• Repos

    Mes Amis, un petit temps de pause...

     

    N'ayez jamais, jamais peur de faire ce qui est juste, surtout si le bien-être d'une personne ou d'un animal est en jeu. Les punitions de la société sont faibles par rapport aux blessures que nous infligeons à notre âme quand nous détournons le regard !

    Martin Luther King

     

     

     

    Aucun rapport humain ne place l'un en possession de l'autre.

    Dans chaque couple d'âmes, les deux sont absolument différents.

    En amitié comme en amour, les deux, côte à côte, se mettent ensemble pour trouver ce que ni l'un ni l'autre ne peuvent atteindre seul.

     Federico Moccia

     

     

     

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    Merci PL 

     

     

    L'insouciance est l'art de se balancer dans la vie comme sur une escarpolette, sans s'inquiéter du moment où la corde cassera.

     Honoré de Balzac

     

     

    Ne te préoccupe pas de ce que font les autres ou de ce qu'ils laissent non accompli. Il n'est pas dans ta responsabilité d'évaluer leurs pensées ni leurs actions. Simplement, sois responsable de comment toi,

    tu penses et agis.

    Paul Ferrini

     

     

     

     

    Souvenez-vous des paroles du Seigneur Jésus qui Lui-même a dit :

    « Votre Père céleste sait que vous avez besoin de toutes ces choses » (Matt. 6:32).

    JESUS 

     

     

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    Évangile de saint Jean 11,19-27.

     

    Beaucoup de Juifs étaient venus réconforter Marthe et Marie au sujet de leur frère.
    Lorsque Marthe apprit l’arrivée de Jésus, elle partit à sa rencontre, tandis que Marie restait assise à la maison.
    Marthe dit à Jésus : « Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort.
    Mais maintenant encore, je le sais, tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te l’accordera. »
    Jésus lui dit : « Ton frère ressuscitera. »
    Marthe reprit : « Je sais qu’il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour. »

    Jésus lui dit : « Moi, je suis la résurrection et la vie.

    Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ;
    quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? »
    Elle répondit : « Oui, Seigneur, je le crois : tu es le Christ, le Fils de Dieu, tu es celui qui vient dans le monde. »

     

     

     

    Mes Amis, qui peux nous dire ce que Jésus

    nous dit ?

    MOI, JE SUIS LA RESSURECTION ET LA VIE

    Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra

     

    Personne pourra nous parler ainsi.

    Voici l'explicatrion que Jésus nous donne.

    Même si nous mourons, nous vivrons.

    Pourquoi avons nous, tant besoin de comprendre

    ces mots si simples de Jésus ?

    La créature humaine a besoin de tas de paroles !

    Tellement des explications, des assurances...

    Qu'est ce que nous fais douter ?

    L'Amour gratuit.

    Nous croyons que pour avoir l'Amour de Jésus,

    nous devons le mériter, faire des choses, comme

    l'on fait pour gagner des échelons dans le

    monde du travail. Dans ce monde où le Mammon de

    l'argent et du pouvoir régnent. 

    Pour avoir cet argent on peut faire n'importe quoi.

    Et nous nous mefions de la gratuité.

    Nous avons peur de la mort, sans vouloir croire

    que le Seigneur de la VIE nous fera vivre

    pour toujours...

     

     

     

     

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    le moi pense qu’il est la personne la plus importante au monde

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    JESUS JE T'AIME

     

     

     

     Moi, je suis la résurrection et la vie.

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    Évangile selon Saint Matthieu 13,36-43.

