Mes amis, ceux qui passez par cette blog. Je vais m'absenter un peu, mais je crois que cette image exprime Tout. Point de discourt alors. Que la joie et la paix vous entourent. Et, si en ce moment ce dur, ne perdons pas l'espoir...cette petite flamme qui est toujours allumée par l'Amour. 

Mère de Dieu et notre Mère sois avec-nous toute cette journée du samedi. Que le Voyage de Benoît XVI au Liban soit une lumière et une caresse de l'Esprit Saint. Que dans sa terre bénie, il y ait    

                                      Mes amis, Voici la réponse, lorsque nous nous sentons impuissants devant les cas désespères, comme la guerre et toute violence. Nos armes sont l'Espérance dans les promesses de Dieu.

Je pense aux américains tués en Libye et à ses familles.

Mes amis, le sujet d'aujourd'hui n'est pas évident mais nécessaire. Pour ce qui me concerne, pour ma propre histoire, je me rends compte combien par tout on a besoin de REFERENCES.

Ce matin mon nouveau médecin, une doctoresse, m'a dit si je ne savais les antécédents médicaux de ma famille. J'ai répondu : Je n'ai pas de famille ! oui, mais vous êtes née d'un homme et d'une femme ! Comme le sujet m'était pénible j'ai tranché " Je suis fille naturelle et je ne sais rien de plus " A moi, on ne m'a pas expliqué grand chose. C'est moi qui ai découvert que j'étais adoptée. 

   Un enfant a besoin de références. Un grand besoin au plan affectif mais aussi à sa construction. Je reconnais que j'ai eu un grand manque et dans mon adolescence et ma première vie d'adulte. Je n'aimais trop penser à ma mère donc je ne me sentais identifié à elle. Je reviens au pourquoi de mon sujet. Je crois que deux êtres du même sexe sont assez grands pour mener sa vie. Faire grandir un enfant...c'est plus compliqué...PLUS DELICAT. Il faudra plus que l'envie d'être une famille comme les autres. Plus de courage. J'ai eu deux amis garçons homos. Je me souviendrai toujours de leur amitié qui m'ont porté. Je ne suis pas en train de juger. JAMAIS !!! mais cela m'inquiète la vie des petits. Si je suis maladroite, je vous demande PARDON d'avance et vous donne mon amitié sans conditions.    

Mes amis, Aujourd'hui, je veux vous partager cette vie de Frère Antoine de Padoue Saint  Je lui dois une lourde chandelle. Alors que j'étais en pension; la vie pas facile !!  Un jour la surveillante me demande où avais-je ma chaussette. Car en effet, je n'avait qu'une en me levant au dortoir. Si je ne la trouvait pas, j'aurais un châtiment bla bla bla... Dans ma peur, tout de suite je pense à Sainte Antoine de Padoue. J'ai du lui faire une prière et aller jusqu'à la classe en courant pour regarder sous mon pupitre. Alors que le dortoir était loin de la classe   d'étude. CROYEZ-MOI ! En ouvrant mon pupitre, je l'ai trouvé mon autre chaussette et je me suis remis à mon tout pour aller à la chapelle.

Je n'ai raconté cela à personne. Mais depuis il est devenu mon grand ami. 

Fernando Martins de Bulhões naquit vers 1195 à Lisbonne, dans une famille noble et militaire. Descendant de Charlemagne, il est apparenté à la famille deGodefroy de Bouillon, duc de Basse-Lotharingie, avoué du Saint Sépulcre, de qui sont issus les rois de Jérusalem, dont une branche s'est implantée au Portugal.

Entré jeune chez les ermites de Saint-Augustin il y fait d'excellentes études à Saint-Vincent de Fora puis au monastère de la Sainte-Croix de Coïmbre, un important centre d'études et de vie religieuse où il fut ordonné prêtre.

L'Église de Saint Antoine, à Lisbonne, où est né ce saint portugais.

En 1220, les dépouilles des franciscainsmorts martyrs au Maroc sont ramenées au Portugal. Le témoignage de ces vies le bouleverse et le conduit à demander son admission parmi les disciples de Francois d'Assise ; il y devient frère Antoine.

