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    ô Mon Dieu tu as souffis sans dire un mot

    Ô Marie, tu prends dans tes bras ton Fils Bien-Aimé. Quel souffrance sans comparaison.

    Ô Marie à qui ton Fils nous a donné comme Mère.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • jesus sur la croix

     

     

     

     

     

     

     

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  • Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?
     (Mt 27, 46)
    Le salut est loin de moi, loin des mots que je rugis.
     

    Mon Dieu, j'appelle tout le jour, et tu ne réponds pas ;
    même la nuit, je n'ai pas de repos.

    Toi, pourtant, tu es saint,
    toi qui habites les hymnes d'Israël !
    C'est en toi que nos pères espéraient,
    il espéraient et tu les délivrais.
    Quand ils criaient vers toi, ils échappaient ;
    en toi ils espéraient et n'étaient pas déçus.

    Et moi, je suis un ver, pas un homme,
    raillé par les gens, rejeté par le peuple.
    (Mt 27, 41)
    Tous ceux qui me voient me bafouent,
    ils ricanent et hochent la tête 
    (Mt 27, 39) :
    Il comptait sur le Seigneur : qu'il le délivre !
    (Mt 27, 43)
    Qu'il le sauve, puisqu'il est son ami ! "

    C'est toi qui m'as tiré du ventre de ma mère,
    qui m'as mis en sûreté entre ses bras.
    A toi je fus confié dès ma naissance ;
    dès le ventre de ma mère, tu es mon Dieu.

    Ne sois pas loin, l'angoisse est proche,
    je n'ai personne pour m'aider.

    (Mt 26, 37 - 41)
    Des fauves nombreux me cernent,
    des taureaux de Basan m'encerclent.
    Des lions qui déchirent et rugissent
    ouvrent leur gueule contre moi.

    Je suis comme l'eau qui se répand,
    tous mes membres se disloquent.
    Mon coeur est comme la cire,
    il fond au milieu de mes entrailles.
    Ma vigueur a séché comme l'argile,
    ma langue colle à mon palais.
    (Jn 19, 28)

    Tu me mènes à la poussière de la mort.

    Oui, des chiens me cernent,
    une bande de vauriens m'entoure.
    Ils me percent les mains et les pieds ;
    (Lc 23, 33)
    je peux compter tous mes os.

    Ces gens me voient, ils me regardent.
    Ils partagent entre eux mes habits
    (Mt 27, 35)
    et tirent au sort mon vêtement.
    (Jn 19, 24)

    Mais toi, Seigneur, ne sois pas loin :
    ô ma force, viens à mon aide !
    Préserve ma vie de l'épée,

    (Jn 12, 27)
    arrache-moi aux griffes du chien ;
    sauve-moi de la gueule du lion
    et de la corne des buffles.

    Tu m'as répondu !
    Et je proclame ton nom devant mes frères,
    je te loue en pleine assemblée.

    Vous qui le craignez, louez le Seigneur, 
    glorifiez-le, vous tous, descendants de Jacob,
    vous tous, redoutez-le descendants d'Israël.

    Car il n'a pas rejeté,
    il n'a pas réprouvé le malheureux dans sa misère ;
    il ne s'est pas voilé la face devant lui,
    mais il entend sa plainte.

    Tu seras ma louange dans la grande assemblée ;
    devant ceux qui te craignent, je tiendrai mes promesses.
    Les pauvres mangeront : il seront rassasiés ;
    ils loueront le Seigneur, ceux qui le cherchent :
    " A vous, toujours, la vie et la joie ! "

    La terre entière se souviendra et reviendra vers le Seigneur,
    chaque famille de nations se prosternera devant lui :
    " Oui, au Seigneur la royauté,
    le pouvoir sur les nations ! "

    Tous ceux qui festoyaient s'inclinent ;
    promis à la mort, ils plient en sa présence.

    Et moi, je vis pour lui : ma descendance le servira ;
    on annoncera le Seigneur aux générations à venir.
    On proclamera sa justice au peuple qui va naître :
    Voilà son oeuvre !


     

     

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  • Mes amis, aujourd'hui nous commençons la Semaine Sainte. Jésus entre à Jérusalem et il est acclamé par tous. Son entrée est comme celle des rois. Lisons le contraste avec une des lectures...





    Dimanche des Rameaux et de la Passion

    Livre d'Isaïe 50,4-7. 
    Dieu mon Seigneur m'a donné le langage d'un homme qui se laisse instruire, pour que je sache à mon tour réconforter celui qui n'en peut plus. La Parole me réveille chaque matin, chaque matin elle me réveille pour que j'écoute comme celui qui se laisse instruire. 
    Le Seigneur Dieu m'a ouvert l'oreille, et moi, je ne me suis pas révolté, je ne me suis pas dérobé. 
    J'ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient, et mes joues à ceux qui m'arrachaient la barbe. Je n'ai pas protégé mon visage des outrages et des crachats.
    Le Seigneur Dieu vient à mon secours ; c'est pourquoi je ne suis pas atteint par les outrages, c'est pourquoi j'ai rendu mon visage dur comme pierre : je sais que je ne serai pas confondu. 

