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Deuxième jour de prière et méditation
avec fr. Charles de foucauld
"Il n'y a pas, je crois, de parole de l'Évangile, qui ait fait sur moi une plus profonde impression et
transformé davantage ma vie que celle-ci: “Tout ce que vous faites à un de ces petits, c'est à moi
que vous le faites”. Si on songe que ces paroles sont celles de la Vérité incréée, ... avec quelle force
on est porté à chercher et à aimer Jésus dans ces "petits", ces pécheurs, ces pauvres, portant tous ses
moyens spirituels vers la conversion des âmes, tous ses moyens matériels vers le soulagement des
misères temporelles."
Lettre à Louis Massignon, 1er avril 1916
"Pour avoir une idée juste de ma vie, il faut savoir que l'on frappe à ma porte au moins dix fois par
heure, plutôt plus que moins, des pauvres, des malades, des passants, de sorte qu'avec beaucoup de
paix, j'ai beaucoup de mouvement".
Lettre à Monseigneur Guérin, 30 septembre 1901.
QUESTIONS
"Pouvoir garder une vie très contemplative, tout en me faisant tout à tous, de manière à donner à
tous Jésus." Juin 1902, Résolution de retraite.
Pour faire révision de vie
- Comment est-ce que je me comporte avec quelqu'un dont l'aspect physique me rebute ?
- Comment je m'intéresse aux personnes qui ont besoin des autres: personnes âgées, malades,
ceux qui n'ont pas de relations... ?
- Parmi les "petits", il y a les enfants, les apprentis... les bonnes... les domestiques...
Comment je me comporte avec eux ?Seigneur, qu'il fait beau d'être seul à seul avec toi.
Regarder ta création...tout se repose...
Mais toi le Maître tu ne te reposes jamais.
On peut sonner à ta porte à n'importe quel heure.
*****
Seigneur, tu m'as fait la grâce de cotoyer,
ce qui peut phisiquement rebouter dans un être.
Certains de mes malades.
Je te rend grâce. Il y a en moi une difficulté,
elle me reboute. Le mensongue, le regard
qui se cache derrière. Et pourtant, Seigneur, tu m'as
donné d'Aimer ceux qui on fait le mal.
Donne-moi ta grâce de tendre ma main, à ceux
qui se cachent. A eux aussi.
**
Comment je m'intèrese à tous ceux de mes frères,
qui vivent dans la difficulté ? A ce deux personnes
couchés dans le métro...à la station Concorde.
Je suis toujours pressé...mais mon regard,
je le sens plein de feu. Un peut comme si tu me
dissait : "c'est moi"
Donne-moi le courage de m'arrêter la prochaine fois.
***
Permi les petits...Seigneur, j'ai Aimé la pauvreté
toute ma vie. Elle m'attirait...Elle est propre...
on peut la regarder. J'ai trouvé le bon accueil
toujours chez les petits...on se reconnaissait.
Je peux dire, que je ne pourrais toucher un
un trésor plus grand. Quel respect, quelle
sérérinté, quelle acceptation...
Merci de m'avoir combler, car je suis devenue
pauvre à mon tour. Malade à mon tour.
Bénis sois-tu Jésus
Que vous et moi, laissons écouter la voix
de Jésus dans notre coeur.
Que lors de notre rencontre face à face,
IL nous reconaisse...
TU M'AS REGARDE
TU M'AS DONNE TA MAIN
TU M'AS VISITE
TU M'AS DONNE A MANGER
TU N'AS PAS ETE REBOUTE DE MOI,
DEROUTE NOM PLUS
TU M'AS SOIGNE
TU M'AS ECRIT EN PRISON...
GOD BLESS YOU TO
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Dans cet ermitage du Père de Foucauld que j'Aime tant,
je vais faire trois jours de réflexion. Je vous la partage, car
l'Amitié c'est cela, partager le meilleurd que l'on a.
