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    El guarquivir

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Hotel Alfonso XIII Sevilla

     

    picture of Catedral de Sevilla

     

    Catedral de Sevilla

     

     

     

    Barrio de Santa Cruz

     

     

     

    interieur de la Catedral Sevilla

     

     

     

     

     

     

     

    Fuente de la plaza de Espana  (Sevilla)

     

     

     

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    Je me suis detendue avec ces photos de Sevilla

    en espagne

       

     

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  • Jésus dans la maison de Marthe et Marie (1654, Johannes Vermeer)

     

     

    Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

    10,38-42.

     

     

    En ce temps-là, Jésus entra dans un village. Une femme nommée Marthe le reçut.
    Elle avait une sœur appelée Marie qui, s’étant assise aux pieds du Seigneur, écoutait sa parole.
    Quant à Marthe, elle était accaparée par les multiples occupations du service. Elle intervint et dit : « Seigneur, cela ne te fait rien que ma sœur m’ait laissé faire seule le service ? Dis-lui donc de m’aider. »
    Le Seigneur lui répondit : « Marthe, Marthe, tu te donnes du souci et tu t’agites pour bien des choses.
    Une seule est nécessaire. Marie a choisi la meilleure part, elle ne lui sera pas enlevée. »

     

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    Lorsque Jésus arrive, c'est Marthe qui l'accueille. Elle le reçoit comme son hôte, elle se met à son service. A présent, elle est très occupée à le servir. Littéralement dans le texte, elle est « tiraillée » entre les « nombreuses tâches du service ». L'agitation de Marthe nous fait dire qu'elle se trouve même submergée par son travail.
    Finalement, Marthe est si agitée et si soucieuse de bien servir son hôte, qu'elle en néglige son hôte lui-même. Pour elle, se mettre au service de Jésus, c'est s'affairer, s'agiter, se soucier, s'occuper de pleins de choses, des choses bien humaines et matérielles de ce monde. En fait, elle ne semble pas avoir compris le sens de la visite de Jésus.

    Marie, sa sœur, se comporte tout autrement. Elle s'assoit spontanément aux pieds de Jésus. Une telle attitude est inattendue et très surprenante, et à cette époque c'est même inconvenant de la part d'une femme. Mais dans le texte de l'Évangile, cette attitude a une signification très forte: s'assoir aux pieds de Jésus, c'est confesser sa foi en lui, c'est le reconnaître comme son maître spirituel, c'est lui demander de devenir un de ses disciples.
    D'ailleurs, comme les disciples, Marie écoute les paroles de Jésus, c'est-à-dire son enseignement. Hélas, le texte ne nous dit pas sur quoi il porte: sûrement, Jésus lui parle de l'amour de Dieu pour les hommes, et de l'amour des hommes pour leurs prochains...

     Christophe
     

     

     

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    Confesser sa foi en Lui ...comme la clé

    de notre vie...

     

     

     

     

    Jésus, donne-moi le courage de vivre ton évangile.

    Merci d'être venu parmi-nous et de nous montrer 

    l'Amour, la Compassion, la Miséricorde,

     

     

     

     

     

     

     

    tube rose jaune

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 15,9-11.

     

    En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Comme le Père m’a aimé, moi aussi je vous ai aimés. Demeurez dans mon amour.
    Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, comme moi, j’ai gardé les commandements de mon Père, et je demeure dans son amour.
    Je vous ai dit cela pour que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite. »

     

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    Cet aprés-midi titi s'est fait agresser...

    par le vilain chien ou par son maître.

     

    La vie est si fragile...

    L'évangile me demande d'Aimer et même d'Aimer celui

    qui me fait du mal.

    Ce soir j'avoue combien difficile c'est de vivre

    ce commandement. 

    Lorsque je vois cette pte bête se faire agresser, et mettre

    sa vie en danger pour fuir l'haine ... Je me rends

    compte comme je suis loin de me conduire... en

    chrétienne.

    Cependant je le veux de tout mon coeur.

    Pour ce soir je prend exemple d'un petit chat ...

    Cela va vous sembler futile, je ne peux faire autrement.

