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DEUXIEME DIMANCHE DE L'AVENT
Nous voici dans le deuxième dimanche de l'avent. Marie et Joseph attendent le Sauveur qui va venir, dans la cher d'un tout petit, dans l'humanité et l'humilité.La crèche à la paroisse est déjà prête et à la maison elle l'est aussi. Mais et mon coeur ? Trouvera Jésus l'abri pour demeurer. Je me plaît à rester dans le silence. A Paris les gens sont tellement affères pour les achats, que tout se transforme en bruit.Hier à l'accueil, je n'attendais pas grand monde. Je faisais mon courrier, lorsque une petite dame est venue pour me demander des renseignements. Puis je lui ai offert de s'asseoir. Elle avait de la peine à cause de ses enfants déjà bien adultes. Mais cette maman toute frêle m'a touché. avant de la quitter, je lui ai promis de prier pour ses enfant et pour elle. Je lui ai donné mon n° tél. car elle n'avais pas de famille. Elle m'a demandé quand je viens à accueil et qu'elle reviendrait.Je n'ai pas fait grand chose, c'est elle qui m'a montrer que Jésus viendra ainsi... caché sous l'apparence de la petitesse. En ses jours soyons comme les veilleurs qui regardent l'horizon...Pour reconnaître ce petit enfant dans la personne de ceux que nous rencontrerons. Voilà pour moi ce qui représente Noël....
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Commentaires
bonjour ana...voila la 2e semaine de decembre ca vas filer a vitesse grand v et c 'est tant mieux mais il vas faire de plus en plus froid ..........j 'ai hate d 'avoir ma voiture mais pas la facture en principe fin de semaine elle devrait etre prete
si le temps me le permet je vais essayer d 'aller voir ma mere a la maison de retraite apres midi avec mon fauteuil electrique ca me feras sortir un peux mais les nuages arrive alors ?.....je te souhaites une bonne semaine car je ne serais pas trop presente ............gros bisousBonjour Ana, je reconnais bien là ton esprit de solidarité, tu es toute dévouée au travail que tu fait et aux gens que tu reçois... Le soleil brille ce matin dans un ciel bleu azur, bon début de semaine, gros bisous
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Bonjour Ana,
Ton article me fait penser au légendaire dialogue d’Ambroise Paré (Chirurgien français 1510-1590) avec Charles IX.
— J’espère bien que tu vas mieux soigner les rois que les pauvres ?
— Non Sire, c’est impossible.
— Et pourquoi ?
— Parce que je les soigne comme des rois.
Ou encore cette maxime célèbre : "Je le pansai et Dieu le guérit."
Bonne journée à tous. Gilbert.