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    J'ai beaucoup hésité à mêtre sur le blog cette tribune que le Père François de Foucauld avait écrite et qu'avait été publiée par le journal La Croix le 02/12/2021.

    Je suis comme beaucoups très triste. Atterrée. Car après avoir écrit cela il fait quelques mois, le dialogue n'a pas porté de fruit. Je n'en sais rien. Juste je la dépose en espérant, qu'un jour, on saura plus. MAIS,malgré les  dysfonctionnements de l'eglise. Je resterai toujours dans cette eglise, car elle n'a pas été fondé sur n'importe qui, mais par le Christ donnant la primauté à Pierre comme vicaire. Pour le reste, je fais confiance. Car rien ne pourra rester caché et l'on voit les conséquences. 

     

     Le père François de Foucauld, prêtre au diocèse de Versailles (Yvelines), s'est suicidé dans la nuit de jeudi à vendredi, a annoncé Luc Crepy, évêque de Versailles

     

     

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    Reposez en paix. Merci de nous partager votre cri de détresse. 

     


    • François De Foucauld prêtre du Diocèse de Versailles

    TRIBUNE. François de Foucauld, un prêtre du diocèse de Versailles qui estime avoir été victime d’abus de pouvoir, montre dans cette tribune les mécanismes à l’œuvre dans l’institution quand des victimes témoignent. Essentielle, la libération de la parole permettra d’édicter des « règles objectives de gouvernance », espère-t-il.

    • Père François de Foucauld, 
    • le 02/12/2021

     

    Je suis prêtre depuis 17 ans dans le diocèse de Versailles. Depuis le séminaire, j’entends parler d’abus. Pédophilie, abus de pouvoir, gouvernances troubles… Ces sujets ne sont pas niés explicitement, mais la parole est enfermée. C’est trop souvent un petit cercle de clercs et laïcs autour de l’évêque qui s’arroge le dernier mot.

    Cette contrainte au silence imposée par quelques-uns ne passe plus ; et ainsi ne peut plus être consentie. Nous ne sommes qu’à l’aube d’un nouveau débat sur les abus de pouvoir dans l’Église et les questions qu’il soulève. À la suite des premiers témoins qui ont osé courageusement prendre la parole et que je salue ; des hommes et des femmes, prêtres et fidèles, se sont mis alors à échanger, questionner, formuler une parole plus libre.

     

    Une même mécanique abusive se répète

     

    La première étape de l’abus de pouvoir dans l’Église consiste à faire peur. On fait passer la victime pour une personne fragile, on l’accuse de troubles psychiques. Ces accusations, par l’émoi qu’elles suscitent, dispensent la hiérarchie de l'Église, comme les proches des victimes, de toute évaluation objective de ces fameux troubles. La seconde étape est alors facile : la victime étant sortie hors du cercle de la raison, et son entourage anesthésié ; l’évêque et son conseil peuvent alors procéder sans contrôles à toutes décisions à son sujet. Elle n’est plus une personne aimable ou de droit. Elle devient juste une chose, un dossier à régler.

     

    Je me rappellerai toujours ces propos de Mgr Boyer, ancien président du tribunal ecclésiastique de Versailles et canoniste réputé, évoquant, au sujet des abus de pouvoir dans les diocèses, des pratiques rappelant les « lettres de cachet ». Je comprendrai par la suite cette image qu’il avait choisie : la lettre de cachet retirait également à la victime tout droit à se défendre devant une cour de justice. Il devenait ainsi soumis au bon vouloir d’une seule personne.

     

    Qui fait l’ange fait la bête

    Si l’Église demande une obéissance dans l’exercice d’un ministère, elle doit laisser en contrepartie aux clercs et aux laïcs une part d’initiative dans l’exercice de cette obéissance. À commencer par le respect de sa conscience, le souci du débat contradictoire et les droits élémentaires de la défense dans le cadre d’un conflit. À défaut, ce service vécu strictement dans l’obéissance risque de nier les abus potentiels de pouvoir. Qui fait l’ange fait la bête, dit le proverbe.