    Seul Dieu sait Aimer vraiment.

    Je veux bien ne pas garder de la rencune envers le maître

    de ce chien sans laisse.

     

     

    AMEN

     

     

     

     

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  • Martin Gray, en 2004.

    Ecrivain franco-américain d'origine polonaise,

    Martin Gray est mort.

     

    Ecrivain franco-américain d’origine polonaise, Martin Gray est mort dans la nuit du 24 au 25 avril, à son domicile de Ciney, en Belgique, à deux jours de son 94e anniversaire. Une longévité impressionnante pour un homme que le malheur frappa avec une obstination rare et dont le témoignage est devenu pour nombre de lecteurs une leçon de courage.

     

    Né à Varsovie le 27 avril 1922, au sein d’une famille juive qui vit au cœur du ghetto, Mieczylaw Grajewski est le fils d’un gantier sans histoire. Tout bascule avec l’invasion de laPologne par les nazis en septembre 1939. Pour ravitailler les siens, le jeune homme se fait contrebandier, franchissant les murs du ghetto pour y rapporter des vivres.

    Arrêté, torturé, il s’évade mais se livre pour accompagner sa mère et ses frères. Eux sont assassinés dès leur arrivée au camp d’extermination de Treblinka. Mietek – futur Martin –, plus vaillant, est épargné et est chargé de sortir les cadavres des chambres à gaz pour les jeter à la fosse : un « totenjude ». Il s’évade encore, tente d’alerter ceux de sa communauté sur la réalité des camps, est pris, s’évade à nouveau, rejoint les partisans et fait à leurs côtés la chasse aux bourreaux et aux dénonciateurs. Il retrouve son père, un des chefs de la résistance militaire, mais le voit tomber sous les balles nazies lors de l’insurrection du ghetto. Il rejoint l’Armée rouge et c’est comme officier du NKVD qu’il participe à la prise de Berlin en mai 1945.

     

    Passeur d’espérance

     

    Malgré les distinctions militaires, le jeune homme tourne le dos à sa vie d’avant et en 1947 part rejoindre sa seule parente, une grand-mère octogénaire installée aux Etats-Unis. Il repart de zéro. Et, à force d’obstination, se refait une vie où il devient Martin Gray – il est naturalisé en 1952 –, antiquaire new-yorkais établi qui se diversifie dans la copie d’antiques. Comme il rêve de refonder une famille, sa rencontre avec Dina Cult, un jeune mannequin américain d’origine hollandaise, est providentielle. Ils se marient (1959), s’installent en France (1960), aux « Barons », sur la commune de Tanneron (Var), où Martin Gray devient exploitant agricole.

    Mais le bonheur part en fumée, lors d’un terrible incendie qui ravage le lieu le 3 octobre 1970, piégeant l’épouse de Martin et leurs quatre enfants. Un tel coup du sort manqueconduire le veuf au suicide. Il se ressaisit et choisit de lutter contre les catastrophes par l’éducation et l’information grâce la Fondation Dina Gray « pour la préservation de l’homme à travers son cadre de vie » et, dès l’automne 1971, par une campagne explicite : « un arbre par enfant ».

    Dans le même temps paraît le témoignage sur sa double tragédie telle que la transcrite l’historien et journaliste Max Gallo. Le livre, Au nom de tous les miens, paru chez Robert Laffont en octobre 1971, connaît un succès foudroyant et un nombre spectaculaire de traductions (26 langues et plus de 30 millions de lecteurs, estime-t-on).

    La Shoah est alors peu médiatisée et la première partie du

    témoignage de Gray fait couler beaucoup d’encre. Certains contestent le récit – trop « romancé » – composé par Gallo. Et la polémique rebondit lorsque Robert Enrico porte le best-seller à l’écran en 1983. Un temps ébranlé par les arguments avancés par les détracteurs de Gray, l’historien Pierre Vidal-Naquet, dans les colonnes du Monde, reconnut l’injustice de la calomnie, tout en pointant le grand danger du parti pris adopté par Max Gallo : « Un historien, fût-il aussi romancier, ne devrait pas mélanger les genres. »

    Dès lors, la vie de Martin Gray, inlassable passeur d’énergie et d’espérance, est scandée par d’autres livres (Le Livre de la vie [1973], Les Forces de la vie [1975], Vivre debout [1990], Au nom de tous les hommes [2004]), d’autres campagnes. D’autres naissances aussi puisque de deux nouveaux mariages il a cinq enfants.