     

    En ce temps-là, laissant les foules, Jésus vint à la maison. Ses disciples s’approchèrent et lui dirent : « Explique-nous clairement la parabole de l’ivraie dans le champ. »
    Il leur répondit : « Celui qui sème le bon grain, c’est le Fils de l’homme ;
    le champ, c’est le monde ; le bon grain, ce sont les fils du Royaume ; l’ivraie, ce sont les fils du Mauvais.
    L’ennemi qui l’a semée, c’est le diable ; la moisson, c’est la fin du monde ; les moissonneurs, ce sont les anges.
    De même que l’on enlève l’ivraie pour la jeter au feu, ainsi en sera-t-il à la fin du monde.
    Le Fils de l’homme enverra ses anges, et ils enlèveront de son Royaume toutes les causes de chute et ceux qui font le mal ;
    ils les jetteront dans la fournaise : là, il y aura des pleurs et des grincements de dents.
    Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Celui qui a des oreilles, qu’il entende !

     

     

    Mes Amis, demandons les uns pour les autres,

    la grâce de bénir ceux qui nous font du mal.

    Que tout dans notre vie soit selon la *charité,

    pas sur la vengence.  

     

     (* Vertu spirituelle qui est l'amour parfait venant de

    Dieu et dont Dieu est l'objet, lien d'unité intime entre

    Dieu et les hommes, créatures de Dieu )

    +

     

    Il existe une moisson pour les épis de blé matériels et

    une autre pour les épis doués de raison, c'est-à-dire le

    genre humain. Celle-ci s'effectue chez les infidèles et

    rassemble dans la foi ceux qui accueillent l'annonce

    de l'Evangile. Les ouvriers de cette moisson sont les

    apôtres du Christ, puis leurs successeurs, puis, au

    cours du temps, les docteurs de l'Eglise. Le Christ a

    dit à leur sujet ces paroles : « Le moissonneur reçoit

    son salaire ; il récolte du fruit pour la vie éternelle » (Jn 4,36)...

     

     

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        Mais il y a encore une autre moisson : c'est le

    passage de cette vie à la vie future qui, pour chacun

    de nous, se fait par la mort. Les ouvriers de cette

    moisson-là ne sont pas les apôtres, mais les anges. Ils

    ont une plus grande responsabilité que les apôtres,

    car ils font le tri qui suit la moisson et ils séparent les

    méchants des bons, comme on le fait avec l'ivraie et

    le bon grain... Nous sommes dès aujourd'hui « le

    peuple choisi de Dieu, la race sainte » (1P 2,9), l'Eglise

    du Dieu vivant, choisis parmi les impies et infidèles.

    Puissions-nous être séparés de l'ivraie de ce monde

    de la même manière dans le monde à venir, et agrégés

    à la foule de ceux qui sont sauvés dans le Christ,

    notre Seigneur, qui est béni dans les siècles.

    -Saint Grégoire Palamas-

     

     

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    Celui qui a des oreilles, qu’il entende !

     

     

     

     

     

    Celui qui a des oreilles, qu’il entende !

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    Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 13,31-

    35

     

    En ce temps-là, Jésus proposa aux foules une autre parabole : « Le royaume des Cieux est comparable à une graine de moutarde qu’un homme a prise et qu’il a semée dans son champ.
    C’est la plus petite de toutes les semences, mais, quand elle a poussé, elle dépasse les autres plantes potagères et devient un arbre, si bien que les oiseaux du ciel viennent et font leurs nids dans ses branches. »
    Il leur dit une autre parabole : « Le royaume des Cieux est comparable au levain qu’une femme a pris et qu’elle a enfoui dans trois mesures de farine, jusqu’à ce que toute la pâte ait levé. »
    Tout cela, Jésus le dit aux foules en paraboles, et il ne leur disait rien sans parabole,
    accomplissant ainsi la parole du prophète : J’ouvrirai la bouche pour des paraboles, je publierai ce qui fut caché depuis la fondation du monde.

     

     

      

    Cette question du règne de Dieu permet à Jésus de

    rappeler à ses auditeurs  que l’avènement du royaume

    de Dieu ne résulte pas d’abord des efforts des

    hommes:

    C’est toujours Dieu qui a l’initiative.

    C’est Dieu le premier qui est à l’œuvre.

    Il ne nous demande que notre patience, notre

    espérance et notre foi .

