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    Mes Amis, du blog et du monde entier. 

    Hier soir j'ecoutais une émission de libre antenne.

    Je n'ai pas pu intervenir. Il y avait deux idées aux

    quelles j'aurais voulu donner mon humbre avis.

    1) Une personne disait que dans une semaine personne 

    se souviendrait de ce que viens d'arriver le 7 Janvier à

    11h30, que l'on penserait juste à renplir son frigo.

     

    2) Une autre disait que les religions sont la cause de tout ce

    qui venait d'arriver...en nommant dieu.

     

    Mon point de vue de chrétienne catholique est celui-ci:

     

    Je crois fermement, que personne pourra oublier.

    On à vu ce qui a couté à nos frères de pas avoir

    peur d'être libres. J'ajute que Dieu nous à crée

    dans une totale liberté.

    On peut Aimer Dieu ou pas. 

    Pour ce qui concerne les religions:

    Cela est certain,

    que lorsque on vit "une religion" en s'enfermant aux

    personnes, cela risque de devenir un danger de désunion,

    et même de guerre. 

    Mais lorsque on reçoit la liberté d'Aimer; lorsque

    Dieu même choisit de prendre notre nature humaine. Dieu

    EST AMOUR et AMOUR POUR TOUS 

    Il ne nous à jamais dit de tuer ceux qui ne croient

    pas en Lui. Il nous a même demandé de pas se venger, mais

    de prier pour ceux qui nous maudisent. De Pardonner.

    Alors se nom de "religion" perd le sens de ce qu'elle

    est en Vérité. Dieu c'est fait homme et il est NON

    PAS une "RELIGION" mais UNE PERSONNE.

    Et pour finir, je veux dire, que nous sommes dans un

    pays qui se veut LIBRE. Alors je ne dois pas avoir peur

    de l'être sans blesser les autres, avec respect.

    Mais non plus, je ne dois pas avoir peur de me 

    sentir profondement unie au Christ et fidèle à mon

    baptême.

     

     

    Sans oublier les autres morts et les blessés

     

     

     

     

    Jeudi après l'Épiphanie 8 Janvier 2015

    Première lettre de saint Jean 4,19-21.5,1-4. 

     

    Bien-aimés, nous aimons parce que Dieu lui-même nous a aimés le premier.
    Si quelqu’un dit : « J’aime Dieu », alors qu’il a de la haine contre son frère, c’est un menteur. En effet, celui qui n’aime pas son frère, qu’il voit, est incapable d’aimer Dieu, qu’il ne voit pas.
    Et voici le commandement que nous tenons de lui : celui qui aime Dieu, qu’il aime aussi son frère.
    Celui qui croit que Jésus est le Christ, celui-là est né de Dieu ; celui qui aime le Père qui a engendré aime aussi le Fils qui est né de lui.
    Voici comment nous reconnaissons que nous aimons les enfants de Dieu : lorsque nous aimons Dieu et que nous accomplissons ses commandements.
    Car tel est l’amour de Dieu : garder ses commandements ; et ses commandements ne sont pas un fardeau,
    puisque tout être qui est né de Dieu est vainqueur du monde. Or la victoire remportée sur le monde, c’est notre foi.

     

     

     

     

     

     

     

    Car tu nous as crée libres

     

     

     

     

     

     

    DIEU EST AMOUR

     

     

     

    DIEU EST CREATEUR DE VIE ET PAS DE MORT

     

     

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    Mes amis nous sommes tristes à cause de nos compatriotes

    assassinées. Une pensé forte pour leurs familles.

    Rien de plus devant une telle folie de violence. 

    Comment un homme, comme des hommes peuvent rentrer

    dans une telle spirale de folie meurtrière ?

    Lorsque j'ai appris cette terrible nouvelle, j'ai été choqué.

    Je l'avoue cela m'a donné envie de colère pour parler

    ainsi. Puis, je me suis rendu compte que donner libre arbitre

    aux pulsions même justifiés par la souffrance, c'était

    un peu rentrer dans le jeu de la violence.

    Combien devons nous, nous dire que nous avons la 

    chance, - malgré ce qui vient d'arriver- de vivre dans

    un pays libre. 