    Une inextinguible soif de vie et de survie qui reste exceptionnelle.

     Philippe-Jean Catinchi

     

    Martin Gray

     

    Au nom de tous les miens

    https://youtu.be/b-8Gh9kw05M

     

     

     

     

    Martin, mon Ami.

    Je viens d'apprendre ton départ. Je veux

    te remercier pour le témoignage de ta vie.

    Je lis de tas de mots durs à ton encontre. Je

    sais pourquoi cela fait mal tout ce que tu as

    témoigné. Maintenant tu es dans la PAIX.

    --------

    Dans des moments bien durs j'ai eu la chance de

    trouver les livres de Martin. Le lire m'a donné

    bien du courage. Aussi, une nuit je l'ai télephoné

    dans sa maison à Mandelieu. Il m'a écouté et il m'a parlé

    avec des mots de vie. Un homme d'une grande

    simplicité et surtout un exemple de courage.

     

    On disait PLUS JAMAIS ça !!!

     

    Malheureusement le mal existe et nous en sommes

    témoins.

     

    Ne perdons pas courage car

     

     

     

    LA VIE EST PLUS FORTE

     

     

     

    QUE LA MORT

     

     

     

     

     

     

     

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  • La foi de Khalil Darwish “Je prie dans les mosquées comme dans les églises.”

    Khalil Darwish devant son magasin

    S’il est un rendez-vous que Khalil Darwish ne manquerait pour rien au monde, c’est bien celui du vendredi, “le dimanche des musulmans”. Ce jour là, qu’il vente, pleuve ou gèle, il quitte son magasin d’accessoires ménagers, et d’un pas alerte se rend à la mosquée de Batroun, vieux port du littoral nord Libanais, pour y prier. Durant la guerre civile, dans les années 80, quand les milices chrétiennes et musulmanes s’entretuaient, le minaret de la mosquée a été bombardé. La ville est à 90% chrétienne, et par peur, beaucoup de familles musulmanes ont alors émigré. Pas lui. “ Si je suis resté, dit-il, je le dois à la force que Dieu m’a toujours donné. J’ai confiance en Lui.”

    A 85 ans, ce musulman sunnite en a vu d’autres :

    • la guerre civile,
    • les occupations syrienne et israélienne,
    • et sur un plan personnel, la mort de sa femme et de quatre de ses six enfants, emportés en quelques mois dans la force de l’âge.

    Alors quoiqu’il arrive, Khalil Darwisch restera ancré à Batroun où il est né, et c’est là qu’il finira sa vie. Le minaret de la mosquée a été reconstruit et la ville est restée chrétienne. Pourquoi devrait-il avoir peur ? Puisque au final, “Dieu décide de tout, inch’Allah !Il a mon destin en main, Il m’accompagne. Avec Lui, je suis tranquille, je peux tout supporter.”

    Sa seule crainte serait de ne plus croire, car, sans la foi assure-t-il, “nous sommes capables du pire. Je n’ai jamais douté, même lors de la mort de mes enfants. J’accepte la volonté de mon Créateur. Il me suffit de regarder autour de moi, pour comprendre que mon existence n’est pas le fruit de la science.”

    Khalil DarwishSi Khalil se rend chaque vendredi à la mosquée, proche de son magasin, il avoue sans hésitation prier aussi dans les églises, lorsqu’il est invité à un mariage, à un baptême ou convié à la messe d’enterrement d’un ami chrétien. Lorsqu’il était enfant son père allait vendre des gâteaux à la sortie de la cathédrale. En l’attendant, il assistait à l’office pour se recueillir et chanter. “L’Église c’est aussi la maison de Dieu. Aujourd’hui encore, je n’ai aucun problème pour y prier. Je m’y sens en paix. Dieu n’est ni chrétien, ni musulman, Il est au-delà.”

