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    Là j'avais un cœur pur qui pouvais pardonner 

    Chers Amis,

    Je suis très émue en lisant ce que votre cœur me dis.Surtout que je me rend compte que vous avez bien compris mon message.Merci infiniment. On est tous des enfants blessés quelque part. C'est bien de pouvoir dire même en silence ce qui fait mal. Je trouve que nos blogs sont faits pour justement pouvoir parler...partager. En tout cas pour moi fut un instrument de guérison dans le début de ma maladie réveillée en 2009. Je pense que des témoignages comme celui dont je vous ai fait part c'est aussi donner la voix à ceux qui ne peuvent rien dire. A un moment j'ai pensé quitter le net et les blogs. Mais je me sens trop fragile pour rester dans mon coin ...même si je n'ai pas des tonnes des visiteur visibles... vous êtes là les amis de la première heure et juste pour cela je reste.

    Bon, ma voisine s'est cassé l'épaule avec un camion qui faisais marche arrière. Depuis hier je suis avec elle pour les urgences et différentes démarches. Elle va être opérée ce mardi prochain. Cela me fais un grand bien de pouvoir la consoler et lui prêter main proche. Elle a un cœur d'enfant. C'est touchant. Alors je suis encore prise mais de mon coté cela va doucement mais mieux merci infiniment.

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    Ah que oui ! Cela personne pourra nous le ravir ! et je crois que l'innocence peut se rattraper en pouvant revenir à la confiance... car je veux pardonner et en faite ...c'est fait même si je ne garde plus le silence.

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    Mon Jésus,

    Je te remercie... Tu entend ma prière alors qu'elle n'est même pas prononcé avec mes lèvres et je ne sais pas si elle l'est par le cœur. Cependant tu me connais et c'est toi qui l'as crée. Merci de me donner des témoins de ta tendresse sur ma route. Je t'Aime  

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    Mais maintenant, ainsi parle le Seigneur, lui qui t’a créé, Jacob, et t’a façonné, Israël : Ne crains pas, car je t’ai racheté, je t’ai appelé par ton nom, tu es à moi. Quand tu traverseras les eaux, je serai avec toi, les fleuves ne te submergeront pas. Quand tu marcheras au milieu du feu, tu ne te brûleras pas, la flamme ne te consumera pas. 
    Car je suis le Seigneur ton Dieu, le Saint d’Israël, ton Sauveur. Pour payer ta rançon, j’ai donné l’Égypte, en échange de toi, l’Éthiopie et Seba. Parce que tu as du prix à mes yeux, que tu as de la valeur et que je t’aime, je donne des humains en échange de toi, des peuples en échange de ta vie.

    Isaïe 43

     

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    Lorsque on est dans le gouffre, aucun mot ni même la lumière du jour peuvent nous sortir des ténèbres. Il y a des actes déposés comme cela par quelqu'un qui passant par là te donne la main et te fait ressentir que, oui, tu as du prix. Je sais cela de la part de Dieu. Et j'ai reçu de sa part cette main cet après midi.

    Qui mieux qu'un fétus abandonnée dans le sein de sa propre mère peut reconnaître cette voix... sans son ...cette caresse de tendresse et de VIE alors que la mort rode car on a peur de la vie... de cet enfant. 

    J'ai vécu très profondément ce procès de Lyon pour dénoncer les actes barbares contre les enfants ... faits par des adultes et qui plus, étaient là pour leur montrer la beauté de la Vie...et pas la saleté  

    J'ai été blessé profondément lorsque on a dit si banalement que les fait sont prescrits. Que à 40 ans on peut se défendre seul... que étant adulte... on peut passer autre ... Je l'ai ressenti ainsi.

      Il y a des cris silencieux qui ne sortent que très tard ... C'est une abomination de dire que des crimes contre les enfants sont prescrits !

    Durant ces trois ou quatre jours, je n'ai pas pensé aux coups reçus sur ma tête chaque jour. Des humiliations quotidiennes... J'ai vu deux choses surtout ... Cette autre petite fille de 3 ans qui criait en recevant des coups lors de son bain. Ces deux "religieuses" qui s’échappaient en fermant la porte derrière elles par lâcheté sans dire : Arrêtez et surtout, le dénoncer. Et cela durant 6 ans !