     

    Lecture de ce jour 7 Janvier 2015

     

    Première lettre de saint Jean 4,11-18. 

    Bien-aimés, puisque Dieu nous a tellement aimés, nous devons, nous aussi, nous aimer les uns les autres.
    Dieu, personne ne l’a jamais vu. Mais si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous, et, en nous, son Amour atteint la perfection.
    Voici comment nous reconnaissons que nous demeurons en lui et lui en nous : il nous a donné part à son Esprit.

     

     

     

    Seigneur Roi de la Paix. Donne ton repos à nos

    frères morts en ce jour. Console au milieux de la

    souffrance ces familles qui ont perdu un époux, un père,

    un ami. Donne-nous la force de pas céder à la violence

    devant la violence.

     

     

    DIEU EST AMOUR 

     

    IL EST MORT POUR NOUS

     

    LE MONTRER.

     

    IL EST RESSUSCITE

     

    ET LA MORT A ETE

     

    VAINCUE

     

    PAR LA VIE

     

     

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    « L'heure était avancée... Tous mangèrent à leur faim »

         

     Mon Bien-Aimé est pour moi la nuit tranquille,
          Semblable au lever de l'aurore,
          La mélodie silencieuse
          Et la solitude sonore,
          Le souper qui restaure, en enflammant l'amour.

       

       Dans les saintes Écritures, le repos du soir désigne la vision de Dieu. De même donc que le souper couronne les travaux du jour et ouvre le repos de la nuit, ainsi l'âme savoure dans la paisible connaissance dont nous parlons, un avant-goût de la fin de ses maux et l'assurance des biens qu'elle attend. Par là aussi, son amour pour Dieu prend de grands accroissements. C'est donc réellement pour elle « le souper qui recrée », en lui annonçant la fin de ses maux, et qui « enflamme l'amour », en lui assurant la possession de tous les biens.

          Pour mieux faire comprendre combien ce souper est délicieux à l'âme, puisque, nous l'avons dit, il n'est autre chose que le Bien-Aimé lui-même, rappelons les paroles de l'Époux dans l'Apocalypse : « Voici que je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et m'ouvre sa porte, j'entrerai chez lui et je souperai avec lui, et lui avec moi » (Ap 3,20). Par là il nous donne à entendre qu'il apporte avec lui le repas, c'est-à-dire la saveur et les délices dont il se nourrit lui-même et qu'il communique à l'âme lorsqu'il s'unit à elle, afin qu'elle s'en nourrisse elle aussi. Tel est le sens de cette parole : « Je souperai avec lui, et lui avec moi » et tel est l'effet produit par l'union de l'âme avec Dieu : les biens mêmes de Dieu deviennent communs entre lui et l'âme épouse, parce qu'il les lui communique gratuitement et avec une souveraine libéralité. Dieu est donc lui-même ce « souper qui recrée en enflammant l'amour ». Il recrée son épouse par sa libéralité, il l'enflamme d'amour par la bienveillance qu'il lui témoigne.

    - Saint Jean de la Croix Carme Dechaussé -

     

     

     

    La mélodie silencieuse

          Et la solitude sonore,

     

    Mes Amis, je n'ai rien à dire aprés mon cher père

    espirituel Jean de la Croix -Carme-

    Ce que j'ai découvert au carmel durant mon court

    séjour d'un an et demi, c'est cette mélodie silencieuse.

    Plus l'âme entre dans le silence, plus ce silence

    est remplit de Dieu et cela deviet une mélodie qu'importe

    tout l'être vers l'Amour sans frontière. Et cet Amour

    embrasse toute l'humanité. 

    La solitude sonore. Et plus on rentre dans cette solitude

    habité par Dieu, plus notre coeur est attentif à 

    l'amour de son prochain sans faire de bruit.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    MELODIE SILENCIEUSE...

     

    SOLITUDE SONORE...

