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L'épreuve de JOB
Lorsque nous traversons une épreuve notre pensée se tourne d'abord vers Jésus qui a souffert au delà de ce que nous pourrions supporter.
Il y un récit dans la Bible qui parle d'un homme qui a beaucoup souffert.
Il vivait dans le pays d'Uts, au nord de l'Arabie Déserte Il se nomme Job.
Il y avait dans le pays d’Uts un homme qui s’appelait Job. Et cet homme était intègre et droit; il craignait Dieu, et se détournait du mal.
Il lui naquit sept fils et trois filles.
Il possédait sept mille brebis, trois mille chameaux, cinq cents paires de bœufs, cinq cents ânesses, et un très grand nombre de serviteurs. Et cet homme était le plus considérable de tous les fils de l’Orient. Job1.1-3C'était un homme riche et honorable dans son pays. Cependant il est important de souligner ce qui est dit dès le début à son sujet :
Et cet homme était intègre et droit; il craignait Dieu, et se détournait du mal.
Il proclame que sa prospérité vient de Dieu, ce dont Satan va se servir pour l'accuser faussement.
Or, les fils de Dieu vinrent un jour se présenter devant l’Eternel, et Satan vint aussi au milieu d’eux.
L’Eternel dit à Satan: D’où viens-tu? Et Satan répondit à l’Eternel: De parcourir la terre et de m’y promener.
L’Eternel dit à Satan: As-tu remarqué mon serviteur Job? Il n’y a personne comme lui sur la terre; c’est un homme intègre et droit, craignant Dieu, et se détournant du mal.
Et Satan répondit à l’Eternel: Est-ce d’une manière désintéressée que Job craint Dieu?
Ne l’as-tu pas protégé, lui, sa maison, et tout ce qui est à lui? Tu as béni l’œuvre de ses mains, et ses troupeaux couvrent le pays.
Mais étends ta main, touche à tout ce qui lui appartient, et je suis sûr qu’il te maudit en face.
L’Eternel dit à Satan: Voici, tout ce qui lui appartient, je te le livre; seulement, ne touches pas à son âme.***************
Cela m'a toujours frappé l'histoire de Job. Le livre de Job,
serait trop long pour le mettre ici.
Cet homme va tout perdre dans la même journée.
Situation, enfants. Et pour aller bien au fond, il est
frappé d'une maladie terrible.
IL souffrira tant, que cet homme,
va jusqu' à maudire le jour de sa naissance.
Il sera entouré même des "amis" qui lui
feront la morale. Lisez ce livre dans la Bible.
C'est une expérience terrible.
Mais Job va garder sa foi dan le Seigneur.
El à la fin Dieu lui restituera
Tous ses bien et les multipliant
Ce que je veux dire ce soir, c'est que personne,
même pas les médecins les plus savants,
peuvent mesurer l'intensité de la souffrance humaine.
Que celui qui souffre, peut même choquer les autres
par ses reactions. Par ces moments de revolte.
Ah, et toi qui priais avant !
Ou un soignat dire - Si, si, vou pouvez faire ceci !
Dans mon retour en taxi aprés le médecin.
Mon coeur était lourd et en colère.
Tout le trajet en silence avec les yeux pleins
des larmes. Quelque chose m'a apaisé.
En arrivant chez moi, en payant par carte car
je n'avais pas du liquide. J'ai dit au Monsieur.
Excusez-moi je voudrais vous donner quelque chose...
et nos yeux se sont retrouvé. Oh, ne vous en faitez pas,
vous êtes gentille...vous allez vous sentir mieux...
Cela m'a permis de pleurer et de lui repondre,
vous savez avec ces maladies mentales...
Cet homme au quel je n'avait pas parlé, a été
par deux mots, un bon samaritain.
En regardant Job, cela me donne
du courage.
Que dire pour finir ? Je ne vois pas Dieu,
je suis comme insecticé en ces moments.
Mais je peux vous dire, qu'il est là.
Que toute épreuve finira un jour. Ne soyez pas choqués.
Et si c'est le cas, je vous demande pardon.
Je serais incapable de mentir dans mon blog...
il est pour moi le reflet de mon âme.
Mon Seigneur et Mon Dieu, Mon unique Amour
QUE DIEU NOUS BENISSE
4 commentaires -
Plus tard, Jésus dira : "Jean 16:24
Jusqu’à présent vous n’avez rien demandé en mon nom.
Demandez, et vous recevrez, afin que votre joie soit parfaite."
dans le commentaire de mon Ami Jonathan
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Mes Amis bonsoir. La prière du Notre Père et la plus parfaite,
car enseigné par Jésus lui-même. Mais Jésus priait aussi
avec les Psaumes.
Dans la vie de beaucoup des personnes, Dieu permet,
que cette rencontre se fasse, dans des moments
cruciaux, dans une maladie par exemple, un décès...
En tout cas ce que j'expérimente, c'est que dans ces moments,
on est vraiment dans l'humilté. On est devant quelque chose
qui nous dépasse. Avec les mains vides, ouvertes.
On est humble, non pas par notre force. Mais à cause
de notre pauvreté.
Lorsque on annonce à Jésus que son Amis Lazare
est très malade. Il répond :
"Cette maladie n'est point à la mort, mais pour la gloire de Dieu"
(Luc 10:38-42; Jean 11:5; 12:1-11)
Jésus a aussi dit à apôtre Paul : Ma force se déploit
dans ta faiblesse.
Je vous partage quelque chose d'important.
Lorsque on est malade. Lorsque cette maladie nous fait
vivre des journées d'angoisse. Lorsque on se demande qu'est
ce-que me donnerais de la joie ?
Et que il n'y a pas de réponse. Ou bien une :
Que Dieu m'ammène avec Lui.
Je perd de mon autonomie, pour me remetre
entre ses Mains.
Je suis incapable de faire des prières,
je suis en silence...et que la volonté de Dieu
se fasse dans ma vie. Je ne sais pas la suite.
Je reste dans ce silence et dans la paix...
parfois.
Merci de votre prière pour les malades !
Représentation de la Crucifixion de Jésus de Nazareth face ouest sur la cloche de Saint-Germain-sur-Ay
QUE DIEU NOUS BENISSE
3 commentaires -
NOTRE PERE
Notre Père, qui êtes aux cieux
Que votre nom soit sanctifié.
Que votre règne arrive.
Que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donnez-nous aujourd’hui notre pain quotidien.
Et pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons
à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laissez pas succomber à la tentation.
Mais délivrez-nous du mal. Ainsi soit-il.
Cette prière du Notre Père, n'a pas été donné aux
disciples spontanément.
Ce sont les disciples qui lui on demandé à Jésus :
Montre-nous à prier.
Donc il ne s'agit pas d'un ordre de Jésus,
Mais d'un désir des disciples
A la suite de ce désir, Jésus montre comme
prier ou parler au Père.
Ayons dans notre coeur ce même désir de la dire.
Mes Amis je pense bien à chacun-e
QUE DIEU NOUS BENISSE
Chères Ami-es
Merci de votre prière ou de votre pensé.
Je ne vais pas mieux, mais le soir c'est plus facile.
L'enfant que j'ai mis en tête reprénte
Jésus enfant. Je vous confie à chacune dans ma
prière. Pour moi c'est le meilleur des remedes.
Merci encore de votre amitiè et, demain je vous
visiterai si Dieu le veut. Je vous embrasse de toute mon
Amitié et tendresse de Jésus. nani
5 commentaires -
Merci mes Amis pour votre visite. Mamie Lucette, Jonathan, Janine. Jennaëlla,
Valy. Je suis assez fatiguée, même pas capable de coups de fil. Je vous remercie de votre affection fraternelle. Cela me touche. Vous savez que, tout ce que l'on fait à l'un de ces petits...c'est à Jésus que on le fait aussi. Aimons nous vraiment. Car tout le reste passe. Je vous embrasse de tout mon coeur. nani
1 commentaire -
Je vous remercie vraiment de la qualité de vos visites.
De ma part, je crois que je vous ai donné ce que j'avais
de plus precieux. Ma foi et mon coeur.
J'ai besoin de prendre le large...pour un temps.
Je vous embrasse
GOD BLESS YOU
6 commentaires -
A celui qui durant 23 ans me montra ce que c'était un papa.
a celui qui ne voulu pas de moi et qui me fut bâtarde.
7 commentaires -
Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, dernière en date parmi les 33 docteurs de l’Église catholique
Les saints, sont des personnes comme nous. Ils ont
eu de combats, des tentations, comme nous.
Ils nous ont été donné en exemple pour nous aider.
Je vous ai parlé d'elle déjà. De ce qui fut sa vie.
Elle était la plus jeune des cinq soeurs Martin.
Pauline, Marie, Leonie, Celine et Thérese.
Sauf Leonie qui parti à La Visitation, toutes les
quatre entrerons au Carmel de Lisieux.
Thérèse entra à 15 ans avec une permission spéciale.
Dans la photo elle à 8 ans. Elle resta au Carmel 9 ans et mourut à 24.
Au Carmel il y a une régle du silence, et parfois, comme Thérèse, elle
écrit des lettres à sa Mère Supérieure...
La petite voie de l'enfance spirituelle :
" Vous le savez, ma mère, j'ai toujours désiré d'être une sainte, mais hélas ! j'ai toujours constaté, lorsque je me suis comparée aux saints, qu'il y a entre eux et moi la même différence qu'entre une montagne dont le sommet se perd dans les cieux et le grain de sable obscur foulé aux pieds des passants ; au lieu de me décourager, je me suis dit : Le Bon Dieu ne saurait inspirer des désirs irréalisables, je puis donc malgré ma petitesse aspirer à la sainteté ; me grandir, c'est impossible, je dois me supporter telle que je suis avec toutes mes imperfections ; mais je veux chercher le moyen d'aller au Ciel par une petite voie bien droite, bien courte, une petite voie toute nouvelle.
Nous sommes dans un siècle d'invention, maintenant ce n'est plus la peine de gravir les marches d'un escalier, chez les riches un ascenseur le remplace avantageusement.
Moi, je voudrais trouver un ascenseur pour m'élever jusqu'à Jésus, car je suis trop petite pour monter le rude escalier de la perfection.
Alors, j'ai recherché dans les livres saints l'indication de l’ascenseur, objet de mon désir et j'ai lu ces mots sortis de la bouche de la Sagesse éternelle : "Si quelqu'un est TOUT PETIT, qu'il vienne à moi" (Pr 9, 4).
Alors, je suis venue, devinant que j'avais trouvé ce que je cherchais et voulant savoir, ô mon Dieu, ce que vous feriez au tout petit qui répondrait à votre appel.
J'ai continué mes recherches et voici ce que j'ai trouvé : " Comme une mère caresse son enfant, ainsi je vous consolerai, je vous porterai sur mon sein et je vous balancerai sur mes genoux".(Is 66,13-12)
Ah ! Jamais paroles plus tendres, plus mélodieuses ne sont venues réjouir mon âme : l’ascenseur qui doit m'élever jusqu'au Ciel, ce sont vos bras, ô Jésus!
Pour cela je n'ai pas besoin de grandir, au contraire il faut que je reste petite, que je le devienne de plus en plus.
Ô mon Dieu, vous avez dépassé mon attente et moi je veux chanter vos miséricordes."
Manuscrits autobiographiques p.240-241
Pour une étude de cette "petite voie" : le livre :"L'abandon à Dieu, un chemin de paix à l'école de la petite Thérèse."
Extrait de la préface :
«De Thérèse de Lisieux, on peut dire avec conviction que l'Esprit de Dieu a permis à son cœur de révéler directement, aux hommes de notre temps, le mystère fondamental, la réalité de l'Évangile : le fait d'avoir reçu réellement "un esprit de fils adoptifs qui nous fait nous écrier : Abba ! Père !". La "petite voie" est la voie de la "sainte enfance". Dans cette voie, il y a quelque chose d'unique, un génie de sainte Thérèse de Lisieux. Il y a en même temps la confirmation et le renouvellement de la vérité la plus fondamentale et la plus universelle. Quelle vérité du message évangélique est en effet plus fondamentale et plus universelle que celle-ci : Dieu est notre Père et nous sommes ses enfants ?»
Le Père Guibert nous donne donc de plonger dans ce mystère de la filiation divine : la première partie de son ouvrage, plus théologique, se penche sur le thème de la Providence divine et nous invite à la contemplation d'une paternité divine qui n'a rien à voir avec les caricatures auxquelles on la réduit souvent. Pour lui, comme pour toute la grande tradition de l'Église, en particulier saint Thomas d'Aquin qu'il cite fréquemment, la Providence a un dessein d'amour sur chacun de nous et ne cesse de le poursuivre malgré toutes nos résistances. «Tout l'objet de ce livre, écrit-il, réside dans la réponse à cette question : est-ce que je veux entrer dans ce projet d'amour très concret de Dieu sur ma vie, par l'abandon confiant et agissant ?»J'ai choisi cette photo qui, exprime très bien,
ce que fut le "petit chemin" empreinté par
Petite Thérèse.
"Si quelqu'un est TOUT PETIT, qu'il vienne à moi" (Pr 9, 4).
Normalement dans tous les temps, les enfants sont
préparés pour faire des Carrières. Pas pour régresser.
Que veut dire ce tout petit ?
C'est rester, dans cet etat d'enfance dans notre coeur,
de manière à laisser Jésus faire en nous SON OEUVRE.
Être petit c'est avoir une confiance total en Jésus.
De telle façon, que arrive quoi qui arrive.
Nous gardons cette confiance.
Il arrive que dans la vie il y a des moments
très durs, qui pourraient nous faire
bascouler dans le désespoir.
C'est le moment de revenir tout suite à ce petit chemin de la confiance.
De nous souvenir, que nous sommes portés par
les bras de Jésus, que Lui va nous aider,
que dans notre épreuve, nous ne sommes pas seuls.
C'est dans l'evangile, et avec l'aide de pte Thérèse,
que lors des moments bien difficiles,
je cours me refugier dans les bras de Jésus.
Parfois, il m'arrive d'avoir mon coeur qui bat la chamade.
Qui s'agite dans la peur. Mais une fois que
je fais le saut vers Jésus, tout devient pacifié.
C'est sur, je dois prendre mes médicaments,
car je suis humaine. Mais même avec eux,
si je ne suis pas toute prete à faire le saut,
a me lancer dans la confiance.
Je suis inquiète, je suis triste, j'ai peur.
Jésus, aide-moi, pour que lorsque mon coeur bat la chamade.
Lorsque une situation me dépasse, je trouve ce petit chemin
de la Confiance et de l'Abandon.
Mais n'oublions pas que...
"Si quelqu'un est TOUT PETIT, qu'il vienne à moi" (Pr 9, 4)
La photo, je ne l'aime pas trop, ne regardons pas que ça.
Que j'Aime ta Croix. Ce n'est pas du masochisme. Mais accepter...
remettre, donner, les moments durs, la maladie.
GOD BLESS YOU TO
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