-
Par nanipeinture le 8 Janvier 2015 à 20:07
Mes Amis, du blog et du monde entier.
Hier soir j'ecoutais une émission de libre antenne.
Je n'ai pas pu intervenir. Il y avait deux idées aux
quelles j'aurais voulu donner mon humbre avis.
1) Une personne disait que dans une semaine personne
se souviendrait de ce que viens d'arriver le 7 Janvier à
11h30, que l'on penserait juste à renplir son frigo.
2) Une autre disait que les religions sont la cause de tout ce
qui venait d'arriver...en nommant dieu.
Mon point de vue de chrétienne catholique est celui-ci:
Je crois fermement, que personne pourra oublier.
On à vu ce qui a couté à nos frères de pas avoir
peur d'être libres. J'ajute que Dieu nous à crée
dans une totale liberté.
On peut Aimer Dieu ou pas.
Pour ce qui concerne les religions:
Cela est certain,
que lorsque on vit "une religion" en s'enfermant aux
personnes, cela risque de devenir un danger de désunion,
et même de guerre.
Mais lorsque on reçoit la liberté d'Aimer; lorsque
Dieu même choisit de prendre notre nature humaine. Dieu
EST AMOUR et AMOUR POUR TOUS
Il ne nous à jamais dit de tuer ceux qui ne croient
pas en Lui. Il nous a même demandé de pas se venger, mais
de prier pour ceux qui nous maudisent. De Pardonner.
Alors se nom de "religion" perd le sens de ce qu'elle
est en Vérité. Dieu c'est fait homme et il est NON
PAS une "RELIGION" mais UNE PERSONNE.
Et pour finir, je veux dire, que nous sommes dans un
pays qui se veut LIBRE. Alors je ne dois pas avoir peur
de l'être sans blesser les autres, avec respect.
Mais non plus, je ne dois pas avoir peur de me
sentir profondement unie au Christ et fidèle à mon
baptême.
Sans oublier les autres morts et les blessés
Jeudi après l'Épiphanie 8 Janvier 2015
Première lettre de saint Jean 4,19-21.5,1-4.
Bien-aimés, nous aimons parce que Dieu lui-même nous a aimés le premier.
Si quelqu’un dit : « J’aime Dieu », alors qu’il a de la haine contre son frère, c’est un menteur. En effet, celui qui n’aime pas son frère, qu’il voit, est incapable d’aimer Dieu, qu’il ne voit pas.
Et voici le commandement que nous tenons de lui : celui qui aime Dieu, qu’il aime aussi son frère.
Celui qui croit que Jésus est le Christ, celui-là est né de Dieu ; celui qui aime le Père qui a engendré aime aussi le Fils qui est né de lui.
Voici comment nous reconnaissons que nous aimons les enfants de Dieu : lorsque nous aimons Dieu et que nous accomplissons ses commandements.
Car tel est l’amour de Dieu : garder ses commandements ; et ses commandements ne sont pas un fardeau,
puisque tout être qui est né de Dieu est vainqueur du monde. Or la victoire remportée sur le monde, c’est notre foi.Car tu nous as crée libres
DIEU EST AMOUR
2 commentaires -
Par nanipeinture le 7 Janvier 2015 à 19:45
Mes amis nous sommes tristes à cause de nos compatriotes
assassinées. Une pensé forte pour leurs familles.
Rien de plus devant une telle folie de violence.
Comment un homme, comme des hommes peuvent rentrer
dans une telle spirale de folie meurtrière ?
Lorsque j'ai appris cette terrible nouvelle, j'ai été choqué.
Je l'avoue cela m'a donné envie de colère pour parler
ainsi. Puis, je me suis rendu compte que donner libre arbitre
aux pulsions même justifiés par la souffrance, c'était
un peu rentrer dans le jeu de la violence.
Combien devons nous, nous dire que nous avons la
chance, - malgré ce qui vient d'arriver- de vivre dans
un pays libre.