     

    Mon Bien-Aimé est pour moi

     

     

     

     

     

     

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  • Sa lignée sera puissante sur la terre ; la race des justes est bénie.
     Les richesses affluent dans sa maison : à jamais se maintiendra sa justice

    Psaume 111

     

    « Le peuple qui habitait dans les ténèbres a vu paraître une

    grande lumière »

     

    Jésus, notre Seigneur, le Christ,
    nous est apparu du sein de son Père.
    Il est venu et nous a tirés des ténèbres
    et nous a illuminés de sa joyeuse lumière.

     

    Le jour s'est levé pour les hommes ;
    la puissance des ténèbres est chassée.
    De sa lumière s'est levée pour nous une lumière
    qui a éclairé nos yeux obscurcis.

     

    Il a fait lever sa gloire sur le monde
    et a éclairé les plus profonds abîmes.
    La mort est anéantie, les ténèbres ont pris fin,
    les portes de l'enfer sont en pièces.

     

    Il a illuminé toutes les créatures,
    ténèbres depuis les temps anciens.
    Il a réalisé le salut et nous a donné la vie ;
    ensuite il viendra dans la gloire
    et il éclairera les yeux de tous ceux qui l'auront attendu.

     

    Notre Roi vient dans sa grande gloire :
    allumons nos lampes, sortons à sa rencontre (Mt 25,6);
    réjouissons-nous en lui comme il s'est réjoui en nous
    et nous réjouit par sa glorieuse lumière.

     

    Mes frères, levez-vous, préparez-vous
    pour rendre grâce à notre Roi et Sauveur
    qui viendra dans sa gloire et nous réjouira
    de sa joyeuse lumière dans le Royaume.

    Saint Ephrem (v. 306-373), diacre en Syrie, docteur de l'Église

     

     

     

     

    Mes Amis, dans chaque fête Dieu nous fait rentrer

    un peu dans le mystère et notre foi se fortifie.

     Regardons la foi des Rois Mages qui

    se sont mis en marche chacun d'un pays different,

    pour venir adorer L'enfant qui venait de naître.

    A chaque pas leur foi se fortifie. 

    Dieu donne des signes. Si nous sommes à son écoute,

    nous-mêmes serons émerveillés de sa grande 

    Lumière et JOIE.

    Aller vers l'autre, c'est toujours un chemin inconnu,

    mais quelle JOIE de voir son regard illuminé.

    Un simple petit goûter.Voir ces visages des

    personnes âgées qui vivent leur passé sans leur

    êtres chers, et par un simple geste, la lumière

    dans leur regard.

    C'est tellement petit et simple...et pourtant la

    retombée sur l'autre peut être une ouverture vers

    la consolation et la tendresse.

    Dieu ne nous demande de grandes choses.

    Nous le voyons dans sa venue. Jésus est venu

    sans faire de bruit. Un tout petit enfant entouré d'une

    famille comme tous les enfants. Mais que c'est-il

    passé pour attirer les berges vers la grotte ?

    C'est l'Amour qui transforme tout. La Force d'Amour

    de ce petit enfant qui ne sait pas encore dire un mot.

    Quel mytère dans cette avalanche d'Amour !


    "Jamais on n'a appris ni entendu dire, Et jamais l'oeil n'a vu qu'un autre dieu que toi Fît de telles choses pour ceux qui se confient en lui." Ésaïe 64:4

     

    La confiance et rien que la confiance !

     

     

     

    La clée pour aller vers Jésus est l'Amour

     

     

     

     

     

     

     

    Merci Vierge Marie de ton OUI au projet de Dieu

     

     

    DIEU EST AMOUR

     

    DIEU EST LUMIERE

     

    DIEU NOTRE PERE

     

     

     

    REJOUISSONS-NOUS DANS SA JOYEUSE LUMIERE

     

     

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    Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 2,1-12.

