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Par nanipeinture le 7 Juin 2019 à 21:31
J'ai une bonne nouvelle pour celles et ceux qui ont partagé mon inquiétude pour cette dame de 86 ans mon amie Lucette qui a eu un AVC avant hier ...
J'ai reçu un coup de fil d'elle ce matin !elle me rassurait ! Avait une très bonne voix !
Je pense que c'était une alerte ! Merci de m'avoir accompagné par votre petit mot !
Réjouissez vous avec moi !!!
Tout à fait Madame Lucette mon Amie !
Son coup de fil depuis l'hôpital !!!
L'Amitié !!!
Merci Lucette Lacroix !
Et Merci à Mamie Lucette !
Ah, ça c'est nous !!! Titi et nani !!!
Tout cela je ne l'ai pas écrit moi même bien évidement mais je le pense très fort.
Je vous souhaite une bonne et belle journée de Samedi à toutes et tous !
Ah que OUI !!!
Mon pa s'appelait Alain Lacroix,
Or deux ans après je connais
Lucette Lacroix !!! coïncidence ou clin d’œil ?
°°°° 0:-) pour rire !!!
4 commentaires -
Par nanipeinture le 6 Juin 2019 à 20:59
Bonsoir chers Amis(es) !
Je ne pourrais pas passer ce soir chez tous,
Journée donné et besoin de garder un peu pour
moi.
Peinée par un AVC d'une dame que je visitait et qui me plaisais beaucoup. Sa compagnie aussi car une personne vraie.
Je pense que elle va s'en sortir ! Je le souhaite !!!
Alors à demain en tâchant de garder l’insouciance des enfants et la tendresse de la compréhension. La VIE est tellement Belle mais Fragile aussi !
Construisons !
T'as raison ma cocotte !
7 commentaires -
Par nanipeinture le 5 Juin 2019 à 21:17
Libre te quiero
como arroyo que brinca
de peña en peña,
pero no mío.
Grande te quiero
como monte preñado
de primavera,
pero no mío.
Bueno te quiero
como pan que no sabe
su masa buena,
pero no mío.
Alto te quiero
como chopo que al cielo
se despereza,
se despereza,
pero no mío.
Blanco te quiero
como flor de azahares
sobre la tierra,
pero no mío.
Pero no mío
ni de Dios ni de nadie
ni tuya siquiera.
No, no, no, no, no,
no mío.
No, no, no, no, no,
no, no, no, no,
ni tuyo.
No, no, no, no, no,
no, no, no, no, no,
no mío.-Traduction de l'Espagnol-
Libre je t’aime
comme un ruisseau qui saute
de rocher en rocher, mais pas le mien.
Grand je t’aime
comme une montagne enceinte
de printemps, mais pas le mien.
Eh bien, je t’aime
comme du pain qui ne connaît pas sa bonne pâte,
mais pas la mienne.
Je t’aime
comme un peuplier qui se réveille au ciel,
se réveille,
mais pas la mienne.
Blanc, je t’aime
comme fleur d’oranger sur terre,
mais pas moi.
Mais pas mon Dieu,
ni personne d’autre que toi.
Non, non, non, non, non, pas le mien. Non, non, non, non, non, non, non, non, pas toi. Non, non, non, non, non, non, non, non,
El rio Duero
-Traduction-
Pour t'Aimer je n'ai pas besoin de te
posséder,
Je t'Aime Libre; Avec moi ou sans moi.
Je t'offre mes bras pour vivre ensemble,
ou te donne mes ailes pour te laisser Voler...C'est toi qui décides
Lorsque on Aime,*
vraiment,
on est libre
et,
on donne la liberté à tout...
Et si cela reviens de soi même...
Je l'accueillerai... comme
on accueil les étoiles la nuit
et,
l' étoile boréale...
...à mon bien Aimé Jésus qui m'a donné la VIE et la Liberté ... sans peur de me perdre à cause de cela.
...à toutes les âmes simples, à tous les pauvres qui attendent tout et osent l'attendre !
nani ...5 Juin 2019
7 commentaires -
Par nanipeinture le 4 Juin 2019 à 18:37
Je suis sur Canalblog
Je vous souhaite une bonne soirée...pas trop chaude ...ici beaucoup de bruit d'orage mais 5 minutes de pluie !!!
Piffffff
6 commentaires -
Par nanipeinture le 2 Juin 2019 à 20:54
Merci Monsieur Jean Ferrat
L’Andalousie
Depuis EL AlBaizin !
Forêt des peupliers de Granada
Soir...
" Trois immenses peupliers
une étoile.