    → TRIBUNE. Rapport Sauvé : « Nous devons nous inspirer de la tradition juive du débat »

    Aussi, on ne peut pas spiritualiser à l’infini le pouvoir afin de l’apprivoiser. Est-il juste, par exemple, de demander d’entrer dans un chemin de pardon alors que les abus de pouvoir sont encore niés dans une affaire ? À ce jeu-là, on risque d’entraîner des hommes et des femmes dans la violence ou un repli amer et résolu.

     

    Le modèle des études de pénibilité

    Quel est ce chantier qui s’ouvre à nous ? Il s’agit de clarifier et baliser dans l’Église les étapes de l’exercice du pouvoir, comme on peut diagnostiquer dans un lieu professionnel les gestes entraînant des douleurs au travail. Ainsi, dans ces études de pénibilité, on écoute d’abord les personnes qui subissent ces douleurs. Alors on expertise et on apporte les premières réponses en kinésiologie, afin de compenser telle pénibilité.

    → ENTRETIEN. Rapport Sauvé : « Une reconnaissance du statut de victime, pour donner du sens à la réparation »

    Il nous faut faire de même en écoutant d’abord le témoignage des victimes d’abus de pouvoir dans l’Église. Alors nous pourrons apporter les règles de gouvernance adéquates afin de compenser tout abus. C’est un hôpital de campagnenous dirait le pape François, qu’il faut ouvrir dans chaque diocèse pour nous mettre à l’écoute des personnes ayant subi ces abus.

    Laurence Devillairs, doyenne de la faculté de philosophie de l’Institut catholique de Paris, le signalait à juste titre dans une récente tribune : « La participation de laïcs ou de femmes, parce qu’ils auraient telles qualités, ne modifieraient en rien une institution qui n’aurait pas d’abord modifié son mode de gouvernement. S’il y a abus sexuels, c’est parce qu’il y a aussi, et peut-être d’abord, abus de pouvoir, parce qu’il y a une institution qui l’autorise, le légitime et le “blanchit” ».

     

    Préférer la confiance à la réputation

    Il est donc pressant de libérer la parole. Beaucoup de victimes ont encore peur de témoigner des abus vécus, craignant à la fois d’attaquer l’Église et de ne pas être cru, ni même écouté. Comment se fait-il que l’Église oblige ces témoins à un tel parcours du combattant pour exprimer librement ce qu’ils ont vécu en son sein ?

    Il y a aussi parmi nous les clercs, une peur du repentir, afin de sauver notre réputation ou celle de l’Église. On remarque pourtant le respect naturel qu’insuffle une personne capable de reconnaître simplement ses fautes. On voit alors s’installer un malaise dans l’Église, où une hiérarchie n’ose pas reconnaître ses abus, sinon quand elle est mise au pied du mur. C’est pourtant un repentir sincère qui fera regagner la confiance.

    → RELIRE. À Limoges, crispation autour du témoignage d’une victime d’abus sexuels

    C’est après avoir médité les abus et dérives racontés par les moines des premiers siècles que « le patriarche des moines » a écrit la fameuse Règle de saint Benoit. Il a alors fixé des règles objectives de gouvernance pour le père abbé et son conseil, sans que son autorité en soit affaiblie.

    Ainsi, il est urgent, à notre tour, que les pasteurs et les fidèles entrent dans une véritable considération des témoins des abus de pouvoir aujourd’hui dans l’Église. Alors, nous pourrons discerner progressivement, ensemble, les règles claires et paisibles de gouvernance au sein de l’Église.

    C’est bien le débat contradictoire que l’on doit inscrire dans le marbre de nos responsabilités pastorales, que l’on soit évêque, prêtre ou responsable laïc.

     

     

     

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    Que signifie la parabole de Jésus avec la pièce d'un habit et le vin mis  dans des vieilles outres?

     

    Et on ne met pas du vin nouveau dans de vieilles outres ; autrement, les outres éclatent, le vin se répand, et les outres sont perdues. Mais on met le vin nouveau dans des outres neuves et le tout se conserve. »

     

     

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    Mes AMIS !

    Ne nous laissons pas envahir par le malheur des nouvelles, des journalistes, qui ne cherchent que de l'audience et qui nous mentent sans aucune honte.

    Dans notre monde, il y a des très belles choses, personnes, actes presque héroïques des hommes et des femmes. 