     

    Jésus était né à Bethléem en Judée, au temps du roi Hérode le Grand. Or, voici que des mages venus d’Orient arrivèrent à Jérusalem
    et demandèrent : « Où est le roi des Juifs qui vient de naître ? Nous avons vu son étoile à l’orient et nous sommes venus nous prosterner devant lui. »
    En apprenant cela, le roi Hérode fut bouleversé, et tout Jérusalem avec lui.
    Il réunit tous les grands prêtres et les scribes du peuple, pour leur demander où devait naître le Christ.
    Ils lui répondirent : « À Bethléem en Judée, car voici ce qui est écrit par le prophète :
    Et toi, Bethléem, terre de Juda, tu n’es certes pas le dernier parmi les chefs-lieux de Juda, car de toi sortira un chef, qui sera le berger de mon peuple Israël. »
    Alors Hérode convoqua les mages en secret pour leur faire préciser à quelle date l’étoile était apparue ;
    puis il les envoya à Bethléem, en leur disant : « Allez vous renseigner avec précision sur l’enfant. Et quand vous l’aurez trouvé, venez me l’annoncer pour que j’aille, moi aussi, me prosterner devant lui. »
    Après avoir entendu le roi, ils partirent. Et voici que l’étoile qu’ils avaient vue à l’orient les précédait, jusqu’à ce qu’elle vienne s’arrêter au-dessus de l’endroit où se trouvait l’enfant.
    Quand ils virent l’étoile, ils se réjouirent d’une très grande joie.
    Ils entrèrent dans la maison, ils virent l’enfant avec Marie sa mère ; et, tombant à ses pieds, ils se prosternèrent devant lui. Ils ouvrirent leurs coffrets, et lui offrirent leurs présents : de l’or, de l’encens et de la myrrhe.
    Mais, avertis en songe de ne pas retourner chez Hérode, ils regagnèrent leur pays par un autre chemin.

     

     

    « Tombant à genoux, ils se prosternèrent devant lui »

          Le dessein de Dieu n'a pas été seulement de descendre sur terre, mais d'y être connu ; non seulement de naître, mais de se faire connaître. De fait, c'est en vue de cette connaissance que nous avons cette célébration de l'Epiphanie, ce grand jour de sa manifestation. Aujourd'hui, en effet, les mages sont venus d'Orient à la recherche du Soleil de Justice à son lever (Ml 3,20), lui de qui nous lisons : « Voici un homme, Orient est son nom » (Za 6,12). Aujourd'hui ils ont adoré l'enfantement nouveau de la Vierge, suivant la direction tracée par une nouvelle étoile. Ne trouvons-nous pas là, frères, un grand motif de joie, comme aussi dans cette parole de l'apôtre Paul : « La bonté de Dieu notre Sauveur et son amour pour les hommes nous sont apparus » (Tt 3,4)...

          Que faites-vous, mages, que faites-vous ? Vous adorez un enfant à la mamelle, dans une chaumière vulgaire, dans des langes misérables ? Celui-ci serait-il donc Dieu ? Mais « Dieu réside dans son temple saint, le Seigneur a son trône dans les cieux » (Ps 10,4), et vous, vous le cherchez dans une vulgaire étable, sur le sein d'une mère ? Que faites-vous ? Pourquoi offrez-vous cet or ? Celui-ci serait-il donc roi ? Mais où est sa cour royale, où est son trône, où est la foule de ses courtisans ? Une étable est-elle un palais, une crèche un trône, Marie et Joseph les membres de sa cour ? Comment des hommes sages sont-ils devenus fous au point d'adorer un petit enfant, méprisable tant par son âge que par la pauvreté des siens ?

          Fous, ils le sont devenus, oui, pour devenir sages ; l'Esprit Saint leur a enseigné d'avance ce que plus tard l'apôtre Paul a proclamé : « Celui qui veut être sage, qu'il se fasse fou pour être sage. Car puisque le monde, avec toute sa sagesse, n'a pas pu reconnaître Dieu dans sa Sagesse, il a plu à Dieu de sauver les croyants par cette folie qu'est la proclamation de l'Evangile » (1Co 1,21)... Ils se prosternent donc devant ce pauvre enfant, lui rendent hommage comme à un roi, l'adorent comme un Dieu. Celui qui les a guidés au dehors par une étoile a répandu sa lumière au secret de leur cœur.

    - Saint Bernard -

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    INVITATION A

     

    RECHERCHER JESUS

     

    L'ENFANT-DIEU

     

     

     

     

     

    MANIFESTATION DE JESUS

     

     

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