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-Frère Charles de Jésus-
Être seul avec Dieu seul:
"Dans notre vie, soit cachée, soit surtout publique, ...prenons des temps de repos, des
temps de solitude passés en compagnie de Jésus... Que ces retraites aient (les) trois
caractères que Jésus indique. Que ce soient des repos ... des temps d'apaisement ... Que
ce soit un temps de solitude: plus nous serons seuls avec Jésus, plus nous le goûterons,
l'amour aime le tête-à-tête... Que ce soit un temps de solitude en compagnie de Jésus,
... tantôt le regardant sans rien dire (=contemplation), tantôt le questionnant (=méditation)."Méditation sur Mc. 6, 30 - 32.
Marc 6:30-32
Les apôtres rentrent de mission
30 A leur retour, les *apôtres se réunirent auprès de Jésus et lui rendirent compte de tout ce qu'ils avaient fait, et de tout ce qu'ils avaient enseigné.
31 Alors il leur dit:
---Venez avec moi, dans un endroit isolé, et vous prendrez un peu de repos.
Il y avait effectivement beaucoup de monde qui allait et venait et ils ne trouvaient même pas le temps de manger.32 Ils partirent donc dans la barque pour aller à l'écart dans un endroit désert.
Seigneur Jésus, me voici à tes pieds. Je viens pour
me reposer avec toi. Pour vider ma pauvre tête de
tant de bruit. Je te dépose mon coeur entre tes mains,
Enlève tout ce que ne vient pas de toi... tout ce qui peux
m'empêcher de t'Aimer comme je le désire. Jésus, je ne peux pas donner
ce que je n'ai pas. Donne à mon âme la nourriture nécésaire.
Donne-moi ton humilité pour reconnaître mes pechés...
Ceux contre toi; lorsque je ne viens pas souvent
te remercier de tant d'Amour.
Tu es là...en silence, à mon coté... et je
suis si loin dans ma tête !
Ceux avec mon prochain; quand je ne suis pas en paix
lorsque on me blesse. Pourquoi regarder la
la paille dans l'oeil de mon frère, alors que dans le mien,
j'ai une poutre ?
Oh Jésus je laisse de parler, pour récliner ma
tête sur ton coeur...parle-moi s'il te plaît.
on a le visage de Jésus à l'accueil....
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Frère Charles de Jésus
son ermitage
Mon Père,
Je m'abandonne à toi,
fais de moi ce qu'il te plaira.
Quoi que tu fasses de moi,
je te remercie.
Je suis prêt à tout, j'accepte tout.
Pourvu que ta volonté
se fasse en moi, en toutes tes créatures,
je ne désire rien d'autre, mon Dieu.
Je remets mon âme entre tes mains.
Je te la donne, mon Dieu,
avec tout l'amour de mon cœur,
parce que je t'aime,
et que ce m'est un besoin d'amour
de me donner,
de me remettre entre tes mains, sans mesure,
avec une infinie confiance,
car tu es mon Père.Cette prière est la prière commune à tous ceux et celles qui se réclament de Charles de Foucauld, partout dans le monde ; c’est pourquoi elle a été traduite dans beaucoup de langues.
Charles ne l’a pas écrite telle quelle : elle a été tirée d’une méditation plus ample, écrite en 1896, dans laquelle il cherchait à rejoindre la prière de Jésus sur la croix.
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DES EXEMPLES D'AUJOURD'HUI
Dieu, a voulu associer l'être l'humain
à son Oeuvre.
Si chez ces femmes et hommes,
n'avait pas eu la présence de Dieu,
l'amour aurais un autre nom.