    Pour les journalistes des chaines BFM et idem, la bonne nouvelle est, 

    pas assez importante pour attirer l'attention. Il faut nommer les crimes, les scandales, le faux et les critiques, les soupçons, etc.

    Depuis des années, je tâche de faire voir le contraire. Le bon, l'espoir, la JOIE, La bonté, le service à l'autre, l'accompagnement des prisonniers... cela existe et cela, donne des fruits.

    Si j'ose le dire, c'est parce que, moi-même, je les ai connues, ses associations et parcouru chacune... les lépreux aussi. J'ai voulu tout connaître pour savoir de moi-même et comprendre mieux le sens de l'Évangile.

    Alors, je peux vous dire que LA BONTÉ EXISTE, LE MAL AUSSI, mais il peut être vaincu par le bien.

     

     

     

     

     

    https://media.ouest-france.fr/v1/pictures/MjAxNjEyNWNkZDJjZjQyNjIwZDVhYzNlMmE1NDc4ZTQyN2EzNjA?width=1260&height=708&focuspoint=50%2C25&cropresize=1&client_id=bpeditorial&sign=2f3d85d3bfc13d83dd60a8cdf3e887e9e40a1df2b7a77cb28ccba20faddaea86

    Couche Restos du Cœur et Mère Teresa de Calcutta

     

    Je ne suis pas allé partout, mais je suis revenu de tout. Coluche

    “La plus grande souffrance est de se sentir seul, sans amour, abandonné de tous.” “Ce qui compte, ce n'est pas ce que l'on donne, mais l'amour avec lequel on donne.” “Si tu juges les gens tu n'as pas le temps de les aimer.” “La vie est un défi à relever, un bonheur à mériter, une aventure à tenter.”

    Mère Teresa de Calcutta

     

     

     

    En canonisant Mère Teresa, le pape proclame une sainte aux parts d'ombre  controversées | Le HuffPost

    Abbé Pierre et Sœur Emmanuelle 

    "Un sourire coûte moins cher que l'électricité, mais donne autant de lumière." "Vivre, c'est apprendre à aimer." "Il ne faut pas attendre d'être parfait pour commencer quelque chose de bien." "On n'est jamais heureux que dans le bonheur qu'on donne.

     

     

     

    Poème de Raoul Follereau. Un sourire. | JE SUIS SOURIRE

    Raoul Follereau Fondateur pour l'aide aux lépreux

     

     

     

     

    Saint Vincent de Paul prêchant - Hallé

    Vincent de Paul parlant aux riches de pauvres

     Il y a deux sortes de respect : Le sérieux et le cordial. Le respect sérieux est celui que les supérieurs ont coutume de recevoir de leurs inférieurs, sans que ceux-ci y joignent la cordialité. Le respect cordial est celui que nous devons avoir pour nos frères, nos amis, nos parents, nos collègues. 

     Songez à ce que vous avez été, à ce que vous êtes, et à ce que vous serez un jour, et vous deviendrez humbles. 

     

     

     

    Fondatrice des Petites Sœurs des Pauvres Ste Jeanne Jugan

    Jeanne Jugan fondatrice des petites sœurs de pauvres

    « On va vous parler de moi, laissez tomber, le bon Dieu sait tout. »

    S’effacer, être oubliée, Jeanne n’a pas d’autre ambition...

     

     

     

    Maison des Petites Sœurs des Pauvres en Seine-Saint-Denis

    Petites sœurs de Pauvres complétement données aux personnes âgées pauvres 

     

     

     

    La journée pascale de samedi vécue par des milliers de jeunes à la communauté de Taizé. Photo Nicolas Bretaudeau

    Jeunes à Taizé !!! J'ai passé, le meilleur temps de ma jeunesse

    "N'ayez pas peur ! Ouvrez, ouvrez toutes grandes les portes au Christ"JEAN PAUL II

     

     

     

    La journée pascale de samedi vécue par des milliers de jeunes à la communauté de Taizé. Photo Nicolas Bretaudeau

     

     

     

     

    La journée pascale de samedi vécue par des milliers de jeunes à la communauté de Taizé. Photo Nicolas Bretaudeau

     

     

     

    La journée pascale de samedi vécue par des milliers de jeunes à la communauté de Taizé. Photo Nicolas Bretaudeau

     

     