Il partit en mission, à sa demande, auMaroc mais dut être rapatrié en Europe dès 1221 pour des problèmes de santé. Son bateau fut dérivé par les vents sur la côte de Sicile où il rencontra les franciscains de Messine. Il participe aux côtés de François d'Assise au Chapitre général du 30 mai 1221, et passa ensuite près d'un an en reclus au couvent de Montepaolo, pratiquement isolé du reste de la communauté.

En 1222, lors de l'ordination de plusieurs franciscains, il dut prendre la parole à la place d'un frère et montra un grand talent d'orateur et d'érudit. François d'Assise l'envoya alors prêcher en Italie et en France. Il prêcha et enseigna la théologie à Bologne, puis alla s'établir dans le sud de la France àToulouse, Montpellier.

François d'Assise

Antoine connaissait très bien la théologie et ses prédications rencontrèrent un succès important, favorisant la conversion de nombreux cathares. Il fonda un monastère à Brive, où il fit de nombreuses conversions. Il fut d'ailleurs, comme Vincent Ferrier et Torquemada, surnommé le marteau des hérétiques. Sa connaissance remarquable des Saintes Ecritureslui acquièrent le titre de Trésor vivant de la Bible, que lui donne le pape Grégoire IX lui-même qui l'admirait beaucoup.

En 1226, il est custode de Limoges et en 1227, après la mort de François d'Assise, fondateur de son ordre, il est provincial d'Italie du Nord, tout en continuant ses prêches et ses controverses face aux albigeois. La tradition rapporte qu'il édifia en 1227 au moment de son retour de France, un sanctuaire dédié à la Bienheureuse Vierge des Grâces au sein de la ville de Gemona del Friuli située dans le Frioul (Italie). Gemona abritait à l'époque une importante communauté constituée par les membres d'une secte hérétique de patarins à l'encontre de laquelle Antoine prêchait. Ce sanctuaire qui existe toujours sera le premier sanctuaire consacré à saint Antoine dans le monde.

En 1230, au chapitre, il renonce à sa charge de ministre provincial. Il fut envoyé à Rome où il fut un des conseillers du pape Grégoire IXqui s'interrogeait sur la validité du Testament de François d'Assise.

En 1231, il fut envoyé à Padoue (Vénétie) où il poursuivit ses prêches durant le Carême. Il meurt d'hydropisie et d'épuisement le 13 juinsuivant à Arcelle, près de Padoue. Si son apostolat a duré moins de 10 ans, le rayonnement de ses paroles et de ses actes a eu une portée internationale jusqu'à nos jours.

Dévotion, canonisation et culte[modifier]

Il fut canonisé dès le 30 mai 1232 par le pape Grégoire IX, en raison d'une quarantaine de guérisons. Les foules vinrent nombreuses. Aujourd'hui encore elles se pressent dans la magnifique basilique de Padoue, en Italie.

Le culte de saint Antoine de Padoue se répandit surtout aux xv^e et xvi^e siècles. Il devint le saint national du Portugal, dont les explorateurs le firent connaître au monde entier. Il est ainsi le patron des marins, des naufragés et des prisonniers (voir sa fiche pour le reste). Egalement vénéré en Italie, son culte (dulie) a été propagé par l'immigration italienne en France après la Première Guerre mondiale.

À partir du xvii^e siècle, saint Antoine de Padoue fut également invoqué pour retrouver les objets perdus, puis pour recouvrer la santé, et enfin pour exaucer un vœu. L'idée d'invoquer saint Antoine pour retrouver les objets perdus vient du fait qu'un voleur (qui deviendra un pieux novice) qui lui avait dérobé ses commentaires sur les Psaumes se sentit obligé de les lui rendre.

De nombreux épisodes surnaturels lui sont attribués, comme la bilocation, de se faire entendre et comprendre des poissons, ou d'avoir tenu une nuit l'Enfant Jésus dans ses bras.

François d'Assise lui a écrit une lettre  lui autorisant l'enseignement aux frères de la sainte théologie dans certaines conditions.

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