    Puis je me vois là, au fond de la pièce... qui écoutais ses cris aussi... et qui n'ai rien dit ni fait quoi que ce sois car j'avais peur. J'avais entre 11 et 17 ans ... j'aurais pu faire ou dire quelque chose. 

    Voici où l'innocence de l'enfant peut mener ... pas un seul jour j'ai désiré du mal à cette religieuse qui nous battais. Pas une seule fois j'ai pensé à dire quoi que ce sois ...

    On ne sors pas indemne de tout cela... même avec des psychothérapies, et même avec de l'Amour. Mais pas un seul moment j'ai cru ni crois encore aujourd'hui que Dieu m'a abandonné.

    Pour une fois je citerai ici cette femme qui m'a soignée et qui encore me tend la main tout en étant à la retraite. Elle m'a dit en prenant mes deux mains :

    "Je ne vous abandonnerai pas" 

    Alors Merci à la Vie dans ces êtres qui sont là pour tendre la main ... 

    Oui, j'ai été trop sonnée par ce qui c'est passé à Lyon lors du procès et acquittement.

    Je ne crois pas que Monseigneur Barbarin ait été coupable. Mais le silence maudit de cet église oui. Les règles du silence OUI.

    Vous aurez à répondre surtout devant la face de l'Amour qui à veillé sur le pauvre fétus que j'étais.Ces mots de chaque jour à 15h " Tu seras comme ta mère et tu ne feras rien de ta vie" Ah non, cela ne restera pas impuni ... 

    Je vais continuer à me battre et là que je suis capable de parler, je pourrais comprendre mieux l'autre. Ce que je trouve un crime c'est d'arracher l'innocence du cœur   

     

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  • Juste que des nouvelles pour aujourd'hui

    Je vous remercie de vos passages et compréhension pour mon silence.

    Pour l'estomac c'est déjà passé.

    Cependant j'ai une grande difficulté à m'exprimer pour aujourd'hui . Peut être demain. Vous me manquez car en vérité parmi vous j'ai des vrais amis ! Que Dieu vous bénisse car je crois en lui. 

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  • lisi martin | Работы Lisi Martin « Николлетто

    Merci Mamie Lucette et Claude de votre passage. Excusez moi de l'article copié collé d'hier bien triste pour un début d'année.

    Mon estomac ne s’améliore pas mais continue de me soigner. Suis incapable de rester trop sur l'ordinateur.  

    Je crois que cette ambiance de violence

    est perturbatrice.

    Merci mes amis d'être là. Je passe juste chez vous pour vous dire bonsoir.

      

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  • Je viens de lire cet article qui m'a rassurée. Je le met surtout pour ceux qui sont ainsi accables jour après jour. Aussi pour faire comprendre ce mal qu'en ce moment n'est pas totalement reconnu par la Sécurité sociale qui cet année 2019 nous fait payer une partie d'un médicament régulateur ... qui nous aide et qui sans lui on peut mourir. Il faut croire que donner gratuitement la pilule du lendemain est plus important que de prévenir un suicide. Je dis cela car en étant à 100/100 pour ma maladie à vie ...reconnue très peu ou mal on va me faire payer 4 euros de ma poche. 

    Voyez ce que dit un Professeur récemment sur France info 

     

    Dire \"secoue-toi un peu\" à une personne déprimée, ça ne sert à rien.

    Photo David Gonzalez

    Fabien Vinckier est psychiatre, médecin chercheur à l'université Paris-Descartes, post-doctorant, à l'Institut du cerveau et de la moëlle épinière (ICM). La version originale de cet article a été publiée sur The Conversation.


    "Fais un effort !", ou encore : "Si tu n'essayes pas de te secouer un peu, comment veux-tu t'en sortir ?" De telles recommandations sont adressées quotidiennement aux personnes souffrant de dépression et se déclinent sous de nombreuses formes.

