Un peu de Lourdes en cette fête....

Attention : On n'Adore que Dieu.

On Vénére la Vierge Marie Mère de Jésus. Elle a Dit toujours

Oui à Dieu. Et a été la première des disciples de son fils

Le 11 février, jour anniversaire de la première apparition de la Vierge à Bernadette Soubirous et Journée Mondiale du Malade, les catholiques du monde entier prient à l’unisson de Lourdes.

Le 11 février est également pour toute l'Eglise catholique le jour de la fête de Notre Dame de Lourdes. Associé à cette fête, la Journée Mondiale du Malade rappelle le lien privilégié qui unit Lourdes à ses milliers de pèlerins malades, dont l’un des signes les plus évocateurs est l’immense Accueil Notre-Dame. Cet établissement au coeur du Sanctuaire, qui a dépassé en 2013 le demi-million de malades accueillis, recevra en cette année 2014 encore plus de 30 000 pèlerins souffrant dans leur corps, mais animés d’une même espérance de vivre à Lourdes un temps de grâces unique.

******

Qui ne connais pas Lourdes ? Même sans être allé...

Les uns croient, les autres pas, et certains rient de ce lieu.

Lorsque on m'invita à aller gratuitement...j'eu peur. Une dame de ma paroisse à Valence me dit : N'aie allez pas, vous perdrez la foi.

En effet, on parle des magasins...certes, partout dans les rues.

Lorsque nous arrivames. La personne qui nous avait accompagné

Michéle et moi nous quitta. Elle voulais aller directement à son hôtel. Michéle me pris par la main, et me fis traverser l'esplanade

jusqu'à la Grotte. Nous sommes restes un bon moment en silence.

Je ne sais pas POURQUOI mon coeur d'enfant, etait émerveillé

de voir des gens en prière silencieuse devant une grotte...

Je ne connaissait pas trop l'histoire. Puis avec mon coeur d'enfant qui decouvre, nous avons sortis de l'encinte des sanctuaires...

Et la, les magasins. JE ne sais pas POURQUOI, mais aprés mon passage par la grotte. Rien m'etonnai...Nous demandions des reinsegnements aux magasins pour trouver notre lieu. Ils étaient trés gentils. Je n'avais qu'un désir c'est de retourner dans cette grotte.

Mais QUI ETAIT CETTE BERGERE BERNADETTE ? 

Une petite Lourdese? Elle était l'ainée de quatre enfants.

Son Père était un brave ménier...trés aprecié par la qualité de sa farine; sa mère lavait le linge des dames dans le laboir. Ils étaient pauvres. Et pour combler leur sort, le père Soubirous perdut

son travail. Alors la famille fut obligée de quitter leur logement et d'aller ailleurd..." Aun cacho" C'était l'ancienne prisont de Lourdes.

Personne y habitait, car c'était insaluble, plein d'humidité, une petite pièce pour 7 personnes ! Mais ils avaient une chose les Soubirus que personne pouvait leur enlever...ILS S'AIMAIENT.

Même s'il n'y avait pas trop à manger...ils disaient les grâces.

Ils étaient tellement simples, que personne les parlait avec le respect du "vous" La Bernardette dissaient -t-ils. Le père Soubirus,

la mère Soubirous. Et ils trouvaient cela tout normal. Et ils étaient

contents. Bernadette avait une santé fragile. Elle avait la maladie de l'asthme. Dans ce réduit de cachot, elle toussait et toussait

à s'etouffer. La maman lui disait de faire doucement car ils 

dormaient les uns contre les autres. Elle avec son petit frère.

J'ai voulu avec ma langue à moi, et mes fautes, expliquer un petit peu qui était Bernadette et sa famille. Pour qu'elle puisse respirer le

Bon air... 

Le séjour à Bartrès (1857-1858)[modifier | modifier le code]

Petite Bergère, Stefan Luchian.

En septembre 1857, Bernadette est envoyée chez son ancienne nourrice, Marie Laguës, à Bartrès²⁴. Elle y veille sur deux jeunes enfants, assure le ménage, les corvées d'eau et de bois, et garde les agneaux²⁵.