     

    La journée pascale de samedi vécue par des milliers de jeunes à la communauté de Taizé. Photo Nicolas Bretaudeau

     

     

     

    La journée pascale de samedi vécue par des milliers de jeunes à la communauté de Taizé. Photo Nicolas Bretaudeau

     

     

     

    La journée pascale de samedi vécue par des milliers de jeunes à la communauté de Taizé. Photo Nicolas Bretaudeau

     

     

     

     

    Au sein des associations locales, quatre frères de Taizé oeuvrent pour le diocèse de Saint-Denis, à l’instar des petites communautés dans le monde.  Photo fournie par la communauté de Taizé

     

     

     

    Tableau moderne à l'huile arbre multicolore : déco nature

     Oser l'amour, les projets, l'aventure... oser l'espoir, l'optimisme et les rêves... oser la vie...

     

     

     

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    Je l'avoue, je suis bouleversée par les différents avènements.

    Politiques et Ecclésiales. Comme vous allez lire, il y a encore une suspension dans

    une  association catholique. L'Abbé Bruno Thévenin fut son fondateur. À ce que j'ai pu

    comprendre il ne s'agit PAS DU TOUT des abus sexuels, mais de la façon de diriger

    cette association. Elle va, sans doute, continuer une fois les choses mises en place

    avec une autre organisation. Ce prêtre n'est pas mis en suspicion. Prions pour lui et

    pour cette si belle association qui s'occupe de prier pour les prêtres  

     

     

     

     

     

    missions-theresiennes.jpg

     

    La publication des revues de la Mission Thérésienne est suspendue, en raison de la suppression de l’association canonique de fidèles à laquelle elle était rattachée.

    Petit BergerCinq pains deux poissonsVianney pour les plus grands… Qui n’a pas eu entre les mains ces revues de qualité aux douces illustrations ? A la maison, au catéchisme, chez des amis abonnés, ces revues conçues par l’association civile Mission thérésienne ont éveillé et nourri la foi de milliers d’enfants. Des publications qui sont suspendues à compter de ce mois de juin 2022, en raison de la suppression de l’association canonique Mission thérésienne décrétée le 30 mai dernier par Mgr Jacques Habert, évêque de Bayeux-Lisieux.

    Après une enquête menée au titre de sa vigilance épiscopale, l’évêque a en effet constaté « des problèmes de gouvernance ainsi que d’importants dysfonctionnements dans l’exercice de cette association » dont le siège est à Lisieux (Calvados), explique à Aleteia le père Laurent Berthout, délégué épiscopal à l’information. La vocation de la Mission thérésienne consistait à inviter, à la suite de sainte Thérèse de Lisieux, des enfants, des jeunes et des familles à prier pour l’Église, les prêtres et les vocations. L’association, créée en France en 1975 et présente dans une vingtaine de pays, avait été reconnue par l’évêque de Bayeux-Lisieux en 1992, et confirmée en 1995.

    L’association civile qui édite les revues étant au service de l’association canonique de fidèles se voit contrainte d’arrêter les publications. « Toutes les parutions sont annulées », confirme le père Laurent Berthout. Dans un courrier aux abonnés daté du 25 juin 2022, le président de l’association Cyrille Chartier-Kastler indique qu’il ne leur est pas possible « d’écrire et de publier les revues » pour le moment. Il propose le remboursement des abonnements souscrits, tout en annonçant « continuer l’œuvre en collaboration avec le diocèse de Bayeux-Lisieux ».

     

     

    Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus - Acte d'offrande, prier avec l'Evangile  de la Vie

    Pte Thérèse nous te confions tous ces problèmes. Celui de ton pays, la France, et 

    ceux liés à notre Église Catholique... dont tu ne cherchais autre chose :

    Ma Mère, dans le cœur de l'Église, ma Mère, je serai l'Amour

     

     

    Soyons conscients de ce que se passe dans notre Pays et l'Eglise

    Allez, bonne fin d'après-midi !

     

     

     

     
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    Pause boulot... | À Voir

     

     

    Confinement : 5 chats qui remplacent très bien nos collègues de travail

    Chers amis...amies

    Nani est très, très occupée. Elle s'occupe de tout et demain elle sera à Paris...