    Ce type d'échange avec l'entourage est rapporté si souvent par les patients que les psychiatres ont fini par lui donner un petit nom. Ils l'appellent le "syndrome Orangina", allusion au slogan de la marque de boisson gazeuse : "Secouez-moi, sinon la pulpe elle reste en bas".

    Ces petites phrases sont prononcées le plus souvent avec bienveillance et empathie, dans l'intention d'aider. Parfois, elles sortent sous le coup de l'exaspération, ou à cause de la peine que peut susciter en nous l'apathie d'un proche, ou d'un collègue. Pourtant, elles ne semblent que rarement porter leurs fruits. Pire, ces mêmes patients expliquent très bien combien ces conseils et injonctions peuvent s'avérer culpabilisants et finalement contre-productifs.

    Les neurosciences permettent aujourd'hui de mieux comprendre pourquoi. Et doivent inciter l'entourage à chercher d'autres moyens d'aider un proche touché par une dépression.

    La dépression, un état de tristesse, mais pas seulement

    Il est difficile, pour un non-malade, de se représenter la dépression. Lorsque nous tentons de le faire, les images qui viennent naturellement sont celles de la tristesse. Nous puisons dans notre histoire personnelle des souvenirs douloureux et essayons – ce qui est parfois ardu – de nous remémorer notre état d'alors. Le tableau de dépression inclut en effet les angoisses, l'état de tristesse, en d'autres termes – sans doute plus proches de la réalité vécue par le malade – la souffrance psychique et la douleur morale.

    Avec les idées suicidaires, cette souffrance est la partie la plus visible de la dépression et probablement la plus "compréhensible" pour l'entourage. De la même façon que nous compatissons à la vue d'une blessure physique, nous souffrons avec nos proches éprouvant une douleur morale, même lorsque nous n'en comprenons pas la cause.

    Mais la dépression ne se traduit pas seulement par cet excès d'affects dits négatifs. Elle se manifeste également par une autre facette, tout aussi fréquente et tout aussi grave : le défaut d'affects positifs. Les psychiatres disposent d'un jargon varié pour en décrire les différents symptômes : l'anhédonie ou incapacité à éprouver du plaisir, l'aboulie ou abolition de la volonté, l'apragmatisme, ou incapacité à entreprendre des actions ou encore l'athymhormie, la perte de l'élan vital.

    Le "coup de mou" est transitoire, pas la dépression

    Lorsque nous essayons de nous figurer ces symptômes, nous pouvons nous remémorer des "coups de mou", des périodes d'abattement. Ces états ont pu résulter, chez nous, d'une infection, d'une surcharge de travail ou faire suite à une nouvelle douloureuse. Ils se sont heureusement avérés transitoires.

    De fait, lorsque quelques jours de repos n'ont pas suffi à sortir de cet état, nos proches étaient là pour nous "secouer" utilement, nous pousser à agir ou nous "changer les idées". Mais au cours de la dépression, les idées ne changent pas à la demande, sous l'effet d'une simple distraction ou sur une injonction… ni même spontanément. Le terme de rumination, l'un des symptômes de la dépression, définit justement cette incapacité à "changer d'idées", cette propension à rester fixé encore et encore sur les mêmes pensées négatives, à s'accuser des mêmes maux. Le plus souvent, le patient atteint de dépression est pleinement conscient de son état. Il en souffre, mais semble incapable de changer de perspective.

    Cette seconde composante de la dépression, le défaut d'affects positifs, n'est pas forcément bien traitée par les thérapeutiques actuelles. Les antidépresseurs conventionnels (et notamment les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) semblent chez une majorité de patients plus efficaces pour cibler la première composante, l'excès d'affects négatifs, selon la littérature scientifique.

    Une maladie touchant les réseaux du cerveau impliqués dans la motivation

    Les connaissances les plus récentes en neurosciences laissent penser qu'il s'agit d'une maladie de la motivation, c'est-à-dire touchant les réseaux du cerveau impliqués dans la motivation. Si ces malades atteints de dépression pouvaient vouloir, s'ils pouvaient "faire un effort", cela signifierait… qu'ils ne sont plus déprimés.