    Malgré la crise économique qui frappe sa ville, et la montée “ de l’agressivité des chiites qui, selon lui, veulent chasser les sunnites du Liban,” Khalil Darwish vit heureux à Batroun, entouré de ses amis chrétiens. Madeleine, qui le seconde dans son commerce depuis une trentaine d’années est chrétienne. Lorsqu’elle était étudiante, elle venait déjà travailler chez lui durant ses vacances. Mimo (son surnom) connaît tout de son patron, et c’est vers la jeune femme qu’il se retourne, durant notre entretien, lorsqu’il ne se rappelle plus d’une date importante de sa vie. Toute en douceur et en sourire, Mimo lui remémore un évènement, lui précise une anecdote. Il acquiesce. Entre eux, la confiance est totale. “En 1992, j’ai été élu maire adjoint de Batroun, grâce aux électeurs chrétiens, qui n’ont pas hésité à voter pour moi. Je suis resté en poste jusqu’en 2010. C’est bien la preuve que nous pouvons vivre et travailler ensemble … Inch‘Allah ! “

    Luc Balbont  Journaliste 

     

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    Mes Amis,

    Cherchant un moment de paix j'ai trouvé 

    cet article RECONFORTANT.

    Dans la photo vous avez l'adresse si vous voulez aller voir.

     

    C'est en allant chercher les vrais nouvelles que

    l'on trouve des perles.

    Mais, qu'avez vous à faire les médiats de la profondeur !

     

    Voici ce que Luc Balbont nous partage ...

    BONNE HOMELIE POUR LE DIMANCHE

    DANS NOS EGLISE !!!

     

    Voilà ce qui touche aux tripes. Cette vérité simple

    de Khalil Darwish.

     

    Sa seule crainte serait de ne plus croire, car, sans la foi assure-t-il, “nous sommes capables du pire. Je n’ai jamais douté, même lors de la mort de mes enfants. J’accepte la volonté de mon Créateur. Il me suffit de regarder autour de moi, pour comprendre que mon existence n’est pas le fruit de la science.”

     

    Quel testament de ce vieux Monsieur !

    C'est " le chaque jour " que touche profondement.

    C'est en lisant ce témoignage que je trouve

    la force de pardonner lorsqu'on me fait de la peine.

    Combien nous devons à l'Orient par sa foi et savoir vivre.

    Nous sommes dans un Occident qui se meurt de tristesse,

    car on a tout. Qui meurt de solitude alors que les

    médias pourraient nous montrer des merveilles.

    Mais que faitez-vous de votre métier ? 

    Dans nos chaines TV ... que de la violence et du sexe,

    comme si cela pourrait nous distraire !!!

    Je cherche parfois la chaine des animaux. 

    Croyez-moi, ce témoignage m'a sorti de ma peine.

     

     

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    Kurde au Moyen Orient 

     

     

     

    La Manhattan du désert
    La sonnette d'alarme a été tirée pour un autre site inscrit au patrimoine mondial depuis 1982 : la vieille ville fortifiée de Shibam, surnommée la « Manhattan du désert », en raison de ses impressionnants bâtiments en brique crue, élancés sur sept étages. Édifiée sur un éperon rocheux dans la vallée de Hadramaout, elle est restée identique depuis sa fondation au XVIe siècle. « D'une valeur universelle exceptionnelle », selon les termes de l'Unesco, elle offre « l'un des plus anciens et des meilleurs exemples d'un urbanisme rigoureux fondé sur le principe de la construction en hauteur ».

     

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    Pays du Moyen Orient, baigné par la mer Rouge et la mer Morte

     

     

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    La cité Pétra en Jordanie

     

     

     

    Des réfugiés syriens dans la plaine de la Bekaa

     

     

    Khalil Darwish devant son magasin

    Pourquoi devrait-il avoir peur ? Puisque au final, “Dieu décide de tout, inch’Allah !Il a mon destin en main, Il m’accompagne. Avec Lui, je suis tranquille, je peux tout supporter.”

     

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