Lecture de ce jour 7 Janvier 2015
Première lettre de saint Jean 4,11-18.
Bien-aimés, puisque Dieu nous a tellement aimés, nous devons, nous aussi, nous aimer les uns les autres.
Dieu, personne ne l’a jamais vu. Mais si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous, et, en nous, son Amour atteint la perfection.
Voici comment nous reconnaissons que nous demeurons en lui et lui en nous : il nous a donné part à son Esprit.Seigneur Roi de la Paix. Donne ton repos à nos
frères morts en ce jour. Console au milieux de la
souffrance ces familles qui ont perdu un époux, un père,
un ami. Donne-nous la force de pas céder à la violence
devant la violence.
DIEU EST AMOUR
IL EST MORT POUR NOUS
LE MONTRER.
IL EST RESSUSCITE
ET LA MORT A ETE
VAINCUE
PAR LA VIE
2 commentaires -
Par nanipeinture le 6 Janvier 2015 à 19:46
« L'heure était avancée... Tous mangèrent à leur faim »
Mon Bien-Aimé est pour moi la nuit tranquille,
Semblable au lever de l'aurore,
La mélodie silencieuse
Et la solitude sonore,
Le souper qui restaure, en enflammant l'amour.
Dans les saintes Écritures, le repos du soir désigne la vision de Dieu. De même donc que le souper couronne les travaux du jour et ouvre le repos de la nuit, ainsi l'âme savoure dans la paisible connaissance dont nous parlons, un avant-goût de la fin de ses maux et l'assurance des biens qu'elle attend. Par là aussi, son amour pour Dieu prend de grands accroissements. C'est donc réellement pour elle « le souper qui recrée », en lui annonçant la fin de ses maux, et qui « enflamme l'amour », en lui assurant la possession de tous les biens.
Pour mieux faire comprendre combien ce souper est délicieux à l'âme, puisque, nous l'avons dit, il n'est autre chose que le Bien-Aimé lui-même, rappelons les paroles de l'Époux dans l'Apocalypse : « Voici que je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et m'ouvre sa porte, j'entrerai chez lui et je souperai avec lui, et lui avec moi » (Ap 3,20). Par là il nous donne à entendre qu'il apporte avec lui le repas, c'est-à-dire la saveur et les délices dont il se nourrit lui-même et qu'il communique à l'âme lorsqu'il s'unit à elle, afin qu'elle s'en nourrisse elle aussi. Tel est le sens de cette parole : « Je souperai avec lui, et lui avec moi » et tel est l'effet produit par l'union de l'âme avec Dieu : les biens mêmes de Dieu deviennent communs entre lui et l'âme épouse, parce qu'il les lui communique gratuitement et avec une souveraine libéralité. Dieu est donc lui-même ce « souper qui recrée en enflammant l'amour ». Il recrée son épouse par sa libéralité, il l'enflamme d'amour par la bienveillance qu'il lui témoigne.- Saint Jean de la Croix Carme Dechaussé -
La mélodie silencieuse
Et la solitude sonore,
Mes Amis, je n'ai rien à dire aprés mon cher père
espirituel Jean de la Croix -Carme-
Ce que j'ai découvert au carmel durant mon court
séjour d'un an et demi, c'est cette mélodie silencieuse.
Plus l'âme entre dans le silence, plus ce silence
est remplit de Dieu et cela deviet une mélodie qu'importe
tout l'être vers l'Amour sans frontière. Et cet Amour
embrasse toute l'humanité.
La solitude sonore. Et plus on rentre dans cette solitude
habité par Dieu, plus notre coeur est attentif à
l'amour de son prochain sans faire de bruit.
MELODIE SILENCIEUSE...
SOLITUDE SONORE...
1 commentaire -
Par nanipeinture le 5 Janvier 2015 à 19:51Sa lignée sera puissante sur la terre ; la race des justes est bénie.Les richesses affluent dans sa maison : à jamais se maintiendra sa justice
Psaume 111
« Le peuple qui habitait dans les ténèbres a vu paraître une
grande lumière »
Jésus, notre Seigneur, le Christ,
nous est apparu du sein de son Père.
Il est venu et nous a tirés des ténèbres
et nous a illuminés de sa joyeuse lumière.
Le jour s'est levé pour les hommes ;
la puissance des ténèbres est chassée.
De sa lumière s'est levée pour nous une lumière
qui a éclairé nos yeux obscurcis.
Il a fait lever sa gloire sur le monde
et a éclairé les plus profonds abîmes.
La mort est anéantie, les ténèbres ont pris fin,
les portes de l'enfer sont en pièces.
Il a illuminé toutes les créatures,
ténèbres depuis les temps anciens.
Il a réalisé le salut et nous a donné la vie ;
ensuite il viendra dans la gloire
et il éclairera les yeux de tous ceux qui l'auront attendu.
Notre Roi vient dans sa grande gloire :
allumons nos lampes, sortons à sa rencontre (Mt 25,6);
réjouissons-nous en lui comme il s'est réjoui en nous
et nous réjouit par sa glorieuse lumière.
Mes frères, levez-vous, préparez-vous
pour rendre grâce à notre Roi et Sauveur
qui viendra dans sa gloire et nous réjouira
de sa joyeuse lumière dans le Royaume.Saint Ephrem (v. 306-373), diacre en Syrie, docteur de l'Église
Mes Amis, dans chaque fête Dieu nous fait rentrer
un peu dans le mystère et notre foi se fortifie.
Regardons la foi des Rois Mages qui
se sont mis en marche chacun d'un pays different,
pour venir adorer L'enfant qui venait de naître.
A chaque pas leur foi se fortifie.
Dieu donne des signes. Si nous sommes à son écoute,
nous-mêmes serons émerveillés de sa grande
Lumière et JOIE.
Aller vers l'autre, c'est toujours un chemin inconnu,
mais quelle JOIE de voir son regard illuminé.
Un simple petit goûter.Voir ces visages des
personnes âgées qui vivent leur passé sans leur
êtres chers, et par un simple geste, la lumière
dans leur regard.
C'est tellement petit et simple...et pourtant la
retombée sur l'autre peut être une ouverture vers
la consolation et la tendresse.
Dieu ne nous demande de grandes choses.
Nous le voyons dans sa venue. Jésus est venu
sans faire de bruit. Un tout petit enfant entouré d'une
famille comme tous les enfants. Mais que c'est-il
passé pour attirer les berges vers la grotte ?
C'est l'Amour qui transforme tout. La Force d'Amour
de ce petit enfant qui ne sait pas encore dire un mot.
Quel mytère dans cette avalanche d'Amour !
"Jamais on n'a appris ni entendu dire, Et jamais l'oeil n'a vu qu'un autre dieu que toi Fît de telles choses pour ceux qui se confient en lui." Ésaïe 64:4La confiance et rien que la confiance !
La clée pour aller vers Jésus est l'Amour
Merci Vierge Marie de ton OUI au projet de Dieu
DIEU EST AMOUR
DIEU EST LUMIERE
DIEU NOTRE PERE
2 commentaires -
Par nanipeinture le 4 Janvier 2015 à 20:21
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 2,1-12.
Jésus était né à Bethléem en Judée, au temps du roi Hérode le Grand. Or, voici que des mages venus d’Orient arrivèrent à Jérusalem
et demandèrent : « Où est le roi des Juifs qui vient de naître ? Nous avons vu son étoile à l’orient et nous sommes venus nous prosterner devant lui. »
En apprenant cela, le roi Hérode fut bouleversé, et tout Jérusalem avec lui.
Il réunit tous les grands prêtres et les scribes du peuple, pour leur demander où devait naître le Christ.