    De la même manière qu'il serait absurde d'exiger d'un patient atteint de diabète qu'il demande à son pancréas de "faire un effort", ou à un autre s'étant cassé la jambe d'avoir moins mal ou de courir, il est absurde d'exiger d'un "malade de la motivation" de se montrer un peu plus volontaire.

    Il existe plusieurs façons, pour un chercheur, d'aborder les mécanismes de la motivation. Ainsi, il est possible de se poser la question de ses déterminants liés à la génétique ou à l'environnement, de ses fondements neurobiologiques (à l'échelle microscopique d'une cellule et de ses récepteurs, des neurotransmetteurs), de ses bases cérébrales (visibles par les études en imagerie, à l'échelle d'une aire cérébrale donc du centimètre) ou encore de ses mécanismes cognitifs (liés au fonctionnement de la pensée).

    Notre équipe de neurosciences cognitives, l'équipe "Motivation cerveau et comportement" à l'Institut du cerveau et de la moelle épinière (ICM), étudie ces différents aspects chez les patients. Nous utilisons notamment l'IRM fonctionnelle ou l'électrophysiologie, tout en tenant compte des médicaments prescrits.

    Dans cette approche, la motivation peut se définir comme l'ensemble des facteurs qui déterminent le comportement d'un individu ; soit en termes de direction : il choisit une action plutôt qu'une autre – par exemple de se faire lui-même à dîner, plutôt que de commander une pizza ; soit en termes d'intensité : il détermine la quantité de ressources qu'il alloue à une action, c'est-à-dire l'effort qu'il va fournir ou le temps qu'il va y consacrer.

    Une confrontation entre les bénéfices et les coûts

    Lorsque nous devons choisir entre plusieurs actions ou décider de faire un effort, notre décision repose sur la confrontation entre deux éléments opposés : d'un côté les bénéfices, c'est-à-dire la récompense que nous pouvons obtenir – mais aussi les pertes que nous pouvons éviter – et de l'autre côté, les coûts, notamment l'énergie dépensée ou l'effort exigé.

    Dans ce contexte, la notion de récompense peut désigner un bien matériel, par exemple un objet, de la nourriture et même de l'argent ou, à l'inverse, un bien immatériel, comme le plaisir de se plonger dans un livre ou l'estime de ses proches. De même, les coûts peuvent désigner aussi bien des coûts physiques que des efforts mentaux.

    Cette partition en deux catégories des déterminants de nos actions est probablement réductrice, voire simpliste. Mais elle permet de pointer l'origine d'un trouble de la motivation comme relevant de l'un de ces deux grands axes : soit une diminution de la sensibilité aux récompenses ou de la sensibilité aux pertes (à la "carotte" ou au "bâton" pour reprendre cette image classique), soit une augmentation de la sensibilité à l'effort. Ces deux mécanismes peuvent sans doute coexister chez un même patient, à des degrés plus ou moins importants.

    Prenons l'exemple d'une personne qui se trouve face à la possibilité de sortir pour retrouver ses amis au restaurant. Un patient souffrant de dépression peut s'en montrer incapable soit parce que la perspective de récompense (le plaisir d'être avec ses proches) est abolie, soit parce que le coût de chacune des actions nécessaires pour rejoindre ses amis est démultiplié chez lui – autrement dit, l'effort associé au fait de prendre une décision, de s'habiller, se coiffer et parcourir la distance jusqu'au restaurant est majoré.

    Chaque décision devient une montagne à escalader

    De nombreux patients expriment d'ailleurs précisément leurs difficultés en ces termes : la moindre décision, la moindre action, deviennent autant de montagnes à gravir. De fait, à chaque fois que nous demandons à un proche déprimé "d'essayer un peu", de faire un effort qui nous paraît minime, nous lui demandons en fait de réaliser une ascension phénoménale… alors qu'il ne sera pas forcément en état de profiter de la vue une fois parvenu au sommet, pourrions-nous ajouter pour filer la métaphore.