    Psaume 22(21),8-9.17-18a.19-20.22c-24a. 
    Tous ceux qui me voient me bafouent, 
    ils ricanent et hochent la tête : 
    « Il comptait sur le Seigneur : qu'il le délivre ! 
    Qu'il le sauve, puisqu'il est son ami ! » 

    Oui, des chiens me cernent, 
    une bande de vauriens m'entoure. 
    Ils me percent les mains et les pieds ; 
    je peux compter tous mes os. 

    Ils partagent entre eux mes habits 
    et tirent au sort mon vêtement. 
    Mais toi, Seigneur, ne sois pas loin : 
    ô ma force, viens vite à mon aide ! 

    Mais tu m'as répondu ! 
    Et je proclame ton nom devant mes frères, 
    je te loue en pleine assemblée. 
    Vous qui le craignez, louez le Seigneur. 


    Tout cela était déjà écrit et Jésus vient pour que tout soit accompli. 

    On va voir comme le psaume va se réaliser dans la passion. Mais pourquoi tant de violence? C'est la force du mal contre celle de l'Amour. C'est la rage du mal contre la douceur de Dieu qui vient sur terre pour sauver ce qui était perdu.

    On a un aperçu lorsque on veut lapider la femme accusé d'adultère. Ils viennent tous comme une bande déchaîné pour faire mourir une femme. Et Jésus reste tranquille. Cette foule veut savoir comme il va réagir... " Que celui qui n'a pas de péché lui jette la première pierre " et il retourne dans son silence. Peu à peu, en commençant par les plus vieux, vont lui laisser seul avec la femme. Et celui qui pouvait la condamner ne le fais pas, car l'Amour va plus loin. "Moi non plus je ne te condamne pas part et ne péches plus "

     

    Seigneur donne-nous la grâce de comprendre et d'accueillir la force de ton Amour.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • <P>2007 – avec Benoît XVI</P>

     

     

    EN DIRECT -  François 1er a téléphoné à Benoît XVI

     

     

    Seigneur, nous te prions pour notre nouveau Pape que tu nous as donné.

    Il a choisi le nom de François. C'est un beau prénom qui nous fait penser à Saint François d'Assise " le Poverello "

    Lorsqu'il à donné sa bénédiction, il c'est incliné en demandant que le Seigneur nous la donne lui-même. Il l'a donné non pas seulement aux catholiques, mais à tout homme de bonne volonté. Ceci sera pour moi le souvenir qui m'a le plus ému. Donne-lui la force et la santé pour conduire ton Église; Toi la Tête de cette Église et nous les membres. Il a eu la délicatesse de prier pour Benoît XVI et nous avons prié avec lui ne Notre Père et le Je vous salue Marie.

    Je fais une grande confiance au Saint-Esprit, et me réjouis dans ces moments si importants pour nous Chrétiens et Catholiques. Dans la joie de tout cela, je vous transmet ma joie pour chacun de vous tous.

     

     

     

     

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  • rose-close-up

     

    Notre Père, donne à ton Eglise dans ce temps de grâce, tous les dons du Saint-Esprit.

     

    MERCI DE NOUS DONNER LE NOUVEAU PASTEUR DE TON EGLISE !

     

     

     

     

     

     

                                                                               VIENS, Esprit-Saint ! 


    Viens, Esprit-Saint, en nos cœurs,
    et envoie du haut du ciel
    un rayon de ta lumière.

    Viens en nous, père des pauvres.
    Viens, dispensateur des dons.
    Viens, lumière en nos cœurs.

    Consolateur souverain,
    hôte très doux de nos âmes,
    adoucissante fraîcheur.

    Dans le labeur, le repos ;
    dans la fièvre, la fraîcheur ;
    dans les pleurs, le réconfort.

    O lumière bienheureuse,
    viens remplir jusqu'à l'intime
    le cœur de tous tes fidèles.

    Sans ta puissance divine,
    il n'est rien en aucun homme,
    rien qui ne soit perverti.

    Lave ce qui est souillé,
    baigne ce qui est aride,
    guéris ce qui est blessé.

    Assouplis ce qui est raide,
    réchauffe ce qui est froid,
    rends droit ce qui est faussé.

    A tous ceux qui ont la foi
    et qui en toi se confient,
    donne tes sept dons sacrés.

    Donne mérite et vertu
    donne le salut final
    donne la joie éterne

           Amen. 

     

    Seigneur, donne à ton Eglise ce dont Elle a besoin. Donne aux Catholiques de recevoir le nouveau Pape comme l'envoyé de l'Esprit -Saint.

    Donne-nous le courage de nous sentir membres de cette Eglise...même si elle est contesté par des chrétiens eux-même

     

     

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  • Saint-Siège - 22 février 2013

    "Foi et raison" selon Benoît XVI

    La foi chrétienne tient en haute estime la raison humaine. Benoît XVI, après son prédécesseur Jean-Paul II (encyclique Fides et ratio de 1998), est souvent intervenu sur la relation profonde entre la foi et la raison.