    OUFFF !!! tant mieux pour moi. 

    Alors à jeudis. Comme vous avez remarqué j'ai mis Nani avec le N en grand. 

     

     

     

     

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    Je suis particulièrement émue d'apprendre cette nouvelle. Comme je vous ai partagé tellement des fois, j'ai toujours vécu dans cet esprit de Charles de Foucault. Sans être religieuse, j'ai été imprégnée de son message. SOYONS VIGILANTS, car nous ne savons ni le jour ni l'heure où nous serons appelés à partir vers le Père. La violence est déchainée et le Prince de ce monde, le diable, rode comme une bête féroce pour tout détruire. J'ai toujours porté ma petite croix en bois. Deux fois, je me suis fait insulter. La première dans le métro. La deuxième, pas insultée, mais fléché d'un regard d'un homme qui m'a fixé. J'ai eu peur. J'ai eu tort, car tous mes cheveux sont comptés par notre père des cieux…

     

     

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    Sœur Lucia Dell’Orto, tuée le 25 juin 2022 à Port-au-Prince.

     

    Gif Maniac images animées Bougie souvenir

     

     

     

     

     

    Ma pte croix en bois

     

    Sœur Lucia Dell’Orto, petite sœur de l’Évangile de Charles de Foucauld, a été tuée le samedi 25 juin à Port-au-Prince, capitale d’Haïti. À l’issue de l’Angélus ce 26 juin 2022, le pape François a tenu à exprimer sa proximité à ses proches et consœurs.

     

    Elle aurait été tuée pour un simple vol.

    Sœur Lucia Dell’Orto, 65 ans, était une religieuse italienne, missionnaire à Haïti depuis une vingtaine d’années. Professeur d’histoire et de philosophie, surnommée « l’ange des enfants des rues » par la presse italienne, elle était le pilier de « Kay Chal », « la maison de Carlo », un lieu d’accueil pour de nombreux petits haïtiens, situé dans une banlieue très pauvre de Port-au-Prince. Là, ils pouvaient faire leur travail scolaire ou pratiquer de nombreuses activités comme la danse et le basket.

    En 2013, trois ans après le terrible tremblement de terre du 12 janvier 2010, la religieuse avait confié à Radio Vatican avoir voulu rester à Haïti malgré les risques encourus : « Restez. Charles de Foucault disait toujours cela, dans chaque conversation, dans chaque écrit, parce que, disait-il, si quelqu’un de sa famille est malade, ce n’est pas le moment de le laisser seul. C’est à ce moment-là qu’on est le plus proche des gens. Ce peuple devient notre grande famille, la famille aussi des enfants de Dieu, et dans cette famille, on partage les joies et les souffrances », témoignait-elle.

    « Sœur Lucia a fait de sa vie un don pour les autres jusqu’au martyre », a affirmé le pape François ce dimanche 26 juin. « Depuis 20 ans, sœur Lucia vivait là ; elle était surtout dévouée aux enfants des rues », a rappelé le pontife, avant de confier son âme à Dieu. Le pape a également prié pour le peuple haïtien, spécialement pour sa jeunesse, afin qu’elle puisse « avoir un futur plus serein, sans misère et sans violence ». 

     

     

    Petites Soeurs de l'Evangile – Contemplatives et missionaires au coeur du  mondeLes Petites Soeurs de Jésus en Suisse

     

    Le quotidien italien La Republica a publié le message de condoléances de l’archevêque de Milan, Mgr Mario Delpini, qui a souligné le dévouement des missionnaires auprès des plus pauvres ainsi que la similitude de son décès à celui de Charles de Foucauld : « Ils ne vont pas chercher les dangers, mais les signes du Royaume de Dieu qui vient, parmi les pauvres, parmi ceux qui n’ont d’importance que pour Dieu et sont ignorés de tous. La mort de sœur Luisa Dell’Orto, petite sœur de l’Évangile, nous laisse tourmentés et désorientés, elle devient une révélation du bien qu’elle a fait et de la vie sainte qu’elle a vécue. Je m’associe, au nom de l’Église ambrosienne, au deuil de ses proches, et exprime la certitude que sa mort, si semblable à la mort de Charles de Foucauld, conjuguée à la mort de Jésus, puisse être une semence de vie nouvelle pour la terre d’Haïti et pour son entrée dans la gloire ».

