• DIMANCHE DEDIE A LA MISERICORDE DU SEIGNEUR

    Le Caravage, Le Doute de Thomas. 1602-1603. Sansouci, Potsdam, Allemagne.

     

    En ce premier dimanche après Pâque, l'Eglise nous invite à tourner notre attention vers le mystère de la Divine Miséricorde, selon la demande de Jésus lui-même à Sainte Faustyna Kowalska : « Je désire qu'il y ait une fête de la Miséricorde. Je veux que cette image que tu peindras, soit solennellement bénie le premier dimanche après Pâques. Ce dimanche doit être la fête de la Miséricorde ».

    Pourtant, quel rapport la figure de Thomas doutant de la résurrection du Seigneur et demandant des preuves bien concrètes de celle-ci peut-elle avoir avec le mystère de la miséricorde divine célébré en ce jour ?
    « Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je ne mets pas mon doigt à l'endroit des clous, si je ne mets pas la main dans son côté, non, je n'y croirai pas » : Somme toute, une telle requête n’est-elle pas normale ? En effet, serait-il bien raisonnable d’engager toute sa vie à la suite de ce prétendu ressuscité sans un minimum de garanties ? 
    Ce qui est touchant c’est que Jésus va consentir à cette demande de Thomas. En invitant son Apôtre à avancer la main et à la mettre dans son côté, il va bien lui donner une « preuve » tangible de sa résurrection. Mais en même temps, il lui intime de cesser d'être incrédule et de devenir croyant. 
    Cette injonction n'aurait pas de sens s'il s'agissait seulement de « croire » en la résurrection, puisque celle-ci est maintenant pour Thomas de l'ordre de l'évidence sensible. C’est ici que nous devons être bien attentifs. En fait, Jésus invite Thomas à dépasser une incrédulité qui ne concerne pas le fait de la résurrection mais son interprétation. C'est au niveau du sens à donner à l'événement de la résurrection du Seigneur que Thomas doit passer de l’incrédulité à la foi. 

    Les disciples lui avaient annoncé pleins de joie : « Nous avons vu le Seigneur ! ». Certes ils avaient bénéficié d'une apparition du Ressuscité ; mais nous savons que chez saint Jean, le verbe « voir » ne désigne pas une vision sensible, mais la perception nouvelle qui s'ouvre au regard du croyant grâce à l’action de l'Esprit, comme le récit nous le suggère par le geste du Seigneur qui souffle sur eux en disant : « Recevez l'Esprit Saint ». 
    Ce que les Apôtres ont « vu » de part l’œuvre de l’Esprit en eux c’est le véritable sens de l’événement de la résurrection à savoir le triomphe de la miséricorde divine. Nous le percevons à travers les paroles de Jésus qui leur donne le pouvoir de pardonner révélant ainsi le sens rédempteur de sa Passion glorieuse. Ils sont invités à partager la grâce dont ils sont les premiers bénéficiaires. Et c’est bien ici qu’ils doivent entrer dans la foi car cette grâce demeure invisible : rien dans l’ordre sensible ne permet de vérifier le pardon des péchés.

    Nous comprenons alors que l’acte de foi que Thomas est invité à poser est celui de croire que la miséricorde du Seigneur a triomphé de son péché. Le Ressuscité l’appelle à sortir d’une culpabilité qu’il entretenait sans doute en lui depuis la mort du Seigneur pour accueillir la vie nouvelle de son Esprit : « La paix soit avec vous ». Comment ne pas réentendre ici ces paroles de Jésus à sainte Faustine : « L'humanité n'aura de paix que lorsqu'elle s'adressera avec confiance à la Divine Miséricorde » (Journal, p. 132), autrement dit lorsqu’elle croira que ma Miséricorde a triomphé de tout péché, de toute mort.

    Thomas n’était donc pas en quête d’une preuve de la résurrection. D’ailleurs, il n'est pas précisé qu’il met sa main dans les plaies glorieuses de son Maître. En réalité, Thomas demandait un « signe » pour oser croire en la miséricorde. Et le Seigneur le lui donne en lui présentant ses plaies, tout particulièrement son côté ouvert : « Cesse d'être incrédule, sois croyant ! »
    Thomas peut alors accueillir la grâce et prononcer dans l'Esprit la plus belle confession de foi des évangiles : « Mon Seigneur et mon Dieu ! ». L’Esprit Saint lui a donné de reconnaître en Jésus, le Fils de Dieu, vainqueur du monde par l’effusion de sa miséricorde dans l’eau et le sang jaillis de son côté transpercé, ces deux faisceaux lumineux que Sainte Faustine a vu sortir du cœur ouvert de Jésus pour illuminer le monde. 
    Maintenant, Thomas aussi a « vu le Seigneur » et a confessé son Dieu, le Père de Jésus Christ son Seigneur, qui dans sa grande miséricorde vient de le faire renaître grâce à la résurrection de Jésus Christ pour une vivante espérance, pour l’héritage qui ne connaîtra ni destruction, ni souillure, ni vieillissement (Cf. 2ème lecture). Il sait qu'il est réconcilié avec le Père et peut à son tour devenir héraut de ce pardon dont il est bénéficiaire

     

     

     

    En ce dimanche de la Miséricorde,

    ils ont été Canonisés deux Papes.

