-
« Il est venu chez les siens, et les siens ne l’ont pas reçu… »
Un Grand Merci à ceux qui nombreux lissent sur le Web
Et j'ai inclus : les chrétiens aussi
« Nous avons reconnu et nous avons cru que l'amour de Dieu est
parmi nous » (1 Jn 4, 16)Lien pour ceux qui veulent lire Benoît XVI sur le Carême
http://www.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/messages/lent.index.html#messages
La foi comme réponse à l'amour de Dieu.
Je rappelais qu'« à l’origine du fait d’être chrétien, il n’y a pas une décision éthique ou une grande idée, mais la rencontre avec un événement, avec une Personne, qui donne à la vie un nouvel horizon et par là son orientation décisive... Comme Dieu nous a aimés le premier ( 1 Jn 4, 10), l’amour n’est plus seulement « un commandement », mais il est la réponse au don de l'amour par lequel Dieu vient à notre rencontre » (Deus caritas est, n. 1).
La rencontre avec Dieu Amour qui interpelle non seulement le cœur, mais également l'esprit: « La reconnaissance du Dieu vivant est une route vers l’amour, et le oui de notre volonté à la sienne unit intelligence, volonté et sentiment dans l’acte totalisant de l’amour.
_______
La chapelle de Saint-Damien. Première chapelle reconstruite par saint François en 1205. Au début de sa conversion, alors que cet endroit n’était que ruine, et qu’il priait devant le crucifix, il entendit le Christ en croix lui demander de « rebâtir sa maison en ruines ». Cet événement marqua sa vie à jamais. C’est là qu’il composa son Cantique des créatures qui célèbre la vie et la création. Là aussi qu’il installa Claire d’Assise avec un groupe de jeunes filles donnant naissance au premier couvent de l’ordre des pauvres dames, ou clarisses. Claire y mourut en 1254.
La Chapelle du Transito, derrière la Portioncule. Voilà le dispensaire où mourut saint François le 3 octobre 1226. On y trouve une statue en terre cuite de saint François tenant l’Évangile et une croix, réalisée en 1490. Sur les murs, des fresques réalisées vers 1520, reproduisent des scènes de vie des premiers frères mineurs.
L’ermitage de l’Alverne. Situé à environ 1.200 m d'altitude, c'est dans ce lieu solitaire et boisé que Saint François reçut les stigmates de la Passion en 1224. Vers la fête de la croix Glorieuse le 14 septembre, tandis qu’il est en prière, il voit descendre du ciel un séraphin aux six ailes resplendissantes qui s’approche de lui. François voit entre ses ailes un homme crucifié sur une croix. La vision disparut après avoir marqué sa chair des clous de l’homme crucifié.
Ermitage des Carceri. Tout proche d’Assise, c'est là où saint François avait coutume de se retirer avec ses frères pour méditer dans le recueillement et la solitude. Donné à François par les bénédictins, s’y trouvaient alors qu’une petite chapelle, quelques grottes creusées dans le rocher et des abris sommaires servant d’ermitage. On peut y voir le champ des oiseaux où saint François a aussi prêché aux oiseaux.
Sanctuaire de Poggio Bustone. C'est ici qu'eut lieu une étape fondatrice de sa vie. Là, saint reçoit l’assurance du pardon complet de ses fautes et l’assurance que son ordre attirerait de nombreuses vocations dans le monde entier. C’est également de là que François envoya en mission ses premiers frères pour apporter un message de paix dans le monde.
Sanctuaire de La Foresta. Fondé par saint François, c'est dans ce sanctuaire que le Poverello, selon la tradition, multiplia les récoltes d’un prêtre, et fit le miracle du vin. On l’appelle le « Cana Franciscain ». Il y composa aussi une partie de son Cantique des Créatures.
Sanctuaire de Greccio (Rieti). Cet ermitage a été fondé par saint François en mémoire de la première crèche, en 1223. C’est en effet ici, dans une grotte, que le saint reconstitua la naissance de Jésus. Après cette célébration, l’usage de la crèche de Noël se répandit dans la famille franciscaine et dans les foyers, c’est la « Bethléem franciscaine».