La philanthropie
Dieu lui-même nous pousse à soulager la misère
« Le spectacle de l’homme souffrant touche notre cœur, fait observer le pape. Mais l’engagement caritatif a un sens qui va bien au-delà de la simple philanthropie. C’est Dieu lui-même qui nous pousse de l’intérieur à soulager la misère. Ainsi, en définitive, c’est lui-même que nous apportons au monde souffrant. Et plus nous le portons consciemment et clairement comme un don, et plus efficacement notre amour changera le monde et réveillera l’espérance – une espérance qui va au-delà de la mort et ce n’est qu’ainsi qu’elle est une véritable espérance pour l’homme ».- pape Benoît XVI -
Dans ce que nous dit Benoît XVI,
nous pouvons voir clairement la difference.
Exemple
Lorsque j'ai commencé a aller auprés
des "pauvres de la rue"
J'était contente.
Cela fait du bien de se donner
dans le bénévolat.
En 92 on était 2 personnes
Une qui restait jusqu'à midi et
l'autre du matin à 17h.
On prenait le repas ensemble.
Chaque jour dans une table differente.
Parfois, j'étais contente et mangeais
avec appetit.
Un jour, j'étais en face d'un nouveau.
Il y avait l'audeur de la rue.
Je regarde les assiettes et,
dans ma tête me vint cette image.
Chaque jour, à chaque repas, on utilisait
differentes assiettes.
Donc un jour je mangerais
dans celle d'enface !
Humainement, je senti une grande
repugnance.
Mais, tout d'un coup, me vins aussi
ces paroles de Jésus :
"Ce que vous ferez au plus petit de miens...
c'est à moi que vous le faites"
Et tout mon coeur se retourna en moi.
Regardant mon frère d'en face,
je senti un grand Amour.
Cet Amour, ne venait pas de moi.
C'était Jésus qui le métait dans mon coeur.
Et en face, je voyais le visage
défiguré de Jésus par Amour de nous.
Cela dure de 92 à 2013.
Suis-je héroique ?
Pas du tout !
C'est le Christ qu'à travers moi,
va vers les autres.
Je sais bien qui je suis.
Je suis une fille avec plein des défauts.
Des qualités aussi...
Plus jeune, je dépensais l'argent que mon
oncle militaire, malade, me donnait.
J'anmenai le copines
d'université à la caféterie et,
je regalais avec un grand petit amour
de ma personne.
J'avais plein des copines !!!
Ce sont les pauvres qui on fait mon education.
Les pauvres on une finesse de coeur...
où leur regard pénétre.
Mon Dieu, donne-moi de sortir de mes egoismes.
De te laisser toute la place en moi.
GOD BLESS YOU TO
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l'Appel de l'Abbé Pierre en 1954
Le thème de l'Evangile de ce jour.
Touche très particulièrement et clairement,
à sensibilicer nos coeurs.
Au sort des hommes et des femmes,
d' enfants,
qui se preparent à la rentrée de l'hiver.
Eux ont cet angoisse d'urgence.
Tandis que des autres, qui ont un toit,
de quoi manger et vivre bien.
Pensent déjà aux vacances.
Trouver un bon lieu et un sejour
agreable.
Je peux le dire, parce étant donné ma profession,
j'ai soigné dans les quartiers riches de Paris.
De l'autre coté...
Chaque matin, la même queue... pour
ceux qui dorment dehors...
Petit déjeuner, Etc.
De gens depensent de l'argent
dans de tas de choses pas nécessaires.
J'aurais mal au coeur d'avoir plus que mes frères.
AUCUNE CRITIQUE !!!
Pour aller au job il faut s'habiller bien !!!
Voilà ce Jésus nous dit pour aujourd'hui
*
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 12,13-21.
Alors je me dirai à moi-même : Te voilà avec des réserves en abondance pour de nombreuses années. Repose-toi, mange, bois, jouis de l'existence. '
Mais Dieu lui dit : 'Tu es fou : cette nuit même, on te redemande ta vie. Et ce que tu auras mis de côté, qui l'aura ? '
Voilà ce qui arrive à celui qui amasse pour lui-même, au lieu d'être riche en *vue de Dieu.*en vie de l'Amour de son prochain
GOD BLESS YOU TO
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Bx Jerzy Popiełuszko
Prêtre et martyrJerzy Aleksander(au baptême : Alfons) Popiełuszko naît le 14 septembre 1947 à Okopy, un petit village de Voïvodine, au nord-est de Białystok (Pologne), au sein d’une famille de paysans profondément chrétienne.