     


     

    Les Petites Soeurs de Jésus en Suisse

    La religieuse italienne, membre des petites sœur de l’Évangile de Charles de Foucauld aurait été victime d’une attaque armée alors qu’elle se trouvait dans la rue, selon les rapports de l’archidiocèse de Milan. Grièvement blessée, elle a été transportée d’urgence à l’hôpital Bernard Mevs, où elle est décédée peu après, deux jours avant son 65e anniversaire.

    Elle était l’épine dorsale de Kay Chal, «la maison de Carlo» située dans une banlieue très pauvre de Port-au-Prince. Un lieu de répit pour de nombreux petits Haïtiens, où ils peuvent étudier ou pratiquer de nombreuses activités comme la danse et le basket.

    «Nous essayons de donner un coup de main pour reconstruire les valeurs, le sens de la dignité, la possibilité de ne pas être maudit, et qu’avec la Bonne Nouvelle, avec l’Évangile, Dieu aime le peuple haïtien», confiait-elle à Radio Vatican trois ans après la reconstruction du centre détruit dans le tremblement de terre de 2010 grâce à Caritas Italie.

     

     

    Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter un instant à la durée de sa vie ?
    Et pourquoi vous inquiéter au sujet du vêtement ? Étudiez comment poussent les plus belles fleurs des champs : elles ne travaillent pas et ne tissent pas ;
    cependant, je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n'a pas eu d’aussi belles tenues que l'une d'elles.
    Si Dieu habille ainsi l'herbe des champs, qui existe aujourd'hui et qui demain sera jetée au feu, ne le fera-t-il pas bien plus volontiers pour vous, gens de peu de foi ?
     
    -Évangile de Matthieu, 6-
     
     
     
     
     
     
     
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    Qui était Anne Frank ? | Anne Frank House

     

     

     

    L'Annexe où Anne Frank et sa famille, plus un couple et leur jeune fils, se cachaient.

     

     

    -Responsable de cet article Anna Casado-

     

    Nous rendons hommage à cette jeune fille, Anne Frank.

    Nous rappelons ce qu'elle, sa famille et tant des juifs, on subit part le fait d'être juifs. Nous vivons en ce moment cette levée de l'antisémitisme, du racisme envers ceux qui sont différents par leur naissance, part leur foi. Souvenons-nous tans des chrétiens tués. Nos frères et sœurs de Nice, Père Olivier Maire, Père Hamel et tant des autres victimes de la xénophobie, du racisme. Cette montée des extrêmes dans notre propre gouvernement. C'est bien que cet hommage rendu à Anne Frank nous mette en garde. Sous prétexte des motivations sociales, des lois à défendre tout cela pour attirer les masses à choisir le camp de la haine envers aussi les immigrés que sont installes dans notre pays et qui travaillent, payent des impôts ou bien sont pauvres. ABSOLUMENT PAS,  je ne suis pas en train de dire, que la France, déjà bien touchée par le contexte actuel, elle devrait admettre des immigrés qui ne sont pas régularisés. Mais il y a des façons de faire sans revenir à la sauvagerie de la guerre.

    À ce racisme qui nous imposerait de voir l'autre comme un ennemi…

    Note Wikipédia

    1. (Histoire) Membre du parti nazi d’Adolf Hitler.
      • À la faveur de la Deuxième Guerre mondiale et pour instaurer leur « ordre nouveau », les nazis ont cherché à exterminer tous les Juifs d’Europe.
    2.  (Par extension)  (Péjoratif) (Politique) Adepte de l’extrême droite

     

     

     

    Anne pendant sa dernière année à l’école primaire, 1940.

     

    La juive Anne Frank s'est cachée en 1942 des nazis pendant l'occupation des Pays-Bas. Deux ans plus tard, elle est découverte. En 1945, elle meurt dans le camp de concentration de Bergen-Belsen.