Sanctuaire de Fonte Colomb, près de Rieti. Cet dans cet ermitage fondé par ses soins qu'après quarante jours de jeûne, il a écrit, sous la dictée du Christ, la Règle de l’Ordre des Frères Mineurs, toujours en usage dans les communautés franciscaines à travers le monde. Il s’y réfugiait aussi, pour tenter de soigner ses yeux qui s’affaiblissaient tellement qu’il a fini par perdre l’usage de la lumière. On y trouve La chapelle de la Maddalena (12e s.) où apparaît le « T », emblème de la croix dessiné par le Poverello, la grotte et le tronc d'arbre où Jésus est apparu au saint.
La basilique Saint-François, à Assise, où se superposent deux espaces d'assemblée - l'un appelé « église inférieure » et l’autre « église supérieure » - conserve le corps de saint François depuis 1230, mais qui n’est révélé au public que depuis 1818. La deuxième église, élevée au-dessus de la première, est décorée de fresques de Giotto relatant la vie de saint François, selon les désirs des franciscains qui voulaient présenter aux yeux du public un cycle imagé retraçant la vie de leur saint fondateur.
« Le « drame de l’humanité » vécu par le Christ à GethsémaniC'est pourquoi voici, je veux l'attirer et la conduire au désert »
-
Commentaires
Le Christ ,e demandant qu'on laisse venir à lui les enfants, disait que la plus belle des fois était celle des enfants, qui ne se posaient pa de question !
Ces saints ont reçu un message, l'ont accepté et ont obéi !
Très important ces lieux de prières, où on prie pour l'humanité !
Passe une bonne journée
Bisous
-
Mercredi 17 Février 2021 à 15:10
-
Coucou Nani,
C'est absolument superbe!
Ces lieux sont pénétrés d'une vie spirituelle intense qui demeure dans les pierres, à jamais, comme un fluide que les personnes ont déposé là, avec ce qui émane de leurs coeurs.
C'est ce que je ressens lorsque je vais dans un lieu qui est "sacré" pour moi et pour la foi que je ressens. Et je sais que tu me comprends, ce ne sont pas les mêmes êtres que nous prions mais au fond, l'intensité de la foi que nous éprouvons, avec humilité, nous pouvons la partager.
J'ai eu la chance pendant mes études d'histoire de l'art de pouvoir visiter deux fois la basilique Saint-François d'Assise, quelle merveille!
Un lieu d'une beauté inouïe! Et au-delà de l'esthétique superbe, il irradiait quelque chose que les visiteurs ressentaient et qu'ils partageaient.
Les gens étaient respectueux, silencieux ou bien ils chuchotaient mais quelles que soient les origines ou les croyances de chacun, cette basilique était un écrin pour des choses très subtiles, un cocon de communion spirituelle je dirais... et cela se ressentait dans le physique. On avait la chair de poule mon amie Antoinette et moi (on faisait les mêmes études et on partageait ce si beau voyage), c'était formidable!
Merci beaucoup pour ton message personnel, je l'ai bien reçu et je te dis "merci"...
Merci également pour tes propos sur La Grand-Route...
Moi aussi, j'ai cette envie irrépressible parfois... prendre un sac et y aller sur cette route... Christophe le ressent aussi... Je pense qu'on l'a en nous mais ce n'est pas évident de concrétiser...
Gros bisous et plein de caresses pour Titi,belles pensées pour vous
Cendrine
-
Mercredi 17 Février 2021 à 15:11
-
Bonjour Nani,
Contrairement à toi, aujourd'hui je n'ai pas d'imagination, et donc je vais faire l'impasse pour écrire un article. A quelques km d'Allevard, nous avons un monastère Boudiste, La Chartreuse de Saint-Hugon fondée en 1173, mais je crois que depuis quelques années elle n'est plus occupée.
Bonne fin de journée. Gros bisous. Avant de te quitter, je vais écouter les vidéos.... C'est fait ! Merci. rebises. Hugues
-
Mardi 16 Février 2021 à 21:09
-
BONJOUR NANI
vraiment un article que tu as poster vraiment sensible et j apprécie sincèrement ce qui est écrit tu as ton cœur dedans et tu aimes et merci des photos et le tout je te félicite je suis fière de te connaître et je suis bien quand je vais sur tes Articles je t embrasse et Bisous à Titi prends soins de toi important et excellent Mardi DANNNN
-
Mardi 16 Février 2021 à 21:10
-
Ajouter un commentaire
Bonjour Ana,
magnifique article qui retrace la vie de Saint-François..
Quel beau parcours que celui qu'il a eu..
Bonne journée, gros bisous, caresses à Titi
C'est une âme qui a cherché à suivre le Christ de plus près