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Quand on est trop sensible on a des hauts et des bas
Un rien nous fait pleurer, mais une gentillesse on ne l'oublie pas
Pas facile de toujours penser
Que le monde on peut déranger
Et si on nous parle un peu brusquement
Tout de suite on se dit qu'on nous aime moins qu'avant
Je crois que c'est nous qui aimons trop les gens
Nos ami(e)s, nos connaissances et nos parents
On veut tellement leur faire plaisir
Qu'un petit désappointement nous fait souffrir
Le manque de confiance en nous
Ne nous aide pas du tout
Mais quelques mots d'encouragement
Et on reprend un peu confiance pour quelques temps
Si on pouvait un jour changerEt arrêter d'avoir de la peine pour tout ce qui peut nous arriver
Et cependant, lorsque cela se répéte dans la vie,
lorsque on ne comprends pas...
cela empêche de s'epanouir
la confiance déposé.
Sauf pour les enfants et les animaux.
L'innocence a une "carapace"
Le regard, la facilité d'oublier.
Mon Dieu, donne-moi de préférer garder mon sac des billes,
de vouloir toujours et malgré tout
vouloir reprendre goût à ce jeux de l'amitié...
Sûrement je partiré avec mon sac plus vide,
mais j'aurai joué !
Ces mots pour tous ceux qui sont sensibles, qui ont peur,
à ceux que l'on a dit tellement des fois, " si tu conntinues ainsi,
tu feras rien de ta vie.
Venez, jouons aux billes mes amis !
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EVANGILE SELON SAINT MARC 4,21-25
Jésus disait encore à ses disciples cette parabole : « Est-ce que la lampe vient pour être mise sous le boisseau ou sous le lit ? N'est-ce pas pour être mise sur le lampadaire ?
Car rien n'est caché, sinon pour être manifesté ; rien n'a été gardé secret, sinon pour venir au grand jour.
Si quelqu'un a des oreilles pour entendre, qu'il entende ! »
Il leur disait encore : « Faites attention à ce que vous entendez ! La mesure dont vous vous servez servira aussi pour vous, et vous aurez encore plus.Car celui qui a recevra encore ; mais celui qui n'a rien se fera enlever même ce qu'il a. »
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MEDITATION DE SAINT FRANCOIS D'ASSISE
« Celui qui a recevra encore ; mais celui qui n’a rien se fera enlever même ce qu’il a »
Heureux le serviteur qui fait hommage de tout bien au Seigneur. Celui au contraire qui en revendique une part pour lui-même, celui-là cache au fond de lui-même l’argent du Seigneur Dieu, et ce qu’il croyait posséder en propre lui sera enlevé (Mt 25,18.28).
Heureux le serviteur qui, lorsqu’on le félicite et qu’on l’honore, ne se tient pas pour meilleur que lorsqu’on le traite en homme de rien, simple et méprisable. Car tant vaut l’homme devant Dieu, tant vaut-il en réalité, sans plus…
Heureux le religieux qui ne prend plaisir et joie que dans tout ce que le Seigneur a fait, et qui s’en sert pour porter les hommes à l’amour de Dieu en toute joie… Heureux le serviteur qui ne parle pas pour se faire valoir, qui ne fait pas étalage de sa valeur et qui n’est pas toujours avide de prendre la parole, mais qui s’exprime et répond avec sagesse et réflexion. Malheur au religieux qui, au lieu de garder en son cœur les grâces dont le Seigneur le favorise, et au lieu d’en faire profiter les autres par ses actions, s’empresse en discours de les étaler aux yeux des hommes pour se faire valoir. Il en obtient la mesquine récompense qu’il convoitait, mais ceux qui l’écoutent n’en retirent que peu de fruit...
Heureux le serviteur qui amasse, mais dans le ciel (Mt 6,20), le trésor de grâces que le Seigneur lui offre et qui ne cherche pas, pour se faire valoir, à les manifester aux hommes ; car c’est le Très-Haut lui-même qui manifestera ses propres œuvres à qui il lui plaira. Heureux le serviteur qui conserve en son cœur les secrets du Seigneur.
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merci Nathalie !
