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"DANS CINQ HEURES JE VERAI JESUS" Jacques Fesch
Cette video est très touchante
Je l'ai choisi pour vous...
Mes Amis,
Je vous partage l'histoire de ce jeune homme.
Jacques Fesch, nous partage ce qu'il était avant
la prison et avant sa mort -guillotiné -
Je l'Aime beaucoup et il m'a beaucoup aidé par
son témoignage.
Jacques Fesch est le fils de Georges Fesch, directeur de banque et pianiste belge – issu de la même famille que le cardinalJoseph Fesch, oncle maternel de Napoléon Bonaparte – et de Marthe Hallez.
Dans les années 1920, son père, qui dirige une banque pour les étrangers, s'installe avec sa famille à Paris, avant de venir s'installer à Saint-Germain-en-Laye. Jacques reçoit dans son enfance une éducation religieuse dont il se détache assez tôt. De 1938 à 1947, il fait ses études à l'école Saint-Érembert, puis intègre le lycée Claude-Debussy. Tout au long de son enfance, il reste marqué par la forte personnalité de son père, par la grande érudition de celui-ci, ainsi que par son affirmation d'homme athée. Les rapports difficiles entre ses parents instaurent dans la durée un climat familial instable.
Jacques Fesch rencontre Pierrette, sa future femme, lorsqu'il est encore lycéen. De 1950 à 1951, il accomplit son service militaire, dont il sort avec le grade de caporal et un certificat de bonne conduite. Il épouse Pierrette Pollack à Strasbourg le 5 juin 1951 ; le 7 juillet 1951 naît Véronique. Jacques rencontre ensuite Thérèse Troniou en décembre 1953 avec qui il a un garçon Gérard (né en octobre 1954, à Saint-Vincent-de-Paul). En février 2002, ce dernier fut reconnu par décision de justice, comme le fils naturel de Jacques Fesch
Hôtel de Noailles à Saint Germain-en-Laye : maison d'enfance de Jacques Fesch.
Jacques et Pierrette Fesch lors de vacances à la Clusaz en février 1952.
Plan du voilier commandé par Jacques Fesch.
C’est pourquoi, le 25 février 1954, il tente maladroitement un hold-up chez un agent de change à Paris. Cela se soldera par un échec et par un drame. Accompagné d’un complice, il avait préalablement demandé l’échange de 2 200 000 Francs en pièces d’or à un agent de change de la rue Vivienne, Alexandre Silberstein, une connaissance de son père. Le changeur ayant quelques soupçons, la situation s’envenime. Jacques Fesch panique, menace le changeur de son arme, et lui assène un violent coup derrière la tête avec la crosse de son pistolet. Le cran de sûreté était mal mis : une balle part et lui blesse la main droite. Il s’empare rapidement de quelques liasses de billets et s’enfuit dans la rue.
Jacques après l'arrestation
. Dans la nuit du 28 février au 1er mars 1955, il est saisi par la foi et la possède désormais avec une certitude absolue. Dans ce cheminement spirituel, il va connaître différentes phases de questionnement et alterner des hauts et des bas qui vont enrichir sa foi et la fortifier.
Jacques Fesch lors de la reconstitution.
Jacques et Pierrette Fesch se retrouvant après le drame.
Tags : jacques, fesch, saint, fevrier, pierrette
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Commentaires
Bonjour Ana, très joli récit .. Il n'est jamais trop tard pour trouver le chemin qui va vers Dieu...
Bonne fin de semaine, bons baisers
Merci Ana
j'ai lu et écouter la vidéo hier soir,et ce matin,j'écris le commentaire,effectivement cela a changer sa vision des choses,
je vais aller voir à la bibliothèque si y'a son livre
gros bisous
Témoignage émouvant ma chère Nani,
c'est très beau comme histoire, très touchant par son humilité.
Sa foi est lumineuse, son amour pour le Seigneur est incroyable.
Le péché peut rapprocher de Dieu, au lieu de l'éloigner.
"C'est pour demain matin" le jour de la Petite Thérèse que tu aimes tant.
Merci de ce beau témoignage, bon weekend et gros bisous.
Sylvie
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Bonjour Ana, merci d'être passée sur mon blog hier soir..
Bon samedi, gros bisous