Entré au grand séminaire de Varsovie en 1965, il a été appelé, un an plus tard, sous les drapeaux, pour faire ses trois années de service militaire dans une unité spéciale. Les autorités militaires procédaient à un endoctrinement anticlérical et antireligieux pour détourner les séminaristes de leur vocation. Il fut l'objet de vexations et de persécutions qui portèrent atteinte à sa santé.
Jerzy Popiełuszko fut ordonné prêtre le 28 mai 1972 par le cardinal Stefan Wyszyński, primat de Pologne, et choisit pour devise sacerdotale les paroles du prophète Isaïe et de l'Évangile de Luc : « Il m'a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, panser les plaies des cœurs brisés ».
Il exerça ses fonctions pastorales en tant que vicaire de paroisses à Ząbki, à proximité de Varsovie, puis à Anin, et enfin à Varsovie même, à la paroisse de l'Enfant Jésus.
En 1979-1980, il assura la catéchèse des étudiants en médecine à l'église académique Sainte-Anne à Varsovie. Il fut également nommé membre du Corps consultatif national pour la pastorale du service de santé et aumônier diocésain du personnel de santé.
Dès mai 1980, il exerça son ministère dans la paroisse Saint-Stanislas-Kostka à Varsovie.
En août 1980, pendant la grève de Solidarność aux aciéries de Varsovie, le père Jerry Popiełuszko devient, à la demande des sidérurgistes et par nomination du primat Wyszyński, aumônier des ouvriers. Il s'engage profondément dans la pastorale des travailleurs et accompagne le syndicat Solidarność pendant l'état de guerre.
Après le coup de force du général Wojciech Jaruzelski contre Solidarność en décembre 1981, le père Popieluszko s'était mis à célébrer des« Messes pour la patrie », où les homélies affrontaient des thèmes religieux et spirituels mais aussi des questions d'actualité, à caractère social, politique et moral. Ces messes regroupent des milliers de fidèles venant de Varsovie et de différentes régions de Pologne, suscitant la fureur du pouvoir communiste.
Considéré comme « dangereux », Jerzy Popiełuszko fut enlevé par trois officiers de la police politique (SB) le 19 octobre 1984, alors qu'il revient en voiture de son service pastoral. Après avoir été torturé jusqu'à ce que mort s'ensuive, le corps est lesté puis jeté dans un réservoir d'eau de la Vistule (à 120 km au nord de Varsovie). Son corps méconnaissable ne sera découvert, par des plongeurs, que plusieurs jours plus tard dans ce réservoir, grâce aux aveux des trois officiers. Ses funérailles, auxquelles participèrent plus de 1.000 prêtres et des centaines de milliers de fidèles, furent célébrées le 3 novembre 1984 à Varsovie.
Le père Popiełuszko symbolie, aux yeux des Polonais, la lutte commune de l'opposition démocratique et de l'Église catholique contre un régime totalitaire.
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Souvent, les medias nous montrent une Eglise obscure,
où il y aurait que zones d'ombre.
Tout d'abord, c'est le Christ que l'on doit mettre au centre.
L'Eglise, n'est qu'un moyent où il y a aussi
des zones d'ombre. Il faut le savoir et pas accepter cela.
Mais dans cet Eglise, il y a aussi des Martyres qui donnent
leur vie pour dire non au régime totalitaire.
Il y a encore aujourd'hui l'Eglise du Silence.
Où des hommes et des femmes donnent
leur vie, pour être parmi des chrétiens,
qui ne peuvent vivre librement leur foi.
Le Christ, appelle sans obliger
des moissoneurs, pour que notre monde,
devienne une source d'Amour.
Ce n'est pas qu'a des personnes consacrés,
mais nous tous, sommes responsables,
de construire selon nos moyens, un monde
meilleur.
Ce sont des petits gester du quodien.
Je regardais les malades à la Messe.
Il viennent chercher la force.
Je suis très émoue lors du moment de la
communion.
Le prêtre me demande de l'aider.
Qui suis-je pauvre créature,
pour être la servante d'un tel cadeau ?
C'est en donnant que l'on reçoit
Je vous confie la jeune femme, qui
bientôt ne sera pas parmi nous.
Quel Mystère !
elle n'est pas très belle, je l'ai faite
un jour. Elle simbolice la louange
Mais la louange la plus vraie,
est celle de petits enfants...
GOD BLESS YOU TO
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Mes Amis je vais mieux.
Cela me fais plaisir de vous le dire. Je repasserai
sur vos blogs. Je vais à l'aumônerie du Hp.
Je vous partage cette meditation d'un jeune moine
mort à 27ans à Bourgos - Espagne.
IL passa bien peu de temps à la Trappe. Sa santé
le demandais de sortir pour se soigner chez ses parent.
Trois fois sorti et la troisième il voulu mourir dans la
petite enfermerie de sa chère Trappe, au milieu de ses
frères moines. Je l'Aime beaucoup et ses écrits m'ont
bien aidé.
Raphaël Aznaiz Baron et sa Mère
Raphaël Arnaiz Baron (1911-1938), moine trappiste espagnol
Écrits spirituels, 04/03/1938
« Celui qui se sera prononcé pour moi devant les hommes, le Fils de l’homme se prononcera pour lui devant les anges »
Je prends aujourd’hui la plume pour que mes paroles, s’estampant sur la feuille blanche, servent de louange perpétuelle au Dieu béni, auteur de ma vie, de mon âme, de mon cœur. Je voudrais que l’univers entier, avec les planètes, tous les astres et les innombrables systèmes stellaires, soit une immense étendue, polie et brillante, où je pourrais écrire le nom de Dieu. Je voudrais que ma voix soit plus puissante que mille tonnerres, et plus forte que le fracas de la mer, et plus terrible que le grondement des volcans, pour seulement dire : Dieu ! Je voudrais que mon cœur soit aussi grand que le ciel, pur comme celui des anges, simple comme celui de la colombe (Mt 10,16), pour y mettre Dieu ! Mais puisque toute cette grandeur dont tu rêves ne peut pas devenir réalité, contente-toi de peu et de toi-même qui n’es rien, frère Raphaël, car le rien même doit te suffire…
Pourquoi se taire ? Pourquoi le cacher ? Pourquoi ne pas crier au monde entier et publier aux quatre vents les merveilles de Dieu ? Pourquoi ne pas dire aux gens et à tous ceux qui veulent l’entendre : voyez-vous ce que je suis ? Voyez-vous ce que j’ai été ? Voyez-vous ma misère se traînant dans la boue ? Car peu importe ; émerveillez-vous : malgré tout ça, je possède Dieu. Dieu est mon ami ! Que le sol s’effondre, et que la mer se dessèche de stupeur ! Dieu m’aime, moi, d’un tel amour que, si le monde entier le comprenait, toutes les créatures deviendraient folles et hurleraient de stupeur. Et encore, cela c’est peu. Dieu m’aime tellement que même les anges n’y comprennent rien !
La miséricorde de Dieu est grande ! M’aimer, moi ; être mon ami, mon frère, mon père, mon maître. Être Dieu, et moi, être ce que je suis !... Comment ne pas devenir fou ; comment est-il possible de vivre, manger, dormir, parler et traiter avec tout le monde ?... Comment est-il possible, Seigneur ! Je sais ; tu me l’as expliqué : c’est par le miracle de ta grâce.frère Raphaël
GOD BLESS YOU TO
Merci Seigneur pour ton Amour
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