Le silence mordu
de grenouilles paraît
une gaze piquée
de verts grains de beauté.
Sur la rive
un arbre sec
se voit fleurir en cercles
concentriques.
Et sur l'eau mes songes s'évadent
vers une fille de Grenade."
F.G. LORCA
Hommage à Fréderico Garcia Lorca
Jeunesse Federico Garcia Lorca
Federico García Lorca, de son nom complet ː Federico del Sagrado Corazón de Jesús García Lorca (« Frédéric du Sacré Cœur de Jésus García Lorca »), est l'aîné d'une fratrie de cinq enfants nés de Federico García Rodríguez (1859-1945), propriétaire terrien aisé, et de Vicenta Lorca Romero (1870-1959), maîtresse d'école, qu'il avait épousée en secondes noces (de son premier mariage avec Matilde Palacios Ríos, il n'avait eu aucun enfant1). En 1900 naît son premier frère Luis, qui mourra de pneumonie à deux ans2. Viendront ensuite ː son frère Francisco3 (1902-1976, poète, historien de la littérature, professeur et diplomate, membre comme son aîné du mouvement littéraire de la Génération de 27), et ses sœurs María de la Concepción (Concha ou Conchita, 1903-19622,4,5), puis Isabel6 (1909-2002, elle aussi professeure et écrivaine)2. La mère de Federico possédait une sensibilité affirmée à la poésie et à la musique, et contribuera à former le goût de ses enfants7,8.
Federico passe son enfance à la campagne, près de Grenade où son père possède une grande propriété. Revenant sur cette période de sa prime enfance, il déclarera en 1934 à Buenos Aires dans une interview ː « Enfant j’ai vécu de plain-pied avec la nature. Comme tous les enfants, j’attribuais (conférais) à chaque chose, meuble, objet, arbre, pierre, sa personnalité. Je conversais avec eux, et je les aimais9 ». Cette sorte d'animisme infantile est fréquent10, mais chez Lorca, il resurgira par bouffées créatives dans sa poésie et son théâtre. D'ailleurs, beaucoup plus tard, même après avoir beaucoup voyagé et avoir vécu de longues périodes en ville, notamment à Madrid, Federico se souviendra à quel point la vie et l'ambiance rurales de la Vega de Granada l'avait imprégné et avait influencé son œuvre ː
« J’aime la terre. Je me sens lié à elle dans toutes mes émotions. Mes plus lointains souvenirs d’enfant ont la saveur de la terre. Les bestioles de la terre, les animaux, les gens de la campagne, inspirent, suggèrent de secrets messages qui parviennent à très peu d’entre nous. Je les capte aujourd’hui avec le même esprit que celui de mes plus jeunes années. Sans cela, je n’aurais jamais pu écrire Noces de sang11. »
Près du village d'Alfacar, l'olivier où Lorca pourrait avoir été fusillé le 19 août 1936(photo prise en 1999).
« Mon enfance est traversée par l’obsession d’être de ceux qui sont couverts d’argent, ainsi que celle de quelques portraits de cette autre femme qui aurait pu être ma mère, Matilde Palacios [NdT : la première épouse de son père, morte sans enfant]. Mon enfance c’est surtout apprendre les lettres et la musique avec ma mère, être un gosse de riches parmi le peuple, un petit monsieur impérieux12. »
C’est d’ailleurs à Fuente Vaqueros que Lorca éprouve pour la première fois le sentiment de l’injustice sociale : dans Mi amiguita rubia (« Ma petite amie blonde »), chapitre de Mi pueblo (à la fois « Mon village » et « Mon peuple », écrit en 1915-19162), Federico se remémore l’histoire d’une famille pauvre de Fuente Vaqueros, et en particulier, de la mère qu’il qualifie de « martyr de la vie et du travail12 ». Federico commence l’école à quatre ans avec son maître des premières classes, Antonio Rodríguez Espinosa, à qui l’unira dès lors une amitié qui durera toute sa vie12.
Granada
Granada
Pour moi cela restera un mystère de pas trop comprendre pourquoi on née dans un endroit ...Madrid pour moi et comment j'Aime l’Andalousie qui est au fond de mes entrailles.
Pourquoi Aimant tellement cette terre et étant si imprégné à vie... je l'ai quitté en 15 jours et je ne suis plus retournée ...
Mes parents adoptifs étaient à 100/100 Andalous de Cordoba et ma mère Jaén
Et " el chiste " pour rire, j'ai Aimé autant la France ... tout en restant entièrement de race Espagnola à 100/100
Parfois je ne reconnais pas celle que j'ai découvert un jour... Mais elle est belle et noble !
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