-être.

     

     

    Jardin thérapeutique Jeanne Garnier de nuit

    Jardin la nuit

     

     

     

    Jardin thérapeutique Jeanne Garnier de nuit

     

    Jardin thérapeutique Jeanne Garnier de nuit

     

     

    Accompagner la fin de vie : les bénévoles de la Maison médicale Jeanne-Garnier

    À la Maison médicale Jeanne-Garnier, Véronique accompagne les malades en fin de vie. Ils sont une centaine de bénévoles à soutenir les malades et leur famille dans cette étape douloureuse. 

     

     

    Et... en 2021 Projet National 

     

     

    Tout est dit !  

     

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    Cher amis,es, je vous souhaite des belles fêtes de Pâques.

    Pour l'instant il m'est difficile de venir dans vos blogs. Merci de m'excusser 

     

    Marie Madeleine

     Le Christ est Ressuscité !

     

    Evangile – selon Saint Jean 20,1-9

      Le premier jour de la semaine,
    Marie-Madeleine se rend au tombeau
    de grand matin ; c’était encore les ténèbres.
    Elle s’aperçoit que la pierre a été enlevée du tombeau.
    2  Elle court donc trouver Simon-Pierre et l’autre disciple
    celui que Jésus aimait,
    et elle leur dit :
    « On a enlevé le Seigneur de son tombeau
    et nous ne savons pas où on l’a déposé. »
    3  Pierre partit donc avec l’autre disciple
    pour se rendre au tombeau.
    4  Ils couraient tous les deux ensemble,
    mais l’autre disciple courut plus vite que Pierre
    et arriva le premier au tombeau.
    5  En se penchant, il s’aperçoit que les linges sont posés à plat ;
    cependant, il n’entre pas.
    6  Simon-Pierre, qui le suivait, arrive à son tour.
    Il entre dans le tombeau ; il aperçoit les linges posés à plat,
    7  ainsi que le suaire qui avait entouré la tête de Jésus,
    non pas posé avec les linges, mais roulé à part à sa place.
    8  C’est alors qu’entra l’autre disciple,
    lui qui était arrivé le premier au tombeau.
    Il vit, et il crut.
    9  Jusque-là, en effet, les disciples n’avaient pas compris
    que, selon l’Écriture,
    il fallait que Jésus ressuscite d’entre les morts.

     

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    Le cardinal Cantalamessa lors de l'office de la Passion, le Vendredi Saint, 2 avril 2021.

     

    Office de la Passion :

    Par le don de sa vie, Jésus fait de nous des frères

     

    Si la notion de frère a un sens d’abord biologique, ou d’appartenance nationale, Jésus élargit cette notion à toute personne ayant besoin d’aide, quand il dit, dans l’Évangile de Matthieu : « Chaque fois que vous l'avez fait à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait ». 

    « Mais à côté de toutes ces significations, dans le Nouveau Testament, le mot "frère" désigne de plus en plus clairement une catégorie particulière de personnes. Les disciples de Jésus sont entre eux des frères, ceux qui accueillent ses enseignements.

    "Qui est ma mère, et qui sont mes frères ? […] Celui qui fait la volonté de mon Père qui est aux cieux, celui-là est pour moi un frère, une sœur, une mère." » (Mt 12, 48-50) »

    Avec l’expérience de la Pâque, « les disciples deviennent frères dans un sens nouveau et très profond ; non seulement ils partagent l'enseignement de Jésus, mais aussi son Esprit, sa vie nouvelle de ressuscité »« Ils deviennent ainsi des frères "de sang" également dans ce cas, mais du sang du Christ ! Cela fait de la fraternité du Christ quelque chose d'unique et de transcendant », a expliqué le cardinal Cantalamessa.

     

    Le risque d’abîmer la fraternité avec des divisions politiques

    Le prédicateur a expliqué que ce qui peut détruire la fraternité parmi les catholiques, c’est « l'option politique, lorsqu'elle prend le relais de l'option religieuse et ecclésiale et épouse une idéologie, laissant complètement de côté la valeur et le devoir de l’obéissance dans l’Église.

    Voilà le véritable facteur de division dans certaines parties du monde, même s'il est passé sous silence ou nié avec mépris. C'est un péché, au sens le plus strict du terme. Cela signifie que le royaume de ce monde est devenu plus important, dans son cœur, que le Royaume de Dieu. »

    Le cardinal Cantalamessa « à faire à ce sujet un sérieux examen de conscience et à nous convertir », en suivant l’exemple de Jésus, qui n’a jamais pris parti dans la polarisation politique qui existait dans la société de son époque.

