-
QUICONQUE SAUVE UNE VIE, SAUVE LE MONDE ENTIER
Bon dimanche à tous. Cette parabole est la réalité. On veut parfois se mettre à la place de Dieu pour juger l'autre. Seul Dieu sait ce qu'il y a au fond du cœur de l'autre. Les motivations de son comportement, ses peurs... Évidement, je ne parle pas ici de ceux qui ont commis des crimes ou des dégâts dans notre société. Le Christ est mort sur une croix, entre deux malfaiteurs, et au repentir de l'un, il lui a promis d'être avec lui auprès de son Père. Je trouve trop de violence en ce moment. Dans ce cas-là, je regarde le film "la Liste de Schindler" pour voir, et me souvenir, de ce que la haine peut produire et la bonté d'un seul homme, un juste qui fut converti du nazisme.
QUICONQUE SAUVE UNE VIE, SAUVE LE MONDE ENTIER
Quatrième dimanche de Carême. L'enfant prodigue
Évangile (Lc 15, 1-3.11-32)
En ce temps-là, les publicains et les pécheurs venaient tous à Jésus pour l’écouter. Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui : « Cet homme fait bon accueil aux pécheurs, et il mange avec eux ! » Alors Jésus leur dit cette parabole :
« Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père : ‘Père, donne-moi la part de fortune qui me revient.’ Et le père leur partagea ses biens. Peu de jours après, le plus jeune rassembla tout ce qu’il avait et partit pour un pays lointain où il dilapida sa fortune en menant une vie de désordre. Il avait tout dépensé, quand une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin. Il alla s’engager auprès d’un habitant de ce pays, qui l’envoya dans ses champs garder les porcs. Il aurait bien voulu se remplir le ventre avec les gousses que mangeaient les porcs, mais personne ne lui donnait rien.
Alors il rentra en lui-même et se dit : ‘Combien d’ouvriers de mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim ! Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai : Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. Traite-moi comme l’un de tes ouvriers.’ Il se leva et s’en alla vers son père
Comme il était encore loin, son père l’aperçut et fut saisi de compassion ; il courut se jeter à son cou et le couvrit de baisers. Le fils lui dit : ‘Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils.’ Mais le père dit à ses serviteurs : ‘Vite, apportez le plus beau vêtement pour l’habiller, mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds, allez chercher le veau gras, tuez-le, mangeons et festoyons, car mon fils que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé.’ Et ils commencèrent à festoyer.
Or le fils aîné était aux champs. Quand il revint et fut près de la maison, il entendit la musique et les danses. Appelant un des serviteurs, il s’informa de ce qui se passait. Celui-ci répondit : ‘Ton frère est arrivé, et ton père a tué le veau gras, parce qu’il a retrouvé ton frère en bonne santé.’ Alors le fils aîné se mit en colère, et il refusait d’entrer. Son père sortit le supplier. Mais il répliqua à son père : ‘Il y a tant d’années que je suis à ton service sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un chevreau pour festoyer avec mes amis. Mais, quand ton fils que voilà est revenu après avoir dévoré ton bien avec des prostituées, tu as fait tuer pour lui le veau gras !’ Le père répondit : ‘Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi. Il fallait festoyer et se réjouir ; car ton frère que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé ! » – Acclamons la Parole de Dieu.
« L'acte de consécration de la Russie et l'Ukraine au Cœur Immaculé de MarieL’Ukraine, « pas encore morte », a sa petite fille Espérance »
Tags : pere, ton, fils, moi
-
Commentaires
Il est vrai que les exemples ne manquent pas montrant qu'il n' est jamais trop tard, et que la porte est toujours entrouverte !
Bon dimanche Nani
Bisous
Ajouter un commentaire
Merci Pierre !
Oui, avec Lui on a l'espoir même si l'on ne voit pas des résultats. Il agit, nous
pas comme nous le souhaitons, mais à la sienne