Je peux parler les langues des hommes et les langues des anges. Mais si je n'aime pas les autres, je suis seulement une cloche qui sonne, une cymbale bruyante. Je peux avoir le don de parler au nom de Dieu, je peux comprendre tous les mystères et posséder toute la connaissance. Je peux avoir une foi assez grande pour déplacer les montagnes. Mais si je n'aime pas les autres, je ne suis rien ! Je peux distribuer toutes mes richesses à ceux qui ont faim, je peux livrer mon corps au feu. Mais si je n'aime pas les autres, je n'y gagne rien !
L'amour est patient, l'amour rend service. Il n'est pas jaloux, il ne se vante pas, il ne se gonfle pas d'orgueil. L'amour ne fait rien de honteux. Il ne cherche pas son intérêt, il ne se met pas en colère, il ne se souvient pas du mal. Il ne se réjouit pas de l'injustice, mais il se réjouit de la vérité. L'amour excuse tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout.
L'amour ne disparaît jamais. Les paroles dites au nom de Dieu s'arrêteront, le don de parler en langues inconnues disparaîtra, la connaissance finira. En effet, nous ne connaissons pas tout, et les paroles dites au nom de Dieu ne sont pas complètes. Mais quand tout deviendra parfait, ce qui n'est pas complet disparaîtra.
Quand j'étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant. Maintenant, je suis un homme et je n'agis plus comme un enfant. À présent, nous ne voyons pas les choses clairement, nous les voyons comme dans un miroir, mais plus tard, nous verrons face à face. À présent, je ne connais pas tout, mais plus tard, je connaîtrai comme Dieu me connaît.
Maintenant, trois choses sont toujours là : la foi, l'espérance et l'amour. Mais la plus grande des trois, c'est l'amour.

1 CORINTHIENS 13:1-13

Merci !

Merci de bien vouloir m'en excuser,

 il parait que mon blog vire vers la gauche.

Je vais tâcher de régler cela....

Et la violence des riches

La vraie Tendresse

Le Bon Samaritain

Hier, dans le métro, j'ai reçu un regard que

personne pourra 

me l'offrire... car unique...

Je ne vous oublierai pas...

Merci

Le 13 janvier 1898, Zola publie l’une des lettres politiques les plus fameuses de tous les temps : « J’accuse! ». Fruit d’années d’enquêtes, cette lettre, qui lui vaudra procès et exil, sera un pièce maîtresse dans la résolution de l’Affaire. Un document qui n’a rien perdu de sa splendeur !

 

 

 

 

 

 

Monsieur Hollande,

 

Lorsque la France est attaquée c'est vous,

 

Président de la République, qui êtes responsable. C'est à 

 

vous qui reviens de intervenir.

 

Pas un mot de votre part... vous voyagez ...

 

Je ne comprend pas une telle façon d'agir.

 

La France souffre du terrorisme, c'est vrai,

 

mais où se trouve celui qui dois dire ou faire 

 

quelque chose ? dans "ce terrorisme politique" ?

 

On se trouve dans un navire qui n'a pas de

 

capitain responsable !

 

Je ne parle pas de votre choix, mais tant que vous 

 

êtes à la charge de notre pays, c'est à vous de le 

 

servir. 

 

Les primaires, voilà le nouveau sésame de notre vie politique ! Qualifiées d’avancée démocratique considérable avec un impact sur la mobilisation des électeurs qui se sentent plus investis dans le système politique, porteuses de l’espoir de renouvellement d’une classe politique sclérosée, on semble ne trouver que des qualités aux élections primaires qui permettent de choisir les candidats à la candidature pour l’élection présidentielle.

 

... Il me semble que c'est vous qui avez choisi cela

 

pour les élections 2017

 

On fait n'importe quoi à notre place.

 

C'est à vous de nous expliquer, pourquoi

 

on utilise notre bien, notre moyen de vivre

 

de façon si honteuse.

 

Il faut que l'on apprenne certaines choses toujours

 

par le Canar Enchaîné. Quel manque de respect !

 

J'accuse ! c'est le mot qui correspond en ces moments.

 

Si vraiment notre pays est une vraie démocratie,

 

nous pouvons nous exprimer et aussi attendre la

 

vérité une fois pour toutes.

 

Je ne suis pas experte politique, mais là,

 

c'est tout simplement un appel à votre responsabilité

 

 et celle de votre gouvernement. Merci d'avance 

 

de donner réponse à ma question.

 

Ana Casado

 

 

 

 

 

  

(St Luc, 23,46):

« Mon Père, je remets mon esprit entre Vos mains »...

C'est la dernière prière de notre Maître, de notre Bien-Aimé...
Puisse-t-elle être la nôtre: …
Et qu'elle soit non seulement celle de notre dernier instant, mais celle de tous nos instants:

« Mon Père, je me remets entre Vos mains: mon Père, je me confie à Vous, mon Père, je m'abandonne à Vous; mon Père, faites de moi ce qu'il Vous plaira; quoique Vous fassiez de moi, je vous remercie; merci de tout; je suis prêt à tout; jaccepte tout; je Vous remercie de tout; Pourvu que Votre Volonté se fasse en moi, mon Dieu, pourvu que Votre Volonté se fasse en toutes Vos créatures, en tous Vos enfants, en tous ceux que Votre Coeur aime, je ne désire rien d'autre, mon Dieu; je remets mon âme entre Vos mains; je vous la donne, mon Dieu, avec tout l'amour de mon coeur, parce que je Vous aime, et que ce m'est un besoin d'amour de me donner, de me remettre en Vos mains sans mesure; je me remets entre Vos mains avec une infinie confiance, car Vous êtes mon Père. »

Mon Seigneur et mon tout,

donnez à la France 

Celui qui  doit la gouverner.

Donnez-lui la force,

La Sagesse,

Un coeur vrai,

Une grande Générosité.

Que Dieu Sauve la France de tout

mal.

PRIONS POUR

 LA FRANCE