    Au cours des dernières années, plusieurs équipes à travers le monde ont cherché à mesurer ces deux facettes de la motivation, au sein de la population générale ou chez des patients atteints d'un trouble de la motivation, comme la dépression.

    L'enjeu est d'autant plus important qu'un faisceau d'arguments semble indiquer que les bases cérébrales et chimiques de chacune sont différentes. Lorsque nous calculons la valeur de la récompense ou le coût de l'effort, ce ne sont pas les mêmes régions cérébrales et probablement pas les mêmes neurotransmetteurs, ces messagers chimiques entre neurones, qui sont à l'œuvre.

    Or, il n'existe à l'heure actuelle aucun moyen validé pour que les psychiatres puissent, dans leur pratique quotidienne, mesurer le poids respectif de ces deux mécanismes chez un patient. Pour l'instant, de telles évaluations sont limitées à des patients ayant adhéré à un protocole de recherche et ne valent qu'à l'échelle d'un groupe.

    The ConversationPourtant, il y a fort à parier ces deux grands types de troubles de la motivation pourraient nécessiter des interventions thérapeutiques différentes – qu'il s'agisse de médicaments, de stimulation cérébrale comme la stimulation magnétique transcranienne ou l'électroconvulsivothérapie, ou de psychothérapies. Dans le futur, il sera sans doute possible de distinguer, chez un proche atteint de dépression, lequel des deux mécanismes est impliqué. En attendant, abstenons-nous, déjà, de l'accabler par un "si on veut, on peut".

    Fabien Vinckier

     

    Mon mal d'estomac est lancinant et je prends des pansements pour l’améliorer comme le le phosphalugel

    Je vous souhaite un bon samedi. 

    Hugues est à Paris... et bien j'ai du lui dire pas texte que suis incapable de lui passer un coup de fil ...

     

    A ceux qui vivez cela, sachez que vous n'êtes pas fous et que des autres vivent cela aussi.

    Courage ! 

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  • Bonsoir mes amis,

    Je viens pour vous dire que j'ai des maux d'estomac qui me plient en deux. Mais je me soigne. Aussi j'ai une grosse fatigue et je dors beaucoup ou j'ai besoin de repos.

    Excusez moi de pas pouvoir passer par chez vous et de pas pouvoir souhaiter une bonne année à chacun comme je le désire... je le ferai des que possible. 

    Bon Weekend et à bientôt ! Peut être demain cela ira mieux ... je vis le moment présent.

    Bisous 

    Titi et nani 

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    "...Je suis désolé, mais je ne veux pas être empereur, ce n'est pas mon affaire.
    Je ne veux ni conquérir, ni diriger personne.

    Je voudrais aider tout le monde dans la mesure du possible, juifs, chrétiens, païens, blancs et noirs. Nous voudrions tous nous aider si nous le pouvions,
    les êtres humains sont ainsi faits.

    Nous voulons donner le bonheur à notre prochain, pas lui donner le malheur.
    Nous ne voulons pas haïr ni humilier personne.

    Chacun de nous a sa place et notre terre est bien assez riche, elle peut nourrir tous les êtres humains.

    Nous pouvons tous avoir une vie belle et libre mais nous l'avons oublié.

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    L'envie a empoisonné l'esprit des hommes, a barricadé le monde avec la haine,
    nous a fait sombrer dans la misère et les effusions de sang.

    Nous avons développé la vitesse pour nous enfermer en nous-mêmes.
    Les machines qui nous apportent l'abondance nous laissent dans l'insatisfaction. Notre savoir nous a fait devenir cyniques.

    Nous sommes inhumains à force d'intelligence,

    nous pensons beaucoup trop et nous ne ressentons pas assez.

    Nous sommes trop mécanisés et nous manquons d'humanité.

    Nous sommes trop cultivés et nous manquons de tendresse et de gentillesse.

    Sans ces qualités humaines, la vie n'est plus que violence et tout est perdu.

    Les avions, la radio nous ont rapprochés les uns des autres,
    ces inventions ne trouveront leur vrai sens que dans la bonté de l'être humain,
    que dans la fraternité, l'amitié et l'unité de tous les hommes.

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    En ce moment même, ma voix atteint des millions de gens à travers le monde, des millions d'hommes, de femmes, d'enfants désespérés, 
    victimes d'un système qui torture les faibles et emprisonne des innocents.

    Je dis à tous ceux qui m'entendent:

    Ne désespérez pas !

    Le malheur qui est sur nous n'est que le produit éphémère 
    de l'habilité,de l'amertume de ceux qui ont peur 
    des progrès qu'accomplit l'Humanité.

    Mais la haine finira par disparaître et les dictateurs mourront,
    et le pouvoir qu'ils avaient pris aux peuples va retourner aux peuples.

    Et tant que des hommes mourront pour elle, la liberté ne pourra pas périr.

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    Soldats, ne vous donnez pas à ces brutes,
    à une minorité qui vous méprise et qui fait de vous des esclaves,
    enrégimente toute votre vie et qui vous dit tout ce qu'il faut faire
    et ce qu'il faut penser, qui vous dirige, vous manoeuvre,
    se sert de vous comme chair à canons et qui vous traite comme du bétail.

    Ne donnez pas votre vie à ces êtres inhumains,

    ces hommes-machines avec une machine à la place de la tête
    et une machine dans le coeur.

    Vous n'êtes pas des machines !

    Vous n'êtes pas des esclaves !

    Vous êtes des hommes !

    des hommes avec tout l'amour du monde dans le coeur.
    Vous n'avez pas de haine, sinon pour ce qui est inhumain,
    ce qui n'est pas fait d'amour.

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    Soldats ne vous battez pas pour l'esclavage mais pour la liberté.

    Il est écrit dans l'Evangile selon Saint Luc
    "Le Royaume de Dieu est dans l'être humain",
    pas dans un seul humain ni dans un groupe humain,
    mais dans tous les humains, mais en vous,
    en vous le peuple qui avez le pouvoir.
    Le pouvoir de créer les machines,
    le pouvoir de créer le bonheur.
    Vous, le peuple, vous avez le pouvoir.
    Le pouvoir de rendre la vie belle et libre,
    le pouvoir de faire de cette vie une merveilleuse aventure.

    Alors au nom même de la Démocratie,
    utilisons ce pouvoir.
    Il faut tous nous unir,
    il faut tous nous battre pour un monde nouveau,
    un monde humain qui donnera à chacun l'occasion de travailler,
    qui apportera un avenir à la jeunesse et à la vieillesse la sécurité.

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    Ces brutes vous ont promis toutes ces choses
    pour que vous leur donniez le pouvoir : ils mentaient.
    Ils n'ont pas tenu leurs merveilleuses promesses ; jamais ils ne le feront.
    Les dictateurs s'affranchissent en prenant le pouvoir
    mais ils font un esclave du peuple.

    Alors, il faut nous battre pour accomplir toutes leurs promesses.

    Il faut nous battre pour libérer le monde,
    pour renverser les frontières et les barrières raciales,
    pour en finir avec l'avidité, avec la haine et l'intolérance.

    Il faut nous battre pour construire un monde de raison,
    un monde où la science et le progrès mèneront tous les hommes vers le bonheur.

    Soldats, au nom de la Démocratie, unissons-nous tous !

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    Hannah, est-ce que tu m'entends ?

    Où que tu sois, lève les yeux !

    Lève les yeux, Hannah !

    Les nuages se dissipent ! Le soleil perce !

    Nous émergeons des ténèbres pour trouver la lumière !

    Nous pénétrons dans un monde nouveau, un monde meilleur,
    où les hommes domineront leur cupidité, leur haine et leur brutalité.

    Lève les yeux, Hannah !

    L'âme de l'homme a reçu des ailes 
    et enfin elle commence à voler.

    Elle vole vers l'arc-en-ciel, vers la lumière de l'espoir.

    Lève les yeux, Hannah !

    Lève les yeux !...." 


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