    « S'il est un don ou un charisme propre que l'Église catholique doit cultiver au profit de toutes les Églises, c'est bien celui de l'unité, a rappelé le prédicateur. Le récent voyage du Saint-Père en Irak nous a fait ressentir de première main ce que cela signifie pour ceux qui sont opprimés ou qui ont survécu aux guerres et aux persécutions de se sentir partie d'un corps universel, avec quelqu'un qui peut faire entendre votre cri par le reste du monde et raviver l’espérance.» «Une fois de plus, le mandat du Christ à Pierre : "Confirmez vos frères" (Lc 22, 32) a été accompli », a conclu le prédicateur avant de reprendre ces mots de la prière eucharistique :

    « Seigneur Jésus, tu as dit à tes apôtres : "Je vous laisse la Paix, je vous donne ma Paix." Ne regarde pas nos péchés mais la foi de ton Église. Pour que ta volonté s'accomplisse, donne-lui toujours cette Paix. Toi qui vis et règnes pour les siècles des siècles, Amen. »

     

     

     

    Crucifié non pas pour condamner mais pour sauver

     

    Je demande pardon pour ces moments où je n'ai pas été instrument d'union dans l'Église. 

     

     

    "Dans le cœur de l'Église, je serai l'AMOUR"

    -Thérèse de L'enfant Jésus-

     

     

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    La sainte face sur le linceul de Véronique

    La Sainte Face de Jésus

     

     

     

    Marie-Noëlle Thabut lit et commente l'intégralité des lectures du Vendredi saint.

     

     

    du livre du prophète Isaïe (52, 13 – 53, 12)

    Mon serviteur réussira, dit le Seigneur ; il montera, il s’élèvera, il sera exalté ! La multitude avait été consternée en le voyant, car il était si défiguré qu’il ne ressemblait plus à un homme ; il n’avait plus l’apparence d’un fils d’homme. Il étonnera de même une multitude de nations ; devant lui les rois resteront bouche bée, car ils verront ce que, jamais, on ne leur avait dit, ils découvriront ce dont ils n’avaient jamais entendu parler.
    Qui aurait cru ce que nous avons entendu ? Le bras puissant du Seigneur, à qui s’est-il révélé ? Devant lui, le serviteur a poussé comme une plante chétive, une racine dans une terre aride ; il était sans apparence ni beauté qui attire nos regards, son aspect n’avait rien pour nous plaire. Méprisé, abandonné des hommes, homme de douleurs, familier de la souffrance, il était pareil à celui devant qui on se voile la face ; et nous l’avons méprisé, compté pour rien. En fait, c’étaient nos souffrances qu’il portait, nos douleurs dont il était chargé. Et nous, nous pensions qu’il était frappé, meurtri par Dieu, humilié. Or, c’est à cause de nos révoltes qu’il a été transpercées, à cause de nos fautes qu’il a été broyées. Le châtiment qui nous donne la paix a pesé sur lui : par ses blessures, nous sommes guéris. Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait son propre chemin. Mais le Seigneur a fait retomber sur lui nos fautes à nous tous.
    Maltraité, il s’humilie, il n’ouvre pas la bouche : comme un agneau conduit à l’abattoir, comme une brebis muette devant les tondeurs, il n’ouvre pas la bouche. Arrêté, puis jugé, il a été supprimé. Qui donc s’est inquiété de son sort ? Il a été retranché de la terre des vivants, frappé à mort pour les révoltes de son peuple. On a placé sa tombe avec les méchants, son tombeau avec les riches ; et pourtant il n’avait pas commis de violence, on ne trouvait pas de tromperie dans sa bouche. Broyé par la souffrance, il a plu au Seigneur. S’il remet sa vie en sacrifice de réparation, il verra une descendance, il prolongera ses jours : par lui, ce qui plaît au Seigneur réussira.
    Par suite de ses tourments, il verra la lumière, la connaissance le comblera. Le juste, mon serviteur, justifiera les multitudes, il se chargera de leurs fautes. C’est pourquoi, parmi les grands, je lui donnerai sa part, avec les puissants il partagera le butin, car il s’est dépouillé lui-même jusqu’à la mort, et il a été compté avec les pécheurs, alors qu’il portait le péché des multitudes et qu’il intercédait pour les pécheurs.

     

     

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