« Ils ont produit trente, soixante, cent pour un »
Frères bien-aimés, quand nous vous exposons quelque chose d’utile pour vos âmes, que personne n’essaye de s’excuser en disant : « Je n’ai pas le temps de lire, c’est pourquoi je ne peux pas connaître les commandements de Dieu ni les observer »… Arrachons-nous aux vains bavardages et aux plaisanteries mordantes…, et voyons s’il ne nous reste pas de temps à consacrer à la lecture de l’Écriture sainte… Quand les nuits sont plus longues, y aura-t-il quelqu’un capable de tant dormir qu’il ne puisse pas lire personnellement ou écouter quelqu’un d’autre lire l’Écriture ?... Car la lumière de l’âme et sa nourriture éternelle ne sont rien d’autre que la Parole de Dieu, sans laquelle le cœur ne peut ni vivre ni voir…
Le soin de notre âme est tout à fait semblable à la culture de la terre. De même que dans une terre cultivée on arrache d’un côté et que l’on extirpe de l’autre jusqu’à la racine pour semer le bon grain, on doit faire de même dans notre âme : arracher ce qui est mauvais et planter ce qui est bon ; extirper ce qui est nuisible, greffer ce qui est utile ; déraciner l’orgueil et planter l’humilité ; jeter l’avarice et garder la miséricorde ; mépriser l’impureté et aimer la chasteté…
En effet vous savez comment on cultive la terre. Tout d’abord on arrache les ronces, on jette les pierres au loin, ensuite on laboure la terre elle-même, on recommence une seconde fois, une troisième, et enfin…on sème. Qu’il en soit ainsi dans notre âme : tout d’abord, déracinons les ronces, c’est-à-dire les pensées mauvaises ; ensuite ôtons les pierres, autrement dit toute malice et dureté. Enfin labourons notre cœur avec la charrue de l’Évangile et le soc de la croix, brisons-le par la pénitence, ameublissons-le par l’aumône, par la charité préparons-le à la semence du Seigneur…, afin qu’il puisse recevoir avec joie la semence de la parole divine et rapporter non seulement trente, mais soixante et cent fois son fruit.Je me souviens. Lorsque j'étais plus jeune,
j'avais toujours un petit carnet et un stylo.
Et je faisais de tas des méditations.
Cela n'était pas mal. Je garde encore avec moi
quelques uns.
C'était un temps donné pour le Seigneur devant Lui.
Cependant en étant au Carmel, je me mettais
le plus près du tabernacle.
Tôt le matin, sans aucune autre lumière que celle
du tabernacle.
Quel bonheur de rester la à ses pieds.
Savoir que Lui si grand, est caché dans une
petite boîte pour moi.
Tout mon être devenait reposant, detendu.
Et une heure me paresais si peu de temps...
Je dis cela
Car, c'est vrai, on a le devoir de prendre
soin de son corps. Le traiter bien.
Mais aussi de son âme.
Je ne sais pas où j'ai entendu...
"âme saine, corps sain"
Notre corps et notre esprit ne font qu'un.
J'ai vu des malades, que ne pouvaient pas bouger,
mais leur bonté, leur prière étaient comme une
odeur qui se repandait.
La personne souffrait, mais son esprit
paisible l'aidait beaucoup.
On pense parfois, et même très souvent,
que prier c'est pour les cures, les religieuses,
"les grenuilles de bénitier" comme les gens dissent.
Qui prient leur chapelet sans être présents d'esprit
à l'Eucharistie.
Mais elles sont bien la !
Au debut, rester en silence...c'est un peu
aride. On est habitués à meubler le silence
par de tas de choses.
Mais chaque jour dix minutes...
de brozage au Soleil de Jésus.
C'est le TOP !
Aprés, un bon gûtter et c'est une joie sans nom.
Je fais un marché
Si quelqu'un fait l'essay et que cela
ne marche pas.
Je demande à Jésus de vous rembourser !
Et ces 10' sont gratos à vie !
GOD BLESS YOU TO
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La Bonne Nouvelles dans les plages
« Allez dans le monde entier, proclamez la Bonne Nouvelle »
Evangile selon St Marc, chapitre 16, 15-18
Jésus ressucité dit aux onze Apôtres :
« Allez dans le monde entier. Proclamez la Bonne Nouvelle à toute la création.
Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé ; celui qui refusera de croire sera condamné.
Voici les signes qui accompagneront ceux qui deviendront croyants : en mon nom, ils chasseront les esprits mauvais ; ils parleront un langage nouveau ; ils prendront des serpents dans leurs mains, et, s’ils boivent un poison mortel, il ne leur fera pas de mal ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades s’en trouveront bien.SORTIR !
Le pape François
POUR AUJOURD'HUI
Jeudi, dans la cathédrale Saint Sébastien de Rio de Janeiro, devant quelque 30 000 argentins participant aux JMJ, le Pape François a incité les jeunes à « sortir dans les rues » et à « mettre la pagaille ».
« J’aimerais vous dire une chose. Qu’est-ce que j’attends comme conséquence de la Journée mondiale de la jeunesse? J’espère de la pagaille! Va-t-il y avoir de la pagaille ici? Oui! Est-ce qu’ici à Rio il va y avoir de la pagaille? Oui! Mais je veux de la pagaille dans les diocèses! Je veux que vous alliez à l’extérieur! Je veux que l’Eglise sorte dans les rues! Je veux que nous nous gardions de tout ce qui est mondanité, installation, de tout confort, de tout cléricalisme, de toute fermeture sur nous-mêmes. Les paroisses, les écoles, les institutions, sont appelés à sortir! S’ils ne sortent pas, ils deviennent une ONG et l’Eglise ne peut pas être une ONG », a déclaré le Pape argentin.