    Le royaume de Dieu  n’apparaît pas de façon

    spectaculaire. Dieu ne se manifeste pas par sa toute

    puissance .

    Dans les deux paraboles, il s’agit de petites graines

     de semence, bien fragiles. Mieux encore , Jésus souligne que la graine de moutarde est la plus petite de toutes les semences. Et si l’homme est bien celui qui jette la graine en terre, la germination n’est pas d’abord de sa responsabilité.

    C’est l’Esprit de Dieu qui fait grandir le royaume .

    La Parole de Dieu est semée dans nos cœurs , à nous

    de l’accueillir , de la laisser germer en nous pour

    qu’elle porte du fruit .

     Laissons donc l’Esprit  Saint travailler nos cœurs .

     

    Mots d'Etienne : Le grain et le levain

     

     

     

     

     

     

     

     

    UNE PETITE GRAINE DE MOUTARDE

     

     

     

     

    UNE PETITE GRAINE DE MOUTARDE

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    Mes Amis, excussez-moi. Incapable de faire un article.

    J'ai eu a vivre un moment assez lourd. Mais

    pour un bien.

    J'ai trouvé cette citation assez bonne.

    Penser avec Amour !!! 

    Penser du bien de l'autre et ce même s'il nous déçoit.

    Combien notre cerveau nous joue des tours. Il trotte

    dans la tête.

    Juste avoir une pensé positive par jour...

     

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    ABBA, PERE

     

     

     

    L'IDEAL SERAIT D'AVOIR LE COEUR DANS LA TÊTE

     

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    Mes Amis, on a peur de la souffrance. On est tenté

    de tourner les yeux lorsque on voit des

    gens qui souffrent...par la maladie, la solitude,

    sans domicile fixe. On peut dire : Cela ce n'est pas

    mon truc. Qui parle ainsi, ne connait pas la joie

    de celui qui trouve une main dans sa vie. 

    Jésus nous a tendu sa main et pourtant on était 

    pas dans un état " trop propre " Le Seigneur n'a

    pas peur de se meler aux foules. De toucher les

    lépreux, les pécheurs, et tout être humain.

    Aussi essayons de lire à la lumière de l’épitre de

    Paul aux Ephésiens « Ayez beaucoup d’humilité, de

    douceur et de patience, supportez-vous les uns les

    autres avec amour ; ayez soin de garder l’unité dans

    l’Esprit par le lien de la paix. Car il y a une seule

    espérance, un seul Corps, un seul Esprit, un seul

    Seigneur, une seule foi, un seul baptême, un seul Dieu

    et Père de tous, au-dessus de tous, par tous, et en

    tous. » (Ep 4,2…6)

      

    La souffrance fait aussi partie de l’existence humaine.
    Il faut certainement faire tout ce qui est possible pour atténuer la souffrance : empêcher, dans la mesure où cela est possible, la souffrance des innocents ; calmer les douleurs ; aider à surmonter les souffrances psychiques. Oui, nous devons tout faire pour surmonter la souffrance, mais l’éliminer complètement du monde n’est pas dans nos possibilités – simplement parce que nous ne pouvons pas nous extraire de notre finitude et parce qu’aucun de nous n’est en mesure d’éliminer le pouvoir du mal, de la faute, qui – nous le voyons – est continuellement source de souffrance.
    Dieu seul pourrait le réaliser : seul un Dieu qui entre personnellement dans l’histoire en se faisant homme et qui y souffre. Nous savons que ce Dieu existe et donc que ce pouvoir qui « enlève le péché du monde » (Jean 1, 29) est présent dans le monde.
    Par la foi dans l’existence de ce pouvoir, l’espérance de la guérison du monde est apparue dans l’histoire. L’espérance qui nous donne le courage de nous mettre du côté du bien même là où cela semble sans espérance."

