Texte de l'Évangile (Mc 3,1-6):

 Une autre fois, Jésus entra dans une synagogue; il y avait là un homme dont la main était paralysée. On observait Jésus pour voir s'il le guérirait le jour du sabbat; on pourrait ainsi l'accuser. Il dit à l'homme qui avait la main paralysée: «Viens te mettre là devant tout le monde». Et s'adressant aux autres: «Est-il permis, le jour du sabbat, de faire le bien, ou de faire le mal? de sauver une vie, ou de tuer?». Mais ils se taisaient. Alors, promenant sur eux un regard de colère, navré de l'endurcissement de leurs coeurs, il dit à l'homme: «Étends la main». Il l'étendit, et sa main redevint normale. Une fois sortis, les pharisiens se réunirent avec les partisans d'Hérode contre Jésus, pour voir comment le faire périr.

Bonjour mes Amis.

Nous pouvont voir dans cette scene de l'Evangile

d'aujourd'hui.

LA VRAI LIBERTE

ET

LA MAUVAISE LIBERTE

Jésus savait parfaitement, ce que sont acte allait

déclancher.

Mais il agit tout de même.

IL EST UN HOMME LIBRE

On a aussi les pharisiens...ils sont aussi leur liberté

Et regardon leur silence à la question de Jésus...

Positionnons-nous dans notre temps d'aujourd'hui.

Comment sont-il régis nos actes ?

Selon notre concience ou selon tous nos désirs.

Ici, il faut savoir faire la difference : 

1) Ne pas agir librement pour le quel dirait-on.

2) Avoir peur de agir en toute liberté devant tous.

 Exemple

Deux personnes chrétiennes, "comme il faut"

voient maltraiter un enfant chaque jour. Or a cause de leur manque de liberté par peur, elles n'agissent pas et font silence durant 6 ans.

Par mon travail avec des malades,

J'ai un horaire. Je suis payé tant pour tant des heures.

Or, il arrive que mon malade handicapé,

doit rester seul car sa femme médecin n'arrive pas à l'heure.

J'ai ma liberté et justice.

Mais je regarde cet homme incapable de bouger.

Il a une sclérose en plaque en stade terminal.

J'Aime mon malade. Je peux faire ce que j'avais planifié plus tard...

JE RESTE AVEC JOIE POUR LUI PARLER ET LE FAIRE RIRE UN PEU

Je dois dire que sa femme ne me sens pas! 

Je m'en fiche !

Je suis libre de lui faire payer mon temps en plus...

je le fais avec joie et gratuitement.

Voyant ma bonté, elle va me demander des services

qui ne sont pas dans mon contrat, et que sont pour elle. 

Je Lui dirai non, je ne le ferai pas. 

Où en la voyant fatigué, une fois je le fais par 

Amour.

Et elle comprend sans mots comme j'agis.

Des que nous agison dans l'Amour et sans contrainte,

Ce sont des actes libres qui nous font grandir et,

qui nous donnent la joie.

Une petite fille: je lui dis, Marie Taïs donne-moi 

un bisou. Elle me dit non. 

Puis elle me vois triste et alors elle m'embrasse. 

GOD BLESS YOU  TO

Ce n'est pas le Monsieur en question