Ils lui répondirent : « À Bethléem en Judée, car voici ce qui est écrit par le prophète :
Et toi, Bethléem, terre de Juda, tu n’es certes pas le dernier parmi les chefs-lieux de Juda, car de toi sortira un chef, qui sera le berger de mon peuple Israël. »
Alors Hérode convoqua les mages en secret pour leur faire préciser à quelle date l’étoile était apparue ;
puis il les envoya à Bethléem, en leur disant : « Allez vous renseigner avec précision sur l’enfant. Et quand vous l’aurez trouvé, venez me l’annoncer pour que j’aille, moi aussi, me prosterner devant lui. »
Après avoir entendu le roi, ils partirent. Et voici que l’étoile qu’ils avaient vue à l’orient les précédait, jusqu’à ce qu’elle vienne s’arrêter au-dessus de l’endroit où se trouvait l’enfant.
Quand ils virent l’étoile, ils se réjouirent d’une très grande joie.
Ils entrèrent dans la maison, ils virent l’enfant avec Marie sa mère ; et, tombant à ses pieds, ils se prosternèrent devant lui. Ils ouvrirent leurs coffrets, et lui offrirent leurs présents : de l’or, de l’encens et de la myrrhe.
Mais, avertis en songe de ne pas retourner chez Hérode, ils regagnèrent leur pays par un autre chemin.« Tombant à genoux, ils se prosternèrent devant lui »
Le dessein de Dieu n'a pas été seulement de descendre sur terre, mais d'y être connu ; non seulement de naître, mais de se faire connaître. De fait, c'est en vue de cette connaissance que nous avons cette célébration de l'Epiphanie, ce grand jour de sa manifestation. Aujourd'hui, en effet, les mages sont venus d'Orient à la recherche du Soleil de Justice à son lever (Ml 3,20), lui de qui nous lisons : « Voici un homme, Orient est son nom » (Za 6,12). Aujourd'hui ils ont adoré l'enfantement nouveau de la Vierge, suivant la direction tracée par une nouvelle étoile. Ne trouvons-nous pas là, frères, un grand motif de joie, comme aussi dans cette parole de l'apôtre Paul : « La bonté de Dieu notre Sauveur et son amour pour les hommes nous sont apparus » (Tt 3,4)...
Que faites-vous, mages, que faites-vous ? Vous adorez un enfant à la mamelle, dans une chaumière vulgaire, dans des langes misérables ? Celui-ci serait-il donc Dieu ? Mais « Dieu réside dans son temple saint, le Seigneur a son trône dans les cieux » (Ps 10,4), et vous, vous le cherchez dans une vulgaire étable, sur le sein d'une mère ? Que faites-vous ? Pourquoi offrez-vous cet or ? Celui-ci serait-il donc roi ? Mais où est sa cour royale, où est son trône, où est la foule de ses courtisans ? Une étable est-elle un palais, une crèche un trône, Marie et Joseph les membres de sa cour ? Comment des hommes sages sont-ils devenus fous au point d'adorer un petit enfant, méprisable tant par son âge que par la pauvreté des siens ?
Fous, ils le sont devenus, oui, pour devenir sages ; l'Esprit Saint leur a enseigné d'avance ce que plus tard l'apôtre Paul a proclamé : « Celui qui veut être sage, qu'il se fasse fou pour être sage. Car puisque le monde, avec toute sa sagesse, n'a pas pu reconnaître Dieu dans sa Sagesse, il a plu à Dieu de sauver les croyants par cette folie qu'est la proclamation de l'Evangile » (1Co 1,21)... Ils se prosternent donc devant ce pauvre enfant, lui rendent hommage comme à un roi, l'adorent comme un Dieu. Celui qui les a guidés au dehors par une étoile a répandu sa lumière au secret de leur cœur.- Saint Bernard -
INVITATION A
RECHERCHER JESUS
L'ENFANT-DIEU
1 commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique