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MON TRESOR POUR TOUJOURS
Aujourd'hui, nous regardons la Miséricorde, la note distinctive de Dieu le Père, en ce moment où nous contemplons une Humanité orpheline, car elle —dans un oubli de sa mémoire— ne sait plus qu'elle est Fille de Dieu. Cronin parle d'un fils qui est parti de chez lui, qui a gaspillé tout son argent, sa santé, son honneur de famille et est allé en prison. Peu avant de reprendre sa liberté, il écrit chez lui en disant que si on le pardonnait il fallait accrocher au pommier qui donnait sur la voie ferrée un mouchoir blanc. Si le mouchoir était là il reviendrait à la maison sinon ils ne le reverraient plus jamais. Y aurait-il un mouchoir accroché au pommier? «Ouvre les yeux…! et regarde!», lui dit un compagnon. Il ouvre les yeux et reste bouche-ouverte, il n'y avait pas un mouchoir accroché au pommier… mais il y en avait des centaines!
Cela nous rappelle ce tableau de Rembrandt où on voit comment le fils qui revient, malade et affamé est accueilli par un vieillard avec deux mains différentes, l'une forte d'un père qui le serre fort, l'autre délicate d'une mère qui douce et affectueuse le caresse. C'est pareil pour Dieu, Il est Père et Mère…«Mon père, j'ai péché» (Lc 15,21), nous aussi nous voulons dire cela au Père et sentir comment Il nous serre dans Ses bras au moment de la confession pour nous préparer à participer à la fête de l'Eucharistie. Ainsi, puisque: «Dieu nous attend chaque jour, comme ce père de l'Evangile attendait son fils prodigue» parcourons le chemin de retour avec Jésus jusqu'à notre rencontre avec le Père, où tout sera lumière: «Le mystère de l'homme ne s'éclaire vraiment que dans le mystère du Verbe incarné» (Concile Vatican II).
Le sujet principal est toujours le Père. Demandons que le trajet à travers le désert du Carême nous amène à nous interroger intérieurement sur cet appel à participer dans le mystère de la Miséricorde Divine, puisque, après tout, la vie n'est que un retour vers le Père.Nous pensons, que la prière, où se mettre
en presénce de Dieu,
C'est compliqué. Puis ça demande du temps...
un temps que l'on considère comme de l'or.
Voici la prière de Saite Terese d'Avila
le jour de notre départ de cette terre ?
Le vrai trésor est notre âme.
OUI, vous, moi nous avons une.
Comment prenons souci d'elle.
Nous l'oublions où même nous la perdons
dans nontre coeur.
c'est dans L'âme
que nous avons la vraie bourse pour l'eternité.
Nous pouvons dire : J'aime ma famille, mes enfants et mes petits enfants.
Mais quel est le vrai testament à leur laisser ?
Ma mère n'étais pas riche. Nous avions le nécésaire,
mais elle avais sa porte ouverte aux plus pauvres.
Oh, elle n'allait à l'église. Elle était souvent
souffrante. Mais elle prit soin a ce que j'ai
fasse le catéchisme.
Elle partit tôt...la famille lapida tous ses biens.
à 17 ans je n'avais qu'une valise presque vide.
Mais j'avait le bagage de la foi. Le respect des autres, des petites choses apprisses par elle.
Donnons un bagage aux jeunes.
GOD BLESS YOU TO
Tags : pere, bien, Dieu, superflu, avons
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Commentaires
bonjour ana
oui nos enfants manquent un peu d'éducation à l'heure actuelle
La pluie est de retour pour ce début de printemps ,au revoir au soleil mais il fallait s’y attendre
je te souhaite de passer un bon week-end et à lundi
je t'embrasse très fort