     
    14 septembre 2008: Benoît XVI lors de la procession eucharistique, Lourdes 65, France.
    Benoît XVI, avant même de devenir pape, est souvent intervenu sur le thème de la corrélation entre foi et raison. Il s'agit certainement de l'un des sujets sur lesquels il a le plus réfléchi, de façon extrêmement personnelle.

    À la base, il est convaincu de l'accord qui, profondément, existe entre foi et raison. Ce serait pourtant une erreur de penser que sa foi est rationaliste, ou à l'inverse qu'il essaierait ainsi de se persuader que l'avancée des sciences ne peut rien contre le christianisme. Sa conviction découle de l'histoire, se fonde sur une vision de l'homme originale et ouvre de nombreuses perspectives.

    Une foi engagée pour la raison

    Le pape souligne que dès l'origine, le christianisme s'est prononcé « pour le Dieu des philosophes contre le Dieu des religions » [1]. Alors que dans l'Antiquité le monde de la raison est conçu comme distinct de celui de la religion, les chrétiens croient en un Dieu qui est Logos. D'où deux conséquences étonnantes : d'abord ils rejettent les dieux traditionnels pour affirmer le primat de la Vérité (ce qui les fera souvent taxer d'athéisme) ; ensuite ils affirment que le fondement du réel n'est pas un ensemble de principes (éventuellement « abstraits » d'un matériau religieux symbolique), mais Quelqu'un. Avec les philosophes, les chrétiens recherchent donc la Vérité dans tout le réel ; mais face à eux, ils croient en un Dieu personnel, Être de relation créant par Amour et non pas pure Pensée isolée du monde.

    La raison soutien de la foi

    À chaque époque, foi et raison ont donc à entrer en dialogue. Selon la phrase de saint Pierre [2], les chrétiens doivent toujours être prêts à rendre raison (apo-logia) de leur foi à quiconque le leur demande. Aujourd'hui, ce témoignage se mène surtout sur deux fronts. D'une part, le rationalisme moderne pose le primat d'une raison purement calculatrice et désincarnée [3], à la fois toute-puissante et se limitant à traiter des données. D'autre part le spiritualisme contemporain, fondé sur l'intuition personnelle, donne l'illusion d'un consensus et mène à une indifférence relativiste. 

    Face à ces phénomènes symétriques, Benoît XVI défend une vision de l'homme dynamique. Selon lui, non seulement l'homme est capable d'une harmonie entre sa foi et sa raison, mais il n'est pas un individu isolé qui serait seul en charge de lui-même. De même que la raison ne peut s'exercer sans la « foi » en un ordre mesurable [4], de même la foi ne peut se satisfaire de convictions privées de soutien rationnel ; et dans les deux cas, de multiples relations sont à l'œuvre tout au long de l'histoire, permettant à l'humanité de se découvrir progressivement elle-même, tous étant pour cela solidaires les uns des autres.

    Une dynamique de la liberté


    Finalement, le dialogue rationnel nous fait progresser mutuellement dans la vérité, tandis que la transmission de la foi nous rapproche de Celui dont l'amour fonde l'agir humain dans l'univers.

    Ainsi, « je dirais que le chrétien a la grande confiance fondamentale, ou mieux, la grande certitude fondamentale de pouvoir tranquillement prendre le large dans la vaste mer de la vérité, sans avoir à craindre pour son identité de chrétien. Certes, ce n'est pas nous qui possédons la vérité, mais c'est elle qui nous possède : le Christ qui est la Vérité nous a pris par la main, et sur le chemin de notre recherche passionnée de connaissance, nous savons que sa main nous tient fermement. Le fait d'être intérieurement soutenus par la main du Christ nous rend libres et en même temps assurés. Libres : si nous sommes soutenus par lui, nous pouvons ouvertement et sans peur, entrer dans tout dialogue. Assurés, nous le sommes, car le Christ ne nous abandonne pas, si nous ne nous détachons pas de lui. Unis à lui, nous sommes dans la lumière de la vérité » [5].

    Dans un apparent paradoxe, c'est donc la liberté de la foi qui permet au croyant de résister à l'arbitraire de l'irrationnel : « Dans la grande entreprise humaine qui cherche à dévoiler lesmystères de l'homme et de l'univers, je suis convaincu du besoin urgent d'un dialogue constant et d'une coopération entre les mondes de la science et de la foi pour édifier une culture du respect de l'homme, pour la dignité et pour la liberté humaine, pour l'avenir de notre famille humaine et pour le développement durable à long terme de notre planète. Sans cette interaction nécessaire, les grandes questions de l'humanité quittent le domaine de la raison et de la vérité, et sont abandonnées à l'irrationnel, au mythe, ou à l'indifférence, au grand détriment de l'humanité elle-même, de la paix dans le monde et de notre destin ultime » [6].

     
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