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Benoit XVI SUR LA VOCATION ET LA MISSION DES LAÏCS
Les fidèles, et plus précisément les laïcs, se trouvent sur la ligne la plus avancée de la vie de l'Eglise; par eux, l'Eglise est le principe vital de la société humaine. C'est pourquoi, eux surtout, doivent avoir une conscience toujours plus claire, non seulement d'appartenir à l'Eglise, mais d'être l'Eglise, c'est-à-dire la communauté des fidèles sur la terre, sous la conduite du Chef commun, le Pape, et des Evêques en communion avec lui. Ils sont l'Eglise
Sécularisme et besoin du croyant
Comment ne pas penser à la diffusion persistante de l'indifférence religieuse et de l'athéisme sous ses formes les plus variées, en particulier sous la forme, aujourd'hui peut-être la plus répandue, du sécularisme? Enivré des conquêtes prodigieuses d'un développement scientifico-technique que rien n'arrête, et surtout envoûté par la tentation la plus ancienne et toujours nouvelle, celle de vouloir se faire l'égal de Dieu ( Gn 3, 5) grâce à l'usage d'une liberté sans frein, l'homme se coupe de ses racines religieuses les plus profondes: il oublie Dieu, il estime que Dieu n'a aucun sens dans son existence, il le rejette pour se prosterner en adoration devant les «idoles» les plus variées.
Pape émérite Benoît XVI
Athée militant, il convertissait les chrétiens
6 minutes de son témoignage… J’avais 6 ou 7 ans
Argentine : 41 millions de catholiques
République démocratique du Congo : 43 millions de catholiquesLa RDC a obtenu son indépendance en 1960. Depuis, le pays a connu de nombreux troubles. L'Église catholique a joué un rôle dans la vie du pays en s'investissant dans les écoles et les hôpitaux, s'impliquant également dans les questions économiques. Elle a également joué un rôle de médiateur entre le gouvernement et le peuple qui compte sur elle pour porter sa voix.Espagne : 43 millions de catholiquesEntre la conquête musulmane du VIIIe siècle, l'Inquisition espagnole du XVe siècle, les mystiques du « Siècle d'or » au XVIe siècle, l'histoire de l'Espagne et de l'Église est ponctuée de divers conflits. Si l'Espagne a la réputation d'être un pays très catholique, aujourd’hui, on estime que seulement 15% de sa population pratique encore cette religion, même si la majorité continue cependant à s'identifier comme catholique.Colombie : 45 millions de catholiquesLe catholicisme est arrivé en Colombie en 1508 et le premier diocèse a été créé en 1534. Au XVIIe siècle, Pierre Claver, saint patron du pays, a beaucoup contribué à l'évangélisation des esclaves. Aujourd'hui, le pays compte 52 diocèses et plus de 120 organisations religieuses. Près de 80 % de la population s'identifie comme catholique. La Colombie a reçu la visite du pape François en septembre 2017. Au nord de Bogotá, la cathédrale de sel de Zipaquirá, sculptée à l’intérieur de mines, est classée au patrimoine mondial de l'Unesco.France : 48 millions de catholiquesConsidérée comme la fille aînée de l'Église, la France a une longue histoire avec celle-ci. De nombreuses grandes figures telles que Clovis, Jeanne d'Arc, Charlemagne ou sainte Geneviève, ont contribué au rayonnement de l'Église catholique. Si aujourd'hui la pratique est en baisse, en 2016, le pays comptait 662 séminaristes, 11.606 prêtres diocésains et plus de 12.000 paroisses. Le pays compte également de nombreux lieux d'apparitions mariales tels que Lourdes, Pontmain ou la rue du Bac.Selon les chiffres de l’Annuaire pontifical 2020, publiés mercredi 25 mars, les catholiques dans le monde sont 1,329 milliard et représentent 18 % de la population mondiale.
« Moi je suis croyant mais non pratiquant ». Combien de fois avons-nous entendu cette phrase ? « ça tombe bien » ai-je toujours envie de répondre, « moi je suis nudiste mais non pratiquant », ou encore « moi je suis rugbyman mais non pratiquant, (un peu comme le XV de France pendant cette tournée en Afrique du sud) un rugbyman de l’intérieur ! » C’est-à-dire qu’au fond de moi je cours, je plaque, je feinte, je cadre, je déborde, je raffute mais, vu de l’extérieur, c’est le calme plat : c’est pour mieux tromper l’adversaire !!!
Non, quand on croit en quelque chose, on le pratique ; quand on aime quelqu’un on le manifeste, on le dit, on le montre.
A plus forte raison quand on aime Dieu ! on cache ce dont on a honte ! Nous catholiques nous n’avons rien à cacher, pas un gramme de secret dans notre religion, pas une once d’opacité dans notre foi.
Une certaine littérature style « Da Vinci code » ou « l’évangile de Judas » voudrait nous faire croire que l’Eglise cache un secret, qu’elle ne révèlerait qu’à quelques initiés, et encore, triés sur le volet. Il y aurait des choses cachées… et je dois vous dire que ça marche … en tout cas, ça fait vendre des millions d’exemplaires de ces livres, ça attire les curieux dans les sectes de tout poils ; en effet s’il y a des secrets, si on est seulement un petit nombre à pouvoir entrer, là c’est bon, ça c’est du sérieux.
Et pourtant il n’y a rien de plus étranger à notre foi que de se cacher, que de cacher quoi que ce soit.
Abbé Simon d’Artique
« Hans et Sophie Scholl, la liberté enracinée dans la foiLe Sacrement de la Réconciliation : « J’ai péché en livrant à la mort un innocent. » »
Tags : catholique, eglise, pays, xvi, millions
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Commentaires
Le diable a mille façons de distraire une humanité qui ne demande que ça !
Mais aussi cette humanité confrontée aux problèmes sait aussi alors se souvenir que Dieu existe, et cette humanité forme une incroyable communauté quand elle prie en communion
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Tu dis vrai et je vois par le visiteur du web que lissent ces homélies. En faite on a soif et faim de Dieu