À Bartrès elle commence à préparer sa première communion. Elle suit pour cela les cours de catéchisme de l'abbé Ader, le desservant. Mais, le3 janvier 1858, l'abbé Ader se retire dans un monastère. Le village de Bartrès se retrouve sans desservant, Bernadette n’a plus que son rôle de bergère à Bartrès et elle déclare alors s’ennuyer. Le 17 janvier 1857, Bernadette va à Lourdes, et demande ce qu’elle doit faire pour recevoir la communion. Pour cela il lui faut suivre le catéchisme à Lourdes. Elle prend donc la décision de rentrer chez ses parents. Le 20 janvier, elle vient dire au revoir à Marie Laguë puis retourne à Lourdes le 21 (ou le 28) janvie

Jeudi 11 février 1858, en compagnie de sa sœur Marie (1846-1892), dite Toinette, et de Jeanne Abadie, une amie, Bernadette se rend sur la rive gauche du gave pour ramasser des os et du bois mort³⁰. Du fait de sa santé précaire, elle hésite à imiter sa sœur et son amie qui traversent l'eau glaciale du canal du Moulin. « Fais comme nous ! » lui lancent les deux filles. Elle est alors surprise par un bruit, comme un coup de vent (« coumo u cop de bén³¹ »). Elle lève la tête vers la grotte de Massabielle³². Elle y aperçoit une « lumière douce ». Dans cette lumière, apparaît une très belle enfant, de petite taille³³, vêtue de blanc, souriante, qui fait le signe de la croix. Bernadette récite son chapelet. La vision lui fait signe d'approcher. Bernadette n'ose pas³². La vision disparaît, sans qu'aucune parole ait été prononcée. Bernadette raconte son aventure à ses deux compagnes. Et Toinette, qui a promis de ne rien dire, rapporte tout à sa mère. Les deux sœurs reçoivent une volée de coups de bâton³⁴. 

J'y crois à ces apparitions de Marie à Bernadette.

Pourquoi ? Justement, à cause de la petitese de cette

bergère. Elle est trés intelligente, mais elle soufrira

beaucoup pour pas renoncer de dire Ce qu'elle à vu.

La Vierge Marie en la deuxième apparition lui parle ainsi :

 "Voulez-vous me faire la grâce de venir ici pendant quinze jours?", Bernadette est bouleversée. C'est la première fois qu'on lui dit "vous". Elle illustrera cette parole en disant: "Elle me regarde comme une personne regarde une autre personne"

La grotte où la Sainte Vierge s'apparut à Bernadette, était la grotte aux cochons. Elle était toute sale cette grotte. Les filles

avec Bernadette venaient pour cueillir des branches de bois.

Toute cette histoire je l'appris à Lourdes...Il me sembla connaître cette petite bergère innocente.

Chaque fois que je restais en silence, mon âme se remplisait

d'une joie sans mots pour vous les expliquer.

Une fois, nous sommes allés dans la nuit...à 2h du matin par un sentier, pas connu des pélerin, car le parvis est fermé la nuit.

IL y avait un jeune homme à génoux et puis il s'en alla,

je restait la, devant cette grotte aux cochons, devant " La Dame "

qui traita ainsi la petite bergère.

Seul que ses deux choses, me émurent profondement.

C'est la bas, que je senti le grand respect que l'on doit donner

à chaque être. Plus il est petit, plus est Seigneur pour moi.

Je vous libre donc un peu de mon coeur pour la fête de demain.

***********************

Voici l'Evangile de la fête de Demain

Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 7,1-13. 
Les pharisiens et quelques scribes étaient venus de Jérusalem. Ils se réunissent autour de Jésus, 
et voient quelques-uns de ses disciples prendre leur repas avec des mains impures, c'est-à-dire non lavées. -
Les pharisiens en effet, comme tous les Juifs, se lavent toujours soigneusement les mains avant de manger, fidèles à la tradition des anciens ; 
et au retour du marché, ils ne mangent pas avant de s'être aspergés d'eau, et ils sont attachés encore par tradition à beaucoup d'autres pratiques : lavage de coupes, de cruches et de plats. -
Alors les pharisiens et les scribes demandent à Jésus : « Pourquoi tes disciples ne suivent-ils pas la tradition des anciens ? Ils prennent leurs repas sans s'être lavé les mains. » 
Jésus leur répond : « Isaïe a fait une bonne prophétie sur vous, hypocrites, dans ce passage de l'Écriture : Ce peuple m'honore des lèvres, mais son cœur est loin de moi. 
Il est inutile, le culte qu'ils me rendent ; les doctrines qu'ils enseignent ne sont que des préceptes humains. 
Vous laissez de côté le commandement de Dieu pour vous attacher à la tradition des hommes. » 
Il leur disait encore : « Vous rejetez bel et bien le commandement de Dieu pour observer votre tradition. 
En effet, Moïse a dit : Honore ton père et ta mère. Et encore : Celui qui maudit son père ou sa mère sera mis à mort. 
Et vous, vous dites : 'Supposons qu'un homme déclare à son père ou à sa mère : Les ressources qui m'auraient permis de t'aider sont corbane, c'est-à-dire offrande sacrée. '
Vous l'autorisez à ne plus rien faire pour son père ou sa mère, 

et vous annulez la parole de Dieu par la tradition que vous transmettez. Et vous faites beaucoup de choses du même genre. »  

GOD BLESS YOU TO