Et de poursuivre : « Que les évêques et les curés me pardonnent, si ensuite quelqu’un met la pagaille, mais c’est un conseil… merci pour ce que vous pouvez faire. Regardez, je pense qu’en ce moment, cette civilisation mondiale est allée trop loin, est allée trop loin! Parce que le culte fait au dieu de l’argent est tel! Nous assistons à une philosophie et une pratique de l’exclusion des deux pôles de la vie qui sont les promesses du peuple. Et justement, parce qu’on pourrait penser qu’il pourrait y avoir une sorte d’euthanasie cachée. C’est-à-dire : on ne s’occupe pas des personnes âgées! Mais il y a aussi cette euthanasie culturelle: ne les laissez pas parler, ne les laissez pas agir! Et l’exclusion des jeunes: le pourcentage de jeunes qui sont sans travail, sans emploi, est très élevé! C’est une génération qui n’a pas l’expérience de la dignité gagnée par le travail. Autrement dit, cette civilisation nous a conduits à exclure les deux pointes qui sont notre avenir! ». Le Pape François a ainsi conclu son discours en incitant les jeunes à « sortir » et à « se mettre en valeur » . Il est nécessaire de « se battre pour les valeurs, se battre pour les valeurs ! », a-t-il martelé.
( certains termes adaptés de lespagnol au Français )
Ce fut ma question aprés le Carmel
Rester dans la monde...mais pourquoi ?
Tout suite j'ai eu la réponse. Ma paroisse.
Mais bientôt je me suis dit, que cela n'était
pas suffisant. Alors je suis lancé dans mon quartier, la boulangerie,
la rue, le métro, les caisses de mon supermaché.
Je ne préchais pas mais c'était mon comportement,
et aussi la petite croix en bois que je porte toujours à mon cou. Je vous assure, qu'il y a eu des résultats
qui m'ont surprit.
Mais aussi, je trouve que tout chrétien, doit aussi,
s' évangéliser
Que cela ne suffit plus d'aller à la messe,
mais prendre la Bible, lire, s'informer.
Pour pouvoir donner des réponses vrais, basés
sur la bioéthique. Sur la justice social.
Pour pouvoir informer les autres.
IL ne suffit plus de dire simplement :
je ne suis pas d'accord.
Et tout cela fait partie de notre mission des laïcs.
IL n'est plus le temps de rester dans notre boule
des chrétiens (entre nous)
Priez pour ma conversion, vraiment.
pour les possibles tuiles hi hi hi
GOD BLESS YOU TO
5 commentaires -
Merci Jésus de nous Aimer et de nous appeler
à t'imiter à l'infini...pour Toujours.
J'avais 6 ou 7 ans, et comme je n'avais des frères ni des soeurs. J'ai dit à Jésus de le devenir.
Alors je parlais avec lui. Et lorsque je faisais des bêtises...je lui demandais de m'aider. Je l'appelerais
Emmanuel ou Mamuel en espagnol.
Nous marchions en nous serrant la main.
Je crois maintenant, que c'était un temps
super beau...malgré les torgnoles de ma mère...
car je faisais des bêtises pour 10 !
Nous grandissons, mais dans le coeur,
on est toujours des enfants. C'est fantastique
en se réveillant de crier,
Jésus je t'Aime de tout mon coeur !
ça, c'est l'enfant. Car en grandissant,
il parait qu'il faut se mettre à génoux,
et faire les prières... c'est bien ! mais Jésus
Aime la spontanieté.
Lorsque mon temps viendra de finir
ma vie sur terre. Je me vois courrir et
me jeter dans les bras de Jésus.
Je lui fais confiance.
Demandons d'garder notre coeur de petit.
Il est toujours la, même si on ne le sens pas.
Se permettre être des enfants !
Je vois mon père espirituel à 60 ans à quatre pattes
par terre cherchant le resort d'un stylo,
que je lui avait offert. Je l'avait ouvert pour voir
le dans, et le resort est parti.
La soeur d'un certain âge de l'hôtellerie de familles,
a frappé pour nous apporter un goûter, en nous voyans ainsi par terre, elle était horrifié.
" Mon RV Père ! - il était père géneral-
Et mon père d'éclater de rire en disant :
C'est mon enfant qui a perdu le resort !
ça c'est aussi Jésus. Ah tenons cette complicité
avec lui...c'est le top de tops.
OSONS ÊTRE HEUREUX !
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