    Jean Paul II et Jean XXIII

     

    Tout d'abord, une canonisation

    C'est quoi ?

    C'est tout simplement mettre en avant,

    un chrétien qui par sa vie, peut nous 

    aider à vivre encore d'avantage, 

    la Suite du Christ.

    Est-ce que dans ma simple definition cela

    suffit à comprendre ce mot ?

    Qu'est-ce qu'un saint ?

    C'est mettre en evidence

    la vie de la personne. Comment cette

    personne va nous pousser à suivre le Crist.

    Ces personnes ont eu des combats,

    des doutes parfois. Mais leur foi les a dépassé.

     

    Un exemple :

    la vie de certains saint, m'a aidé à vivre

    ma foi. A supérer les obstacles.

    Dans ma vie, la lecture du Père de Foucaul,

    m'a beaucoup aidé. Sa proximité du Christ,

    sa manière de vouloir imiter la vie

    de Jésus sur terre.

    Et idem pour Saint François d'Assise. De

    Thérèse de Lisieux. Dans un premier temps,

    j'ai désiré les imiter. Quelque chose 

    d'erroné.

    Car je suis une personne unique, avec une 

    histoire unique. 

    Il FAUT IMITER LA VIE DE JESUS

    Mais Jésus nous demande d'être saints,

    de devenir parfaits avec l'aide de Dieu.

    A chaque époque Il y a un homme

    une femme, un couple, une famille,

    qui par leur vie sont comme un phare.

    Un saint c'est fait d'une vie ordinaire,

    en faisant des choses ordinaires. Mais que par leur vie, sont un exemple pour les autres.

    Donc toi, les autre et moi,nous pouvons devenir

    des saints. Non pas pour à force du poigé,

    mais en laissant la grâce de Dieu opérer dans 

    notre Vie. 

     

    J'ai été crucifié avec Christ; et si je vis, ce n'est plus moi qui vis, c'est Christ qui vit en moi; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m'a aimé et qui s'est livré lui-même pour moi.

    Galates 2, 19

     

    Je vous souhaite un bon dimanche de la Miséricorde

    Divine.

     

    si je ne me trompe pas, c'est Jean Paul II

    qui avait eu l'intuition de dédier ce Dimanche

    à la Miséricorde Divine. Il est mort le jour 

    de cette fête et il a été canonisé en ce 

    dimanche.

     

    allez, devenons des saints pour la gloire de Dieu !

     

     

     

     

     

    GOD BLESS YOU TO

     

     

    DIMANCHE DEDIE A LA MISERICORDE DU SEIGNEUR

     

     

     

    « LA PECHE DE LA FIN DE JOURNEELA VERITE NOUS RENDRA LIBRES »
    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

    Tags Tags : , , , , ,
  • Commentaires

    2
    Lundi 28 Avril 2014 à 17:15

    merçi a toi pour ton gentil com..et pour ma fete..

    hier j'ai pense a toi, car j'ai suivi la mess, et j'ai assiste a cet grand evenement c'etait merveilleux

     nous avons encore une fois un tres bon pape..

     je t'embrasse, et contente de voir que tu as la forme .valy.

    1
    Dimanche 27 Avril 2014 à 20:55

    Vis le jour d’aujourd’hui,


    Vis le jour d’aujourd’hui,
    Dieu te le donne, il est à toi.
    Vis le en Lui.

    Le jour de demain est à Dieu
    Il ne t’appartient pas.
    Ne porte pas sur demain le souci d’aujourd’hui.
    Demain est à Dieu, remets le lui.

    Le moment présent est une frêle passerelle.
    Si tu le charges des regrets d’hier, de l’inquiétude de demain,
    la passerelle cède et tu perds pied.

    Le passé ? Dieu le pardonne.
    L’avenir ? Dieu le donne.
    Vis le jour d’aujourd’hui en communion avec Lui.

    Et s'il y a lieu de t'inquiéter pour un être aimé,
    regarde-le dans la lumière du Christ ressuscité.

     

     

    merci Mon Seigneur Jésus

     

    Yolande

    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :