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Un jour de fête ...des personnes qui ont été invités. Des autres qui on sonné à la porte et nous voila, partageant un repas mais plus encore un moment d'humanité. C'est dans ces lieux que j'ai ressenti en moi un regard valorisant. On ne comparé personne ni rien on est ensemble. Voilà cette humanité pour la quelle j'ai quitté mon pays où l'ont m'invitait à l'haine et la vengeance envers ceux qui avaient torturé un enfant durant 6 ans.
Voilà ce remède plus puissant que les pilules de tous les couleurs. Pilules d'un jour qui ne comblent ni construisent vraiment. Je vois des gars dans le CMP abroutis par les médocs mais qui ont perdu leur personnalité.
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Voici Titi et son copain Tibours de ma copine Geneviève.
Titi en voiture pour promenade. Sans fermer car il reste assis ou ouvert et il sort lorsqu'il veux marcher... Libre !!!
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Tu viens de partir ....mais tu Aimais tant la Vie que je te verrai toujours VIVANTE.
J'ai mal mais je sais que tu est partie heureuse car tu en avais marre de cette merde de cancer. Je te verrai dans notre couloir avec nos chats à jamais. Entre voisins, parfois on est trop pudique mais je savais tellement de toi sans avoir eu des longs épanchements.
Je t'ai grondé et me suis fâché soupçonnant la bouteille dans ton cabas chaque fois... puis j'ai pensé que tu avais ton histoire ... alors on a fait avec !
Tu sais, ce que tu m'a apporté c'est ton envie de la vie malgré les malgré. Tu avais ton histoire et pas facile ! Mais tu as été toujours une fille digne. tu me manques car entre nous on pouvais être ce que l'on est en vérité sans faire des chichis. Titi va devant ta porte encore et il s'arrête à chaque fois. Tes chats je pense que vont être adoptés ... si j'avais eu une grande maison ! ils auraient resté avec nous car ils venaient à chaque fois s'étaler et piquer des croquette de Titi.
Avant ton départ tu as demandé à ton neveu de t'amener revoir le bois de Vincennes où tu aimais tant aller ... en ce soir où j'ai le cœur gros et les jambes qui me tremblent ... j'ai préféré te faire un hommage . Va ! Va en Paix !
Cascade du bois de Vincennes
Bois de Vincennes
La VIE
Combien d'Amour donné et reçu de tes chats ...
à tes chats ...
27 Août 2018
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C'est avec Bambi que j'ai fini l'article sur mon blog canal où je ne sais pas pourquoi je me sens plus a laise.
Je ne suis pas venue vous visiter chacun mais vous avec été dans mon cœur vous mes mais fidèles. Je passerai demain ! Bisous nani
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Nous vous souhaitons une belle semaine.
Nous avons besoin de prendre du temps rien qu'entre nous
bisous.
nani et Titi
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« Aimer à perdre la raison », la chanson de Jean Ferrat remise à l’honneur cette année par Les Enfoirés, provient d’un poème d’Aragon, « La croix pour l’ombre », extrait des « Chants du Medjnoûn », recueil de poèmes composés par le personnage principal du grand poème Le Fou d’Elsa (1963). Dans l’ouvrage d’Aragon, il est l’un des rares poèmes de ce recueil fictivement inséré dans ce monstrueux poème à ne recevoir aucun commentaire, comme s’il allait de soi. La chanson fabriquée en 1971 par Jean Ferrat à partir de ce poème, qu’il confia ensuite à Isabelle Aubret, en reprend les trois dernières strophes.
La fabrication par Jean Ferrat de cette chanson, qui nous revient grâce à la tournée des Enfoirés, est semblable à celle de bien des adaptations d’Aragon en musique par le même compositeur.
De ces trois dernières strophes :Aimer à perdre la raison
Aimer à n’en savoir que dire
A n’avoir que toi d’horizon
Et ne connaître de saisons
Que par la couleur du partir
Aimer à perdre la raisonAh c’est toujours toi que l’on blesse
C’est toujours ton miroir brisé
Mon pauvre bonheur, ma faiblesse
Toi qu’on insulte et qu’on délaisse
Dans toute ta chair martyrisée
Ah c’est toujours toi que l’on blesseLa faim, la fatigue et le froid
Toutes les misères du monde
C’est par mon amour que j’y crois
En elle je porte ma croix
Et de leurs nuits ma nuit se fonde
La faim, la fatigue et le froidLes gens heureux n’ont pas d’histoire
C’est du moins ce que l’on prétend
Le blé que l’on jette au blutoir
Les boeufs qu’on mène à l’abattoir
Ne peuvent pas en dire autant
Les gens heureux n’ont pas d’histoireC’est le bonheur des meurtriers
Que les morts jamais ne dérangent
Il y a fort à parier
Qu’on ne les entend pas crier
Ils dorment en riant aux anges
C’est le bonheur des meurtriersAmour est bonheur d’autre sorte
Il tremble l’hiver et l’été
Toujours la main dans une porte
Le coeur comme une feuille morte
Et les lèvres ensanglantées
Amour est bonheur d’autre sorteLa thématique développée par ces trois première strophes absentes de la chanson est la même que celle du « mot d’ordre » du refrain : « Aimer à perdre la raison », celle de l’amour-passion, qui loin d’apaiser et de satisfaire celui qui l’éprouve, lui fait perdre sérénité et bien-être, mesure et discernement. .
Reste que le succès populaire de cette chanson, qui doit une énorme part au lyrisme de sa mise en musique et de ceux qui l’ont portée, ne va pas de soi : extraites de leur contexte, reconnaît-on dans les strophes devenues les couplets de cette chanson le blasphème prononcé par le Medjnoûn et par ses interprètes successifs ? Ce blasphème est celui d’un homme porté par l’amour pour sa femme comme les croyants ont à l’être pour le Christ, qui proclame que c’est la divinité qu’il aime que l’on fait souffrir à chaque fois qu’il est porté atteinte à une vie sur terre, et qu’il peut supporter la souffrance dans la mesure où elle trouve un sens dans l’existence de la divinité qui est son but et son chemin...
Toujours est-il qu’au XXIe siècle, en France, on peut encore blasphémer sur les ondes au nom de l’amour, c’est si beau et si rassurant...Hervé Bismuth
ET !
Le Malheur d'Aimer
Que sais-tu des plus simples choses
Les jours sont des soleils grimés
De quoi la nuit rêvent les roses
Tous les feux s'en vont en fumée
Que sais-tu du malheur d'aimer
Je t'ai cherchée au bout des chambres
Où la lampe était allumée
Nos pas n'y sonnaient pas ensemble
Ni nos bras sur nous refermés
Que sais-tu du malheur d'aimer
Je t'ai cherchée à la fenêtre
Les parcs en vain sont parfumés
Où peux-tu où peux-tu bien être
A quoi bon vivre au mois de mai
Que sais-tu du malheur d'aimer
Que sais-tu de la longue attente
Et ne vivre qu'à te nommer
Dieu toujours même et différente
Et de toi moi seul à blâmer
Que sais-tu du malheur d'aimer
Que je m'oublie et je demeure
Comme le rameur sans ramer
Sais-tu ce qu'il est long qu'on meure
A s'écouter se consumer
Connais-tu le malheur d'aimerMerci Luce !
Ah oui, je t'ai cherché si longtemps !
Puis
C'est moi qui t'ai fait fuir ? Pourquoi ? Que se passe-t-il ?
Existes tu toujours ? dis le moi s'il te plaît ... Sans toi je suis rien et par Amour je veux être le rien de ton TOUT. Je regarde les gens et c'est étrange, je ne te vois plus non plus. Que se passe-t-il ? ça serais comme cette chanson ... devrais-je croire que Avoir Aimé c'est devenu un malheur ? Tu sais, je ne suis plus catho ni rien car tout cela m'a faussé le chemin. Je veux recommencer le chemin juste avec mon rien et mon chat... et toi si tu le veux bien encore. J'ai tellement peur tu sais, tout est si obscur mais j'ai encore l'envie de rire ... c'est étrange, je me dis que quelque part je garde dans mon rien un enfant... Viens car j'ai frappé à la porte ...
Non, il n'existe pas d'enfant difficile
C'est difficile d'être un enfant
A ceux qui souffrent d'Aimer, ou qui manquent d'amour
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