     Nous pouvons chercher à limiter la souffrance, à lutter contre elle, mais nous ne pouvons pas l’éliminer.
    Justement là où les hommes, dans une tentative d’éviter toute souffrance, cherchent à se soustraire à tout ce qui pourrait signifier souffrance, ils s’enfoncent dans une existence vide, dans laquelle peut-être n’existe pratiquement plus de souffrance, mais où il y a d’autant plus l’obscure sensation du manque de sens et de la solitude. Ce n’est pas le fait d’esquiver la souffrance, de fuir devant la douleur, qui guérit l’homme, mais la capacité d’accepter les tribulations et de mûrir par elles, d’y trouver un sens par l’union au Christ, qui a souffert avec un amour infini.

     

     

    Merci Jésus de ton Amour. De nous donner un coeur,

    capable de te reconnaître dans les autre êtres que tu

    as créé. Amen Alleluia !

     

     

     

     

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    Les erreurs ne se regrettent pas elles s’assument !
    La peur ne se fuit pas elle se surmonte !
    L'amour ne se crie pas il se prouve !

     

     

    Reste toujours toi, ne change pour personne, affirme-toi. Il y aura sur ton chemin des personnes qui t'aimeront pour ce que tu es vraiment et apprécieront ta personnalité. C'est avec eux qu'il te faudra avancer.

     

     

     

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    On maudit une épreuve, mais on ne sait pas, quand elle nous arrive, qu'elle va nous faire grandir et nous emmener ailleurs. On ne veut pas le savoir. La douleur est trop forte pour qu'on lui reconnaisse une vertu. C'est quand la douleur est passée, qu'on se retourne et qu'on considère, ébahi, le long chemin qu'elle nous a fait parcourir.

    Katherine Pancol

     

     

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    La plupart des gens naissent endormis, vivent endormis et meurent endormis ; il faut être éveillé pour pouvoir donner aux autres le meilleur de nous mêmes.

     

     

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    Chaque fois que vous souriez à quelqu'un, c'est un acte d'amour, un cadeau à cette personne,

    une belle chose.

    Mère Teresa

     

     

     

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    Au coeur de la souffrance, apprendre l’Espérance.

     

     

     

     

     

     

    Au coeur de la souffrance, apprendre l’Espérance.

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    Saint de ce jour

    Saint Charbel Makhlouf
    Prêtre et moine maronite
    (1828-1898)


    En 1851, il quitta ses parents et son village pour se diriger vers le monastère Notre-Dame-de-Mayfouq pour sa première année de noviciat. Dirigé ensuite vers le monastère Saint-Maroun d'Annaya, il s'engagea dans l'Ordre Libanais Maronite, choisissant le nom de Charbel, martyr antiochien du IIe siècle. Il y prononça ses vœux solennels le 1er novembre 1853 puis poursuivit ses études théologiques au monastère Saint Cyprien de Kfifane, Batroun. Il fut ordonné prêtre à Bkérké, siège patriarcal maronite, le 23 juillet 1859.harbel, au siècle Youssef Antoun, Makhlouf naît à Beqaa-Kafra (Liban Nord) le 08 mai 1828. Sa formation chrétienne et l'exemple de ses deux oncles maternels, ermites au monastère de Saint-Antoine-Kozhaya, le vouèrent dès son jeune âge à la prière et à la vie monastique.

    Il vécut au monastère Saint-Maroun d'Annaya durant seize ans après lesquels il se retira définitivement dans l'ermitage des saints Pierre et Paul dudit monastère. Il en sortait rarement, demeurait continuellement en prière, modèle exemplaire d'ascèse et de sainteté. Il vécut vingt-trois ans à l'ermitage et y meurt dans la nuit du 24 décembre 1898, vigile de la fête de Noël. Il fut enterré au cimetière d'Annaya.

    Quelques mois après la mort de Père Charbel, des lumières éblouissantes apparurent autour de son tombeau. Son corps, qui continuait à suer de la sueur et du sang, fut déposé dans un nouveau cercueil. Beaucoup de pèlerins venaient implorer sa protection. On dénombre alors bien des guérisons physiques et des grâces spirituelles.

