Loin de chez elle, la famille garde le contact avec son pays, avec l’aide d’un prêtre jésuite resté à Alep. À leur départ, le couple avait prévu de retourner dès que la situation s’améliorerait. Sur place, la bataille entre les forces gouvernementales, à l’ouest, et les rebelles, à l’est, s’intensifie puis s’achève enfin en décembre 2016. Depuis leur retour le 15 juin 2017, la vie se réorganise lentement. Karim se lève aux aurores pour rejoindre les membres du Service jésuite des réfugiés (JRS) à qui il prête désormais main-forte.
L’espoir d’un avenir pour la Syrie
Partout dans la ville, tous les jours, avec d’autres bénévoles, il part distribuer des repas chauds et des colis de nourriture aux personnes dans le besoin, et tente de rétablir un accès régulier à l’eau et à l’électricité.
« Je crois que tout va s’arranger », lâche-t-il au bout du téléphone. Trois mois après son retour, il veut croire en un meilleur avenir pour Alep et la Syrie.
Alep durant la guerre
Quelle dignité dans leur fuite de la guerre !
Je m'estime milliardaire avec ma simple pension en ayant mon toit face à tant des réfugies, qui ont tout perdu et sont obligés de quitter leur pays...pour être mal reçus dans l'Occident riche...Honte !!! J'ai honte
Cependant je sais que des associations et mouvements se sont unis pour aider ce peuple de Syrie.
On voit par ce témoignage combien
LA VIE EST PLUS FORTE QUE LA MORT de Daech
Coucou Ana, je suis sûre que cette peinture va te plaire..
Bon dimanche, gros bisous, caresses à Titi