    Voir la vidéo

     

    Les premières années d'Anne

    Anne Frank est née dans la ville allemande de Francfort-sur-le-Main en 1929. La sœur d'Anne, Margot, avait trois ans son aînée. Le chômage était élevé et la pauvreté était sévère en Allemagne, et c'était la période au cours de laquelle Adolf Hitler et son parti gagnaient de plus en plus de partisans. Hitler détestait les Juifs et les blâmait pour les problèmes du pays. Il a profité des sentiments antisémites endémiques en Allemagne. La haine des Juifs et la mauvaise situation économique ont poussé les parents d'Anne, Otto et Edith Frank, à s'installer à Amsterdam. Là, Otto a fondé une entreprise qui faisait le commerce de la pectine, un agent gélifiant pour faire de la confiture.

     

     

     

     

    Carte postale des années 1930, montrant Merwedeplein.  Avec un stylo est indiqué (à droite, au centre) où vit la famille Frank.

     

     

    L'Allemagne nazie envahit les Pays-Bas

    En peu de temps, Anne s'est sentie comme chez elle aux Pays-Bas. Elle a appris la langue, s'est fait de nouveaux amis et est allée dans une école néerlandaise près de chez elle. Son père a travaillé dur pour lancer son entreprise, mais ce n'était pas facile. Otto a également tenté de créer une entreprise en Angleterre, mais le plan a échoué. Les choses se sont améliorées lorsqu'il a commencé à vendre des herbes et des épices en plus de la pectine.

    Le 1er septembre 1939, alors qu'Anne avait 10 ans, l'Allemagne nazie envahit la Pologne et la Seconde Guerre mondiale commença. Peu de temps après, le 10 mai 1940, les nazis envahirent également les Pays-Bas. Cinq jours plus tard, l'armée hollandaise se rend. Lentement, mais sûrement, les nazis ont introduit de plus en plus de lois et de règlements qui rendaient la vie des Juifs plus difficile. Par exemple, les Juifs ne pouvaient plus visiter les parcs, les cinémas ou les magasins non juifs. Les règles signifiaient que de plus en plus d'endroits devenaient interdits à Anne. Son père a perdu son entreprise, car les Juifs n'étaient plus autorisés à gérer leur propre entreprise. Tous les enfants juifs, y compris Anne, devaient fréquenter des écoles juives séparées.

     

     

    Anne Frank et sa famille sont dénoncées, arrêtées et déportées

     

    Anne doit se cacher dans l'annexe secrète

    Les nazis sont allés plus loin, un pas à la fois. Les Juifs devaient commencer à porter une étoile de David sur leurs vêtements et il y avait des rumeurs selon lesquelles tous les Juifs devraient quitter les Pays-Bas. Lorsque Margot a reçu un appel pour se présenter à un soi-disant « camp de travail » dans l'Allemagne nazie le 5 juillet 1942, ses parents étaient méfiants. Ils ne croyaient pas que l'appel concernait le travail et ont décidé de se cacher le lendemain afin d'échapper à la persécution.  

    Au printemps 1942, le père d'Anne avait commencé à aménager une cachette dans l'annexe de ses locaux commerciaux au Prinsengracht 263. Il reçut l'aide de ses anciens collègues. Peu de temps après, ils ont été rejoints par quatre autres personnes. La cachette était exiguë. Anne devait se tenir très tranquille et avait souvent peur. 

     

     

     

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    Anne tient un journal

    Le jour de son treizième anniversaire, juste avant qu'ils ne se cachent, Anne a reçu un journal. Pendant les deux années de clandestinité, Anne a écrit sur les événements de l'Annexe secrète, mais aussi sur ses sentiments et ses pensées. De plus, elle écrit des nouvelles, se lance dans un roman et copie des passages des livres qu'elle a lus dans son Book of Beautiful Sentences . L'écriture l'a aidée à passer le temps. 

    Lorsque le ministre de l'Éducation du gouvernement néerlandais en Angleterre a lancé un appel sur Radio Orange pour conserver les journaux et documents de guerre, Anne a été inspirée pour réécrire ses journaux personnels en une seule histoire, intitulée Het Achterhuis ( L'annexe secrète ). 

     

     

    Le journal qu'Anne reçoit pour ses 13 ans.

     

    La cachette est découverte 

    Anne a commencé à réécrire son journal, mais avant qu'elle n'ait terminé, elle et les autres personnes cachées ont été découvertes et arrêtées par des policiers le 4 août 1944. La police a également arrêté deux des aides. À ce jour, nous ne connaissons pas la raison de la descente de police.

    Malgré le raid, une partie de l'écriture d'Anne a été préservée : deux autres assistants ont pris les documents avant que l'Annexe secrète ne soit vidée sur ordre des nazis. 

     

     

     

     

    Anne est déportée à Auschwitz 

    Via les bureaux du Sicherheitsdienst (la police de sécurité allemande), une prison d'Amsterdam et le camp de transit de Westerbork, les personnes de l'Annexe secrète ont été transportées vers le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Birkenau. Le voyage en train a duré trois jours, au cours desquels Anne et plus d'un millier d'autres personnes ont été entassées dans des wagons à bestiaux. Il y avait peu de nourriture et d'eau et seulement un baril pour les toilettes. 

    À leur arrivée à Auschwitz, les médecins nazis ont vérifié qui serait et qui ne serait pas en mesure d'effectuer de lourds travaux forcés. Environ 350 personnes du transport d'Anne ont été immédiatement emmenées dans les chambres à gaz et assassinées. Anne, Margot et leur mère ont été envoyées au camp de travail pour femmes. Otto s'est retrouvé dans un camp pour hommes. 

     

     

    Anne Frank

    Anne meurt d'épuisement à Bergen-Belsen

    Début novembre 1944, Anne est de nouveau transportée. Elle a été déportée au camp de concentration de Bergen-Belsen avec Margot. Leurs parents sont restés à Auschwitz. Les conditions à Bergen-Belsen étaient également horribles. Il y avait un manque de nourriture, il faisait froid, humide et il y avait des maladies contagieuses. Anne et Margot ont contracté le typhus. En février 1945, ils moururent tous les deux des suites de ses effets, Margot d'abord, Anne peu après. 

    Le père d'Anne, Otto, était le seul des habitants de l'annexe secrète à avoir survécu à la guerre. Il a été libéré d'Auschwitz par les Russes et au cours de son long voyage de retour aux Pays-Bas, il a appris que sa femme Edith était décédée. Une fois aux Pays-Bas, il apprit qu'Anne et Margot n'étaient plus en vie non plus. 

     

     


     

    Peu des Français avant d'aller voter sont allées se renseigner… Sous prétexte des aides sociales promisses…

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      Hitler présente la doctrine nazie... devant une assistance de 2 000 personnes. Il propose, grâce à la création d'un parti nazi, de créer un "État raciste national-socialiste". Hitler publiera son livre-programme "Mein Kampf" (Mon combat…

       

       

      C’est quoi, la GUD ?

      EXTRÊME DROITE Tout comprendre sur un mouvement radical et violent...

       

      La « GUD connexion » toujours présente dans les coulisses de la campagne de Marine Le Pen

       Tenus officiellement à l’écart, Frédéric Chatillon et Axel Loustau, ex-membres du syndicat étudiant d’extrême droite connu pour sa violence, ainsi que Nicolas Crochet jouent toujours un rôle auprès de la candidate du RN.

       

       

       

      Marine Le Pen prend la pose avec deux néo-nazis - L'Express

       

       

      Ils sont les fantômes d’un passé que Marine Le Pen voudrait faire oublier, les symboles d’une radicalité idéologique et d’un affairisme qui cadrent mal avec sa « dédiabolisation ». Frédéric Chatillon, Axel Loustau et Nicolas Crochet : l’imprimeur, le grand argentier et le comptable. Trois vieux amis de « la présidente », au cœur des scandales politico-financiers qui ont valu au Rassemblement national (RN) quatre enquêtes judiciaires, dont la première a abouti à une condamnation en 2019. Tenus à l’écart des projecteurs, ces trois hommes jouent toujours un rôle dans les coulisses du RN, y compris pour l’actuelle campagne présidentielle de Marine Le Pen.

     

    FN : Marine Le Pen assume ses amitiés sulfureuses - Le Parisien

    Marine Le Pen assume ses amitiés sulfureuses

     

     Anna Casado

     

     

     Citation Michele Camposeo Espoir Fleur : L'espoir est la...

    Ne désespérons JAMAIS. Croyons avec Espoir, que le mal ne peut jamais triompher

    le mal c'est la Mort absolu et LA VIE c'est : VIVRE DANS L'ESPOIR

     

     

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