    En 1925, s'ouvrit le procès de sa canonisation. En 1950, le tombeau du Père Charbel fut ouvert en présence d'un comité officiel et de médecins qui procédèrent à la vérification de l'intégrité du corps. Dès l'ouverture du tombeau, les guérisons de toutes sortes se sont multipliées d'une manière subite et inaccoutumée. De toutes les régions du Liban les pèlerins de toutes confessions venaient implorer le « Saint » Charbel.

    Bientôt, les miracles dépassèrent les frontières. Des milliers de correspondances et de témoignages conservés dans les archives d'Annaya restent les meilleurs témoins de la propagation de sa sainteté. Ce phénomène exceptionnel a été la cause immédiate de plusieurs conversions et d'une grande revivification des vertus dans les cœurs des fidèles. Le si pauvre tombeau est devenu le pôle d'attraction qui attire vers lui les gens de tout âge et de toute classe, rassemblés devant le « Saint » sans distinction de religion ni de condition. Ils sont tous là, fils de Dieu.

    En 1954, le Vénérable Pie XII signa la décision du procès de la Béatification de l'ermite Charbel Makhlouf.

    Le 5 décembre 1965, le Bx Paul VI présida la cérémonie de la béatification, durant la clôture du Concile œcuménique Vatican II.

    En 1975, le Bx Paul VI signa son accord pour le miracle requis pour proclamer la sainteté du Bienheureux Charbel, proclamée dans une cérémonie mondiale le 9 octobre 1977.

    Parmi les nombreux miracles attribués à l'intercession de l'homme de Dieu, l'Église en retint deux pour la béatification et un troisième pour la canonisation.

    1) Sœur Marie Abel Qamari, de la Congrégation des Saints Cœurs, opérée à deux reprises d'un ulcère très grave, supportait depuis quatorze ans des douleurs indescriptibles. Elle guérit à Annaya le 12 juillet 1950.

    2) Iskandar Naïm Obeid, de Baabdate, avait perdu en 1937 l'usage d'un œil. Comme on lui avait conseillé de le faire enlever pour sauver le second, il pria le Père Charbel d'intercéder pour lui et redécouvrit la vue, après sa visite à Annaya en 1950.

    3) Miriam Aouad, de Hammana, avait un cancer de la gorge. Les médecins déclaraient leur incapacité de la soigner. Elle pria Saint Charbel et en 1967, elle fut guérie par son intercession.

    L'Église universelle célèbre sa mémoire le 24 juillet. L'Église du Liban le célèbre également le 24 décembre, jour de sa naissance au ciel.





     

    Prière pour obtenir des grâces

     

    Dieu, infiniment saint et glorifié dans tes saints, qui as inspiré au saint moine et ermite Charbel de vivre et de mourir dans une parfaite ressemblance avec Jésus, lui accordant la force de se détacher du monde afin de faire triompher, dans son ermitage, l'héroїsme des vertus monastiques : la pauvreté, l'obéissance et la chasteté, nous te supplions de nous accorder la grâce de t'aimer et de te servir à son exemple.
    Seigneur Tout-Puissant, qui as manifesté le pouvoir de l'intercession de saint Charbel par de nombreux miracles et faveurs, accorde-nous la grâce que nous implorons par son intercession. Amen.

     

    Le Liban

     

     

     

     

     

    Le mont Liban

     

     

     

     

    [2007] Nahr el-Bared, la fuite

     

     

    Nous devons beaucoup à nos frères d'Orient.

    Pour les aider, contactez les oeuvres d'Orient

    Quelle leçon de vie !

     

     

     

     
    Le couvent Mar Lichaa est l'un des plus... (Photo Thomas Abgrall, collaboration spéciale)

    Le couvent Mar Lichaa est l'un des plus accessibles de la région, niché au-dessus de champs d'oliviers.

     

     

     

     

    GOD BLESS YOU

     

     

     

     

    LES SAINTS EN ORIENT. ST Charbel Makhlouf.

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